Lettre trimestrielle de l’union juive libérale de lyon “mon journal” #40 juillet août septembre 2011 nissan iyyar sivan 5771 Le Printemps du Judaïsme Libéral lyonnais par Daniel a TOUATI sommaire Compte-rendu des 1ères rencontres du judaïsme libéral francophone p.2 Une femme fuyant l’annonce de David Grossman + Le coup de coeur d’Éliette Abécassis p.3 Ticha béav 5771 (9 août 2011) p.4 Q ue d’évènements en à peine 6 mois ! L’année 2011 sera à marquer d’une pierre blanche dans l’Histoire. A peine 10 ans après le terrible attentat du 11 septembre et contre toute attente, voilà des dictatures du Maghreb et des pays arabes, bien implantées depuis des décennies, qui vacillent voire tombent en quelques jours, « le Printemps arabe » a chassé tout sur son passage et surtout éveillé nos consciences d’européens ! Ces révoltes arabes offrent la possibilité à ces pays, souvent considérés avec dédain par nos journalistes occidentaux, de renouer avec la démocratie. En tant que Juifs solidaires d’Israël, ces évènements ont pris une coloration particulière, et les lueurs d’optimisme voire d’enthousiasme étaient souvent « voilées » par le risque de dérive islamiste, qui pouvait aussitôt anéantir ce réveil démocratique si on n’y prenait garde. Pour ma part, je reste convaincue que la peur est la pire des conseillères, au lieu de céder au repli sur soi, dont nous sommes trop souvent coutumiers, nous devons soutenir et encourager chaque étincelle de démocratie dans les pays arabes. Nous devons ici en France, favoriser le dialogue avec nos frères musulmans. Comme l’affirme le rabbin Marc WEINER de la West London Synagogue dans un drash d’avril 2011 : « En tant que Juifs nous devons nous opposer à l’islamophobie et construire des relations communautaires avec les mosquées voisines, travailler sans cesse au dialogue inter-religieux. » C’est ainsi que le projet entrepris l’an dernier par Carole G. en collaboration avec les Bâtisseuses de Paix, à notre petite échelle, afin que les enfants de notre communauté rencontrent des musulmans et des chrétiens de leur âge, qu’ils connaissent mieux leur culture et leur religion, est d’une importance primordiale. Nous vous sollicitons souvent pour des offices, fêtes, conférences, tout au long de l’année, mais ces rencontres ne seront plus facultatives et dès la rentrée elles seront intégrées au programme du Talmud Torah car cela fait partie des valeurs que nous promouvons et voulons transmettre à nos enfants. Le dialogue avec « l’autre » est difficile même quand cet « autre » nous est très proche, ce fut le cas jusqu’à récemment avec la CJL. Mais à la faveur du changement des membres du bureau de la CJL, intervenu en avril, nos relations se sont rapidement réchauffées et notre rapprochement est de nouveau d’actualité. Les membres présents et représentés à notre AG, qui s’est tenue le 15 mai dernier, ont voté quasi à l’unanimité pour concrétiser la fusion avec la CJL dès l’année prochaine, sur la base du projet présenté et des chantiers (et ils sont nombreux) que nous mènerons ensemble. Dès la rentrée un seul Talmud Torah réunira les enfants de nos deux communautés. A nouveau nous célébrerons les fêtes de Tichri en commun. Notre ambition de construire une grande communauté juive de tradition libérale, autour d’un rabbin, de familles de plus en plus nombreuses et dans un lieu chaleureux et accueillant pourra enfin se réaliser, à Lyon aussi c’est le « Printemps du Judaïsme Libéral » ! ne râtez pas le fim ! Le Chat du Rabbin © Joann Sfar www.ujl-lyon.com événement La visite du Lyon Juif avec Catherine Dechelette Quelles rencontres ! Les premières rencontres du judaïsme libéral francophone organisées du 1er au 3 avril 2011 par les communautés libérales lyonnaises avaient pour objectif à la fois d’échanger et de mutualiser les idées et les moyens indispensables pour renforcer nos communautés et leur donner une meilleure visibilité mais aussi de faire entendre le message du judaïsme libéral comme dialogue entre tradition séculaire et ouverture au monde en France et en Europe. I l semble bien qu’un premier pas dans cette direction ait été franchi pendant ces journées lyonnaises ensoleillées qui se sont déroulées dans une ambiance conviviale permettant de fructueux échanges. Nous avons débuté ces rencontres par une table ronde entre trois représentants des religions monothéistes après que le rabbin François Garaï ait introduit le séminaire en rappelant que les premières graines de communautés libérales ont été plantées en France il y a trente-cinq ans et que pour célébrer ces rencontres qui sont une première, il ait proposé à l’assemblée de dire le ChéHé’hiyanou.Puis François Garaï, Bakary Sambe et le Père Max Bobichon ont exposé leurs idées et échangé autour des thèmes de communauté, communautarisme, ouverture, échange, reconnaissance des points communs et des différences d’approche 2 en s’appuyant toujours sur les textes de la Torah, du Nouveau testament et du Coran dont ils ont montré une grande maîtrise. Ensuite Catherine Poujol historienne, nous a fait part dans un passionnant exposé de son travail en cours à la pointe de la recherche et qui doit paraître en 2011 sur « Les enfants cachés pendant la deuxième guerre mondiale dans le diocèse de Lyon et les conditions de leur restitution ». Ensuite, les jeunes post-Bar/Bat Mitzvah de Lyon et des représentants parisiens du mouvement de jeunesse Netzer ont animé l’office de Kabbalat shabbat sous les yeux vigilants de René Pfertzel, élève rabbin et Catherine Colin, responsable du Talmud Torah à l’UJLL. Office dynamique suivi par une assistance nombreuse, composée des participants au colloque et des membres des communautés locales. La soirée s’est conclue autour d’un diner shabbatique. L’office de samedi matin a également réuni un grand nombre de personnes autour des rabbins, futurs rabbins et enseignants du Talmud Torah. Tous ceux qui participent à ce genre d’offices, savent combien c’est une expérience chaleureuse, enrichissante et émouvante. Le samedi après-midi a été consacré à des visites guidées : le Lyon juif et la prison de Montluc. Après le sérieux et un moment partagé pour Havdalah, nous avons pu rêver avec le trio Ljube au cours d’un concert qui a fait la part belle aux chants yiddish tout en insufflant une brise méditérranéenne avec des chants judéo-espagnols. Dimanche matin a été consacré à une conférence/débat entre Denis Charbit, Professeur à l’Université Ouverte d’Israël, politologue et Edouard Robberechts, philosophe, Directeur de l’Institut d’Études et de Culture Juives d’Aix-en-Provence, sur le thème passionnant et si actuel de « Israël : Etat laïque ou Etat religieux ? » L’après-midi nous avions le choix entre trois ateliers sur six, tous traitant d’aspects clés pour la compréhension, la conduite et le développement du judaïsme libéral au sein de la communauté nationale française (les conversions et l’accueil des couples mixtes, la Halakha dans le judaïsme libéral, Netzer et Tamar, comment susciter les vocations de rabbin, comment mieux communiquer, la biographie de Léo Beck). Nous espérons pouvoir retrouver les communautés de Montpellier, Strasbourg, Marseille, Grenoble, Toulouse, Bruxelles, Genève et Paris lors de prochaines rencontres francophones. culture, livres critique par Sylvie Fresco Une femme fuyant l’annonce Né à Jérusalem en 1954, David Grossman est une figure majeure des lettres israéliennes : il se distingue à la fois comme auteur prolixe de romans abondamment primés et comme intellectuel engagé pour la paix, fervent partisan du rapprochement entre Israéliens et Palestiniens. Le Vent jaune, l’œuvre qui lui a valu la notoriété en 1987, témoigne des souffrances du peuple palestinien. David Grossman fait partie avec Amos Oz et Avraham B. Yehoshua du groupe d’intellectuels ayant fondé le mouvement « La paix maintenant ». Par ailleurs, en 2010, l’écrivain a reçu en Allemagne le Prix de la Paix des éditeurs et des libraires allemands. D avid Grossman s’inscrit au nombre des 30 écrivains invités à la 5ème édition des Assises internationales du roman aux Subsistances, à Lyon. C’est l’occasion pour lui d’évoquer son nouveau roman à paraître en août 2011, chez Seuil, Une Femme fuyant l’annonce. Que fuit donc Ora, la protagoniste du roman ? Son second fils, Ofer, sur le point de terminer son service militaire, s’est porté volontaire pour « une opération d’envergure » de 28 jours dans une ville palestinienne. Dès lors, l’instinct maternel d’Ora lui dicte un stratagème défiant la voix de la raison : s’absenter pendant ces 28 jours, pour ne pas accueillir l’annonce funeste qu’elle pressent. Commence alors un périple sur les routes de Galilée pour Ora et Avram, un amour de jeunesse. En racontant son fils, elle tisse la trame d’un récit qui va les entraîner, Avram et elle, bien avant la naissance d’Ofer, dans les mystères de leur passé commun. David Grossman s’est coulé, le temps d’un roman, dans la peau d’une femme, d’une mère en deuil. Pour le père que la guerre de 2006 a amputé de son fils, Uri, l’écriture est vécue comme une recréation de soi. D’après lui, le romancier est un pickpocket qui endosse les peaux de multiples personnages, se fond dans diverses personnalités sans jamais perdre la sienne. Ora, l’héroïne, par son étymologie en hébreu nous guide vers la lumière mais ora, en latin, c’est aussi la prière. Prière du père pour le fils, prière de l’homme pour son pays. Puisque, nous le rappelle Grossman, l’écriture, à l’opposé de la guerre, fait œuvre de création, construit là ou la guerre oblitère, efface l’humain en nous. Il termine son entretien sur une fervente prière pour Israël, celle d’une paix durable avec ses voisins palestiniens. Parce qu’il ne peut pas s’offrir le luxe de désespérer, parce que survivre ne suffit pas et qu’il faut vivre, tout simplement. Le coup de cœur d'Eliette Abécasis Asher le devin ou l'hommage aux sépharades Ami Bouganim est né en 1951, à Essaouira (anciennement Mogador), petite ville marocaine aux couleurs de Safed, bleue et blanche, battue par les vents. Il se sent investi, dit-il, “de la scabreuse mission de mettre ces vents, leurs frasques et leurs troubles en lettres”. Dans Asher le devin, c'est la ville de Fès qu'il nous conte, la seule capable de rivaliser avec Mogador en tant que cité historique, à la prestigieuse communauté juive dont l'histoire remonte à la naissance de la ville. Ces contes dessinent un univers aux personnages colorés, depuis Élie l'increvable, Bouskila l'escroc, Susa et Lisa les sœurs jumelles à la ressemblance si parfaite qu'il fut impossible de leur trouver des maris identiques, à Sol El-Fassia promue à un destin de princesse malgré son insondable misère ; “Madame”, la tenancière de la “Maison de plaisir” qu'il fallait à tout prix chasser du Mellah ; Gomel, le maître de l'Alliance, décrit comme “un des rares instituteurs qui avait conquis les Fassis au point qu'ils lui confiaient leurs enfants sans se soucier de ce qu'il leur enseignait ou leur prescrivait” ; ou encore l'indigne et lubrique successeur de l'enseignant vénéré, Arcadie Caldéron, d'origine turque ou perse, qui derrière “son pathos pédagogique”, était “un grand dilettante venu au Maroc pour voir du pays”. Parmi ces récits transmis dans une langue maîtrisée, pleine d'humour et de suspense, c'est Asher le devin qui a la préférence de l'auteur. Instruit malgré lui en médecine, il conserve ses talents de guérisseur, de devin et de sage ; il fait l'unité entre les récits, puisqu'on le consulte à plusieurs reprises, pour résoudre un problème insoluble ou calmer la cité en crise, entre ses désirs d'émancipation et sa fidélité aux traditions. Un autre personnage récurrent et moins sympathique est l'institution nommée “Alliance israélite universelle”. Avec une moquerie incisive et implacable, Ami Bouganim montre le travail de sape exercée par celle-ci, dont la soidisant mission civilisatrice se borne à lutter contre la religion et les traditions. Peut-être faut-il y voir le symbole de la lutte entre la science et la foi, entre le pouvoir de l'école et la croyance religieuse qui veut transmettre l'histoire, la fidélité à la Loi et le désir d'éternité. Un livre que l'on termine à regret, tant les personnages sont attachants : un sublime hommage au monde sépharade. Ami Bouganim, Asher le devin et autres contes de Fès, Albin Michel, 240 p., 17€ 3 fêtes par RenéBrigitte PfertzelFrois Ticha b’Av 5771 (9 août 2011) Dans le calendrier juif, le 9 du mois d’Av (Ticah b’Av) est un jour de deuil, un jour de jeûne dont les règles sont identiques à celles qui s’appliquent à Yom Kippour. La Tradition nous enjoint de lire durant la nuit de Ticha b’Av le livre des Lamentations du prophète Jérémie, assis par terre, car ce jour commémore la destruction des deux Temples de Jérusalem, en 586 avant notre ère par les Babyloniens, et en 70 de notre ère, par les Romains. Ces deux destructions entraînèrent deux vagues d’exil qui sont à l’origine de la diaspora. M ais selon la Michna (Taanit 4 :6), outre ces deux événements tragiques, Ticha b’Av commémore trois autres moments sombres de notre histoire. Les 12 espions envoyés par Moïse dans la terre de Canaan pour préparer l’entrée des Israélites reviennent tous, à l’exception de Josué et Caleb, avec des rapports négatifs. Les pleurs des Israélites entraînent la colère de Dieu qui décide que cette génération ne rentrera pas dans la terre promise, retardant d’autant l’accomplissement de la promesse (cf. Nombres 13-14). En 132 de notre ère, les Romains écrasent la révolte de BarKokhba à Betar et massacrent 100,000 Juifs. En 133, suite à la révolte juive, le commandant romain Turnus Rufus laboure et retourne les terres autour du mont du Temple, et le mont lui-même, suivant une habitude romaine qui efface ainsi les traces des peuples vaincus. Par la suite, la Tradition a ajouté d’autres événements dans cette commémoration, comme le début de la première croisade en 1095 car dans le premier mois de cette croisade, des dizaines de communautés juives du nord de la France et de la vallée du Rhin ont été détruites. Ou encore, l’expulsion des Juifs d’Espagne en 1492. Et plus récemment, le début de la première guerre mondiale en 1914 qui a démarré un Ticha b’Av, ou encore le début de la déportation du ghetto de Varsovie le jour de Ticha b’Av 1942. Après la Shoah, il a été question un temps de commémorer la Shoah ce même jour, réceptacle des catastrophes du peuple d’Israël, mais il a été décidé de la singulariser par un jour à part. Et en Israël, certains se demandent s’il est encore pertinent de marquer ainsi les deux destructions de Jérusalem dans la capitale réunifiée de l’État d’Israël. Je me souviens de Ticha b’Av lorsque je vivais en Israël. Nous allions tous ensemble au Kotel écouter la nuit le livre des Lamentations du prophète Jérémie chanté dans toutes sortes de traditions variées, tant orientales qu’ashkénazes, et cela donnait l’impression étrange d’être à la fois plongé dans ces temps tragiques, et d’être entouré de milliers de Juifs dans la grande diversité de notre peuple aujourd’hui. Un peu comme si le message était celui de la continuité dans l’adversité. Un enseignement pour Ticha b’Av. Dans le Talmud de Babylone (Yoma 9b) est posée la question suivante : « Pourquoi le premier Temple a-t-il été détruit ? A cause de trois maux : l’idolâtrie, l’immoralité et le sang versé. Mais alors, pourquoi le second Temple a-t-il été détruit, alors que le peuple était engagé dans l’étude de la Torah, la pratique des mitzvot et les actes de bienfaisance ? Parce que, durant le temps où le Temple était debout, prévalait la sinat hinam, la haine gratuite entre les gens. Cela nous enseigne que la haine gratuite est plus grave que l’immoralité, l’idolâtrie et le sang versé ensemble ». Cela fait référence aux différentes factions qui étaient dans la ville de Jérusalem et qui, au lieu de s’unir efficacement contre les Romains, n’avaient de cesse de se battre entre elles et de mettre en avant leurs désaccords. A mon sens, le souvenir est une chose utile, et nous devons commémorer les tragédies que notre peuple a connues. Mais il est bien plus important de garder à l’esprit que les divisions en notre sein peuvent avoir des conséquences bien funestes. Lettre bimestrielle de l’union juive libérale de lyon Ont participé à ce numéro Daniela Touati, René Pfertzel, Sylvie Fresco et Brigitte Frois. Montage Frédéric Guedj - Courriel rédaction [email protected] UJLL : 14 rue Garibaldi, 69006 Lyon (code porte : 5682) Présidente Daniela Touati Secrétaire Valérie des Roseaux Tél. 04 72 82 06 83 Courriel [email protected] www.ujl-lyon.com 4 Prix 7€ Abonnement annuel (4 numéros) 40€ dates UJL Dimanche 19 juin à partir de 10h : Fête du Talmud Torah commune avec la CJL (lieu UJLL). Nous dirons au revoir à la famille Cartoux et Giat avant leur alya prévue en juillet ! Vendredi 24 juin à 19h15 : Office de Kabbalat Shabbat, animé par Ruben Grousset accompagné de René Pfertzel Samedi 25 juin à 10h : Office de Shabbat parachat Korah, Ruben Grousset lira dans la Torah devant sa famille et les membres de la communauté, venez nombreux le soutenir ! Un kiddouch sera offert par la famille après l’office. Vendredi 1er juillet à 19h15 : Office de Kabbalat Shabbat, animé par Le Rabbin François Garaï, Bar Mitsva de Paul des Roseaux Samedi 2 juillet à 10h : Office de Shabbat parachat Houkat, venez nombreux entourer et accompagner Paul des Roseaux, qui célèbrera sa Bar Mitzva et lira dans la Torah, accompagné du Rabbin François Garaï Un kiddoush sera offert par la famille après l’office. Vendredi 8 juillet à 19h15 : Office de Kabbalat Shabbat animé par Maya Gottlieb et accompagné par René Pfertzel Samedi 9 juillet à 10h : Office de Shabbat parachat Balaq, venez nombreux entourer et accompagner Maya Gottlieb qui célèbrera sa Bat Mitzva et lira dans la Torah accompagnée de René. Un kiddoush sera offert par la famille après l’office. Vacances d’été Talmud Torah du dimanche 3 juillet au dimanche 11 septembre inclus Vendredi 2 septembre à 19h15 : Office de Kabbalat Shabbat, animé par René Pfertzel Samedi 3 septembre à 10h : Office de Shabbat parachat Choftim, office animé par René Pfertzel Rentrée Talmud Torah Dimanche 18 septembre à 10h ! Prenez date pour les offices des Fêtes de Tichri animées par René Pfertzel : Mercredi 28 septembre à 19h15 : Office de Veille Roch Hachana Jeudi 29 Septembre à 10h : Office de Roch Hachana Lieux communqiués ultérieurement Vendredi 7 octobre à 19h : Kol Nidré Samedi 8 octobre à 10h : Yom Kippour, animé par René Pfertzel, Abraham Bengio, Georges Arfi et Catherine Colin L’office se déroulera Salle Edouard Herriot, 1 place Antonin Jutard, 69003 LYON (Métro ligne D – station Guillotière) La CJL et l’UJLL vous proposent, mi ou fin octobre : un week-end au Chambon-sur-Lignon. Pour toute information et pré-réservation merci de vous rapprocher de Françoise Roussillat : [email protected] dates CPJL Cours de philosophie juive par le Pr Edouard Robberechts, professeur de philosophie et directeur de l’Institut d’études juives de l’Université Aix-Marseille de novembre 2011 à juin 2012 un jeudi par mois de 19h à 20h30 (dans nos locaux en 2011 puis à l’espace Hillel en 2012) Il n’est pas nécessaire de connaître l’hébreu pour suivre cet enseignement. Le tarif de l’inscription pour l’année 2011-2012 dépendra du nombre de personnes intéressées. Il n’est pas trop tôt pour vous manifester, si vous souhaitez participer merci de contacter Brigitte Frois : [email protected]