Psychanalyse_enoncé_8_mars_2012hot!

publicité
Les piliers indispensables au bon
déroulement du processus
analytique classique sont : le cadre,
la libre association, la neutralité de
l'analyste et l'interprétation
(surtout en ce qui concerne le
transfert)
Le silence du thérapeute peut provoquer une inquiétude chez
le sujet qui le renvoie aux contenus latents.
Les premières séances d’une analyse sont pauvres en matériel
car l’alliance thérapeutique prend du temps à s’établir et à
dépasser les défenses du sujet
Puisque le sujet est invité à parler, à verbaliser, le dispositif
mis en place dans la cure analytique favorise surtout les
pensées secondaires.
Le complexe d’Oedipe est
universel.
Le symptôme, dans l’optique
psychanalytique, est considéré
comme une création psychique
qu’il ne faut pas « attaquer ».
La situation analytique recrée
nécessairement une relation de
dépendance à laquelle il convient
de répondre par un cheminement
vers un terme et un regain de désir
d’autonomie pour l’analysant.
L'universalité du complexe
d'oedipe est aujourd'hui remise en
question aux vus des
transformations des
configurations familiales actuelles.
La triangulation reste le socle sur
lequel se structure le sujet.
Chez une personnalité de structure
perverse, l'emprise sur l'autre a
une importance majeure, la
satisfaction de la pulsion n'étant
que secondaire.
Chez le sujet pervers, la
satisfaction du plaisir prime sur
l’emprise qu’il peut avoir sur
l’autre.
Lorsqu’un patient présente un conflit
interne, on peut postuler avec
certitude d’instances structurées et de
l’existence d’un tissu représentatif.
L’outil privilégié du thérapeute pour
permettre au patient de faire des liens
qui lui manquent est l’interprétation
Selon Freud, une des raisons qui
déterminent l’installation de la
névrose de transfert est le fait qu’au
cours de l’analyse se manifeste la
recherche d’une satisfaction de
tension interne, encore jamais atteinte
mais qui reste active parfois depuis
l’enfance
Selon Freud la frontière entre le
normal et le pathologique est si
poreuse qu’elle pourrait être
franchie jusqu’à cinq fois par jour.
Une névrose de caractère est
notamment marquée par une
absence de conflit interne
La répétition peut être traumatique,
dans ce cas elle n’est pas sous tendue
par le principe de plaisir mais elle vise
à donner une issue favorable au
trauma
Dans la névrose obsessionnelle, la
pensée semble avoir remplacé le
sexuel
Les acouphènes (tinitus) dans la
névrose obsessionnelle peuvent être
envisagés comme une protection
permettant de ne pas entendre
certaines choses à l’intérieur de soi.
Dans la névrose obsessionnelle, il y a
un contre-investissement de la
sexualité.
Il est important d'améliorer l'épreuve
de la réalité chez un patient
psychotique, ce qui est antinomique
avec la régression qui prend place lors
de la cure psychanalytique.
La perversion est une aberration
sexuelle permanente et indispensable
à la jouissance sexuelle
Les rêves ne peuvent être
interprétés que sur base des
associations libres du patient luimême au sujet de son rêve.
Il est important de proposer au
patient plusieurs interprétations
différentes, de les proposer pas à
pas, et de déceler ce qui parle le
plus au patient au sein de ces
hypothèses.
La différence entre la psychose et
la névrose peut s’établir dans la
distance que l’individu prend par
rapport à la réalité.
Il existe trois grandes psychoses :
obsessionnelle, maniacodépressive
et perverse.
Dans la clinique avec les étatslimites, on retrouve souvent un
transfert vide.
L’excitation interne débordante
peut amener au développement
d’un cancer.
Téléchargement