Soin relationnel 4.2 S3 2.3 Relationnel ? • La tentation peut-être grande de réduire la relation de soin à un processus sans sujet. (Foucault) ; en effet la maladie peut se comprendre comme « un bruit pathologique », un « non silence des organes » • La médecine traduit ses maladies par un code médical sur un modèle linguistique particulier, laissant souvent le patient « hors jeu » Difficile ? Conflictuelle ? Dysfonctionnelle ? • Difficile : la communication est moins aisée, elle nécessite attention et précaution mais reste possible • Conflictuelle : le processus de communication relève de conflits • Dysfonctionnelle : pathologie de la communication ; pas de communication efficace Ce qu’il faut savoir au préalable • Il n’existe pas de patients difficiles en tant que tels (au niveau de leur être et de leur identité) mais seulement des patients en difficultés qui manifestent des comportements inadéquats • Il n’existe pas de mauvais soignants, mais seulement des soignants en difficulté Toujours être dans les faits et l’évaluation • Les difficultés relationnelles sont alors à interpréter comme des indicateurs d’une communication non performante • Des études montrent qu’il s’agit d’une méconnaissance ou d’une incompréhension des besoins de la personne • Nous pouvons envisager l’étude de facteurs qui conduisent à un même patient à être considéré comme « difficile » par les uns et « facile » par les autres. « Les bons patients » • « Le malade doit avant tout être obéissant. On attend de lui qu’il exécute fidèlement toutes les prescriptions et qu’il se conforme à toutes les contraintes que lui imposent le personnel soignant et l’institution hospitalière. Toute initiative lui sera reprochée si elle déroge aux habitudes. • Les qualificatifs usuels : agréable, facile, compliant, compréhensif, sympathique • « il faut que la plainte soit considérée comme adéquate au regard des représentations et des soignants » Les mauvais patients • Les qualificatifs usuels : méchant, non compliant, manipulateur, asocial, psychopathe, psychorigide, méfiant, agressif, voir chiant, con, maniaque, fou, psychiatrique. • « celui là il est pas pour nous … » • Il suffit souvent de peu de chose : sonner trop souvent, réclamer un service, répéter, contester la qualité des soins, comparer les soins (avec ceux déjà reçu ; ou soins parentaux..) L’asymétrie • Il n’y a pas de soin sans une relation entre une faiblesse qui appelle de l’aide, mais qui peut devenir rapidement une soumission, et une capacité qui permet le dévouement mais qui peut devenir un pouvoir et même un abus de pouvoir. • Soigner n’est pas une volonté ordinaire, elle n’est pas qu’une généreuse volonté de bien faire, mais une volonté instruite, son expertise servant la sollicitude empêchant la dérive du soignant en seigneur Techniques de communication • Communiquer est indispensable à l’être humain, c’est le ciment qui relie les individus de tout groupe social • L’étymologie du mot nous apprend que « communiquer » apparu dans la langue française au 16ème siècle, vient du latin « communicare » qui signifie « mettre en commun » : notion de partage. Rey (2004) • Il a été introduit dans la langue française avec le sens général de « mettre en relation » La communication est donc … • « Une opération par laquelle on échange (des liens, des points de vue, des politesses…), par analogie le mot désigne une réciprocité » Rey (2004) Fonctions … Jakobson du temps de Twitter Les filtres de la communication • En fait il existe souvent une différence entre le sens que l’émetteur attribue au message qu’il envoie et le sens que le récepteur attribue à ce message • Pourquoi ? Professionnel ... Ou pas ? • Le professionnel doit transformer les savoirs savants et les savoirs de référence qu’il souhaite transmettre au patient en fonction des savoirs pré-existants du sujet qui se constituent souvent en filtre qui peuvent déformer et quelquefois bloquer l’information. Optimiser la communication = efficience quantitative et qualitative • En fonction des réponses verbales et non verbales de la part du récepteur (« feed-backs »), l’émetteur devra adapter pertinemment ses messages pour éviter un blocage affectivo-cognitif de la part du sujet, c’est-à-dire un blocage de la communication qui diminuerait les probabilités de réussite. La métacommunication • Métacommuniquer : c’est échanger sur sa propre communication au niveau du contenu ou au niveau de la relation. • Ex : « Si je dis ça, c’est parce que je t’apprécie » j’explique et je justifie le pourquoi de ma communication. En tapant sur un verre pour obtenir le silence je « métacommunique » que je souhaite communiquer quelque chose Perturbation possible : Ne pas métacommuniquer, ne pas prendre de recul, risque de laisser la communication s’enfermer dans le conflit. Il faut savoir dire « il y a quelque chose qui ne va pas » La communication non verbale : rappel • Les recherches les plus récentes montrent que nous communiquons beaucoup plus par nos messages non verbaux que nos mots • C’est ce qui explique qu’il est beaucoup plus facile de travestir des faits, racontés avec des mots que des émotions, traduites par des signaux corporels La question de la fameuse distance … • La distance professionnelle est souvent prescrite comme un refoulement de ses sentiments alors qu’il s’agit uniquement de les contrôler et les assumer. Quant à la posture … • Agent • Acteur • Auteur • C’est scientifique (Ardoino) • Etudiant et non « écolier » Carl Rogers • L’approche centrée sur la personne • Théorie du self « le patient qui consulte détient lui même la solution » • « Tout individu est porteur du potentiel suffisant pour trouver sa propre réponse à ses difficultés » Neurones … miroirs … L’EMPATHIE … mais cela vous connaissez déjà . • C'est une relation unique # parent/enfant #maître/élève #ami/ami • Un aidé / Un aidant L’ECOUTE • L'aidant écoute, l'entretien est un échange, un ensemble de communication verbale/non verbale • « C'est parce qu'il est difficile d'écouter que nous préférons juger » C Rogers • C’est une démarche volontaire, un engagement personnel. Selon l’auteur: 5 impératifs • Accueillir : accepter l'autre comme il est. Respect ; considération. Favoriser la confiance • Être centré sur ce que l'autre vit et non uniquement sur ce qu’il dit : percevoir tout le contenu émotionnel • S'intéresser à l'autre plus qu’à son problème lui même • Être présent montrer à l’autre qu’on le respecte et le comprend • Être un véritable miroir : ne pas interpréter mais se faire écho de ce qu’il ressent La reformulation • Reformuler c'est jouer le rôle du miroir qui met en relief les propos de l'interlocuteur • Redire en d’autres termes ce que la personne vous a communiqué • Valider et approuver ce qui est dit 5 objectifs • Effet de relance : approfondir • Effet de clarification : aller à l’essentiel se dégager du secondaire • Effet de précision : réajustement des connaissances • Effet d’apaisement : montrer que l’on a compris a un effet apaisant • Effet d’apprentissage : répéter les choses et les mémoriser Pourquoi donc ? • Pour éviter tout préjugé "il a l'air de..." ; • Pour éviter tout jugement : "vous auriez dû" ; • Pour éviter toute directivité "commençons par parler de ..." ; • Pour éviter toute subjectivité "moi je pense que ..." Comment ? • Relancer : "...hum,hum..." • Faire des constats "...vous pensez donc ..." • Accepter le silence • Refléter en écho : redire en résumé avec les mêmes mots • Refléter le sentiment exprimé « cela ne passe pas »... Le plus difficile … • Ne pas se précipiter, admettre que la solution viendra de l’autre Deux niveaux de reformulation • Reformulation du contenu • Reformulation des émotions Reformulation du contenu • La reformulation consiste à reprendre ce qui vient d’être dit par d’autres mots, en tentant de rester le plus précis et complet possible • Avantages : vérification, le patient se sent écouté, effet miroir soulageant et sécurisant ; permet de recentrer l’entretien • Utilisation : « si j’ai bien compris… » • Limites … dans le délire par exemple … Reformulation des émotions • Consiste à reprendre l’émotion et le sentiment que la personne éprouve ou tente d’exprimer • Avantage : de nombreux patients ont du mal à identifier leurs émotions, le fait de les reformuler permet de les mettre en lumière et les exprimer. Exemples…. • Utilisation : le soignant se focalise non seulement sur ce qui est dit, mais aussi comment c’est exprimé. • Limites : nécessité de disposer de temps suffisant pour que les émotions s’expriment complètement. Jamais de relance en fin de relation… Technique du reflet • La technique du reflet consiste à exprimer ce que le thérapeute perçoit du patient à ce moment là. (émotion, sentiment, état…) • Avantage : précise ce qui n’est pas forcément perçu clairement par le patient. • Limites : implique que le thérapeute soit pertinent et retranscrit avec rigueur et justesse ce qui semble se passer pour le patient Technique de l’écho : « Ainsi selon vous … » • Consiste à reprendre les derniers mots qui viennent d’être prononcés par le patient. • Avantage : permet de permettre au patient de poursuivre son récit et d’en développer les idées. Technique très pertinente avec les enfants. • Utilisation : exemple • Limites : fragilité du patient dépressif par exemple Technique de la clarification ou élucidation : « D’après vous … » • Tenter de rendre plus clair les propos du patient. • Avantages : accroit la capacité d’analyse du patient • Limites : attitude calme et bienveillante indispensable Technique de focalisation • Centrer l’échange sur une problématique • Avantage : accompagner le patient au nœud du symptôme ou de la problématique • Limites : absence de mode défensif indispensable Technique de la confrontation • Rend compte de certains éléments du discours ou du comportement que le patient ne semble pas avoir perçu • Avantages : rendre compte de sentiments contradictoires, de l’ambivalence, ou du déni • Utilisation : choix des mots et du ton important sinon risque de « bloquer » la communication • Limites : nécessite une capacité d’aider importante Technique du silence • Consiste à ne pas interrompre les propos ou l’expression d’une émotion du patient. • Avantage : confort et soulagement pour le patient, il peut être lui même simplement. • Utilisation : la pause douloureuse ou après l’expression d’un sentiment ; le silence entre deux thèmes : lors d’une découverte ou après une découverte. • Limite : le silence n’est pas le mutisme. Le concept d’écoute active de Carl Rogers • C’est s’intéresser aux mots : « au dit » oui mais pas seulement ! • S'intéresser « au non dit », aux sons, aux mimiques, aux gestes, aux postures, aux silences • https://www.dropbox.com/s/fanblc9fhm8k54h/CM5%20Diapo%20n %C2%B015.mp4 L’entretien infirmier ce n’est pas • Une conversation : même si elle est utilisée parfois en phase inaugurale • Une discussion : qui a le caractère d’être passionnelle ou affectivée • Un interview : au sens journalistique du terme car il s’agit dans ce cadre de faire parler l’autre sur lui-même ou sur un thème donné • L’interrogatoire : l’interrogé est forcément en position d’infériorité et les questions visent à des vérifications La Relation thérapeutique Outils d’analyse de situation et de décision Les mécanismes de défenses • ACTIVISME : Les conflits psychiques et ou les situations traumatiques ne sont pas réfléchis mais agis. • AFFILIATION : Recherche de soutien lors d’angoisse • CLIVAGE : les émotions empêchent la personne à reconnaître dans un même temps le bon et le mauvais. Risque de désunion d’équipe Les mécanismes de défense • DÉNEGATION : Refus de connaître comme siens, une pensée, un désir, un sentiment qui sont sources de conflit. • DÉNI : action de refuser la réalité d’une perception vécue comme dangereuse ou douloureuse • IDENTIFICATION PROJECTIVE : la personne imagine s’introduire à l’intérieur de l’autre pour se débarrasser de sentiments, de pulsions ressenties comme indésirables. Les mécanismes de défenses • LA PROJECTION : Opération par laquelle le sujet expulse dans le monde extérieur des pensées, affects, désirs qu’il méconnait ou refuse en lui • REFOULEMENT : Rejet dans l’inconscient de représentations conflictuelles qui demeurent actives. • RÉGRESSION : Retour à des modes d’expression antérieurs face à un danger interne ou externe (cas de pratiquement toutes les pathologies somatiques et psychiques) Les mécanismes de défense • RENVERSEMENT DANS LE CONTRAIRE : une pulsion conflictuelle est remplacée par une pulsion opposée • RETOURNEMENT CONTRE SOI-MÊME : refus de sa propre agressivité qu’il détourne d’autrui pour la reporter contre lui même. (besoin de punition… TS …) • SUBLIMATION : Dérivation d’une pulsion sexuelle ou agressive vers des activités valorisées socialement (artistique, intellectuelles …) A retenir • Nous avons chacun nos propres mécanismes de défense. Sans eux nos angoisses nous rendraient la vie impossible. • “Moi, c’est mon flingue.” James Bond CONTRE TRANSFERT ET CONTRE ATTITUDE • Concept désignant les sentiments ressentis vis à vis des patients • Positifs ou négatifs • Possible outil thérapeutique « Dis moi ce que tu génères en moi, je te dirai qui tu es ! » • La contre attitude sera en lien avec le contre-transfert si pas reconnue ou maitrisée elle met à mal la relation car parasitée par nos propres émotions • Mouvement individuel ou collectif (effet de groupe / bouc émissaire ou patient fétiche) Repérage des 7 étapes dans le processus thérapeutique Carl Rogers er 1 stade • Premier stade : la personne ne parle pas d’elle personnellement. Les émotions sont niées, non identifiées, et non exprimées, le patient est très éloigné de ses affects. ème 2 Stade • Deuxième stade : Le patient parle de lui par l’intermédiaire d’un tiers « D’après ma mère … » ème 3 Stade • Troisième stade : le discours ayant le moi pour objet devient plus facile mais le patient parle encore de ses expériences personnelles comme s’il s’agissait d’objets. Les émotions sont de plus en plus exprimées et se rapportent au passé. ème 4 Stade • Quatrième stade : « je me rends bien compte que personne n’est responsable de ce que je ressens, il s’agit de moi, ça me rend fou … » les sentiments sont exprimés mais mis a distance par l’effraie. ème 5 Stade • Cinquième stade : Liberté plus grande, le « moi » est exprimé. « je ressens … » ème 6 Stade • Sixième stade : « je me rends compte » à ce stade le patient ne considère plus son problème extérieur à lui même. Le patient vit dans l’ici et maintenant, dans l’acceptation. ème 7 Stade • Septième stade : La personne raconte ce qu’elle vit avec une clarté des sentiments. L’éthique er 1 Pilier de l’éthique : L’autonomie • Le respect de l’autonomie du patient. L’autonomie désigne la capacité de penser, de décider et d’agir librement de sa propre initiative • Autonomie de volonté (je veux) • Autonomie d’action (je peux) • Autonomie de penser (je pense) ème 2 Pilier : La bienfaisance • La bienfaisance : C’est la promotion de ce qui est le plus avantageux pour le patient. Le principe moral général de faire du bien aux autres est mis à l’avantplan du fait qu’il s’agit d’une relation professionnelle attentionnée. • Au préalable définir ce qui est le plus avantageux : expliciter les divergences (pas de jugement) ème 3 Pilier La non-malveillance • La non-malveillance : Éviter de causer un préjudice. ème 4 pilier : La justice • La justice : Les ressources sont limitées; vous ne pouvez guérir tous les patients et ainsi il faut établir des priorités Le cadre de soin • • • • Le cadre doit être adapté et adaptable Le cadre doit avoir du sens Le cadre doit pouvoir s’assouplir pour absorber les tensions. L’assouplissement n’est pas du laxisme, il est un choix partagé Les différents leviers de la prise en soin relationnelle Observation Faits cliniques Histoire de vie Evaluation cognitive clinique comportementale = compétences du patient Analyse Aide à la décision d’actions Mécanismes de défenses du patient Code de déontologie Temporalité Mécanismes de défenses du soignant Ethique Le soclecare Lois Institution Evaluation Communication = Compétences relationnelles = Cadre de soin Actions = Le care LA TEMPORALITE • Pivot du soin • Le soin doit s’incarner et se co-construire autour d’une temporalité avec et en accord avec le patient. • Permet une conservation d’une structuration psychique chez une personne à l’hôpital ou en institution LE SOCLECARE • Issu du Groupe de Recherche en Soins Infirmiers (GRSI) • Il s’agit de l’étude de ces « petits riens » soignants du quotidien qui recèlent être les meilleurs médiateurs de la relation de soin. • Ces actes infirmiers dit informels permettent de construire une ambiance qui permet au patient de prêter sa confiance au soignant « PORTER » • Soutenir • Accompagner : marcher à coté • Informer (Contrainte /Acceptation/Consentement/Assentiment) • Soutenir : sécurisation, apaisement • Positiver toute avancée • Alimenter le narcissisme • Mobiliser les compétences du patient (co-construction du soin) SUPPLÉER • Compenser et maintenir les capacités adaptatives. • Expliciter / faire mémoriser et remémoriser : utiliser la reformulation … et faire reformuler • Structurer : organisation du temps et de l’espace • Maintenir les acquis et les liens AMORTIR • Apaiser : accueillir les tensions • Mettre en dérivation : orienter la charge pulsionnelle vers un lieu propice ou une activité • Hypostimuler : pare-excitation • « Border » : contenir dans le dialogue • Réguler : la négociation CONTENIR • Accueillir les contenus psychiques : fonction de dépôt, recevoir les expressions de souffrance • Canaliser • Désamorcer • Tierciser DW SE RENDRE DISPONIBLE • Garantir une disponibilité • Se montrer ouvert à la relation • Instaurer des espaces de transitions. MAINTENIR UNE VEILLANCE • Utiliser le thermomètre « d’ambiance » • Repérer les prodromes et détecter le caractère habituel. • Ne pas déléguer plus tard ce qu’il faut soigner maintenant. • Maintenir une permanence PROPOSER UN DECALAGE • Humour • Jouer la situation • Actionner sa créativité • Eduquer au soin • Promouvoir l’historisation. Exemples et discussions • Agressivité : elle ne nous est pas directement destinée. • Revendication : dissocier le discours de la revendication du contenu que vous communiquer et se centrer sur ce dernier. • Supériorité : éviter de monter en symétrie ; écouter intensément sans prendre position, ni contre argumenter. • Plainte : reformuler / Favoriser l’expression des émotions présentes • Mauvaise foi et déni : Identifier les problèmes de fond et le traiter rapidement / demander à la personne si elle est prête à écouter nos explications • Généralisation : identifier les points d’accord et les mettre en évidence / clarifier, rappeler les règles implicites ou explicites. • Exagération : clarifier, rappeler les responsabilités de chacun / Rappeler les conséquences possibles, sans menacer. • Humour : accepter que nous ne soyons pas là pour changer l’autre. • Test / provocation : prendre soin de soi après l’interaction. (débriefing …) Identification des facteurs • La diversité culturelle, sociale des soignés que l’on retrouve tel un miroir chez les soignants • Le patient qui n’ose exprimer ses besoins • Incompréhension de la demande formulée • Préjugés et représentations qui parasitent la rencontre • Faire porter la responsabilité à autrui plutôt que d’en rechercher les causes profondes qui pourraient parfois remettre l’organisation du travail en question, voire nous-mêmes. • Le travail en relation d’aide déstructure l’équilibre psychique Merci !