Poster de la controverse - Agropolis

... piégé par l'offre des IAA ?
•La jungle des marques et des labels –tous
soumis à une législation : repères pour le
consommateur ou risques de désorientation
s'ils sont trop nombreux ?
•Apparition de nouveaux produits à allégation
santé tel Actimel de Danone, riche en L-caséi
défensis (bactérie renforçant les défenses
immunitaires) ou autres produits enrichis en
Oméga 3. Sont-ils aussi bénéfiques que le
prétendent les publicités ?
Le consommateur ...
... àla recherche de repères ?
•Attentes : qualité nutritionnelle des aliments, produits sains, apportant plaisir, bien-
être, tout en respectant l'environnement.
•Contraintes : prix, temps, situation géographique, milieu social et niveau
d'éducation.
... dépassé par le flot
d'informations ?
•Nutritionnistes : repères nutritionnels (ANC:
Apports Nutritionnels Conseillés) mais désaccords
sur les moyens de communication : Que dire ?
Comment communiquer ?
•État : Le PNNS,un outil de communication
fondé sur les
recommandations des
nutritionnistes.
Objectifs :
diagnostiquer, éduquer, informer => Retravailler
les outils de communication pour cibler les
populations défavorisées.
•Faiseurs d'opinion : sur la scène politique
(José Bové et sa lutte contre la malbouffe et la
mondialisation), en gastronomie (Jean-Pierre
Coffe), au sein des médias (presse féminine,
émissions spécialisées ...).
Pour votre santé, ne mangez pas trop gras, pas trop sucré, pas trop salé
CARAQUIN Céline –Du LUART Charlotte –GALZIN Marion –MACKOWIAK Sophie –MANDATO Sandra
La « malbouffe », terme créé par Stella et Joël de Rosnay en 1981, est le nom péjoratif que
donnent entre autres les écologistes et les alter mondialistes à un certain type d'alimentation avec un
goût standardisé et participant à un déséquilibre nutritionnel. Cependant, le sens du mot a été étendu
àune critique plus globale, dénonçant aussi le modèle productiviste et la société de consommation.
Les positions de chacun des acteurs se rejoignent sur un même plan : le domaine politique. C’est à
l’Etat d’exploiter d’autres pistes pour informer,responsabiliser et interdire.
Quelle attitude imposer aux entreprises ? Comment améliorer la lisibilité des étiquettes ? Faut-il
éduquer les enfants à l’école dès le plus jeune âge ou ce rôle revient-il aux parents ?
La complexité du problème ne permet pas d’aboutir à une résolution instantanée. Il s’agit alors de
trouver un compromis entre tous les acteurs.
La MALBOUFFE
à toutes les sauces