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D- présentent des similitudes de séquences.
E- codent des protéines identiques.
F- sont toujours sur le même chromosome.
27. Un avantage sélectif peut conférer aux individus qui le possèdent :
A- à coup sûr, un pourcentage de descendants plus élevé.
B- une plus grande probabilité d’atteindre la maturité sexuelle.
C- une meilleure survie face à certains facteurs du milieu.
D- une probabilité plus faible de se reproduire.
28. La sélection naturelle :
A- va favoriser certains génotypes.
B- va diminuer le pourcentage de génotypes qui présentent un avantage sélectif.
C- n’a pas de conséquence sur l’évolution des populations.
D- contribue à la propagation d’une innovation génétique.
E- peut diminuer ou augmenter la fréquence de certains allèles en fonction des conditions de
l’environnement.
29. Les mutations des gènes de développement :
A- peuvent entraîner des changements morphologiques d’organisation de grande ampleur.
B- n’interviennent pas sur la chronologie relative du développement.
C- sont à l’origine du plan d’organisation commun à tous les Vertébrés.
D- peuvent provoquer un retard dans le développement embryonnaire d’une structure morphologique.
E- peuvent être neutres.
30. Soit une maladie déterminée par un allèle récessif situé sur le chromosome X. Une femme malade a
un enfant avec un homme non malade. On exclura les cas où les enfants sont affectés d’une
anomalie chromosomique. Le couple peut donner naissance à :
A- un garçon non malade.
B- une fille non malade.
C- un garçon atteint de la maladie envisagée.
D- une fille atteinte de la maladie envisagée.
E- ceux ayant hérité du X de la mère ne seront pas forcément malades.
F- ceux ayant hérité du Y du père sont des garçons forcément malades.
31. Si l’on effectue un croisement hypothétique entre deux individus de races pures ne différant que par
un seul caractère:
A- le phénotype de la première génération (F1) est homogène.
B- la F1 comporte 50% d’individus au génotype dominant.
C- la F1 est hétérozygote pour ce caractère.
D- la F1 comporte 25% d’individus au phénotype dominant, et 75% d’individus au phénotype récessif.
E- la F1 comporte 75% d’individus au phénotype dominant, et 25% d’individus au phénotype récessif.
32. La transmission des caractères liés est généralement entachée d’un nombre fixe d’exceptions.
Ainsi, si l’on réalise un croisement entre une drosophile mâle homozygote noire aux ailes vestigiales
(nv//nv) et une femelle hétérozygote grise aux ailes longues (GL//nv), ce croisement donne
toujours les résultats suivants : 41,5 % [GL], 41,5% [nv], 8,5% [Gv], 8,5% [nL].
A- si les gènes étaient indépendants, on aurait obtenu les proportions 25%, 25%, 25%, 25%.
B- si les gènes étaient indépendants, on aurait obtenu les proportions 50% [GL], 50% [nv].
C- si les gènes étaient totalement liés, les proportions seraient 25%, 25%, 25%, 25%.
D- si les gènes étaient liés et sans crossing over, on aurait obtenu les proportions 50% [GL], 50% [nv].
E- si les gènes étaient indépendants, on aurait obtenu quatre phénotypes non équiprobables.
33. Les allèles d’un gène :
A- ne diffèrent que par une seule paire de bases chez l’homozygote.
B- occupent toujours le même locus sur un chromosome donné.
C- se séparent lors de la première et de la deuxième anaphase de méiose.
D- sont réunis lors de la fécondation.