SPEPS

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Les Assises du Médicament - Séance du 8 avril 2011
Le SPEPS, en quelques données…
49 adhérents
270 publications traditionnelles (print) (30 millions d’exemplaires diffusés / an)
141 publications en ligne
Edition d’ouvrages scientifiques (2 millions d’exemplaires diffusés / an )
Populations cibles : des médecins aux cadres de santé en passant par les
chirurgiens-dentistes, les pharmaciens, les sages-femmes, les infirmiers…
Des positionnements variés :
- presse d’information
- presse de formation initiale et/ou continue
- presse scientifique
Un financement reposant sur les abonnements et la publicité
Les Assises du Médicament - Séance du 8 avril 2011
Utilité de la presse
Enquête CSD février 2009 : Pour réactualiser vos
connaissances, dites-moi si vous jugez indispensable, très
utile, plutôt utile, plutôt pas utile ou pas du tout utile ?
100%
11%
25%
19%
9%
14%
Indispensable
24%
Très utile
80%
20%
30%
60%
39%
47%
Plutôt utile
46%
40%
40%
37%
Plutôt pas utile
20%
34%
29%
20%
0%
3%
1%
La presse
médicale
5%
La visite médicale
19%
19%
5%
1%
Les réunions de
formation
3%
Les congrès
Pas du tout utile
8%
Internet
Résultats auprès des MG mais %
comparables chez les spécialistes et les
pharmaciens
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Fonctions de la presse
Enquête CSD février 2009 : Pour chacune des fonctions
suivantes que peut remplir la presse médicale, dites-moi si
vous la jugez pour vous très utile, plutôt utile ou plutôt pas,
pas du tout utile ….
100%
Très utile
80%
40%
37%
64%
Plutôt utile
60%
40%
54%
20%
31%
0%
2%
2%
4%
2%
Pour suivre l’actualité
professionnelle et médicale
Pour faire le point sur les
nouveaux médicaments
Plutôt pas utile
53%
Pas du tout utile
9%
1%
Pour répondre aux besoins de
formation médicale continue
Résultats auprès des médecins
spécialistes mais % comparables chez
les généralistes et les pharmaciens
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La publicité dans la presse
Un marché publicitaire qui a connu une croissance soutenue de 1975 à 2000
Une récession majeure depuis 2001. Exemple : dans la presse dite généraliste,
une récession de plus de 70%
Volumes 2010 (en valeur nette)
presse dite généraliste : 22M€
dont environ 90% dans un quotidien et trois hebdomadaires
presse médecins spécialistes : 22M€
presse pharmaceutique : 13M€
Total des investissements publicitaires 2010 : 57M€
≈3% des investissements promotionnels
Avec la récession publicitaire, il n’existe plus de modèle économiquement
viable sans une part très significative de recettes d’abonnement
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Des activités très encadrées
Par l’Afssaps : commission de la publicité qui exerce un contrôle a posteriori
sur l’ensemble des publications, à la fois sur les publicités et les publirédactionnels mais aussi sur les numéros spéciaux.
Par une commission de suivi Union des Annonceurs – SPEPS chargée
d’identifier tout manquement au Code de bonnes pratiques en matière de
publicité signé entre l’UDA et le SPEPS
Par un règlement intérieur du SPEPS (adopté en novembre 2010), encadrant
très strictement les pratiques en matière de publicité. Règlement opposable à
chacun des adhérents. Sanctions allant jusqu’à l’exclusion du Syndicat en cas de
manquement grave, potentiellement préjudiciable à l’ensemble des éditeurs.
Les Assises du Médicament - Séance du 8 avril 2011
Des convictions
La publicité : elle fait partie intégrante du modèle économique des médias.
Mais elle doit être très strictement encadrée.
Son interdiction est une utopie à l’heure d’Internet
Son interdiction serait le meilleur moyen de perdre le contrôle sur
l’indépendance éditoriale des publications.
La diffusion payante : elle assure l’indépendance du média
Elle est contraignante pour l’éditeur
Elle est source de légitimité
Elle est désormais indispensable à la viabilité économique
La crise actuelle : elle doit être mise à profit pour assurer
Davantage de qualité,
Davantage de transparence
Davantage d’indépendance
Les Assises du Médicament - Séance du 8 avril 2011
Des engagements
Défendre la liberté de la presse et les missions de nos publications, aussi bien
en termes d’information que de formation.
Renforcer le respect des bonnes pratiques en matière de publicité
Inciter les éditeurs adhérents à diffuser les informations produites par les
autorités sanitaires, et notamment l’Afssaps et la HAS.
Valoriser la presse scientifique et de formation continue en tant qu’outil du
DPC, en définissant des critères précis d’éligibilité (articles de fond, bibliographie,
comité éditorial, comité de lecture, gestion des conflits d’intérêt…)
Participer à chaque groupe de travail qui pourrait se mettre en place (HAS par
exemple) et visant à renforcer la qualité de la presse professionnelle
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