iii
Remerciements
« Nous n’avons point d’espoir de sortir par nous-mêmes de notre ignorance. Mais,
comme l’argile qui, pétrie par les doigts experts d’un potier ou d’un sculpteur devient vase ou
objet d’art, nous recevons des uns et des autres et transformons notre ignorance en savoir. »
Saint Exupéry
Par cette belle pensée, je tiens à exprimer ma profonde gratitude à mon directeur de
thèse, le Professeur Gabriel Mugny, pour ses conseils, son entière disponibilité et pour
m’avoir laissé une grande autonomie par rapport à l’approche et au développement de ce
travail.
Toute ma reconnaissance va aussi à Alain Quiamzade qui m’a donné la première
opportunité de me familiariser avec la recherche après un travail de diplôme réalisé sous son
encadrement.
Mes remerciements vont aussi à l’endroit des autres collègues de Psychologie Sociale
pour m’avoir soutenu durant toutes ces années. Plus que l’ambition et la confiance en soi qui
m’ont fait souvent défaut sur ce cheminement, c’est le travail dans une ambiance chaleureuse
et décontractée qui a constitué le meilleur remède contre mes états d’âme du thésard que je
suis et l’angoisse de la page blanche. Ce faisant et ce disant, je tiens à dire merci à Juan-
Manuel Falomir-Pichastor, Elodie Baerlocher, Fabrice Buschini et à Erika Hoffman, cette
femme au cœur grand comme un baobab africain sous lequel on trouve du réconfort. Un
merci particulier à Leila Selimbegović et à Fabrice Gabarrot, pour leur aide statistique, mais
aussi à Roxane Pizzo, ma confidente et amie de l’unité de psychologie clinique et
neuropsychologie de l’enfant, pour avoir été à mes côtés dans mes moments de déprime mais
aussi mes moments de joie.
Merci aussi à tous les élèves et étudiants qui ont accepté de participer à mes
recherches.
Enfin, à toute ma famille d’Ici qui a dû faire face à mes peines et mes angoisses du
quotidien, et d’Ailleurs dont la présence dans ma vie me permet de supporter les coups de la
vie. Un merci particulier à mon épouse Léa Konan-Perrozzi pour avoir pris le temps de relire
minutieusement mon manuscrit malgré sa charge de travail.