–la douleur est à son maximum pendant 48h
VI/ Réalimentation
Elle se fait dès la reprise du transit (retour des gaz) ; sur PM :
–information au patient =
perturbation du rôle du réservoir, accélération de l'évacuation gastrique, diminution
ou arrêt des contractions en cas de gastrectomie totale
–repas fractionné, alimentation progressive an quantité et en texture
–alimentation non- irritante (sans fibres), peu concentré en sel et en sucre (osmolarité
peu élevée), hyperprotéique et hypercalorique
–établir une courbe pondérale
VII/ Complications post- opératoires
–h morragieé : se décèle par une hématémèse ou présence de sang dans la
sonde gastrique ou jéjunale
–encombrement bronchique : du à la transposition thoracique de l'estomac qui
gêne l'expansion pulmonaire
–fistule digestive : par désunion des sutures
Complications tardives =
–syndrome du petit estomac : sensation de satiété précoce, de plénitude
gastrique, de ballonnements / conduite tenirà = fractionner les repas
–dumping syndrom : arrivée brutale dans le jéjunum d'aliments non
digérés ; environ 10 minutes après le repas, pendant 20 à 30 minutes =
sensation de plénitude gastrique avec des nausées, des vomissements, une
lipothymie (sueurs / acouphènes / angoisse / troubles visuels / pâleur /
hypotension orthostatique / tachycardie) / conduite tenirà = fractionner les
repas ; décubitus post- prandial +++ ; régime riche en protides et pauvre en
sucres rapides mais riche en sucres lents
–syndrome de l'anse afférente : stase alimentaire et biliaire dans l'anse
afférente ce qui favorise le développement microbien / clinique = douleur
épigastrique ou de l'hypocondre droit à type de colique, calmée par les
vomissements / conduite tenirà = régulateurs de la motricité digestive pour
augmenter le péristaltisme ; antibiotiques ; nouvelle intervention
–hypoglycémie post- prandiale tardive : environ 2h après les repas / signes =
hypoglycémie, sueurs, malaise / conduite tenir à= régime pauvre en sucres
rapides et riche en sucres lents
–dénutrition, amaigrissement
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