Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009 Taxe carbone

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Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
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Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement
Communiqué de presse - vendredi 4 septembre 2009
Taxe carbone : Lettre ouverte au Président de la République
Monsieur le Président de la République,
Vous avez décidé de soutenir la création d’une contribution climat énergie qui
représente un engagement important du Pacte écologique de Nicolas Hulot et du
Grenelle de l’environnement. A ce titre, je vous en remercie.
Toutefois, au nom de France Nature Environnement, fédération de 3000 associations
environnementales et actrice centrale du Grenelle de l’environnement, j’ai l’honneur de
vous demander d’aller au bout de votre démarche, de ne pas vous arrêter en chemin et
de ne pas manquer cette occasion historique de contribuer à ce que la France entre
dans le monde de l’après pétrole.
Vous le savez, le débat sur l’impôt a toujours été, dans notre République, un débat sur
l’avenir que nous voulons pour la société. Cela signifie très concrètement qu’il est
aujourd’hui indispensable de créer, non pas une demi-mesure qui sera un simple
variable d’ajustement de notre fiscalité mais d’engager une révolution fiscale.
Or, une révolution ne se fait pas à moitié. A moins de cent jours de la Conférence de
Copenhague, dont l’issue est très incertaine, le passage d’une société de consommation
insatiable en énergie à celle de l’après-pétrole, nécessairement plus sobre, doit
commencer aujourd’hui.
A la veille d’une crise climatique sans précédent et alors que le monde est bien au bord
du gouffre, des décisions courageuses s’imposent. Parmi ces décisions figure
notamment la création d’une contribution climat énergie qui est, non pas le contraire,
mais la condition absolue d’une justice sociale et environnementale. Le pire serait de ne
rien faire. Dans ce cas, les plus faibles subiront une double peine économique et
écologique.
De ce point de vue, la manière dont le Gouvernement construit ce nouvel instrument au
fil de déclarations politiques n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Pour France Nature
Environnement, la Contribution Climat Energie doit permettre une baisse générale de
notre consommation d’énergie, y compris électrique et nucléaire. Cela signifie un taux
de départ d’au moins 32 euros pour le poids carbone. Cela signifie une croissance
progressive et programmée de ce taux, qui permettra à tous d’anticiper la hausse des
prix et de modifier ses habitudes en conséquence. Cela signifie également une
utilisation des recettes équitable permettant un progrès social autant
qu’environnemental. Enfin, cette contribution n’est que l’un des 273 engagements du
Grenelle de l’environnement qui sont autant de mesures d’accompagnement : il est
temps de les concrétiser toutes.
Monsieur le Président de la République, vous êtes à l’heure de la décision, face à un
choix d’une extrême importance pour l’avenir. La démagogie et les corporatismes qui
s’expriment aujourd’hui ne seront plus là demain pour mesurer les conséquences de
leurs déclarations qui oublient les générations futures.
Il faut donc en finir avec la politique du « et moi et moi et moi ». Nos concitoyens sont
prêts à l’entendre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute
et respectueuse considération.
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