Intégration de la durabilité dans la
prise de décisions en milieu
gouvernemental
Le Canada peut faire (beaucoup) mieux que cela :
Nous sommes au 14erang des plus importants
émetteurs de dioxyde de carbone par habitant
au monde.
Notre utilisation de fertilisants agricoles
commerciaux, d’herbicides et de fongicides est
en hausse.
Le Conference Board du Canada affirme que
c’est au Canada, plus que tout autre pays au
monde, qu’on produit le plus de déchets par
habitant.
Nous sommes au 2erang des plus importants
consommateurs d’eau par habitant.
Notre perte nette de zones forestières se chiffre
à 0,02 % (taux de déforestation).
Pourquoi s’en préoccuper?
Pourquoi s’en préoccuper?
(suite)
«Selon les plus récentes projections
d’Environnement Canada, le Canada
ne sera probablement pas en mesure
de respecter [son] engagement [de
réduire ses émissions de gaz à effet de
serre]. […] Si le Canada n’honore pas
ses engagements en matière de
changements climatiques, il ne peut
pas s’attendre à ce que d’autres pays
honorent les leurs. » (Gelfand, 2014).
«L’insuffisance des informations sur les
risques environnementaux réduit la
capacité du gouvernement d’éviter ou de
réduire ces risques au minimum. Même si
ces risques sont considérés au départ
comme étant environnementaux un
écosystème détérioré ou un déversement
de pétrole ils entraînent presque
toujours des coûts économiques
et sociaux. » (Gelfand, 2014)
Pourquoi s’en préoccuper?
(suite)
Exemple : Les coûts des changements
climatiques
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