Cette fameuse découverte arrivait pile poil à un moment où la recherche piétinait dans
ce domaine (ça n’a pas changé depuis). Le problème, évidemment, est que ces produits
tuent autant de cellules saines que de cellules cancéreuses et, en particulier, les cellules à
reproduction rapide, c’est-à-dire le sang. C’est ainsi que ce traitement est capable de mettre
dans un état déplorable n’importe quelle personne en pleine santé.
Soigner avec du poison ?
L’utilisation des poisons mortels en médecine ne date pas d’hier.
Dans son ouvrage Cancer: médecine traditionnelle et médecine alternative, Jane Heimlich
rappelle que, tout au long du XIXe siècle, l’on a prescrit un remède a base de mercure appelée
Calomel, et ceci pour soigner à peu près toutes les maladies. Ce traitement administré au long
cours était souvent fatal. L’on recommandait 5 à 10 grains à prendre la nuit. Soit environ 320
à 640 mg de chlorate de mercure. Des études menées en 1984 précisèrent que 500 mg de ce
sel pouvait entraîner la mort. Donc, pendant près d’un siècle, les médecins ont allègrement
«exécuté» leurs malades par empoisonnement, sans trop se poser de questions.
Les choses n’ont guère changé depuis, la chimiothérapie et autres drogues homologuées
ont juste pris le relais.
75% des médecins refusent la chimiothérapie pour eux-mêmes
Un grand manque de confiance parmi les médecins.
Une fois les questionnaires étudiés, il en ressort que trois docteurs sur quatre (75 %) refusent
toute chimiothérapie sur eux-mêmes en cas de cancer pour la simple et bonne raison de son
inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur l’ensemble de l’organisme humain.
Tiens donc, 75% des médecins refuseraient la chimiothérapie ?
Donc 75% des médecins SAVENT que la chimiothérapie et la plupart des traitements
allopathiques hyper-agressifs contre le cancer et promus par Big Pharma TUENT plus qu’ils
ne guérissent.
Un ami médecin est entré un jour dans une salle où dix-huit personnes alitées se faisaient
perfuser un cocktail chimio. Il fut pris à la gorge et resta aphone pendant deux jours. Il y a de
quoi s’inquiéter pour le personnel soignant.
Une personne m’a raconté après avoir reçu une chimio que l’infirmière lui avait dit pendant la
perf: «Il ne faut pas qu’une seule goutte du produit sorte de la seringue, car les vapeurs
attaquent les bronches et cela laisserait une marque indélébile sur votre peau». Lorsque
l’on pense que c’est cela qui est diffusé dans les veines, ça fait froid dans le dos !