De la demande du consommateur à la demande du marché

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DE LA DEMANDE DU
CONSOMMATEUR À LA
DEMANDE DU MARCHÉ
BPREA UCP 5
Janvier 2016
T. Audic
Le marketing en résumé
2
Le marketing en résumé
3




Marketing : étudier et connaître un marché pour le satisfaire et l’influencer
Analyse : études de marchés, d’image, de notoriété, de satisfaction, tests
de produits, benchmarking (étude de la concurrence)…
Planification : conseils et recommandations en stratégie marketing
Mise en œuvre : élaboration de plans marketing, élaboration et
déclinaison du marketing mix
Marketing Mix
4
= Marketing opérationnel = mise en œuvre de la stratégie
Les 4 P :
• Produit
• Prix
• Place
• Promotion
1. Politique de produit
5
A.
Gamme de produit
« On appelle gamme un ensemble de produits liés entre eux du fait qu'ils
fonctionnent de la même manière, s'adressent aux mêmes clients, ou sont
vendus dans les mêmes types de points de vente ou zones de prix » (Kotler
et Dubois, Marketing Management)
1. Politique de produit
6
A.
Gamme de produit
« On appelle gamme un ensemble de produits liés entre eux du fait qu'ils
fonctionnent de la même manière, s'adressent aux mêmes clients, ou sont
vendus dans les mêmes types de points de vente ou zones de prix » (Kotler
et Dubois, Marketing Management)
1. Politique de produit
7
B.
Stratégie de positionnement
1. Politique de produit
8
C.
Cycle de vie du produit
Le produit présente des analogies avec un être vivant.
C'est J. Dean, en 1950, qui a eu l'idée de distinguer 4 grandes phases dans
la vie d'un produit le lancement ou introduction, la croissance, la maturité et
une phase de déclin.
1. Politique de produit
9
D.
Stratégies de marques
« La marque est un nom, un terme, un signe, un symbole, un dessin, un logo ou
toute combinaison de ces éléments servant à identifier les biens ou les services
d'un vendeur et à les différencier de la concurrence. »


Fonctions de la marque
Pour l'entreprise:
Communiquer une image au public, moyen de positionnement
Différencier le produit de la concurrence
Communiquer une image de l'entreprise (sérieux, qualité, prix garantie,...)
Pour le consommateur
Facilite l'identification du produit (surtout en libre service)
Apporte une garantie de qualité (sécurise)
Communique un style de vie, une image (BMW)
1. Politique de produit
10
E.
La qualité
Source d'avantage concurrentiel déterminante dans un contexte économique
difficile
Définition
L'AFNOR (Association française pour la normalisation) définit la
qualité « comme l'ensemble des propriétés et caractéristiques d'un
produit ou d'un service qui lui confèrent l'aptitude à satisfaire des
besoins exprimés ou implicites » (norme NF X 50-120-1987).
Label et signes de qualité :
garantie supplémentaire au consommateur
1. Politique de produit
11
E.
La qualité
Mesure de la qualité




Une notion relative : la satisfaction que l'on retire de l'utilisation d'un
produit est propre à chaque individu
La qualité économique : rapport qualité/prix
La qualité et le consommateur : Le consommateur n'achète pas de la
qualité dans l'absolu, mais la réponse à un besoin et il manifestera
sa satisfaction en renouvelant l'acte d'achat à l'identique = réachat
La qualité et l'entreprise : La démarche qualité consiste à concevoir,
produire et commercialiser le produit qui répond précisément aux
attentes des clients, de façon à éviter une situation de non-conformité
soit par défaut (sous-qualité), soit par excès (sur-qualité).
1. Politique de produit
12
E.
La qualité
Démarche générale




La réduction des coûts : La non-qualité, interne et externe, génère deux
types de coûts supplémentaires : des coûts comptables (rebuts, retour de
livraison, retard,...) et des coûts commerciaux (détérioration d'image,
réclamation, procès, perte de clientèle, de parts de marché). La démarche
qualité est, en ce sens, un des facteurs de gains de productivité.
Le respect de la législation en matière de produit
La réponse aux attentes du marché
En réduisant les défauts, on obtient une meilleure satisfaction des clients
Le renforcement de l'identité de l'entreprise
Ce projet mobilise le personnel à tous les niveaux
1. Politique de produit
13
F.
Conditionnement

Emballage
Fonctions techniques : contenir le produit,
protéger le produit (contre le froid, la lumière, le vol),
assurer une bonne conservation du produit,
faciliter le transport.
Fonctions marketing : alerte (attirer le consommateur),
attribution (identifier le produit ou la marque),
information (mentions légales et complémentaires),
service (faciliter l'utilisation),
positionnement (véhiculer une image).
14
1. Politique de produit
15
F.
Conditionnement
Le contenant: bouteille, boîte, flacon, sac,...
Quel matériau ? (verre , bois, carton, plastique,...),
Quel design ? (rond, carré,...)
Quel format (volume ou poids),
Quel mode d'ouverture et de prise en mains (bouchon, bec verseur,
poignée,...)
Le décor du contenant : première chose que le consommateur voit
Le surconditionnement : pour regrouper plusieurs contenants d'un même
produit
 Protège les emballages lors de leur transport, économies de
manutentions.
 Facilite la vente en grande quantité.
16
17
Tout droit sortis du four !
Une penderie pour sachets de thé
1. Politique de produit
18
F.
Conditionnement

Etiquette

Rôle légal: mentions obligatoires (dénomination de vente, nom du
fabricant, quantité, origine du produit, composition du produit,
traitements subis, date limite de vente pour les produits périssables),
marquage du prix (affichage prix TTC en rayon et vitrine, prix au litre
ou au kg pour les produits de grande consommation)

Rôle dans la gestion du point de vente : suivi des stock (codes barres),
analyse des ventes par article et par rayon, mesure de la démarque
inconnue

Rôle de communication et d'information : informer, promouvoir,
communique le message publicitaire et promotionnel
2. Politique de prix
19
A.
Fixation des prix
1)
2)
3)
4)
5)
6)
7)
Lancement d'un produit nouveau,
Lancement sur un nouveau canal de distribution,
Lancement sur un nouveau marché,
Quand le produit existant franchi une étape dans son cycle de vie,
Quand la concurrence modifie ses prix ou lorsqu'on veut attaquer la
concurrence
Quand les conditions économiques générales changent,
Quand les conditions de fixation du prix de revient du produit se
modifient
2. Politique de prix
20
B - Objectifs de la fixation des prix
1)
Objectif de profit / rentabilité
Objectif de volume de vente / de pénétration
Prix plus bas que celui de la concurrence directe
On veut toucher une part importante du marché pour le conquérir
rapidement
2)
3)
Objectif d’image
2. Politique de prix
21
B - Objectifs de la fixation des prix
4)
Objectif d’écrémage
Prix très élevé et cible (haut pouvoir d'achat) prête à le payer (Mercedes)
Plafond représentatif à la fois de la qualité et de la notoriété
A long terme : avoir un avantage concurrentiel perçu et décisif (innovations)
5)
Objectif de survie
Baisse des prix due à la concurrence
6)
Objectif d’alignement sur la concurrence
7)
Objectif de part de marché
2. Politique de prix
22
C - Facteurs et contraintes lors de la fixation des prix
1) Les mesures contre les pratiques anti-concurrentielles

La lutte contre les ententes et les abus de position dominante

La lutte contre les prix minima à des revendeurs

L'interdiction des pratiques discriminatoires de vente

L'interdiction de prix abusivement bas et de la vente à perte (sauf liquidation)
2) Facteurs économiques

Les contraintes de production (coût de revient) et de commercialisation

Les prix pratiqués sur le marché : concurrence, produits de substitution

Les prix selon les canaux de distribution

Le consommateur : élasticité de la demande/prix, pouvoir d'achat,...

La conjoncture économique

Les groupes sociaux de pression : pression exercée par les unions de
consommateurs reconnues comme groupes à part entier en Europe
2. Politique de prix
23
D – Méthodes de détermination des prix
1)
A partir des coûts
Objectif : prix qui couvre tous les coûts (administration, production, distribution,
communication) et permet de dégager un bénéfice
Prix de vente = coût de revient + marge
2. Politique de prix
D – Méthodes de détermination des prix
24
1)
A partir des coûts
Exemple de la pizza
Coût de revient =
3,2 + 6,56 = 9,76 €
Fixation prix de vente : 12 €/pizza
 Marge de 12 - 9,76 = 2,24 €/pizza
2. Politique de prix
25
D – Méthodes de détermination des prix
1)
A partir des coûts
Les coûts unitaires tendent à
diminuer au fur et à mesure que
le volume de la production
augmente : Loi de Wright (1936)
= effet d’expérience » ou « courbe d’expérience »
« À chaque doublement du volume de production cumulée par une entreprise
bien gérée dans la production d’un bien ou d’un produit clairement identifié, les
coûts de production de ce bien diminuent de 15 à 20 % »
2. Politique de prix
26
D – Méthodes de détermination des prix
2) Prix de vente déterminé par rapport à l'offre
L'entreprise prend en compte le prix pratiqué par la concurrence : c'est le prix
du marché.
La fixation du prix est fonction de :
 la structure du marché (monopolistique, concurrentielle,..)
 la place de l'entreprise sur son marché (leader, suiveur,...),
 la nature du marché (sensibilité plus ou moins forte au prix).
2. Politique de prix
27
D – Méthodes de détermination des prix
3) La fixation des prix par rapport à la demande
Théoriquement, la demande augmente quand le prix baisse : c'est la théorie de
l'élasticité de la demande par rapport aux prix.
2. Politique de prix
28
D – Méthodes de détermination des prix
3) La fixation des prix par rapport à la demande


La notion d’élasticité de la demande mesure en pourcentage l’effet de la
variation de 1% de l’un des paramètres de la demande, du prix ou du revenu
La demande peut être très élastique (e > 1) ou inélastique (e < 1)
Mesure d’élasticités de la demande sur le long terme (INSEE)
source : P.Picard p.81
29
2. Politique de prix
30
E – Stratégie de prix
+ promotions, rabais selon qualité, quantité ou saison
3. Politique de place (distribution)
A – Les différents intermédiaires
31
Le commerce intégré (concentré) : intervention d’une centrale d’achat

Les Grands Magasins (commerce diversifié)

Les Maisons à Succursales Multiples (entreprise unique)

Les discounters et les grandes surfaces

Les magasins d'usine

Les hard discounters
Le commerce associé

Les groupements de grossistes

Les groupements (ou coopératives) de détaillants

Le franchising : accord entre le producteur (franchiseur) et le détaillant (franchisé).
Le commerce indépendant

Les grossistes

Les détaillants indépendants
3. Politique de place (distribution)
32
Les enseignes de la distribution intégrée
Un référencement des producteurs en centrale d’achat
3. Politique de place (distribution)
33
Les enseignes du commerce associé
La possibilité de référencer en local un producteur
http://www.mouvement-leclerc.com/home/alliances-locales
3. Politique de place (distribution)
34
Les enseignes du commerce associé
La possibilité de référencer en local un producteur
3. Politique de place (distribution)
A – Les différents intermédiaires
35



Pouvoir grandissant de la grande distribution

1960 : petit commerce indépendant = 81% des circuits de distribution

2000 : 25%
Essor de la grande distribution et des IAA :

La conservation (appertisation, maîtrise du froid...et plus récemment, la surgélation, le sous-vide
ou les atmosphères contrôlées)

Les transports

La mécanisation (production agricole, préparation des aliments, fabrication des produits finis)
1949 : Edouard Leclerc : 1er grand succès de la grande distribution française

Principe des prix bas (discount)

Elimination des grossistes de la chaîne alimentaire  produits 30 à 200 fois moins chers

Politique de discount légalement reconnue par l’Etat
3. Politique de place (distribution)
B – Canaux de distribution
36


Circuits courts
Avantages
Inconvénients
Avantages
Inconvénients
Circuits longs
3. Politique de place (distribution)
37
C – Le merchandising
« Ensemble des techniques destinées à améliorer la présentation des produits
dans un espace de vente »
Le merchandising consiste à :

Définir l'assortiment qui sera proposé aux clients

Localiser les rayons dans le point de vente

Implanter les produits dans le linéaire

Mettre en place les procédures de contrôle de gestion du linéaire
3. Politique de place (distribution)
38
C – Le merchandising
Selon Bernardo Trujillo (1957), le succès repose sur trois pieds : le libre-service, les prix
bas, le spectacle.
1. No parking, no business
2. Faites du cirque en permanence
3. Empilez haut, mais vendez bas
Selon la règle des 5B des Keppner, il faut proposer :

le Bon produit,

au Bon endroit,

en Bonne quantité,

au Bon moment,

au Bon prix avec la bonne information.
3. Politique de place (distribution)
39
C – Le merchandising
3. Politique de place (distribution)
40
41
3. Politique de place (distribution)
42
43
3. Politique de place (distribution)
44
4. Politique de promotion
45
Moyens de communication
+ site web ou blog, réseaux sociaux
4. Politique de promotion
Révolution de la communication :
46
Du matraquage commercial à la « communication conversationnelle »
47
Spécificités des produits agricoles
48

La différence de qualité

Processus de fabrication
Détailler le processus de fabrication / Savoir-faire à valoriser

Diversité des produits
Produits inhabituels, variétés anciennes, goûts originaux

La transparence
Matières premières locales

Régionalité
Produit local

Niche de produits

Image du producteur

Connaître ses clients
Consommation et consommateurs
49

La part relative de la consommation des biens alimentaires a
beaucoup diminué


Une des causes du déclin relatif de l’agriculture au sein de l’économie
globale
Croissance de la consommation globale proportionnelle à
l’augmentation des revenus

Croissance des dépenses de services

Chute de la part relative des dépenses alimentaires : - 23%

Dépenses de services : + 44%
Consommation et consommateurs
50
Consommation et consommateurs
51

Consommation de vin divisée par 2 en 30 ans (107 à 57 litres /hab /an)

Consommation de tomates : + 70% en 30 ans

Consommation viande de volailles : x2

Consommation produits laitiers : x3

Viande bovine : - 15%
Consommation et consommateurs
52
Consommation et consommateurs
53




Notion d’élasticité-revenu

Variation de la quantité consommée rapportée à la variation du revenu

Ex : Revenu augmente de 10%  consommation d’un produit augmente de 5% 
élasticité-revenu = 0,5

Hausse du revenu  augmente la demande de la plupart des biens mais pas dans les
mêmes proportions
Élasticité-revenu > 1 : la consommation augmente plus vite que le revenu (ex :
produits de luxe et services)
Élasticité-revenu entre 0 et 1 : la consommation augmente avec le revenu mais
moins vite (ex : produits alimentaires ordinaires, vêtements, logement)
Elasticité-revenu < 0 : la consommation diminue lorsque le revenu augmente : ce
sont les biens inférieurs (ex : pomme de terre, vin de table)
Consommation et consommateurs
54

Effet-prix

Tenir compte :



du prix du bien principal
du prix des biens substituts
du prix des biens complémentaires

Le prix d’un produit augmente  report des consommateurs
sur un produit substitut (si le prix du bœuf augmente, on
achètera davantage de porc ou volaille)

Consommation bien principal et bien complémentaire
corrélée (voiture et carburant)
Consommation et consommateurs
55

Changement des goûts et des modes de consommation







Préoccupation santé : moins de produits traditionnels riches en graisses,
plus de produits diététiques
De plus en plus de produits élaborés
Développement de l’alimentation rapide consommée à l’extérieur (fast
food, viennoiserie, sandwicherie)
Déstructuration sociale de la consommation drainée vers une prise
individuelle et anarchique des aliments
Américanisation des goûts
Transnationalisation de la consommation de produits exotiques
2 courants : « produits services » modernes prêt à l’emploi / « produits
authentiques » ou régionaux avec empreinte artisanale
56
Consommation et consommateurs
57

Risques alimentaires : une nouvelle donne

Crises alimentaires des années 90
 Confiance des consommateurs ébranlée
 Tous les maillons de la chaîne alimentaire impactés

Veau aux hormones, dioxines dans les poulets, listeria dans les fromages,
ESB, e. coli dans les concombres, OGM

Vogue des produits de qualité
Des études marketing : quel intérêt ?
58






Analyser et estimer votre marché
Comprendre et satisfaire les attentes de vos clients
Suivre et contrôler votre position parmi vos
concurrents
Evaluer l’efficacité de votre communication
Nécessitent ressources importantes
« Une étude coûte toujours moins cher qu’une
mauvaise décision ! »
Des études marketing : quel intérêt ?
59

Le marché agricole est en constante évolution

Diagnostic SWOT facile à réaliser
60

le marché agricole est en constante évolution

Diagnostic SWOT
4 points clés pour une étude de marché
efficace
61
1. Vérifier l’adéquation entre le projet et le porteur
de projet


Aspect humain au cœur de votre projet
Origine de votre projet, objectifs fixés et moyens à déployer à
intégrer à l’étude prévisionnelle
4 points clés pour une étude de marché
efficace
62
2. Connaître et respecter les fondamentaux d’une étude de
marché
Toujours les mêmes questions :




Quel est mon marché ? Quelles sont ses caractéristiques ?
Qui sont mes partenaires ? Mes concurrents ? Mes clients ? Mes
fournisseurs ?
Quelle offre dois-je mettre en place ? Quel positionnement dois-je
adopter face à mes concurrents ?
Quelle est la faisabilité de mon projet ? Est-il viable ?
63
64
3. La méthodologie, clé de l’organisation
Outil simple « Q.Q.C.O.Q.P. »
(Quoi ? Qui ? Comment ? Où ? Quand ? Pourquoi ?)



Technique de l’entonnoir : partir des informations générales
pour aller vers des informations de plus en plus spécifiques et
techniques
Etape importante : formuler des hypothèses
4. Trouver et sélectionner les informations
65

Etape de vérification des hypothèses

Phase de collecte d’informations

Plusieurs outils :


l’enquête terrain : qualitative (sur un petit nombre de personnes, collectez des informations
précises) ou quantitative (menez une enquête sur un nombre de personnes important).
L’enquête peut être réalisée par téléphone, en face à face, par mail, par formulaire
Internet ou encore en réunion de groupe.

la presse : généraliste et spécialisée

la presse locale pour vous tenir informé du tissu économique local

les fédérations et les syndicats professionnels

les centres de gestion agréés

les annuaires et fichiers d’entreprises

les salons professionnels (dont les dates et les lieux sont recensés sur le site
http://www.salons-online.com, entre autres)

le site de l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques,
http://www.insee.fr) vous fournira de nombreuses statistiques ainsi que des répertoires

l’outil Google Alertes vous permettra de vous maintenir en état de veille informationnelle,
grâce à l’utilisation de mots-clés
Faire le tri des informations les plus pertinentes
Etudes prévisionnelles
66

Investissements prévus

Moyens de financement

Remboursement des emprunts

CA prévisionnel

Charges prévisionnelles

Produits prévus

Compte de résultat prévisionnel
Etudes prévisionnelles
67

Prévoir risques

Mesurer son besoin de financement

Calculer le seuil de rentabilité
Période à partir de laquelle l’entreprise commencera à
couvrir ses couts fixes.
68
MERCI DE VOTRE
ATTENTION !
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