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- Mendel a commencé à étudier l’hérédité avec les pois intéressants car nombreuses
variétés qui amènent différents caractères : ex → fleurs violettes/ blanches
pois ridés/ ronds
- Il prenait 1 caractère de 2 variétés et les croisait → hybridation
Génération P = parents (croisement de lignée pure)
Génération F1= première génération
Génération F2= croisement des individus de la génération F1
Fig 14.1
- Il a lancé 4 hypothèses :
1) Les variations de caractères génétiques s’expliquent par les allèles différents
que les gènes peuvent avoir.
- variation dans l’information contenue dans un locus, fig. 14.3
2) Tout organisme hérite de deux allèles de chaque caractère, soit un du père et un
de la mère.
3) Si les deux allèles d’un gène sont différents, l’allèle dominant s’exprime
pleinement et marque l’apparence de l’organisme alors que l’allèle récessif n’a pas
d’effet notable.
À noter l’allèle dominant n’empêche pas l’expression de l’allèle récessif au
niveau de l’ADN
→ La dominance d’un allèle n’a aucun lien avec sa quantité dans la
population.
4) Il y a ségrégation des deux allèles de chaque caractère au cours de la formation
des gamètes → loi mendélienne de la ségrégation (1ère loi de Mendel).
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Grille de Punnet:
Génération F1 :
V V
v V v V v
v V v V v
Fleurs violettes
Fleurs
blanches
100% fleurs violettes
Génération F2 :
V v
V V V V v
v V v v v
Fleurs violettes
Fleurs
violettes
75% fleurs violettes, 25% fleurs blanches
- Homozygote : Paire d’allèles identiques → Ex. VV, vv
Hétérozygote : Paire d’allèles différents → Ex. Vv
- Génotype : Constitution allélique
Phénotype : Apparence externe → Phénotype = génotype + environnement
Ex : la morphologie des feuilles d’un chêne p/r à son exposition au soleil
On peut donc calculer un rapport génotypique et un rapport phénotypique.
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Question 1
On croise une fleur violette avec une fleur blanche. Pouvez-vous déterminer le génotype
de la fleur violette à partir des résultats suivants :
50% fleurs blanches; 50% fleurs violettes?
Quel est le rapport génotypique des descendants?
- Cet exercice est considéré comme un test de contrôle (ou croisement de contrôle). Ce
type de test résulte donc en un croisement entre un homozygote récessif et un individu
ayant un phénotype dominant, mais un génotype inconnu.
Question 2
Chez le cochon d’inde, la coloration noir du pelage est dominante par rapport à blanc. Un
individu noir de souche pure est croisé avec un individu blanc. Les individus de la
première génération sont ensuite croisés entre eux. Quelle est la probabilité qu’un
individu noir issu de cette union soit hétérozygote?
- La loi de l’assortiment indépendant des caractères ( 2e loi de Mendel) se montre dans le
cas de croisements impliquant 2 caractères et dans le cas les 2 caractères sont sur des
paires de chromosomes différents.
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Génération P : Pois jaunes ronds (JJRR) x Pois verts ridés (jjrr)
Génération F1 : Pois jaunes ronds (JjRr)
Génération F2 :
JR Jr jR jr
JR JJRR JJRr JjRR JjRr
Jr JJRr JJrr JjRr Jjrr
jR JjRR JjRr jjRR jjRr
jr JjRr Jjrr jjRr jjrr
Pois jaunes ronds (JjRr)
Pois jaunes
ronds (JjRr)
9/16 jaunes ronds
3/16 jaunes ridés
3/16 verts ronds
1/16 verts ridés
9 :3 :3 :1
Pas toujours aussi simple :
- Dominance incomplète Cas les hétérozygotes ont un phénotype intermédiaire
entre les deux phénotypes homozygotes fig. 14.9
- Codominance Les 2 allèles d’un gène se manifestent entièrement et de manière
indépendante. Ex : globules rouges groupes sanguins M, N ou MN selon la présence
de 2 sortes de protéines membranaires
Donc, IMIM → groupe M
ININ → groupe N
IMIN → groupe MN
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Question 3
Un radis peut être long (SLSL), rond (SRSR) ou ovale (SLSR). Des radis longs sont croisés
avec des radis ovales. Des individus de la génération F1 sont croisés entre eux.
Qu’obtient-on à la génération F2?
- Allèles multiples → Exemple groupes sanguins ABO
3 allèles en jeu : IA (glucide A), IB (glucide B), i (aucun des deux glucides)
6 génotypes possibles : IAIA ou IAi → groupe A
IBIB ou IBi → groupe B
IAIB → groupe AB
ii →groupe O
Transfusion chaque individu possède des anticorps pour un glucide en
particulier soit A ou B. fig 14.10
- Pléitropie Lorsqu’un gène peut influencer plusieurs caractères phénotypiques à la
fois. Exemple : Chez les tigres, le même allèle provoque une pigmentation anormale et
le strabisme.
- Épistasie → Lorsqu’un gène sur un locus donné agit sur l’expression phénotypique d’un
autre gène situé sur un autre locus. Fig 14.11
Exemple : Souris → noire ou brune selon un gène → noire : NN ou Nn
brune : nn
un autre gène détermine si le pigment ira dans le poil → oui : CC ou Cc
non : cc
Donc, souris noire si _________________________________________
souris brune si _________________________________________
souris blanche si _________________________________________
- Hérédité polygénique Lorsque 2 gènes ou plus exercent un effet cumulatif sur un
même phénotype. Exemple : La couleur de la peau serait régie par au moins 3 gènes
Fig 14.12
- Hérédité humaine → lignage : permet de prédire l’avenir et de retrouver le passé.
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