Indication : L’adresse de la cellule où se trouve la valeur du pas t étant toujours G9, elle ne doit pas varier (on dit qu’elle
a une adresse absolue). Il faut donc l’écrire dans la formule donnant t sous la forme $G$9 et non G9.
colonne B : accélérations az déduites de l'équation différentielle du mouvement.
- la première cellule reçoit la formule a0 = -(k/m).v0 – g
- la deuxième reçoit la formule a1 = -(k/m).v1 – g
- recopier cette formule dans toutes les autres cellules (tirer la poignée dans le coin droit)
Indications : Distinguez bien adresses relatives et absolues de cellules dans ces formules.
colonne C : vitesses vz calculées en admettant que ai = Cte sur t
- la première cellule reçoit la valeur de v0
- la deuxième reçoit la formule v1 = a0. t + v0
- recopier cette formule dans toutes les autres cellules (tirer la poignée dans le coin droit)
colonne D : altitudes z calculées en admettant que ai = Cte sur t
- la première cellule reçoit la valeur de z0
- la deuxième reçoit la formule z1 = 0,5.a0. t2 + v0. t + z0
- recopier cette formule dans toutes les autres cellules (tirer la poignée dans le coin droit)
b) Insertion des graphiques associés.
En utilisant l'assistant graphique (mode nuage de points, affichage des courbes lissées sans points) dessiner successivement les
graphiques représentatifs des variations de az(t) , vz(t) , z(t).
Indication : Pour sélectionner deux colonnes non contiguës, utiliser la touche CTRL.
Placer ces 3 graphiques les uns sous les autres à droite du tableau. Pour que ce graphiques soient lisibles, il faut fixer une échelle
des temps qui soit la même pour tous. Pour ce faire, clic droit sur l’axe des temps du graphique az(t). Choisir « format de l’axe… »
et imposer 20 comme maximum. Faire le même travail pour les deux autres courbes. Pour la courbe z(t), imposer sur l’axe vertical
0 et 1000 comme minimum et maximum.
Constater la présence de deux régimes de chute (régime initial, régime permanent asymptotique) et préciser comment varient
az(t) , vz(t) et z(t) durant ces 2 régimes.
Augmenter la valeur du pas de résolution, observer les courbes. Discuter la pertinence des courbes obtenues et conclure.
Le coefficient de frottement fluide est proportionnel au rayon de la goutte.
Si l'on double le rayon de la goutte, le coefficient k de frottement double aussi.
Comment la vitesse limite varie-t-elle alors ? (Effectuer la simulation en modifiant les données)
Simuler une chute verticale dans le vide.
Vérifier, avec un pas suffisamment petit, que l'on retrouve la solution analytique de l'équation différentielle du mouvement.