
 
 
 
 
6/  Pourquoi,  à  votre  avis,  ne  peut-on  jamais  isoler  la  médiation  linguistique  de  la 
médiation interculturelle ? Donnez un ou deux exemples concrets. 
 
 
 
 
7/  Il  existe  toute  une  série  d’entraves  à  une  communication  efficace  entre  des 
interlocuteurs appartenant à deux communautés linguistiques différentes. En identifiez 
trois, décrivez les plus en détail et surtout en produisez autant d’exemples concrets que 
vous pouvez …  
 
 
 
 
8/  Une  entrave  particulière  à  une  communication  efficace  entre  interlocuteurs 
appartenant à deux communautés linguistiques différentes, est constituée par le temps 
social. De quoi s’agit-il ? Donnez des exemples concrets. 
 
 
 
 
9/ Une autre entrave particulière à une communication efficace est constituée par les 
valeurs, les  affects et les émotions. De quoi  s’agit-il. Essayez d’expliquer d’avantage ce 
point tout en donnant autant d’exemples concrets que possibles. 
 
 
 
 
10/ Quels sont les principaux métiers ou encore compétences professionnelles exigées en 
médiation linguistiques et interculturelles ? 
 
 
 
 
11/  Définissez  les  termes  « interprétation  de  liaison »,  « interprétation  de  relais », 
« interprétation par chuchotage » en utilisant les références disponibles sur Internet telle 
que celle-ci. 
 
 
 
 
12/ Que signifie la notion « community interpreting » ? Imaginez vous une mission de 
« community interpreter » et décrivez-là plus en détail. Elle consisterait en quoi, quelles 
langues  et  cultures  seraient  en  jeu,  qui  seraient  les  principaux  bénéficiaires,  quels 
seraient  le  ou  les  contextes  et  les  « domaines »,  etc.  Inspirez  vous,  pour  cela,  des 
explications de Margareta Bowen de la Georgetown University.