JACKPOT A LA BOURSE
Cette simulation est basée sur deux concepts originaux.
Concept Numéro 1 :
Un accès facilité et ludique aux différents marchés boursiers.
Le joueur pourra se constituer un portefeuille boursier en piochant parmi un « catalogue » de
cent titres boursiers différents (actions, obligations, or) répartis dans les principaux secteurs
de l’économie (industrie, service, finance...) des cinq grandes places boursières (New York,
Tokyo, Londres, Paris et Hong Kong) symbolisant les cinq principaux pôles économiques
mondiaux.
Plutôt que de livrer le joueur à lui-même, nous avons décider de simplifier sa démarche en
lui donnant accès, dans un premier temps, à un nombre limité de titres financiers en lui
évitant de devoir sélectionner ses titres parmi les centaines de milliers qui sont cotés sur
chacune des grandes places boursières. Ensuite suivant le niveau de difficulté choisi, le
joueur aura accès à d’autre type de titres, comme les matières premières.
Chacun des titres réagira de manière différente à l’évolution de l’économie, du pays où il est
coté et de la société qu’il représente.
Concept Numéro 2 :
Des possibilités de progrès infinies avec le langage naturel
C’est la première fois que l’utilisateur d’une telle simulation peut interroger et obtenir les
conseils d’un broker et d’un économiste, en leur posant simplement la question, avec les
mots de tous les jours. Grâce au procédé du « langage naturel » l’utilisateur n’a qu’à taper
une question, comme il l’aurait posée à un conseiller réel, pour qu’il obtienne une véritable
réponse.
Le langage naturel vous permettra de poser de vraies questions et le programme se
chargera de vous fournir une réponse individualisée et précise. Vous pourrez par
exemple demander : « ai-je intérêt à acheter des titres Chrysler? » Le broker
pourra répondre : « Lorsque comme actuellement, la croissance s’accélère, les
constructeurs automobiles sont les premiers à bénéficier d’un surcroît de demande.
Cela fait monter les bénéfices. L’action Chrysler est un bon choix. »
Dans d’autres circonstances il pourra répondre : « lorsque la demande se ralentit,
comme c’est le cas actuellement, les constructeurs automobiles sont les premiers à
subir les effets de la crise. Mieux vaut éviter l’action Chrysler. »
JACKPOT A LA BOURSE