MISE AU POINT
La Lettre du Neurologue - n° 7 - vol. VII - septembre 2003
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L
es mouvements anormaux ne sont pas exceptionnels
chez l’enfant. Leur survenue à cet âge bien particulier,
au cours duquel le cerveau est en plein développement
et en voie de maturation, leur confère certaines caractéristiques
propres, tant du point de vue sémiologique et étiologique qu’en ce
qui concerne leur prise en charge. Certaines de ces particularités
seront discutées et soulignées à l’aide d’exemples.
PHÉNOMÉNOLOGIE DES MOUVEMENTS ANORMAUX
CHEZ L’ENFANT
Tous les types de mouvements anormaux s’observent dans la
population d’âge pédiatrique (tableau I). Fernandez-Alvarez
rapporte que les tics représentent environ 39 % des mouvements
anormaux vus dans un centre de référence pédiatrique (1),contre
seulement 4,7 % dans un centre de référence adulte. Les dystonies
représentent environ un quart des patients adressés à un centre
de référence pédiatrique. Les syndromes akinéto-rigides sont
relativement rares chez l’enfant, alors qu’ils sont fréquents chez
l’adulte. Certains types de mouvements anormaux, rares chez
l’adulte, sont encore plus exceptionnels chez l’enfant (syndrome
de l’homme raide, stiffman syndrome).
DIFFICULTÉS DU DIAGNOSTIC CHEZ L’ENFANT
Quel que soit l’âge d’un individu, le diagnostic d’un mouvement
anormal est toujours délicat : il justifie un interrogatoire minutieux
du patient, une observation attentive, une analyse sémiologique fine.
Dans la pratique pédiatrique, l’interrogatoire est souvent limité à
ce que rapportent les parents. L’observation, plus que jamais, est
Particularités pédiatriques des mouvements anormaux
Movement disorder in childhood
A. Roubertie*, B. Echenne*
* Service de neuropédiatrie, hôpital Saint-Éloi, Montpellier.
SUMMARY
In recent years, there has been renewed interest in move-
ment disorder in childhood. Presentation and pattern differ
considerably from those usually encountered in adult neu-
rology. Although knowledge is extrapolated from adult prac-
tice, etiology and therapeutic strategy are also different.
Characteristics of movement disorders in childhood are dis-
cussed, and their multifaceted aspects are highlighted by
practical examples.
Key words : movement disorder, childhood.
Mots-clés : mouvements anormaux, enfant.
Tous les types de mouvements anormaux peuvent être
observés chez l’enfant: tics et dystonies sont les plus fréquents.
Certains types de mouvements, physiologiques à un âge
donné, pourront être pathologiques du fait de leur intensité
excessive, ou du fait de leur persistance au-delà d’un certain
âge.
Les mouvements anormaux transitoires sont fréquents
chez le nourrisson ; leur évolution est bénigne.
Les mouvements anormaux de l’enfant peuvent s’intégrer
dans des syndromes spécifiquement pédiatriques.
Les mouvements anormaux peuvent être une manifestation
initiale ou le symptôme principal de très nombreuses maladies
métaboliques de l’enfant.
Les dystonies primitives se révélant chez l’enfant évoluent
plus souvent vers la généralisation.
La présentation pédiatrique de certaines pathologies clas-
siquement rencontrées chez l’adulte est souvent atypique.
Dans de nombreux cas, l’abstention thérapeutique est la
règle.
POINTS FORTS
POINTS FORTS
Tics 39 %
Dystonie 24 %
Tremblements 19 %
Myoclonies 2%
Chorée 5%
Syndrome akinéto-rigide 2%
Divers mouvements anormaux associés 8%
Tableau I. Mouvements anormaux chez l’enfant observés en consul-
tation spécialisée. Les infirmités motrices cérébrales, les tremblements
cérébelleux, les myoclonies épileptiques et les dyskinésies iatrogènes
ont été exclus. Série collectée dans un centre de référence. D’après
Fernandez-Alvarez (1).
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influencée par la présence d’un individu étranger (le médecin),
devant lequel, parfois, la sémiologie est annihilée, ou impossible
à analyser du fait des pleurs. Ces difficultés peuvent amener à
conclure à l’origine psychogène des manifestations, alors que
leur organicité est authentique. Ainsi, les délais de diagnostic sont
souvent de plusieurs mois dans les dystonies de l’enfant (démarches
bizarres, douleurs à l’écriture, voire refus d’écrire).
PATHOLOGIES SPÉCIFIQUEMENT PÉDIATRIQUES
La survenue de certains types de mouvements anormaux est
étroitement corrélée à l’âge, et certains syndromes sont strictement
pédiatriques.
Du physiologique… au pathologique
Certains types de mouvements sont physiologiques à un âge donné
de la vie, et ce n’est que leur intensité, ou leur persistance au-delà
d’un certain âge qui deviendront pathologiques. Ainsi, des sté-
réotypies “envahissantes” sont classiques chez les enfants qui
présentent un syndrome dysharmonieux ; cependant, des stéréo-
typies exacerbées par les émotions vives ne sont pas rares chez les
enfants “normaux” de moins de 3 ans. Les syncinésies motrices
au niveau des mains sont fréquentes chez les enfants de moins de
6 ans, et ce n’est que leur persistance au-delà de cet âge qui doit
être considérée comme pathologique.
Syndromes transitoires de l’enfant
Le mode de survenue transitoire de certains mouvements anor-
maux est spécifiquement pédiatrique (tableau II). Ces syndromes
apparaissent dans une tranche d’âge donnée, préférentiellement
avant l’âge de un an, et s’améliorent progressivement en quelques
mois ou années. Il s’agit de syndromes bénins, dont la description
et l’individualisation sont récentes, mais dont le diagnostic est
souvent méconnu (2). Le diagnostic de ces syndromes est établi
sur des données anamnestiques et cliniques ; les connaître permet
d’établir le diagnostic correct, en évitant des investigations com-
plémentaires inutiles ou des traitements inadéquats.
On peut également rapprocher de ces syndromes transitoires les
tics de l’enfant (3). L’âge de survenue se situe entre 6 et 9 ans,
préférentiellement chez les garçons ; dans la grande majorité des
cas, les tics disparaissent complètement en quelques mois. Le
syndrome de Gilles de la Tourette se caractérise par des tics pho-
niques et moteurs, durant plus d’une année sans période de rémis-
sion supérieure à 3 mois. Chez plus de la moitié des patients, les
tics sont associés à d’autres troubles “neuro-développementaux”
liés à l’âge : troubles spécifiques de l’attention, hyperactivité,
troubles du comportement, troubles obsessionnels compulsifs.
L’évolution du syndrome de Gilles de la Tourette se fait vers la
disparition des tics à l’âge adulte dans 80 % des cas.
Mouvements anormaux d’origine lésionnelle
L’infirmité motrice cérébrale en rapport avec une souffrance
anoxo-ischémique anté- ou périnatale est la grande cause des
syndromes dystoniques, athétosiques et dyskinéto-athétosiques
de l’enfant. Les autres causes classiques chez l’adulte, vasculaires
ou tumorales, sont plus rares chez l’enfant.
Maladies métaboliques
Les mouvements anormaux, quel qu’en soit le type, peuvent
révéler ou accompagner de très nombreuses maladies métabo-
liques de l’enfant. Certaines de ces maladies justifiant un traitement
spécifique, leur recherche est indispensable (supplémentation en
créatine pour le déficit en guanidinoacétate méthyltransférase,
régime alimentaire de certaines aciduries organiques). Souvent,
les mouvements anormaux sont noyés dans un tableau clinique
complexe associant d’autres signes neurologiques ; âge de sur-
venue, type de mouvement anormal, signes d’accompagnement
orienteront alors l’enquête étiologique. Une dystonie apparaissant
chez un nourrisson de moins de 18 mois doit faire rechercher une
maladie métabolique sous-jacente : une dystonie douloureuse du
tronc chez un petit nourrisson dont le développement est globa-
lement décalé peut évoquer une maladie lysosomale (gaucher
type II) ; une dystonie chez un petit enfant avec des mouvements
oculaires anormaux et des troubles du rythme respiratoire évoque
un syndrome de Leigh. Des myoclonies associées à un syndrome
cérébelleux et à une détérioration visuelle évoqueront chez un
petit enfant une céroïdo-lipofuscinose. Chez un grand enfant, des
myoclonies associées à un syndrome cérébelleux et à des crises
épileptiques généralisées évoqueront un syndrome d’Unverricht-
Lundborg, etc.
La description de ces entités dépasse largement le cadre de notre
propos ; il est cependant nécessaire de souligner que le diagnostic
de ces maladies est complexe, car le tableau clinique peut être
comparable initialement à celui d’une pathologie bénigne (dys-
tonie transitoire du nourrisson) ou non métabolique (dystonie
DYT1) ; parfois, le tableau clinique est trompeur (tics chroniques
révélant un syndrome d’Hallervorden-Spatz); enfin, la stratégie
des investigations doit être rigoureuse et exhaustive.
Autres syndromes spécifiquement pédiatriques
L’apparition d’une chorée ou de mouvements choréathétosiques,
au décours précoce (2 à 15 jours) d’une chirurgie avec circula-
tion cardiaque externe est une complication classique observée
uniquement chez les petits enfants. L’évolution n’est pas toujours
favorable (4).
Trémulations
Tremblement essentiel du voile
Dystonie transitoire du nourrisson
Spasmus nutans
Torticolis paroxystique bénin du nourrisson
Déviation tonique du regard vers le haut (benign paroxysmal tonic
upward gaze)
Myoclonus bénin du nouveau-né
Myoclonus bénin du nourrisson
Tableau II. Mouvements anormaux transitoires de l’enfant.
MISE AU POINT
La Lettre du Neurologue - n° 7 - vol. VII - septembre 2003
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La chorée de Sydenham et le plus large cadre des PANDAS
(pediatric autoimmune neuropsychiatric disorder associated with
group A streptococcal infection) sont d’autres exemples de patho-
logie du mouvement et du comportement dont l’incidence touche
essentiellement les enfants (5).
MODE DE RÉVÉLATION INFANTILE OU JUVÉNILE
DE CERTAINES MALADIES
Dystonies primitives
L’enfance est l’âge de début d’un certain nombre de syndromes
dystoniques primitifs ; l’atteinte initiale touche plus souvent les
membres, avec une évolution plutôt ascendante pouvant aboutir
à une généralisation ; les dystonies de fonction, localisées, sont
rares. Chez l’adulte, les syndromes dystoniques primitifs touchent
essentiellement l’axe ou le chef, et restent plus souvent focaux ou
segmentaires.
Concernant la dystonie DYT1, l’âge de révélation constitue un
critère de gravité, puisque plus de 70 % des formes débutant au
niveau d’un membre inférieur chez l’enfant évolueront vers une
atteinte généralisée ou multifocale, alors que les dystonies DYT1
débutant plus tardivement restent plus souvent focales (6).
Maladies de l’adulte
Le mode de révélation pédiatrique de ces maladies est rare et,
souvent, le tableau clinique diffère de celui de l’adulte. Ainsi,
chez 3 % des patients, la chorée de Huntington débute avant l’âge
de 15 ans ; les premiers symptômes sont constitués par un syn-
drome akinéto-hypertonique associé à une détérioration cogni-
tive ; progressivement, apparaissent une ataxie, des mouvements
oculaires anormaux, des myoclonies ; des dyskinésies bucco-
faciales sont parfois présentes. Néanmoins les mouvements anor-
maux (chorée, dystonie) sont généralement au deuxième plan du
tableau clinique. Laggravation des formes à début juvénile est
plus rapide que dans les formes classiques (7).
PRISE EN CHARGE
La prise en charge des mouvements anormaux de l’enfant justifie
la connaissance des divers syndromes observés à cet âge. Ainsi,
dans de nombreux cas, aucun traitement n’est nécessaire et l’es-
sentiel (mais non le plus simple) est de savoir informer et rassurer
les familles (dystonies transitoires, tics simples).
La mise en place d’une rééducation est un élément clé de la prise
en charge des mouvements anormaux de l’enfant, à adapter au
type de mouvements et à leur sévérité. Selon la gêne fonctionnelle,
des outils seront mis à disposition, afin de faciliter l’intégration
de l’enfant dans son milieu habituel, et notamment au sein de son
école (utilisation d’un clavier d’ordinateur pour prendre les cours
ou d’un synthétiseur vocal).
Hormis les rares cas de maladies métaboliques nécessitant un
traitement spécifique, les traitements des mouvements anormaux
de l’enfant sont symptomatiques. Peu d’études ont été consacrées
aux traitements pharmacologiques des mouvements anormaux de
l’enfant, et l’évaluation de l’efficacité des médicaments est diffi-
cile. La stratégie thérapeutique sera plus empirique et fondée sur
l’expérience médicale du praticien, inspirée des connaissances
acquises chez le patient adulte, plutôt que sur des données scien-
tifiques. L’utilisation de ces médicaments sera souvent limitée par
leurs effets secondaires, notamment les troubles de la vigilance
ou les modifications du caractère, chez de petits patients en âge
scolaire, dont la qualité des apprentissages doit être préservée et
doit rester un souci constant du praticien.
Chez l’enfant, certaines particularités pharmacocinétiques et
certaines sensibilités pharmacologiques guideront également le
choix des traitements. Il est classique de dire qu’il est souhaitable
d’éviter l’utilisation des neuroleptiques chez l’enfant. Devant tout
syndrome dystonique de l’enfant, un essai de traitement par
L-dopa doit être réalisé, dans l’éventualité d’une dystonie dopa-
sensible.
L’injection de toxine botulique peut être utile dans les dystonies
focales ; néanmoins, les injections sont douloureuses et la néces-
sité de réaliser une anesthésie générale pour les injections en
limite l’utilisation chez le jeune enfant.
Les progrès de la neurochirurgie fonctionnelle ont ouvert de nou-
velles perspectives dans le traitement des mouvements anormaux
de l’enfant. L’administration de baclofène intrathécal est très effi-
cace chez les patients présentant un syndrome dystonique associé
à une spasticité (infirmes moteurs cérébraux) (8). La stimulation
bipallidale a permis des résultats cliniques et fonctionnels specta-
culaires chez les enfants atteints de dystonie généralisée, notam-
ment DYT1 (9) ; l’indication chirurgicale doit être posée préco-
cement, avant l’apparition des déformations orthopédiques.
Concernant les dystonies secondaires, les résultats de cette procé-
dure sont encore à préciser, et les sous-groupes de patients can-
didats restent à définir.
CONCLUSION
Les mouvements anormaux de l’enfant constituent un domaine
complexe et aux multiples facettes, dont certaines des particula-
rités cliniques ont été présentées. Les mécanismes sous-tendant
ces particularités sont inconnus, et les termes “maturation” ou
“développement” illustrent bien les limites de nos connais-
sances… L’évaluation clinique des patients, les progrès de l’ima-
gerie, notamment fonctionnelle, et la confrontation des expé-
riences des neurologues d’adultes et des neuropédiatres
permettront certainement de mieux appréhender les mouvements
anormaux aux différents âges de la vie.
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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Aicardi J (ed). Movement disorders in children. Londres : Mac Keith Press, 2001 :
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Coubes P, Cif L, Azais M et al. Traitement des syndromes dystoniques par
stimulation électrique chronique du globus pallidus interne. Arch Pediatr 2002;
Suppl 2 : 84s-86s.
I. Cocher les réponses exactes :
a. Les syncinésies sont physiologiques jusqu’à l’âge de 6 ans.
b. Les stéréotypies ne s’observent jamais chez les enfants
normaux.
c. Les mouvements anormaux transitoires concernent essen-
tiellement les grands enfants.
d. La survenue d’un syndrome dystonique chez un enfant de
moins de 18 mois doit faire envisager une maladie méta-
bolique.
II. Cocher les réponses exactes :
a. Les dystonies DYT1 débutant chez l’enfant évoluent plus
souvent vers la généralisation.
b. Les mouvements anormaux de l’enfant nécessitent le plus
souvent la mise en route d’un traitement.
c. Un essai de traitement par L-dopa doit être réalisé chez tout
enfant présentant un syndrome dystonique.
d. Les PANDAS associent des mouvements anormaux (chorée)
et des troubles du comportement.
AUTO-ÉVALUATION
AUTO-ÉVALUATION
Résultats : 1 : a, d ; II : a, c, d.
Objectifs : assurer une formation théorique et pratique sur les mouvements anormaux et la maladie de
Parkinson aux médecins en charge de cette affection. Assurer une formation à la théorie et à la pratique
des injections de toxine botulique en neurologie.
Public : docteurs en médecine, internes des hôpitaux. Les autres demandes feront l’objet d’un examen
individuel par le responsable du diplôme.
Programme : l’enseignement s’organise autour de 8 journées thématiques (6 journées obligatoires) :
- enseignement théorique : 52 heures (8 journées de 6 h 30)
- enseignement pratique : 24 heures (8 demi-journées de 3 heures) réparties en journées ou demi-
journées dans le service de neurologie en “toxine” (consultation) et “pathologie du mouvement” (consul-
tation ou hôpital de jour). Deux stagiaires maximum par consultation.
Durée et contrôle des connaissances : l’enseignement est délivré en 8 mois, de novembre à juin. Il
donne lieu à un examen écrit d’une durée de 2 heures comprenant 1 cas clinique, 1 cas vidéo et 1 cas
théorique.
Lieu : faculté de médecine Saint-Antoine, service de neurologie.
Responsable : Pr Marie Vidailhet, service de neurologie, hôpital Saint-Antoine, 184, rue du Faubourg
Saint-Antoine, 75012 Paris. Tél. : 01 49 28 24 32 – Fax : 01 49 28 28 18.
Renseignements et préinscription (avant le 15 septembre 2003) :Mme Véronique Leteur, service de
neurologie, hôpital Saint-Antoine, 184, rue du Faubourg Saint-Antoine, 75012 Paris.
Tél. : 01 49 28 24 32 – Fax : 01 49 28 28 18
DU Mouvements
anormaux
et pathologie
du mouvement
2003-2004
Université Pierre et Marie Curie,
Faculté de médecine Saint-
Antoine, hôpitaux Rothschild,
Saint-Antoine, Tenon,
Trousseau.
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