Act. Méd. Int. - Psychiatrie (21), n° 4, avril 2004
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Facteurs prédictifs de personnalité
antisociale
Londres (Grande-Bretagne)
L
es perturbations du comportement
constituent le trouble psychiatrique le
plus commun lors de l’enfance. Ces pro-
blèmes comportementaux ont des consé-
quences potentielles à l’âge adulte (com-
portement antisocial, voire criminalité).
En effet, près d’un tiers des patients
atteints de troubles du comportement
dans l’enfance présentent une personna-
lité antisociale à l’âge adulte, et un autre
tiers développe d’autres problèmes de
personnalité, psychiatriques ou psycho-
sociaux. Des chercheurs londoniens
viennent de publier une étude visant à
déterminer si ces éléments de l’enfance
restent des facteurs de risque pour un
comportement antisocial lors de la vie
adulte. Ils ont également cherché à
savoir si des interventions comporte-
mentales à la fin de l’adolescence ou au
début de l’âge adulte pouvaient avoir un
effet bénéfique (Simonoff E, Elander J,
Holmshaw J, Pickles R et al. Predictors
of antisocial personality: Continuities
from childhood to adult life. Br J
Psychiatry 2004; 184: 118-27). Pour
leur étude, les auteurs ont suivi des
jumeaux, parce que l’un de leurs objec-
tifs était de mettre en évidence les
influences génétiques et environnemen-
tales sur la persistance de comporte-
ments antisociaux. C’est ainsi que 225
jumeaux ont fait l’objet d’une évaluation
dans l’enfance et ont été interviewés à
nouveau 10 à 25 ans plus tard.
L’entretien incluait le recueil des pro-
blèmes psychiatriques rencontrés lors de
l’enfance et à l’âge adulte, le fonction-
nement psychosocial, et les facteurs de
risque psychosociaux et cognitifs. Les
résultats montrent que l’hyperactivité et
les troubles du comportement lors de
l’enfance sont des facteurs prédictifs de
puissance équivalente pour les troubles
antisociaux de la personnalité et pour la
criminalité à l’âge adulte. Chez ces
sujets, on relevait souvent, en même
temps, un QI inférieur et des problèmes
de lecture. Le nombre de symptômes
d’hyperactivité et de troubles de la
conduite était également prédictif de
l’évolution du profil à l’âge adulte. Des
troubles du comportement dans l’enfan-
ce ont donc effectivement des consé-
quences potentielles chez les adultes en
termes de comportement antisocial, et
les interventions dans l’enfance visant à
réduire ces troubles du comportement
devraient constituer une priorité dans les
programmes de santé mentale.
Mots-clés : Vie sociale – Personnalité
antisociale – Enfance.
Effets des antipsychotiques
atypiques sur l’évolution
psychosociale des patients
Chicago (États-Unis)
L
es antipsychotiques atypiques amélio-
rent-ils l’évolution psychosociale des
patients ? Pour tenter de répondre à cette
question, une équipe de chercheurs a
recensé et examiné les études comparant
les effets des antipsychotiques atypiques
à ceux des antipsychotiques convention-
nels et des autres médications atypiques
(Corrigan P, Reinke R, Landsberger S,
Charate A, Toombs G. The effects of aty-
pical antipsychotic medications on psy-
chosocial outcomes. Schizophrenia
Research 2003; 63: 97-101). Les auteurs
ont ainsi identifié trente et une publica-
tions ayant pris en compte, dans leurs
mesures, l’évolution des variables psy-
chosociales. Parmi celles-ci, 24 avaient
comparé les effets d’un antipsychotique
atypique à ceux des antipsychotiques
conventionnels, et 7 les antipsychotiques
atypiques à d’autres médications anti-
psychotiques atypiques. L’ensemble des
études totalisait la participation de
12 000 individus présentant, pour la plu-
part, un trouble de type schizophrénique.
Trois variables psychosociales ont été
prises en compte pour mettre en éviden-
ce la nature de l’évolution des patients :
le fonctionnement psychosocial global,
les symptômes négatifs, et la qualité de
vie. Les résultats sont mitigés. Moins de
la moitié des études montrent une évolu-
tion significative en termes de fonction-
nement psychosocial global. Des résul-
tats similaires sont observés pour la qua-
lité de vie, pour laquelle la moitié des
études notent une amélioration.
Maladie mentale
et insertion sociale
E. Bacon,
Strasbourg.
L
a qualité de vie et l’insertion sociale
des patients souffrant de troubles
psychiatriques constituent aujour-
d’hui l’un des objectifs des traitements,
et s’intègrent dans une conception
davantage biopsychosociale de la santé.
Si la diminution des symptômes psycho-
pathologiques a constitué l’objectif
essentiel pendant longtemps, aujour-
d’hui, près de cinquante ans après la
mise en circulation du premier neurolep-
tique, l’attention des thérapeutes se
porte enfin sur l’étude systématique de
la qualité de vie des patients et sur
l’éventualité d’une réintégration dans la
vie sociale, en tant que résultat possible
des traitements antipsychotiques ou psy-
chosociaux.
Toutefois, les deux tiers des études rap-
portent une amélioration des symptômes
négatifs sous l’effet des antipsycho-
tiques atypiques comparativement aux
autres médications. C’est l’olanzapine
qui montre les meilleurs résultats en
termes de fonctionnement psychosocial.
À l’opposé, le rémoxipride démontre
peu d’effets significatifs sur les diffé-
rentes variables psychosociales étudiées.
Des études complémentaires semblent
encore nécessaires, mais certains anti-
psychotiques atypiques pourraient avoir
un effet direct sur des perturbations psy-
chosociales qui découlent des maladies
mentales graves.
Mots-clés : Insertion sociale – Anti-
psychotiques atypiques – Antipsycho-
tiques conventionnels.
Anxiété sociale chez les patients
schizophrènes ambulatoires
Florence (Italie) et New York (États-Unis)
L
anxiété sociale entraîne des pertur-
bations sérieuses dans les activités de
la vie quotidienne et de la vie profes-
sionnelle ainsi que dans les relations
sociales des personnes qui en souffrent.
L’anxiété sociale est une caractéristique
fréquemment rencontrée chez les
patients schizophrènes, mais elle est
malheureusement souvent mal recon-
nue. Il était donc important de définir
précisément les corrélats cliniques,
l’impact et les conséquences de la
comorbidité de l’anxiété sociale dans la
schizophrénie. Dans ce but, l’étude pré-
sentée ici a comparé quatre-vingts
patients schizophrènes (selon le DSM
IV) à vingt-sept patients souffrant
d’anxiété sociale (Pallanti S, Quercioli
L, Hollander E. Social anxiety in outpa-
tients with schizophrenia: a relevant
cause of disability. Am J Psychiatry
2004; 161: 53-8). Les auteurs ont pris
en compte les symptômes positifs (par
la SAPS), les symptômes négatifs
(SANS), l’échelle d’anxiété sociale de
Liebowitz, une échelle d’ajustement
social et un test en 36 items permettant
d’évaluer l’évolution médicale des
sujets. Cinquante et un pour cent des
patients schizophrènes présentaient au
moins un trouble anxieux, cependant
qu’un diagnostic d’anxiété sociale était
établi pour 36 % des patients. Les
scores de ces patients schizophrènes
dans les échelles d’anxiété étaient simi-
laires à ceux des patients atteint
d’anxiété sociale sans trouble comorbi-
de. Les patients schizophrènes sans pro-
blèmes d’anxiété sociale avaient des
scores significativement plus faibles
pour les diverses échelles d’anxiété. On
n’observait pas de différence dans les
symptômes positifs et négatifs entre les
patients schizophrènes présentant un
syndrome d’anxiété sociale et ceux qui
n’en présentaient pas. Toutefois, les
patients avec anxiété sociale avaient fait
plus de tentatives de suicide et le grou-
pe présentait un taux de mortalité par
suicide plus élevé, ainsi qu’une fréquen-
ce plus élevée de toxicomanie, d’alcoo-
lisme, de mauvais ajustement social et
de dégradation de la qualité de vie.
L’anxiété sociale est donc une condition
comorbide fréquente dans la schizo-
phrénie ; elle n’est pas reliée aux symp-
tômes psychotiques cliniques, sa pré-
sence doit être suspectée chez les
patients socialement perturbés et elle
nécessite une approche thérapeutique
spécifique.
Mots-clés : Anxiété sociale – Schizo-
phrénie – Insertion sociale.
Ajustement social de patients
souffrant de troubles affectifs
Padoue (Italie)
L
a dépression a un impact particulière-
ment important sur le fonctionne-
ment quotidien des individus. Même si
la dépression est souvent épisodique, les
patients déprimés présentent des pertur-
bations du bien-être et de nombreux
aspects de la vie quotidienne. Ces per-
turbations sont de la même intensité,
voire plus graves, que celles vécues par
des patients atteints d’autres types de
maladies chroniques. Des chercheurs
italiens ont cherché à savoir si les
variables sociodémographiques et cli-
niques sont liées à l’ajustement social,
et si certaines de ces variables peuvent
constituer des facteurs prédictifs de
l’ajustement social (Dorz S, Borgherini
G, Cognolato S, Conforti D. Social
adjustment in patients with affective
disorders: predictive factors. J Affective
Disorders 2002; 70: 49-56). Les auteurs
ont évalué l’ajustement social de cent
quarante-cinq patients déprimés à l’aide
d’une échelle comportant 42 items d’au-
to-évaluation de l’ajustement social.
Les patients déprimés (selon le DSM
IV) recrutés présentaient un score de 17
ou plus sur les 21 items de l’échelle de
dépression de Hamilton. L’échantillon
comprenait 68 % d’hommes et 32 % de
femmes âgés de 18 à 81 ans. Soixante et
un pour cent d’entre eux étaient mariés
et 54 % sans emploi régulier. D’après
les résultats obtenus, les patients de ce
groupe présentaient des perturbations
dans tous les domaines d’ajustement
social explorés. Le score global d’ajus-
tement social était relié à l’âge et au sta-
tut marital. Les variables sociales (sexe,
niveau d’éducation, travail) et cliniques
(troubles de la personnalité et type de
dépression) ne semblaient pas être liées
au mauvais ajustement social. Sur la
base des analyses de régression, les
auteurs démontrent que ce n’est pas la
dépression en soi qui détermine le mau-
vais ajustement social des patients
déprimés, mais d’autres caractéris-
tiques, probablement plus en rapport
avec la personnalité et profondément
enracinées dans le fonctionnement
social des patients. La perception d’une
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inadéquation sociale et un sentiment
d’infériorité, probablement liés au
trouble dépressif ou augmentés par lui,
ainsi que l’agressivité et l’hostilité sem-
blent être des déterminants clés de
l’ajustement social chez ces patients.
Les perturbations sociales étaient les
plus marquées chez les patients souffrant
de dépression sévère et présentant des
difficultés dans tous les domaines. Par
contraste, les patients ne présentant
qu’un niveau faible de symptômes
dépressifs ne semblaient pas souffrir
d’un mauvais ajustement social, compa-
rativement à la population générale.
Mots-clés : Ajustement social –
Dépression.
Neurocognition et prédiction
à long terme de la qualité de vie
chez des patients psychotiques
ambulatoires
Hawaii (États-Unis)
L
a qualité de vie a été décrite comme
“la richesse de l’expérience person-
nelle des individus”, et concerne le
fonctionnement social, professionnel et
interpersonnel. Elle inclut également la
satisfaction subjective d’un individu à
l’égard de sa propre existence. Les
implications de la pathologie sur la
qualité de vie ont fait l’objet d’une
attention plus soutenue chez les per-
sonnes présentant une maladie mentale
sévère et persistante, dans une perspec-
tive plus holistique, visant à mieux cer-
ner l’impact de la maladie psychia-
trique sur la vie des individus. Un cer-
tain nombre de travaux ont démontré
que la neurocognition a une valeur pré-
dictive élevée pour l’évolution fonc-
tionnelle des patients psychotiques.
Les capacités neurocognitives devraient
donc, sans doute, être également asso-
ciées à la qualité de vie des patients.
Cette publication rapporte les résultats
d’une étude longitudinale consacrée à
l’impact du fonctionnement neuroco-
gnitif sur la qualité de vie des patients
psychotiques (Fujii D, Wylie A, Nathan
J. Neurocognition and long-term predic-
tion of quality of life in outpatients with
severe and persistent mental illness.
Schizophrenia Research 2004; sous
presse). Le diagnostic des trente
patients suivis pour l’étude (23
hommes, 7 femmes) se répartissait de la
manière suivante : 11 schizophrénies
paranoïdes, 9 troubles schizoaffectifs, 6
troubles bipolaires, 3 schizophrénies
indifférenciées et un trouble psycho-
tique. L’âge moyen des patients au
moment de l’évaluation neurocognitive
était de 28 ans, et de 43 ans lors de
l’évaluation de la qualité de vie, qui a
donc été mesurée après un laps de
temps d’environ quinze ans. Les
mesures de l’évolution de l’état des
patients ont été faites à l’aide d’un
inventaire de qualité de vie (Brief
Quality Of Life Inventory, BQOLI). Les
résultats montrent que la mémoire est
prédictive du niveau de revenus, de la
satisfaction envers les activités de la vie
quotidienne, et de l’état de santé géné-
ral. Le fonctionnement exécutif était un
bon facteur prédictif des contacts avec
la famille et du soutien financier. Les
habiletés motrices, quant à elles, prédi-
saient la satisfaction concernant les
contacts avec la famille. Enfin, la qua-
lité de la mémoire de travail prédisait la
victimisation et la satisfaction concer-
nant les contacts sociaux. Le fonction-
nement neurocognitif a donc bel et bien
une valeur prédictive à long terme de la
qualité de vie pour les patients présen-
tant une maladie mentale sévère et per-
sistante. La question qui se pose désor-
mais est de savoir si les interventions
qui améliorent la cognition sont sus-
ceptibles d’améliorer également la
qualité de vie de ces patients.
Mots-clés : Psychose – Qualité de vie –
Neurocognition.
Exploration du substrat neurologique
de l’intelligence sociale
et émotionnelle
Iowa City (États-Unis)
L
es patients souffrant de lésions du
cortex ventromédian présentent des
perturbations dans le jugement person-
nel concernant la prise de décision, qui
se manifestent souvent par la manière
dont ils interagissent avec les autres. Ce
type de trouble spécifique peut se ren-
contrer même dans les cas où les capaci-
tés cognitives (selon le QI) sont nor-
males, voire au-dessus de la normale. En
dépit de capacités intellectuelles nor-
males, ces patients ont, de surcroît, des
problèmes pour ressentir, comprendre et
utiliser efficacement les émotions.
L’hypothèse du marqueur somatique qui
a été proposée pour expliquer ces défi-
cits spécifiques est basée sur ces obser-
vations cliniques. Cette hypothèse pro-
pose une explication neurologique aux
perturbations de la prise de décision.
Elle suggère que la prise de décision est
un processus qui dépend de signaux
émotionnels, ceux-ci étant définis
comme des réponses biorégulatrices
destinées à maintenir l’homéostase et à
assurer la survie. Avec l’intelligence
cognitive, l’intelligence sociale et émo-
tionnelle constitue une composante
importante de l’intelligence générale.
Elles se différencient l’une de l’autre par
le fait que la première est généralement
considérée comme fondée principale-
ment sur des processus mentaux de haut
niveau comme le raisonnement, cepen-
dant que la seconde se focalise plus sur
la perception, un traitement immédiat et
l’implication de connaissances et d’in-
formations sociales et émotionnelles.
Ces deux types d’intelligence sont-ils
soutenus par des substrats neuronaux
différents ? Une équipe américaine a
tenté de répondre à cette question en
comparant des patients présentant une
lésion bilatérale focale et stable du cor-
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tex préfrontal ventromédian à des
patients présentant des lésions de
l’amygdale ou des cortex insulaires
droits (Bar-On R, Tranel D, Denburg N,
Bechara A. Exploring the neurological
substrate of emotional and social intelli-
gence. Brain 2003;126: 1790-800). Ils
ont effectué, chez les participants, des
mesures standardisées des différents
aspects de l’intelligence sociale et émotion-
nelle, des évaluations de la capacité de
prise de décision, du fonctionnement
social, des modifications de la personnalité
et de la psychopathologie. L’intelligence
cognitive était évaluée à l’aide de tests
neuropsychologiques. La mémoire, la
perception et les fonctions exécutives
ont également été évaluées. Les résultats
montrent que seuls les patients présen-
tant un déficit dans le circuit du mar-
queur somatique démontraient une intel-
ligence sociale amoindrie et un juge-
ment peu efficace dans la prise de
décision, parallèlement à des problèmes
de fonctionnement social, et ce en dépit
d’une intelligence cognitive normale,
comme le révélait leur QI, et d’une
absence de psychopathologie selon les
critères du DSM-IV. Ces résultats sem-
blent montrer que l’intelligence sociale
et émotionnelle diffère effectivement de
l’intelligence cognitive. Les auteurs
suggèrent, de plus, que les systèmes
neuronaux sous-tendant la prise de
décision pourraient se superposer en
partie à des composantes critiques du
circuit neuronal qui supporte l’intelli-
gence sociale et émotionnelle, indépen-
damment des systèmes sous-tendant
l’intelligence cognitive.
Mots-clés : Intelligence sociale et émo-
tionnelle – Prise de décision – Insertion
sociale.
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