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Éditions H&K Publié dans les Annales des Concours 2/17
Indications
I.3.b Expliciter l’expression de Eλ(C) pour tout λde Rpour obtenir une rela-
tion entre Eλ(B,A) et Eλ(C) puis utiliser la question I.2.c. pour l’expression
de E1/2(A,B).
I.3.c Montrer que {u1}est une famille génératrice de E0(B,A) puis utiliser le
résultat de la question I.2.c. pour la dimension de E1/2(A,B).
I.4.a Utiliser les bases des ensembles E0(C) et E1/2(C) trouvées à la question I.3.b.
pour prouver que les éléments de Fsont des vecteurs propres de C.
II.2.b L’équivalence de la question II.2.a. permet de réécrire le polynôme χ(A,B) en
fonction de A′et B′.
II.3.b. Raisonner par l’absurde en supposant que (B,A) n’est pas régulier.
II.3.c Utiliser l’expression de χ(A,B)(λ)en fonction de χ(B,A)(1/λ)donnée à la ques-
tion II.3.a. pour réécrire le polynôme χ(A,B)(λ).
II.3.d •i)⇒ii): cette implication a déjà été démontrée à la question II.1.a.
•ii)⇒iii): on peut ici démontrer la contraposée en utilisant le fait que le
couple (B,A) est régulier d’après la question II.3.b. pour mettre χ(B,A)
sous la forme indiquée à la question II.3.c.
III.1.c i)⇒ii): utiliser le résultat de la question III.1.b pour démontrer que les
valeurs propres de Msont positives.
III.2 Pour montrer que l’application est définie positive, on peut écrire avec la
question III.1.c l’égalité M = tL L et utiliser le résultat de la question III.1.b.
pour démontrer que si Y = LX 6= 0, alors tY Y >0.
III.3.c Poser pour tout i∈ {1,...,n},e′
i= L−1eiet appliquer l’équivalence de la
question III.3.a.
III.3.d Il suffit de démontrer que la matrice B−1Aest diagonalisable puis de conclure
à l’aide de la question II.4.
III.4.b Le couple (B,A−λ0B) vérifie les conditions de la question III.3.d. et est
donc diagonalisable. Réécrire Aet Ben fonction des matrices diagonales aux-
quelles Bet A−λBsont semblables.
IV.1.c Utiliser le résultat de la question IV.1.b. pour les valeurs propres non nulles
de C.
IV.2 •Dans le cas où Best inversible, on peut se servir du fait que χ(A,B) est
un polynôme de degré nd’après la question III.3.d.
•Lorsque Bn’est pas inversible, utiliser le résultat de la question III.3.c.
sur le degré de χ(A,B).
IV.3.b Utiliser les égalités d’ensembles entre les Eλ(C) et E1/λ(A,B) fournies par les
questions IV.1.a et IV.1.b.
IV.3.c D’après la question IV.3.b, C = A−1Best diagonalisable. Ensuite penser à la
question II.4. en échangeant les rôles de Aet B.
V.3.c Utiliser la question V.3.b selon laquelle les suites (c2k)et (c2k+1)sont des
suites géométriques.
V.3.d Utiliser le fait que cn(λ) = 0 si et seulement si nest impair, démontré à la
question V.3.c.
V.4.b Ici n= 4 est pair. Il suffit alors d’appliquer le résultat de la question V.3.c.
V.4.c Comparer les dimensions de E0(A4,B4)et E∞(A4,B4)avec les quantités
m0(A4,B4)et m∞(A4,B4)calculés aux questions V.4.a et V.4.b.
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