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Elle a contribué à structurer la Direction
des Soins, notamment avec l’élaboration
du projet de soins, axé sur la qualité, la
sécurité et l’efficience marquant ainsi
son implication professionnelle au sein
de l’Institution.
Elle a œuvré, dans le cadre de la procé-
dure « Hôpital en tension » à l’optimisa-
tion de la gestion des lits.
L’amélioration de l’accueil, l’encadre-
ment des professionnels et des étu-
diants, la communication faisaient aussi
partie de ses priorités, dans un esprit
de convivialité.
Bonne continuation dans ses nouvelles
fonctions.
CHV
CHV.
.COM
COM
Journal d’information du personnel du centre hospitalier de valence
L’occasion de rappeler le dynamisme de
l’établissement avec l’augmentation des
effectifs, du nombre de lits et une acti-
vité en hausse :
Création d’une unité kangourou
Inauguration d’un service de soins
palliatifs,
Mise en place de lits grossesses pa-
thologiques
Augmentation de lits en cardiologie
Réactivation de lits en hôpital de jour
de dermatologie
Réactivation de lits en hospitalisation
complète de pneumologie.
Augmentation des lits
d’hémato-oncologie
Malgré tout, le CHV doit faire
face à un ficit record qui
oblige à limiter les nouvelles
dépenses et à réfléchir à une
utilisation efficiente de ses
moyens.
Le Directeur annonçant que « 2012 a été
une année d’investissements sur l’avenir
et de paris engagés, 2013 sera une
année de consolidation et de recherche
d’amélioration des performances sur
tous les secteurs ».
Il a rappelé la responsabilité qui pèse sur
notre hôpital dans la construction de
l’offre de soins du territoire de santé et
la naissance du projet médical de terri-
toire qui devrait se traduire en 2013 par
la mise en place d’une communau
hospitalière de territoire (Hôpitaux
Drôme Nord, CH de Die et de Crest, de
Saint Marcellin et peut être Tournon).
La Direction est parfaitement consciente
que ces résultats sont le fruit de l’action
quotidienne de l’ensemble du personnel.
Son premier objectif en arrivant à Valence
en 1989 a été de développer l'activité de
néphrologie que ce soient les consulta-
tions, les biopsies rénales qu'il réalisait et
interprétait, la dialyse péritonéale avec la
création de 2 lits de repli dès 1991.
Il a développé la coopération avec les au-
tres hôpitaux allant personnellement
consulter à Aubenas et à Montélimar
pendant plusieurs années et participant
aux gardes de néphro-dialyse au Centre
hospitalier de Romans pendant 8 ans.
Il n'a eu de cesse de développer
l'hémodialyse à Valence. Ce fu-
rent d'abord 3 lits aigüs et de
repli en médecine 3 en 1996,
l'ouverture du centre provisoire
en 2004 avec le Docteur Knefati
puis du centre AGDUC actuel en
décembre 2006.
L'équipe s'est étoffée avec actuel-
lement 4 néphrologues entre le
CHV et l'AGDUC et bientôt 5, un
centre de dialyse de 18 places et
8 postes d'autodialyse.
Le Docteur Sabatier a largement
contribué avec les médecins et
cadres des deux services à unifier
médecine 2 et 3 pour créer le Dé-
partement de Médecine en novembre 2002.
La logique était médicale avec des spécialités complémen-
taires et des objectifs communs de développer l'alternative à
l'hospitalisation traditionnelle et de
permettre au secteur éducatif de trou-
ver toute sa place dans les soins.
Il fut chef de service d'abord en 2000
en médecine 3 puis au Département de
Médecine de 2003 à 2008. Il a cédé sa
place pour devenir chef du tout nou-
veau pôle de médecines et spécialités
de 2007 à 2010.
Il s'est beaucoup impliqdans le fonc-
tionnement du CHV en étant vice-pré-
sident de CME sous deux présidences
de 1995 à 1999 puis 2003 à 2007.
Ce parcours est celui d'un médecin de
l'hôpital public investi aussi bien dans
sa spécialité, son service , l'hôpital et le
territoire de san travaillant avec le
secteur public ou privé, à une époque
l'on ne parlait pas de Communauté
Hospitalière de Territoire.
Il n'a jamais compté son temps,
faisant un travail de fond sur les
dossiers, toujours disponible
pour ses patients qu'il ne ména-
geait pourtant pas quand il leur
imposait un régime drastique.
Tous appréciaient en lui le mé-
decin compétent et riche " d'hu-
manité". Il a su garder son
équilibre personnel en gardant
des activités extra-médicales.
Que sa retraite lui permette de
profiter de sa famille et d'assou-
vir ses passions : la musique et le
vélo.
Que sa ténacité à défendre ses
choix dicaux et son implica-
tion sans faille pour la médecine hospitalière survivent au tra-
vers des médecins actuels et de tout le personnel de notre
hôpital.
La Commission en charge des Evaluations
des Pratiques Professionnelles (EPP) et orga-
nise une nouvelle soirée débat le 4 avril pour
un retour aux professionnels intéressés et
permettre à ceux qui hésitent encore de dé-
couvrir les méthodologies utilisées et leurs
avantages. Voici le programme prévisionnel,
les EPP au CHV :
aRMM vue par différents services
aEPP par suivi d’indicateurs
aChutes des patients
Nous organisons un pour créer un logo,
mascotte, dessin … qui s’appellera DD et servira de
symbole aux communications sur le développement
durable à l’hôpital.
A vos crayons, ordinateurs et idées à transmettre à
Patrick VULCANO ! Les œuvres seront affichées sur le
stand et la meilleure proposition choisie et récom-
pensée !
Toutes les unités ont participé sous une forme ou sous une
autre. Certaines ont adopté une chanson, d’autre un sketch,
ici un rébus et un témoignage des plus vivants ! L’ambiance
était à la rencontre festive et chaleureuse.
Tous ont eu l’occasion de signaler leurs plaintes sans com-
plexes. Ladirection du pôle qui les a bien entendues s’est en-
gagée à répondre à chacune de façon individuelle et
personnalisée. Des solutions concrètes, réalistes et pratiques
ont également été apportées par les équipes leur permettant
d’esquisser des améliorations pour leur quotidien au travail.
Bilan 2012, parmi les nombreux évènements qui sont venus
marquer l’activité du pôle Femme Mère Enfant, les équipes
ontsouligné :
hle passage en 12 h en hospitalisation pédiatrique;
hla création de l’unité Kangourou (6 lits);
hl’ouverture de ZORA, secteur de grossesses à risque;
hl’investissement des équipes de pédiatrie autour de la
prise encharge de la douleur de l’enfant: 2 mobilisations en
novembre 2012lors d’un atelier et de la semaine du risque;
hle développement de l’activité de diagnostic anténatal
avec l’arrivée d’un nouveau praticien, le Dr Nadia Léticée.
Certains agents ont néficié de formations et ont parta
leur joie avec leur collègue et leur désir de diffuser leur savoir
en 2013: acuponcture, hypnose, prise en charge de la dou-
leur...
Pour 2013, nous retiendrons parmi les projets les plus im-
portants :
hamorcer une réflexion de fond sur l’accueil et l’organisa-
tion dessecrétariats;
haméliorer le parcours patient avec le soutien de l’agence
nationale d’appui à la performance (ANAP).
hpromouvoir l’éducation thérapeutiquedes enfants pour le
diabète (entre autre).
hOuverture de lits de surveillance continue en pédiatrie
Nous remercions toutes les équipes pour leurs idées et leur
engagement.
Alliant nouvelles technologies, plateau technique complet et
équipes pluridisciplinaires, la prise en charge du cancer au
Centre Hospitalier de Valence est rapide, globale et cohérente.
Les nouveaux locaux ont été inaugurés en juin 2011.
Au centre de cette bâtisse bleue en forme de cube, un patio de
verdure et de soleil, aux façades rouges, rompt avec l’envi-
ronnement hospitalier habituel. Logé au premier étage, le ser-
vice de cancérologie et d'hématologie réunit 51 lits :
21 en hospitalisation de jour et 30 dans l'unité d'hospitalisa-
tion classique.
La prise en charge de tous les cancers, à l'exception de la leu-
cémie aiguë du sujet jeune, est possible grâce à une impor-
tante équipe de huit médecins, dont certains sont formés à la
prise en charge du patient douloureux ou dénutri.
Ces médecins travaillent en relation
étroite avec les autres spécialistes mé-
dicaux et chirurgicaux (pneumologues,
gastro-entérologues, ORL, urologues,
viscéraux…) et sont aidés dans leur
quotidien par de nombreux interve-
nants : des psychologues, des assis-
tantes sociales, l'équipe du centre
anti-douleur, des diététiciennes, des ki-
nésithérapeutes, pour la rééducation
précoce ou pour des massages-drai-
nages, mais aussi de précieuses infir-
mières d'accompagnement. Elles
peuvent reformuler au patient ce qui a
été expliqué par écrit par les médecins
et déceler une fragilité qui motivera une
demande de soins spécifique.
Une attachée de recherche clinique facilite l'inclusion
des patients dans des essais leur permettant de bé-
néficier de traitements innovants.
Un professeur d'activité physique adapté (APA) et une
socio-esthéticienne, employés par la Ligue contre le
cancer, permettent aux patients de prendre soin de
leur corps. Une fois par semaine des comédiens pro-
posent aux oreilles demandeuses, des rencontres ar-
tistiques, chantées ou non, très appréciées d'autant
qu'elles se passent dans leur chambre.
Enfin celles et ceux qui désirent regagner au plus vite
leur domicile sont également satisfaits de l'étroite col-
laboration entre les services de l'hôpital et ceux de
l’hospitalisation et soins à domicile.
Toutes les spécialités médicales et chirurgicales
du cancer sont présentes au CHV (sauf la chirur-
gie thoracique), en particulier la chirurgie gyné-
cologique qui prend en charge tous les cancers
féminins (sein, utérus, ovaire) et qui a intégré,
elle-aussi, le nouveau bâtiment.
Des radiologues agréés réalisent des mammo-
graphies dans le cadre du dépistage, mais aussi
devant une suspicion clinique de cancer. Le ra-
diologue peut dans ce cas effectuer un prélève-
ment : une microbiopsie, voire une
macrobiopsie, sous échographie et permettre
parfois d'éviter une intervention chirurgicale.
Quand une intervention est nécessaire, l'offre de
soins du CHV permet de réaliser, dès qu'elle est
justifiée, la technique du ganglion sentinelle,
sans déplacer la patiente dans une autre struc-
ture. Cette technique repère, grâce à un traceur
radio-actif, les ganglions potentiellement ma-
lades. Ainsi elle peut éviter l'ablation de tous les
ganglions et des quelles plus importantes.
Lorsqu'une chirurgie plus étendue du sein est
nécessaire, un chirurgien plasticien spéciali
peut pratiquer, dans le même temps ou secon-
dairement, la reconstruction du sein, avec pro-
thèse ou à l'aide des propres tissus musculaires
de la patiente.
Les nouveaux locaux des services de chirurgie
gynécologique et de cancérologie-hématologie
sont entièrement informatisés. Chaque lit est
équipé d'une plate-forme multimédia qui per-
met aux patients de téléphoner, de regarder la
télévision, d'écouter des enregistrements de li-
vres, musique, films, d'avoir accès à internet, et
aux soignants de prescrire et de valider les trai-
tements à leur chevet.
(démarrage en décembre2011)
Depuis décembre 2011, nos médecins peuvent pratiquer des
macrobiopsies sous échographie. Cet examen est une tech-
nique de prélèvement de tissu mammaire pratiquée par des ra-
diologues qui permet d’obtenir un volume de tissu mammaire
significativement plus important que lors d’une microbiopsie.
Cela présente l’avantage d’une meilleure fiabilité et d’une meil-
leure précision du résultat de l’analyse (anatomopathologie).
Cet examen se pratique généralement au décours de la décou-
verte d’une anomalie du bilan mammographique. La mammo-
graphie est l’examen le plus connu et les campagnes
médiatiques autour de la prévention et du dépistage du cancer
du sein n’y sont sûrement pas étrangères.
En quelques mots ; la « mammo » est un examen radiologique
des seins qui permet de rechercher des anomalies sans pouvoir
toujours en préciser la nature. Bien que le plus souvent ces
anomalies soient bénignes, leur caractère malin doit être éli-
miné.
Lorsque les données obtenues grâce à la microbiopsie clas-
sique sont insuffisantes ou discordantes avec le degré de sus-
picion généré par la mammographie, une biopsie chirurgicale
du sein est réalisée. Cette technique invasive est réalisée au
bloc opératoire sous anesthésie générale.
Désormais dans ces situations, la macrobiopsie sous échogra-
phie constitue l’alternative de choix à la biopsie chirurgicale :
en effet cette technique rapide, fiable, indolore est alisée
sous anesthésie locale, patiente allongée confortablement sur
le dos en salle d’échographie.
Après respect des gles usuelles d’hygiène et une simple
anesthésie locale, le radiologue pratique une courte incision à
la peau pour introduire une aiguille creuse jusqu’au contact de
la lésion repérée grâce au guidage échographique. L’aiguille est
reliée à un système d’aspiration sous vide permettant d’aug-
menter la qualité des prélèvements. Ces derniers sont recueil-
lis puis envoyés en anatomopathologie pour analyse.
Cette technique dure entre 20 et 40 minutes.
Elle ne laisse qu’une fine cicatrice qui s’efface avec le temps :
pas de suture, un simple pansement suffit.
La patiente ne ressent aucune douleur lors de cet examen et
peut reprendre rapidement ses activités.
Huit à dix jours plus tard, les résultats sont transmis au méde-
cin, qui les annonce en consultation à la patiente.
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