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Journal d’information du personnel du centre hospitalier de valence
Le hall central était saturé, il n’était pas
possible d’ouvrir plus de 11 guichets
alors que c’était nécessaire aux heures
de pointe. L’attente des patients était
donc souvent trop longue.
L’équipe est composée de 4 agents ad-
ministratifs (3.80 ETP).
La GAP PFME est ouverte depuis le 19
mars du Lundi au Vendredi de 08h à
17h. En dehors de ces heures d’ouver-
ture, les patients sont accueillis dans le
hall central.
Nous accueillons les patients
Nous pouvons constater, après 3 se-
maines d’activité, que
Les patients nous manifestent chaque
jour leur satisfaction sur le lai d’at-
tente très court et sur la proximides
services.
Les médecins, psychologues et sages-
femmes notent la même amélioration,
puisque les patients arrivent à l’heure.
Nous pouvons également noter, une fa-
cilité d’échange entre les différents in-
tervenants administratifs, soignants, et
médicaux.
La première permanence a démarré le
L’équipe pourra venir en aide aux personnes touchées par l’infection au VIH et se ren-
dra disponible également auprès de leur entourage, si elles le souhaitent.
Elle répondra à toutes vos interrogations, d’ordre social, médical, psychologique, ju-
ridique et moral.
Elle assurera le lien entre l’équipe soignante et les intervenants associatifs et conduira
différentes actions entre l’hôpital et la ville.
Il s’agit d’une structure transversale qui concerne tous les
établissements de santé du territoire. Son comité de pilo-
tage regroupe des médecins spécialistes hospitaliers, des
médecins spécialistes libéraux et des personnalités concer-
nées (conseil de l’ordre des médecins, ligue contre le can-
cer, acteurs de dépistage…).
Les missions du 3C sont d’organiser les Réunions de Concer-
tation Pluridisciplinaires (RCP), la mise en place du dispositif
d’annonce (annonce médicale, consultation infirmière, éva-
luation de la fragilité sociale et rédaction d’un Programme
Personnalisé de Soins), de diffuser les référentiels de traite-
ment, de faciliter l’accès aux soins oncologiques de support,
à la recherche clinique et aux innovations thérapeutiques.
Le dossier de tous les patients porteurs d’un cancer doit être
présenlors des séances de RCP à la phase initiale de la ma-
ladie et en cas de rechute ou de modification importante du
projet thérapeutique. L’objectif est de valider la décision pro-
posée ou de finir une stratégie thérapeutique lorsque la
situation du malade ne correspond pas à des situations pré-
vues dans les référentiels. Sur le territoire Drôme Ardèche
Nord, il existe 8 RCP différentes qui se réunissent chaque se-
maine (ORL, Sein Gynécologie), ou tous les 15 jours dans les
autres spécialités. Il y a chaque mois 19 séances de RCP au
cours desquelles les dossiers présentés sont débattus en
présence d’au moins 3 spécialistes complémentaires.
Le 3C promeut et participe à l’évaluation des pratiques en
cancérologie (indicateurs de qualité, audits…).
Par ailleurs il concourt à la mise en pratique des mesures dé-
finies par les Plans Cancer. Sur le CH Valence, 2 actions sont
en projet: la mise en place de la «consultation pour l’après
traitement des cancers» et la création d’un réseau territorial
pour la promotion des soins oncologiques de support à do-
micile.
La «cellule» 3C de Valence comprend une assistante coor-
dinatrice (Saadia Houga) et un médecin mi-temps (Dr R.
Riou). Une attachée de recherche clinique à mi-temps (San-
drine Beauchard) travaille sous l’égide du 3C aups des
équipes oncologiques du CHV mais aussi pour une petite part
auprès du centre de radiothérapie et des Hôpitaux Privés
Drôme Ardèche.
Il fut accueilli le matin par Madame Dreveton, directrice de l’IFSI
pour un échange avec les étudiants infirmiers.
Les journalistes étaient au rendez-vous pour suivre ce candidat
à la présidence. L’attendant de pied ferme lors de son arrivée,
ils l’ont suivi tout le long de sa visite notamment lors de son
déjeuner à la cafétéria, en compagnie de l’équipe de direction
et des médecins du CHV.
Après un tour de table avec les syndicats, Monsieur
Bayrou poursuivit par une visite du CHV, en présence
de Monsieur Bernard et du Docteur Fernandez. Entourés de ses
gardes du corps, il effectua une visite aux urgences, puis direc-
tion la maternité, l’occasion de faire connaissance avec Hugo,
un tout jeune nouveau-né… Pressé par le temps, il acheva sa
visite dans le service d’imagerie, l’occasion pour le Docteur De-
plus d’expliquer le principe de la télémédecine et de discuter
des besoins en matière d’imagerie médicale.
Après avoir échangé avec les professionnels de santé, croisé des
patients, le candidat a rejoint son hicule en compagnie des
membres du Modem, direction PARIS...
A destination du public des visiteurs,
sera installé dans le hall princi-
pal, expliquant les préconisations de lavage et désinfection
des mains. Devant et dans ce même hall un artiste ambulant
apportera sa fantai-
sie et son humanité en proposant
des lavages de mains agrémentés
de récits et poèmes.
A destination des soignants et
des personnels, des
seront proposés
sur les paliers du nouveau bâti-
ment, tandis que les musiques
variées du
se faufileront le long des
murs.
Ce sont les 3 infirmiers du Comité de Lutte contre la Dou-
leur, formés au massage assis habillé, qui feront découvrir
cette technique de répit et de bien-être à leurs collègues.
Deux ateliers d’art manuel avec Myriam Dumanoir ont été accueillis en
Gériatrie (8 mars) et en Pédiatrie (28 février), invitant les patients de tous
âges à un voyage dans leur imaginaire avec la réalisation de sujets en terre
et matériaux de la nature.
Le patient ou ses proches peut se rendre dans les lo-
caux du service social (1er étage du bâtiment prin-
cipal, au carrefour du service de rééducation et du
service d’ophtalmologie) mais le plus souvent les assis-
tantes du service social (ASS) se rendent dans la cham-
bre du patient pour comprendre les difficultés
rencontrées par ce dernier.
Elles sont amenées à gérer des problématiques com-
munes et diverses pour tout public :
Le
patient est hospitalisuite à un accident,
une maladie… un évènement qui va modi-
fier ses conditions de vie. L’assistante so-
ciale, « l’ASS » va réfléchir avec le patient
aux mesures à mettre en place en fonc-
tion du projet de soin, de sa situation per-
sonnelle, financière et de son entourage.
Le patient sera amené à demander par
exemple une aide à domicile ou bien une
allocation personnalisée d’autonomie,
pour faciliter son quotidien, notamment
lorsqu’il se trouve en perte d’autonomie qu’elle soit ponctuelle
(temps de récupération suite à une intervention chirurgicale)
ou permanente (comme la survenue d’une démence chez une
personne âgée).
Selon l’état du patient et son environnement familial, il s’agira
parfois de mettre en place une mesure de protection juridique,
ou bien d’envisager une orientation professionnelle, un
aménagement de logement, …
Il faut donc trouver une solution pour chaque pa-
tient, et envisager avec lui la possibilité d’intégrer une struc-
ture adaptée. L’objectif est de trouver une structure à
proximide l’entourage et qui convienne à sa pathologie. Les
demandes sont nombreuses, l’ASS se trouve confron-
tée au manque de places, que ce soit pour un place-
ment temporaire ou permanent. Des compromis sont
alors nécessaires pour respecter aussi les impératifs
de la Durée Moyenne de Séjour. La brièveté du séjour
oblige l’assistante sociale à gérer un contexte et une
multitude de facteurs en un minimum de temps.
certains
sont sans domicile fixe, de nationaliétrangère, par-
fois en situation irrégulière, sans droit, sans mutuelle
(un phénomène de plus en plus marqué), désociali-
sés. Diverses problématiques sont à gérer, que la ma-
ladie va mettre à jour.
Dans de nombreuses situations, le patient ne bénéfi-
cie d’aucune protection en matière de santé ou de
droits sociaux, l’ASS doit alors constituer un dossier
pour lui permettre un accès aux droits sociaux, et fera
appel à la PASS .
(suspicion de maltraitance),
comme l’ensemble du corps médical, les ASS ont
l’obligation de faire des signalements auprès du
Conseil Général, ou du tribunal.
la plus juste possible, permettant
de déterminer les meilleures alternatives.
Elle a un rôle d’écoute du patient, de sa fa-
mille.
Son expertise, basée sur des indicateurs so-
ciaux, lui permettra d’analyser la situation.
Le patient est-il isolé ? S’agit-il d’hospitali-
sations répétées ? Présente-t-
il une maladie chronique,
évolutive ? Souffre-t-il d’ad-
diction ?... autant d’interroga-
tions dont les réponses seront
apportées lors des rencontres
avec le patient et ses proches.
Le lien quotidien avec l’équipe
soignante est aussi termi-
nant dans l’évaluation sociale
et permettra de définir les suites de cette prise en charge. Tra-
vailler en pluridisciplinarité permet d’échanger des données
médicales, des informations sur l’état psychique du patient et
sur son environnement pour réfléchir ensemble à son devenir.
L’ASS propose un accompagnement, une orientation vers les
organismes appropriés en fonction de la situation rencontrée.
Au moment de la sortie du patient, avec son accord, elle passe
le relais aux travailleurs sociaux extérieurs à l’hôpital.
Si certains services alertent l’assistante sociale dès l’arrivée
du patient, d’autres font appel à l’ASS trop tard, souvent la
veille de la sortie. Pour une meilleure efficacité, il est impor-
tant d’anticiper la sortie du patient en sollicitant au plus tôt
l’assistante sociale. En concertation avec les soignants, le pa-
tient et sa famille, son expertise participera à l’élaboration du
projet de sortie.
C’est la permanence d’accès
aux soins de santé.
Elle s’adresse aux personnes
dépourvues de droits sociaux, qui
ont besoin d’être soignées, quelle que
soit leur affection ou pathologie.
Elle répond à un besoin de santé qui ne peut être couvert
autrement. Il ne peut s’agir que de consultations externes
médicales, examens radiologiques, biologiques, de labora-
toire, médicaments, petit matériel médical, …
Cette permanence a été créée par la Loi du 29 juillet 1998
pour lutter contre les exclusions. Sur le CHV, elle est en
place depuis 1999.
L’ARS, l’agence régionale de santé par une dotation spéci-
fique versée aux établissements hospitaliers publics. Sauf
pour les mineurs, la PASS ne permet pas de financer une
hospitalisation.
Oui. Il y a une assistante sociale référente (Doris Linsig) et
un médecin référent (le Docteur Zamour).
Au CHV, la PASS n’a pas de lieu spécifiquement identifié
comme tel, elle est dite « intégrée ». En conséquence, après
être passé à l’accueil, le patient se rend en consultation dans
le service approprié à sa pathologie (ex : gastro-entérologie,
pneumologie, urgences, pédiatrie, maternité, …). De ce fait,
toutes les assistantes sociales de l’hôpital sont susceptibles
d’intervenir dans le cadre de la PASS.
Il faut que l’hôpital remette au patient un bon de circulation
pour accéder aux soins. La GAP pourra alors établir une fac-
turation spécifique.
Il s’agit d’un dispositif qui permet une prise en charge mé-
dico-sociale des personnes sans droits sociaux. L’objectif
est de leur permettre de bénéficier des soins dont ils ont
besoin.
Le service social n’est pas seulement destiné aux
patients.
Même si seulement 10% de son temps de travail est
affecté aux dossiers des agents, elle s’attache à rece-
voir, dans la mesure de ses possibilités, toutes les de-
mandes des agents stagiaires, titulaires et
contractuels, un jeudi par semaine.
Après étude de la demande, elle pourra vous accom-
pagner dans vos démarches pour obtenir (sous condi-
tion des éléments requis) une aide ponctuelle parce
qu’un événement vous a plongé dans une situation
difficile : un besoin pour financer la caution d’un nou-
veau logement pour s’installer rapidement suite à
une séparation ou encore une situation de handicap
pour vous ou vos enfants ...
Elle sera à même de vous accompagner pour solliciter
une aide financière en lien avec le CGOS ou auprès
d’autres organismes pour faire face à certaines dé-
penses, voire constituer un dossier de surendettement
ou bien vous conseiller sur la gestion de vos res-
sources…etc. Elle travaille en collaboration avec le
service de la santé au travail pour faciliter l’adapta-
tion au travail et les problèmes soulevés par l’emploi.
L’assistante sociale est soumise au secret profession-
nel, s’il y a un besoin de partager des informations
avec d’autres interlocuteurs, la personne concernée
devra donner son accord.
SAVEZ-VOUS QUE LE PERSONNEL PEUT AUSSI SOLLICITER
LE SERVICE SOCIAL ?
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