renchérissement des matières premières, des produits alimentaires et de
l’énergie.
De son coté le gouverneur bank al maghrib estime que l’impact de la crise
devrait réduire le PIB de moins d’un point de pourcentage en 2009.Jouahri
précise que les dernières prévisions révisées du gouvernement pour l’année 2009
confirmées par le Fond Monétaire international (FMI), montre que la croissance
économique devrait continuer à se situer autour de son potentiel (5 à 6%) .
Certes, il est évident que des vecteurs important de l’économie marocaine seront
touchés par la crise, d’abord il y a l’affaiblissement de la demande extérieur
adressé à la production nationale en d’autre terme les exportations marocaines
risquent de connaitre un ralentissement .
b) Les investissements directs étrangers.
Les IDE risquent de trinquer et connaitront forcement un ralentissement, car les
pays industrialisé vont sans doute devoir revoir leur plan et leur programme
d’investissement, ainsi d’autres entreprises seront tout simplement dissuadées
d’investir dans un tel contexte sachant que le montant moyen sur ces dernières
années s’élevait a 5 milliard de dollars et qui jouaient un rôle important dans le
développement des capacités de production au maroc.
Le même effet devra être relevé au niveau des activités relatifs aux transfert des
MRE qui devrait connaitre une baisse du pouvoir d’achat, ainsi les problèmes de
liquidité dans les pays d’accueil ce qui se traduirai par une dépréciation de la
demande externe sur la production nationale et par une détérioration de
l’équilibre de la balance des paiements.
c) L’immobilier.
La crise affectera aussi le secteur immobilier du moment ou les promoteurs
immobiliers débordent d’ingéniosité pour diversifier les canaux de lobbying afin
de convaincre les officiels du bien fondé de leurs doléances, un autre souci