Les théories de l’évolution
Contributions des scientistes
Contribution scientifique à la théorie de l’évolution
Georges Louis Leclerc,
Comte de Buffon
(1707-1788)
- naturaliste français, un des premiers à avoir contesté publiquement que les formes
de vie ne changent pas
- a noté les ressemblances entre les humains et les singes
- il pourrait y avoir un ancêtre commun, ce qui suggère que les espèces changent avec
le temps
- paléontologiste, elle a étudié les fossiles
- découvre le premier plésiosaure, un reptile aquatique
- à cette époque, il était très difficile pour une jeune femme scientiste d’être respectée
dans le milieu de la science dans un domaine d’hommes
Georges Cuvier
(1769-1832)
- naturaliste français
- détermine l’authenticité de la recherche et du travail de Mary Anning
- il était responsable de l’évolution de la sciences de la paléontologie (l’étude de la
vie dans le passé par l’analyse des fossiles dans les strates : couches de roches)
- il a découvert que la Terre a subi des événements naturels destructeurs dans le passé
- ces événements violents (inondations, maladies, sécheresses...) ont exterminé de
nombreuses espèces chaque fois qu’ils se produisaient
- c’est ce qu’on appelle le catastrophisme
- Cuvier explique ainsi la présence des fossiles d’espèces qui n’existent plus
Sir Charles Lyell
(1797-1875)
- ses idées différaient de la théorie de Cuvier et du catastrophisme
- il développe la théorie de l’uniformitarisme
- les processus géologiques d’autrefois se sont produits sur de longues périodes de
temps
- ces changements lents et subtils pouvaient également se produire dans les
populations (Charles Darwin)
Thomas Malthus
(1766-1834)
- le principe de population
- les réserves alimentaires ne peuvent jamais suivre l’accroissement rapide de la
population humaine
- pour maintenir un équilibre dans la nature, une catastrophe survient de temps à autre
pour réduire la population
- ces catastrophes (guerres, famines, épidémies, cataclysmes divers) rétablissent
l’équilibre entre les réserves alimentaires et la population jusqu’à ce que la terre soit à
nouveau surpeuplée