•
et
donc
est vérifiée.
•On suppose la propriété vraie pour un n quelconque. Ainsi .
f étant croissante sur [e ;
[, on a
ainsi
.
•Ainsi pour tout n de
,
.
Ainsi la suite
est décroissante. Or elle est minorée par e (cf (b)) donc elle converge vers
un réel de [e ;
[.
Partie B
1. On a
=l donc comme f est continue
=f(l ).
Or
donc
=
=l . Ainsi f(l )=l.
2. On résoud alors
= l donc ln(l)=1 ainsi l=e.
Exercice 3 : (Spé) (Extrait de Centres étrangers Juin 2006)
Partie A
1. 4 ≡ 1 mod 3, donc
≡
mod 3 et finalement
≡ 1 mod 3.
2. 4 est premier avec 29 (en effet, 29 est premier). Donc d’après le petit théorème de Fermat :
−1 ≡ 0 mod 29 ou encore
−1 est divisible par 29.
3. 4 = 0×17+4 donc le reste dans la division euclidienne de
par 17 est 4.
= 0×17+16 donc le reste dans la division euclidienne de
par 17 est 16.
= 3×17+13 donc le reste dans la division euclidienne de
par 17 est 13.
= 15×17+1 donc le reste dans la division euclidienne de
par 17 est 1.
La dernière égalité montre que
≡ 1 mod 17, d’où
≡
mod 17 soit
≡ 1 mod 17
ou encore
−1 ≡ 0 mod 17.
Conclusion :
−1 est divisible par 17.
4. On a
= 16 = 3×5+1 ou
≡ 1 mod 5 d’où il résulte que
≡ 1 mod 5 ou encore
−1 ≡ 0 mod 5.
Conclusion :
−1 est divisible par 5 si n est pair.
Par contre : de 4 ≡ 4 mod 5 et
≡ 1 mod 5 il résulte par produit que
≡ 4 mod 5.
Conclusion :
−1 est divisible par 5 si et seulement si n est pair.
5. Diviseurs premiers de
− 1 : la question 2 a déjà donné le nombre 29 ;
laquestion 3 a donné le diviseur premier 17 (car 28 est un multiple de 4) ;
la question 4 a donné le diviseur 5 (car 28 est pair) ;
D’autre part, 4 ≡ 1 mod 3 entraîne
≡ 1 mod 3 ou encore
est divisible par 3 qui est
premier.
Partie B
1. 4 =
; si p est premier différent de 2, il est premier avec 4, donc d’après le petit théorème
de Fermat
−1≡ 0 mod p ou
≡ 1 mod p. Le premier premier différent de 2 est 3,
donc n = p −1>1.
2. (a) On a donc :
≡ 1 mod p,
≡ 1 mod p et n = bq+r avec r < b. On déduit de la
seconde congruence que
≡ 1 mod p et par quotient avec
≡ 1 mod p que
≡ 1
mod p. Or b étant le plus petit naturel vérifiant
≡ 1 mod p, il en résulte que
= 1 ou
encore r = 0.
(b) On vient de démontrer dans la question précédente que si
≡ 1 mod p, alors n est
multiple de b, b étant le plus petit entier naturel positif tel que
≡ 1 mod p.
Inversement si n = kb, de
≡ 1 mod p, on déduit que
≡
mod p soit
≡ 1 mod p.
L’équivalence est donc démontrée.