BULLETIN DE L’ Mensuel publié par l’Institut de recherche en économie contemporaine/Janvier-février 2011 2/Analyse du CASIQ 3/ Entrevue avec Yves Lavoie, président du RéseauIQ 4/ AÉCG Répertoire de thèses et de maîtrise sur le commerce international Colloque et conférences À NOTER ❚ Forum « Autres voix, autres choix » Budget du Québec 2011 : bâtir des alternatives Le regroupement de cinq réseaux d’économistes tiendra un forum sur le budget du Québec. Il sera l’occasion de faire une synthèse des débats tenus ces derniers mois lors de trois conférences publiques sur le développement économique (Québec), les services publics (Montréal) et les finances publiques (TroisRivières). Des propositions seront débattues en lien avec les orientations que devraient prendre le gouvernement du Québec lors de la présentation du budget 2011. DATE : 24 février 2011 ENDROIT : Auditorium du Pavillon des sciences de l’UQAM au 141, rue du Président-Kennedy à Montréal HEURE : 9 h à 17 h Pour informations ou s’inscrire, voir www.irec.net COLLOQUE SUR L’ÉLECTRIFICATION DES TRANSPORTS COLLECTIFS Le Québec est mûr pour une corvée transport Le 20 janvier dernier, la centaine de participants et de participantes au colloque portant sur l’électrification du transport collectif ont accueilli avec enthousiasme au projet d’une corvée transport, pierre angulaire d’une stratégie énergétique pour le Québec. La réception était d’autant plus significative que l’assistance était composée de représentants et de représentantes des principaux secteurs de la société québécoise (industrie, chambre de commerce, syndicats, sociétés de transports, partis politiques, plusieurs ministères du gouvernement du Québec, firmes d’ingénieurs, etc.) R obert Laplante a Après une descriplancé la réflexion tion convaincante de en situant les enjeux Pierre Langlois sur les fondamentaux liés à avantages d’un réseau l’indépendance énergéquébécois de monorail tique pour le Québec. rapide suspendu à Il a notamment insisté moteur roue l’éconosur la nécessité d’élarmiste Gabriel Ste-Marie gir la perspective et de a analysé les retombées se placer à l’échelle des économiques d’une comptes nationaux. corvée transport. Elle Il a également dit que représenterait un De gauche à droite à l’avant : André Véronneau, président du conseil d’adl’IRÉC poursuivrait une ministration de l’IRÉC, Pierre Couture, inventeur du moteur roue et concep- investissement d’envirecherche sur le finan- teur du monorail rapide suspendu à moteur roue et Raymond Deshaies, ron 20 milliards $ et cement de cette grande concepteur d’un autobus hybride dès 1966! la création de près de corvée transport. Yves Lavoie, a enchaîné en insis140 000 emplois. La valeur ajoutée serait de 11,9 G$, tant sur l’urgence pour le Québec de se soustraire à dont 6,3 G$ versés en salaires, 5,3 G$ en rémunésa dépendance au pétrole. Il a plaidé en faveur d’une utilisation accrue de l’électricité dans le domaine COLLOQUE /SUITE À LA PAGE 2 du transport en optant pour les véhicules hybrides DEUXIÈME NOTE D’INTERVENTION branchables, pour les autobus électriques biberonnés et pour le monorail rapide suspendu à moteur. Il a rappelé que le RIQ s’est également penché sur le financement en proposant la mise sur pied d’un ’Institut de recherche en économie contemFonds national en efficacité énergétique. poraine (IRÉC) a lancé une deuxième Note Lors de la table ronde sur les choix technologid’intervention sur les négawatts dans le cadre de son ques et la reconversion industrielle, ii a été question vaste programme de recherche sur l’indépendance d’une étude qui montre que le Québec risque de énergétique du Québec. Le chercheur Gilles Bourque rater son objectif de -20 % d’émission de gaz à effet suggère de faire avec l’énergie ce qui a commencé de serre à moins d’un coup de barre majeur particu- à se faire sur une grande échelle avec les déchets. lièrement dans le transport (Daniel Breton). Michel « Dans l’optique du mouvement des « négawatts », Labrecque a fait ressortir la contradiction entre les trois principes devraient s’imposer en matière de objectifs et la réalité. Il constate qu’il y a une auggestion de l’énergie, dit-il. C’est l’approche SEE : mentation annuelle de 2-3 % du parc automobile, la sobriété énergétique, l’efficacité énergétique, les une augmentation du nombre d’autoroutes et des énergies renouvelables. distances à parcourir. Maxime Ouellet a plaidé pour Une stratégie plus ambitieuse d’efficacité une meilleure concertation afin de développer le énergétique est nécessaire pour le Québec. transport collectif électrique. Photo : Normand Rajotte SOMMAIRE Les négawatts L NÉGAWATTS/SUITE À LA PAGE 2 COLLOQUE/SUITE DE LA PAGE 1 ration du capital et 320 M$ en revenus nets des travailleurs autonomes. Par ailleurs, les revenus fiscaux des deux niveaux de gouvernement (impôts, taxes, parafiscalité) s’élèveraient à près de 2,3 G$. Pour le monorail, on parle de 90 000 emplois dont 65 % des retombées restent au Québec. Les participants et participantes à la deuxième table ronde ont essayé de voir en quoi ce projet pourrait être mobilisateur. Une stratégie mobilisatrice doit avoir une vision intégrée du financement et de la gouvernance avec des cibles qualitatives échelonnées sur un horizon de dix ans. Il faut définir des objectifs communs. (Florence Juncas-Adenot). Les deux autres intervenants ont insisté sur la nécessité de ne pas mettre de côté d’autres solutions comme la réduction des infrastructures routières, revoir nos modèles d’urbanisme, etc. (Philippe Bourque) et de penser la mobilité en matière d’occupation du territoire. (Claire Bolduc) ». Voir le dossier complet sur le colloque sur le site de l’IRÉC à l’URL : http://www.irec.net/ index.jsp?p=82 NÉGAWATTS/SUITE DE LA PAGE 1 D’abord, les surplus actuels d’électricité sont temporaires. Ensuite, les négawatts sont une source d’énergie fiable, peu coûteuse, durable et favorable au développement des communautés. De plus, cette stratégie ouvre une voie exceptionnelle de création d’emplois et de développement local, puisque les activités économiques associées à cette approche sont généralement à forte intensité de main-d’oeuvre et réalisées sur des marchés de proximité. Enfin, les capacités énergétiques du Québec représentent une occasion à long terme pour se libérer du pétrole et reconvertir notre économie ». Le secteur de la transformation des biens est le plus grand consommateur d’énergie avec 40 % du total. Le potentiel d’efficacité énergétique dans le secteur industriel équivaudrait à 30 % des volumes consommés. Enfin, le chercheur a retenu une proposition du Réseau des ingénieurs du Québec. « La création d’un Fonds de financement de projets d’efficacité énergétique dédié aux secteurs industriel, commercial et institutionnel (les ICI) constitue une proposition à fort potentiel structurant. Ce fonds devrait constituer une pièce majeure d’une stratégie globale de reconversion soutenable puisqu’elle s’adresse au plus grand consommateur d’énergie, le secteur manufacturier », a-t-il conclu. 2 ANALYSE DU CASIQ AU 31 JANVIER 2011 L’IQ-30 connaît une hausse de 1,68 % A u cours du mois de janvier 2011, l’IQ30 a subi une hausse de 1,68 % pour se situer à 1352,40. Seize titres ont augmenté alors que quatorze titres ont baissé au cours du mois. Quatre des sept secteurs de l’IQ-30 ont connu une hausse au cours du mois. Le secteur des Technologies de l’information a eu la plus forte variation positive soit 11,98 %. Le secteur des Matériaux a subi une baisse de l’ordre de 6,83 %. Durant le dernier mois, le titre de la compagnie Bombardier BBD.D. a augmenté de +13,77 %. Celui de la compagnie Corporation Minière Osisko (OSK) a affiché une diminution de l’ordre de -8,33 %. Depuis le début de l’année, les huit secteurs du TSX composé ont connu une croissance positive de +0,81 %. La plus forte variation positive provient du secteur de la Santé avec 11,95 %. Pour des informations plus complètes, voir l’URL : http://www.iq30-iq150.org/ Tableau comparatif des secteurs Depuis le vendredi 31 décembre 2010 au lundi 31 janvier 2011 10–Énergie 15–Matériaux 20–Industrie 25–Consommation discrétionnaire 30–Biens de consommation de base 35–Santé 40–Finance 45–Technologies de l’information 50–Télécommunications 55–Services aux collectivités Variation IQ-30 (%) TSX Composé (%) - -2,88 4,96 -0,81 -0,74 - 1,51 11,98 2,91 - 1,68 5,28 -5,43 3,58 2,40 -0,54 11,95 0,57 4,82 4,66 0,72 0,81 N.B. Le secteur de l’énergie, la santé et des services aux collectivités ne sont pas représentés dans l’IQ-30. Tableau comparatif des secteurs de l’IQ-30 avec les secteurs de l’Indice composé S & P/TSX Depuis le début de l’année au lundi 31 janvier 2011 10–Énergie 15–Matériaux 20–Industrie 25–Consommation discrétionnaire 30–Biens de consommation de base 35–Santé 40–Finance 45–Technologies de l’information 50–Télécommunications 55–Services aux collectivités Variation IQ-30 (%) TSX composé (%) - -2,88 4,96 -0,81 -0,74 - 1,51 11,98 2,91 - 1,68 5,28 -5,43 3,58 2,40 -0,54 11,95 0,57 4,82 4,66 0,72 0,81 N.B. Le secteur de l’énergie, de la santé et des services aux collectivités ne sont pas représentés dans l’IQ-30. IQ-30 : Les plus fortes hausses depuis le début de l'année Société Corporation minière Osisko BCE Semafo Saputo Banque Nationale du Canada Prix ($) 31 déc. 2009 8,46 29,00 4,43 30,75 60,24 Prix ($) 31 janvier 2011 13,31 36,37 10,20 41,80 69,81 Variation Pondération (%) Variation du titre au 31 déc. pondérée % 2009 % 57,33 3,35 1,92 25,41 7,39 1,88 130,25 1,13 1,47 35,93 4,02 1,44 15,89 8,44 1,34 ENTREVUE AVEC YVES LAVOIE Le RéseauIQ, c’est quoi? Le développement énergétique e RéseauIQ est un organisme sans but nécessite l’interdisciplinarité L lucratif qui représente plus de 59 000 membres répartis dans tout le Québec. Sa À l’automne 2010, le Réseau des ingénieurs du Québec publiait une importante étude sur la mobilité durable1. Nous avons rencontré Yves Lavoie, le nouveau président. Nous le remercions. « Sans nous être consultés, dit-il, l’IRÉC et le RIQ en arrivent aux mêmes constats. Il faut se sortir de notre dépendance au pétrole et miser sur la mobilité durable grâce en particulier à l’électricité. Nous sommes conscients qu’il faut s’associer avec d’autres voix pour le développement durable. Le développement énergétique nécessite l’interdisciplinarité. Nous maîtrisons les dimensions technologiques. Avec l’IRÉC, nous pouvons intégrer la dimension économique dans notre réflexion ». I l a poursuivi en expliquant que cette implication du RéseauIQ fait partie de l’effort pour responsabiliser et soutenir les ingénieurs face aux défis énergétiques, au développement durable et aux grands enjeux de société. C’est pourquoi le Réseau insiste tant sur la nécessité de s’affranchir de la dépendance du Québec au pétrole. « Cela coûte chaque année environ 15 milliards de dollars à l’économie du Québec. Un peu plus de la moitié de cette somme est absorbée par le transport des personnes et des marchandises. Le pétrole est le premier produit d’importation et le premier responsable de notre déficit commercial », explique Yves Lavoie. Tout milite en faveur de cette reconversion : les sources d’approvisionnement seront de plus en plus coûteuses à exploiter, elles le seront dans des zones géopolitiques instables alors que les économies émergentes verront leurs propres demandes augmenter. C’est aussi une source d’énergie très polluante. à motorisation électrique (VME) légers et la diminution de la consommation de carburant. Selon Yves Lavoie, « un million de voitures électriques consommerait moins de 2 % de l’électricité utilisée par les Québécois et les Québécoises ». Le RIQ suggère également de favoriser les transports collectifs, alternatifs et actifs. Pour les transports collectifs urbains, il préconise les autobus électriques biberonnés, car ils rendent possible l’électrification complète d’un parc d’autobus urbains, sans fil au-dessus des rues et l’utilisation de batteries québécoises au titanate de lithium nanométrique qui permettent de les charger très rapidement. Pour les transports collectifs interurbains, comme Soutenir l’industrie québécoise Un Fonds national en efficacité énergétique « Des choix judicieux doivent être faits si on veut diminuer notre consommation de pétrole de 60 % d’ici 20 ans dans les transports routiers, soutient l’ingénieur. Le Québec dispose d’électricité en abondance pour effectuer le virage de l’électrification des transports et sans avoir à construire de nouveaux barrages ». Le RéseauIQ est en faveur de la mise en œuvre d’une stratégie québécoise de la mobilité durable selon deux axes stratégiques. Le RIQ s’est aussi penché sur le financement. « Avec du financement avantageux, la consommation énergétique des bâtiments, des procédés de production ou des parcs automobiles à la grandeur du Québec pourrait être attaquée de front. C’est pourquoi nous proposons un Fonds national en efficacité énergétique (FNEE) bâti sur le modèle d’un fonds qui consentirait des prêts aux grands consommateurs d’énergie et s’autofinancerait dans le temps, à même les économies d’énergies réalisées ». Le président du RéseauIQ conclut en affirmant que l’avenir du Québec réside dans sa Réduire l’empreinte de carbone 1. Voir sur le site www.reseauiq.qc.ca, le document Propositions du RéseauIQ pour engager le Québec sur la voie de la mobilité durable. Un autre document fort intéressant peut aussi être consulté : Propositions concernant la création d’un Fonds national en efficacité énergétique. l’IRÉC, le RéseauIQ préconise le monorail rapide suspendu à moteur roue. Enfin, il faut augmenter l’usage des carburants alternatifs avec, notamment, les biocarburants de deuxième génération. Le deuxième axe est centré sur le soutien de l’industrie québécoise des VME. « Nous suggérons entre autres d’accroître la part de marché du contenu québécois dans la chaîne d’approvisionnement des VME, d’accroitre la visibilité de l’industrie québécoise du VME dans le monde », souligne le président du RIQ. S’appuyer sur l’électricité Le premier axe est centré sur la réduction de l’empreinte de carbone et de la dépendance au pétrole du transport. Pour cela, il suggère de maximiser la pénétration des véhicules mission est de valoriser, promouvoir et servir les ingénieurs au Québec. Pour cela, l’organisme : - prend des positions publiques afin de promouvoir les intérêts socio-économiques des ingénieurs; - conçoit et négocie des programmes et des services avec des partenaires commerciaux reconnus; - répond aux besoins des différents acteurs du monde du génie en matière d’emplois et de formation. Yves Lavoie est président du RéseauIQ depuis 2010. Il est membre du Ccomité spécial pour l’intégration, du comité de gouvernance et du comité de soutien des intérêts socioéconomiques des ingénieurs. Il a été administrateur de l’Ordre des ingénieurs du Québec et de la Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy. Depuis 2006, il est administrateur du Technocentre en écologie industrielle. capacité à utiliser l’énergie à bon escient, que ce soit pour ses procédés industriels ou pour la mobilité des hommes et des biens. « Le Québec, dit-il, a tout ce qu’il faut pour relever les défis de la conjoncture énergétique mondiale. C’est en matière de transport et de mobilité durable que se posent les premiers défis ». 3 ACCORD ÉCONOMIQUE ET COMMERCIAL GLOBAL (AÉCG) Une menace pour la souveraineté économique du Québec Un rapport de recherche produit dans le cadre d’un programme de recherche sur les négociations en cours entre le Canada et l’Union européenne en vue d’un Accord économique et commercial global (AÉCG) conclut que le Québec court le risque d’une perte de souveraineté économique importante. « Les restrictions contenues dans l’entente réduiront la marge de manoeuvre des provinces en matière de marchés publics. Cette entente emprisonnera les gouvernements dans une logique d’octroi des contrats au plus bas soumissionnaire », a déclaré Alexandre L. Maltais, chargé de projet de l’IRÉC. L ’étude intitulée « Accord économique et commercial global Canada-Europe : quelles conséquences pour le Québec? » porte sur le volet des négociations visant la libéralisation des marchés publics subfédéraux. L’AÉCG a une portée et un champ d’application très étendus qui comprennent l’ensemble des contrats octroyés par les gouvernements des provinces, des municipalités et des entités adjudicatrices (sociétés d’État, organismes publics et parapublics, etc.). Il impose le principe de la non-discrimination envers les fournisseurs étrangers et interdit de favoriser les entreprises locales. D’autres aspects inquiétants de l’entente L’auteur montre également que l’AÉCG constitue une menace sérieuse aux politiques de protection de l’environnement mises en place par les gouvernements grâce aux marchés publics et aux normes sociales en vigueur au Québec. Après avoir passé en revue la littérature scientifique, le chercheur de l’IRÉC demeure sceptique quant aux soi-disant bienfaits de la libéralisation des marchés publics. « Le grand gagnant de cette négociation sera fort probablement le secteur privé, dit-il. En effet, plusieurs observateurs ont fait valoir que l’accord était calqué sur les besoins des grandes entreprises. En outre, les retombées économiques seraient distribuées inégalement entre les régions du Canada ». En conclusion, le chercheur constate que « des choix lourds de conséquences pour notre modèle de développement risquent de se faire derrière des portes closes, car les discussions se poursuivent sans véritable débat public ». UN COLLOQUE ET DEUX CONFÉRENCES POUR FAIRE AVANCER LES CHOSES Photo : Michel Giroux ➜Une conférence sur les services publics a eu lieu le 24 novembre 2010 à Montréal. (Voir photo ci-contre). Celle portant sur les finances publiques a eu lieu le 19 janvier 2011 à Trois-Rivières. Le forum « Budget du Québec 2011 : Bâtir des alternatives! aura lieu le 24 février 2011. Voir page 1 de ce bulletin et sur le site de l’IRÉC http://www.irec.net/index.jsp?p=80. Photo : André Laplante E n complément à l’article sur l’AÉCG Canada-Europe, voici des thèses et des mémoires sur le commerce international se trouvant sur : www.irec.net. Notre site est l’un des plus riches répertoires de thèses et de mémoires produits dans les universités québécoises dans le domaine de l’économie. AVIGNON, Pierre. Les innovations de l’Accord nord-américain de coopération dans le domaine du Travail (ANACT). Université de Montréal, 79 p. 2003, Numéro de référence : 360 BOURQUE, José. L’impact de la libéralisation des échanges commerciaux sur l’environnement. École des Hautes Études, 1999, 70 p. Numéro de référence : 64 MARCARIAN, Arwin. Méta-analyse de l’incidence du commerce international sur l’inégalité salariale. ESG-UQAM, 2010, 88 p. Numéro de référence : 718 SINCLAIR, Jean-Christophe. Migrations internationales et intégration régionale dans l’Union européenne et dans l’Accord de libre-échange nord-américain. UQAM, 1998, 162 p. Numéro de référence : 220 BULLETIN DE L’ « Autres voix, autres choix » 4 Commerce international STRACHINESCU-OLTEANU, Magdalena Andreea. Les accords commerciaux préférentiels entre les petits et les grands pays - le cas d’un accord entre le Canada et l’Association européenne de libreéchange. HEC Montréal, 2007, 248 p. Numéro de référence : 709 Social-démocratie ➜Un colloque international sur le renouvellement de la social-démocratie a réuni plus de 200 personnes à Montréal les 26 et 27 novembre 2010. Un texte publié dans Le Devoir a servi de point de départ (http://www. chantiersocialdemocratie.org/spip. php?rubrique1). Une synthèse a été rédigée par Benoît Lévesque (http:// www.irec.net/index.jsp?p=78). RÉPERTOIRE DE L’IRÉC Bulletin d’information de l’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) à l’intention des Amis de l’IRÉC/Numéro 12 1030, rue Beaubien Est, bureau 103 Montréal, Québec H2S 1T4 Tél. 514 380-8916/Télécopieur : 514 380-8918 [email protected]/ www.irec.net Directeur général de l’IRÉC : Robert Laplante Responsable du bulletin : André Laplante 514 564-7955/[email protected] Collaboration : Frédéric Farrugia (CASIQ) Graphisme (grille) : Anne Brissette Dépôt légal à la Bibliothèque nationale du Québec