Séminaire Brelot-Choquet-Deny. Théorie du potentiel M ARC ROGAISKI Étude du quotient d’un simplexe par une face fermée et application à un théorème de Alfsen ; quotient par une relation d’équivalence Séminaire Brelot-Choquet-Deny. Théorie du potentiel, tome 12 (1967-1968), exp. no 2, p. 1-25 <http://www.numdam.org/item?id=SBCD_1967-1968__12__A2_0> © Séminaire Brelot-Choquet-Deny. Théorie du potentiel (Secrétariat mathématique, Paris), 1967-1968, tous droits réservés. L’accès aux archives de la collection « Séminaire Brelot-Choquet-Deny. Théorie du potentiel » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/legal.php). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright. Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques http://www.numdam.org/ 2-01 Séminaire BRSLOT-CHOQUET-DENY (Théorie Potentiel) du 1967/68, année, 12e 30 novembre 1967 n° 2 ÉTUDE QUOTIENT D’UN SIMPLEXE PAR UNE FACE FERMÉE DU À ET APPLICATION QUOTIENT THÉORÈME UN PAR UNE RELATION DE ALFSEN ; D’ÉQUIVALENCE Marc ROGAISKI 1. Définitions et notations. X Soient et On vide non l’espace A(X) de Choquet [4], et F appelle ~(~~ l’ensemble simplexe un des de désignera pologie faible dans plongé est des topologique de (resp. o(A’ , A) ). On le dual de X, X . On note de le sous-espace F . sur Ap (resp. A ) peut toujours muni de la to- supposer que A’ , c’est-à-dire que toute fonction affine continue la restriction d’une fonction affine continue paré de X , distincte points extrémaux fonctions affines continues sur X , et formé des fonctions nulles AF (resp. A’ ) une face fermée espace localement sur un X sur convexe X est sé- "ambiant". Soit On trouvera dans [9J le résultat suivant : est PROPOSITION 1. - ment, p our l’ordre naturel et un la norme Y , nulles tions affines continues sur chapeau universel continue inférieurement sur c’est Y , et on qui taire" de X sera permettra F , améliorerons ainsi [2], et nous F suivant où A~ N Y sur AF et est un est affine seni- par la face un X/F, F le simplexe que de résultat sera ce F u de façon "fonctionnelle", X, "supplémenla plus grande face disjointe de F , et que de montrer l’existence d’une face convexe F’ : X = conv[F qu’ALFSEN démontrait u de F’ F’]. de Nous retrouverons et façon toute géométrique dans étudierons de plus la "nature borélienne" de la décomposition de X et Enfin, nous caractériserons le cas où F’ est fermé et le cas est réticulé. cf. aussi norme et le quotient Anj~ l’espace sens en ce l’enveloppe plus, Y=X/F . notera : nous la 0 . De appellera quotient du simplexe X 2. - On Nous allons étudier ce en car un DEFINITION simplicial, qui est isomorphe canoniquedes fonc(isométrie), à l’espace espace [7 ]o) (Pour l’étude géométrique de la décomposition d’un simplexe, 2-02 Nous avons continues sur un convexe Un 2e rons. Nous (cf, les rappelons définition propriétés 3. - Le "col de est face de une dire ~[L(Y)], Y appendice les fonctions sur convexes des fonctions boréliennes de 18). appendice Un 3e suivantes donne "quasi- lemme utile. ([9J , [3]) ~ L(Y) = ~~ ", c’est-à-dire l’ ensemble et ë(v) = 6[L(Y)] ~ {0} . est la frontière de un servi- nous nous propriétés semi- Choquet E Y1 ~,~~~ - ~ ~ (0) , L’ ensemble Ap de l’ensemble c’est-à- de fonctions conti- Y . nues sur 2. Y , des un il contient des résultats dont compact ;9 appendice énonce classe" preniére à la fin du texte, placé L’application canonique de X sur son quotient, y et la fonction-quotient F. de / DEFINITION 4. (a) dans Soit s’appelle La fonction... nue la fonction lj caractéristique la inférieurement, comprise PROPOSITION 5. - 0 et complémentaire du fonction-quotiont entre de s est compact à de X ( cf. ~4~, ~9 ~, 1 F. On pose : de F . Elle est affine semi-conti- est affine continue L’application x -&#x3E; Y . est affine continue, et bien sûr AF (b) f(x) . L’application On pose, et I appendice surjective (K) ). Y , t sur vé- rifie : En effet, X est Donc ~. de inclus dans A~, . Ap ~ contient la frontière de Donc &#x26;(x) =! ô(F) = (0) . Or f E Or, si Y . &#x26;(x) ~ 0(Y) . Donc Donc Y . L’égalité avec fermé maximisant pour ë(ï) B Choquet = un un convexe f s 0 = sur 0 est bien claire. Mais F , et f(x) = 1 on ( cf . [9]). 3 f E sait que si Donc 0 x si x e X B F ,, et x ~ 6~(0) . C. Q. F. D. 2-03 PROPOSITION 6. - De est plus, 03C6 Si est identique à D’abord,’ puisque 1CF 1 1 h~ 0(X) , sur est semi-continue (appendice l (H) ) . Donc ~ = 1 Mais si x~F . on sait qu’il et de la fonction-quotient F inférieurement , , existe F , sur ~(x) 0 ~ ~ ~ lCF . car sur 0(X) sur 1CF = avec et exactement1 on a 0 6(x) BF . (p=0 sur (cf. F , F , h(x) &#x3E;0 x # ~p ~ (0) . &#x3E;0 , donc C. Q. F. D. DEFINITION C’est G un F’ et 03C6 est un F’ 7. - La face de X Gs , = ~-1(1) (intersection appelée est face dénombrable d’ouverts supplémentaire convexes)~ F . de et car est semi-continue inférieurement. PROPOSITION 8. - Soit N la Alors : norme sur ~ N = rieurement Si est affine semi-continue infé- s o X , et # sur F , x E existe h(x) Donc ë(x) ~ (cf. [9]) qu’il telle que 0 et 1, x L(Y) . identique à N F . Donc et ~ X, ~ cp = sait F . sur = 1 . Donc = F’ 0 0 ~ h ~ 1 , x L’égalité on = sont sur 1 sur # sur 6(x) . Comme affines semi-continues sur cp = X ( cf . appendice I (B)). est alors évidente. C. Q. F. D. 2-04 REMARQUE 9. - Pour montrer que induit ô est montrer que séparation de résulte aussi de L’égalité ~ _ ~ injective. )f(x) - f(y)) h de allons établir f sur F f convient. Sinon,y soit g = h est nulle, F sur de f f - inf F f , e A(x) telle que h(y) . telle que Si l’oscillation de propriété une sup f - inf f . F F = -- ~ il faut d’abord l’es ace oscillation de &#x3E; L(Y) , y EX, et supposons qu’il existe et x nous sur . séparation 3. Quelques propriétés de Alors il existe cela, ~(X) . l’espace LEMME 10. - Soient Pour F’ de isomorphisme un l’égalité : = et soit f + À , constante convenable, À f l’oscillation de w sur F . Posons : g g2 concave x == g = (g - f(x) - f(y) exemple Donc inférieurement;J supérieurement. semi-continue convexe g2 ~ gl ’ donc d’après telle que g2 h g1 . par semi-continue théorème d’Edwards un 0 Donc h &#x3E; (u &#x3E; 0 , alorsy = (cf. [5J, [9J), F , c’est-à-dire sur h il existe ~ A- . h E De h(x) &#x3E;h(y) . A(X) , plus, si C. Q. F. D. THEOREME 11. - Pour tous x, y=F’ , tels que telle que B h x h(x) ? h(y) . Puisque x fl Soit g = f 3f y, ~A(x) , concave x telle que semi-continue )f(x) -f(y))Î inférieurement. Alors ~. f&#x3E;0 , et ~ =B &#x3E;0 . h sup est h6A(x) h~g affine semi-continue inférieurement, nulle ve ou F sur (cf. appendice 1 (K)) et positi- nulle. Dans X Soit C X = conv[X x , soit 1- -) u B=~(u , À) 1 {(x, g(x) - 03B 6)} À u % 1(u)) , convexe (y, g(y) - é)1 , fermé. convexe compact, 2-05 disjoint de B . Par le théorème de Hahn-Banach, il existe fonction affine continue h séparant X sur sens ce - C et B en que : À 03B 3 h0 0 h 0 sur FF , sur et est la où u de F’ ~ ~ . Donc ~ u feu) . D’où, Donc ~,u (f ) car F n = et y. Î h Donc, il existe D’après ~ h~ le lemme 3~ , = g~ on en = maximale u (cf. appendice u E F’ , ~, (F) 0, u E Or f A(X) . l (K) ) . f sur Si en = particulier, en x h~ sur conclut que petite que 2014 . 1 BhO(X) - telle que 10, il existe donc g mesure barycentre f . C’ est l e cas, est plus F sur A(X) (f ) puisque F’ , sur CommeÎf(x) - Or, l’oscillation de F . u ~(u) =~(g) . ueX , si Or, h oscillation de &#x3E; h(y) . telle que ~ C. Q. F. D. 4. La décomposition THEOREME q,ue de F’ X en faces supplémentaires. 03B4 à F’ est un isomorphisme affine topologiL(Y) , et ô[S(x) ~ F] 6(Y) B (0) . 12. - La restriction de = sur On sait que injective de sur compact de X implique que ô est affine continue F’. Soit K . Le fait que surjective. D’après un fermé de ô soit F’ . Alors bijective sur K = le théorème F’ n F’ , et que K’ , où F’ = 11, K’ 6 est est un 2-06 C’est donc L(Y) , fermé de un y s(K’) car Donc compact. est est bicontinue. Õ ô[ë(x) B F] = ë(v) ~ (0) . Il résulte de ceci que C. Q. F. D. 1 DEFINITION 13. - Si x ~ X B F , u(x) l’unique point appellera X tel que Le point u(x) appartient à on y de F’ . On posera :t f= 0 Si f E sur A~(x) , ~ A(X) . f LEMME 14. - Soit Alors, si 0 F et notons f f ~&#x3E; = 0 F sur la même fonction considérée f(x) § et comme 0 . fonction Y . sur Alors, les deux membres de l’équivalence ci-dessus s’écrivent aussi : et ces deux relations sont bien PROPOSITION 15. - Si L’ensemble conv[F u équivalentes. o F,y x (u(x)}] Soit g = On sait que appendice f(x) 0 , et 1 f x g lCF ’ 0 = (K)). 0 . On concave sur qu’il peut toujours existe g = g f A(X) , f ~ 0 que f[u(x)] &#x3E; 0 semi-continue inférieurement. On F , que g sur de convexe f E supposer A(X) :s E F , sur . a (cf. est affine semi-continue inférieurement Le même raisonnement que celui théorème 11 prouve que à l’ enveloppe étant conpact, il suffit de Raisonnons par l’absurde, et supposons f[u(x)~] ~ appartient x F’ ; donc figurant g[u(x)] &#x3E; dans la démonstration du 0 Or o ~(x) ~ g(x) 0 . . Soit e , avec 0 e blu(x) 1 . Il existe ho E A(X) , telle que 2-07 h = Soit h le théorème x convexe , il existe d’Edwards, h[u(x)] ~0 ~ sur h h(x) et supérieurement. semi-continue 0 , qui ce D’après h g . Donc h impossible d’ après le lemme telle que E h1 g . Alors est h1 0 = 14. C. Q. F. D. THEOREME mentaire de décomposition une et alors X==~(x) ~ la f ace fermée d’un face et seule : une simplexe X , la face F . Pour tout de disjointe grande F’ supplé-- (F x est affine semi-continue inférieurement. proposition 15, Be)o , 1( De une est la plus F il existe D’après est F 16. - Si x E conv[F ~u(x)~] , u donc il existe v ~ F et tels que plus,y Supposons inversement Donc, d’après c’est u(x) . que le théorème Donc v = face disjointe x F’ est aussi est la F , et soit = un (1 - B)v . Xu + seul u Alors X répondant = q)(x) . Donc à cette condition, unique. plus grande x E G . On a:p y E F n G , ce qui z E F’ . Si Donc de s’écrive 12, il existe v(x) Montrons maintenant que une x est disjointe face x = impossible. Ày + Donc de F . Soit (1 - ~)z ~ X = G y E F , 0 , et x = zEF’. G c F’ . C. Q. F. D. v Donnons quelques compléments géométriques :1 PROPOSITION 17. ~ (a) Pour tout x F , on a : 2-08 (b) Pour tout x e X B F , on a :â l’ensemble conv[F u [u(x)}] est l’intersection de X (c) Pour tout par l’espace vectoriel engendré par x et F , et aussi par 1’espace vectoriel fermé engendré par x et F (ceci dans A’(x) ). y Cd) 8i x tionnel si à v. en est le seul point et (c) présentent ne remarque aucune DEFINITION 18. - Soient 0 soit propor- que y et X application. On dit que ouvert de Y, on a : plus, non Y X . topologiques, et f :i "quasi 1re classe" si, deux espaces est borélienne de f (d) difficulté. Le point 1 . = 5. Le caractère borélien de la décomposition de une tel F de y . ")F points (a), (b) Les v(x) E X B F, X ~ Y pour tout y où V n , y - est est n X ouvert de un et - - (par F un 0 (f (o) classe est de Ire classe 20142014201420142014201420142014201420142014201420142014201420142014 Toute fonction est X exemple si numérique = F un n fermé de métrisable), Fcr) . semi-continue X. Si tout ouvert de "’ sur un ’ alors une fonction de topologique espace X ’~ quasi est de Ire quasi Ire classe. Si on fonction compose une continue, On trouvera dans se qui nous fonction de on obtient une (à gauche Ire classe fonction de quasi II des résultats l’appendice ou à droite) avec une Ire classe. sur les fonctions de une face fermée de quasi Ire cla- serviront dans la suite. THEOREME 19. - Soient (a) quasi La face X un supplémentaire simplexe, et F’ est F X , est semi-continue intérieure- un ment ; (b) L’application x-&#x3E;u(x) est borélienne de (a) résulte des définitions 4 et 7. (b) Il suffit de montrer que l’application x L4~ quasi Ire classe de Y B sur 101 XB F . dans L(Y) 2-09 est de L(Y) de Or Ire classey quasi u -&#x3E; car ô est u continue, et est continue x -&#x3E; ’ dans x -&#x3E; 0 -.T72014r est la composée des applications :t et Cette dernière étant de l’appendice (0) ) . résulte aussi plus directement de l’énoncé (il II (N) le théorème résulte de l’énoncé continue, C. Q. F. D. THÉOÈEME X B F’ de Si les re de yi il existe F : ° (M) (appendice L’application donc de quasi Ire e = sous-ensemble dénombrable de A(X) qui sépa- e2: F ~ ~! , classe. Donc, Comme 03C8-1 : 03C8(F) R =R) l’application un homéomorphisme de F définie par sur 03A8(F) . e~ l’appendice II, est de quasi Ire classe. est de définie par quasi (R)). II F’ 82: X B dans de R~ -~ ~ Comme quasi Ire classe. rée comme application de X B F’ classe. définie par R (0) et est de de est Alors 03A8|F -3&#x3E; Ire classe quasi première (où 81: X B F u F’ Donc un métrisable, l’application x ~ v(x) ° Soit les énoncés est X X ’ F’ = D’après de est borélienne de F métrisable, points ’ So.it 03A8(x) dans est F F 20. - Si la face X B -&#x3E; F e2(x) = définie par d’après ~, l’énoncé définie en (Q) v de l’appendice II, l’applica- fait par e(x B F’) c: Y(F) , dans ?(F) . F’ est continue, est continue, = 03C8-1 il en 0 e e(x) = est de même de est de quasi considé- e Ire classe F . C. Q. F. D. REMARQUE 21. - Si borélienne; F n’est pas métrisable, on ignore si Inapplication v est 2-10 6. Etude du / où cas supplémentaire. (a) F’ (b) A2014(x) une face fermée de suivantes sont équivalentes : cas est réticule. , THEOREME 22. - Soient ce où est fermée et du F’ propriétés Les , F simplexe, un F’ X ,y et la fa- fermée ~ est B- Si X est de la boule unité de 0 la partie sup B; existe dans (c) La de fonction-quotient 03C6 (d) II existe h e A(X) , 1 est F continue ; ~ h ~ 0 , telle que h 0 = F sur et h = 1 sur F’ ; (e) u (f) ~(X) s’écrit f Si est continue possède A(X) 3° L’espace 4° sup (b) vérifiées, + Bp = r somme (d) r E A(X) h 1 ~ H , alors alorst est F ; F’ ; directe topologique AF (X) de et A-,(x) ; . ° Si h Si h B , sup = h (c) : ====&#x3E; F’ tel que, si H cr . (d) : ====&#x3E; est F’, et sur de supplémentaire espace h est continue sur X v un g ~ supplémentaire 1° La face F ; A(X) dans conditions sont ces 2° h, g + = X , sur E h = 0 F , et sur h = (p = 1CF , donc = A(X) . vérifie (d), h = (p y car h = cp sur ~(X) . Donc 03C6 est continue. (c) ==&#x3E; (e) : Si 03C6 est continue =&#x3E; (a) ; Si est et ~ 0 , x -&#x3E; u(x) = 03B4-1[03B4(03C6(x) x) 03C6(x) ] est conti- nue. (e) de X BF . Donc Alors x+y 2 ~ X B est vide, (a) g + h qui (f) : A(X) , et ==&#x3E; E ce évidemment u 1 u(x) =x~ continue~ (FuF’) =~ . Si B x (F u F’ ) . Mais F’ étant est absurde. Donc Soit H + h(( = ~I (X) . F’ = E F’ , un f ermé x E F . Soit convexe, x+y 2 ~ F1 (F u F’ ) qui F’ . . Pour toutes est atteint est en un point x 0 et E F u F’ , donc c’est 2-11 Inversement, soit telles que d’autre pour part et h . respectivement 0 = F’ sur Or, si F sur Il existe et g E (X) = Cette fonction est sur F ~I(X) , E et g = f [5J F’ , sur telle que y = a montre immédiatement F sur F’ sur deux telles fonctions coïncideraient car uniques, sont des conditions nécessaires F , sur h le théorème d’Edwards F’ , unique, f g = 0 et sont deux fonctions affines continues définies et p a et h fonction y E A(X) l’existence d’une D’où A(X) . E g + h .En effet, d’une part f = h g f 0 FLF’ sur x ° (f) (b) : Diaprés l’hypothèse, 1 = go + hO’ &#x3E; 1 , ce qui un point, est &#x3E; 1 alors go (ou est 0 , alors est &#x3E; pointa g (ou h~ (ou ===&#x3E; y Sien o est absurde. Si 1 en ce pointa en un ce qui est absurde. et Donc Notons B~ et et H . Nous venons sup g == f~ est + m est nulle Fy sur E et sup c " " 1 " A(x) des boules unités de parties positives de montrer que B; B-~ D’après l ’ hypothèse , Or les y R~ B.j . + f = 1 Donc o f~B+A et affine B+F (car est filtrante croissante). Si ’ continuey (p et e est continue. Soit e &#x3E; sup B 0 ~ et soit existe dans x ~ X . Il A-(x) . existe ~ ~ Montrons donc que B- et h e B~j (? telles que : Donc Comme ceci Donc m + * a = lieu &#x3E; 0 , et ~ 1 , et 03C6 et 03C8 f érieurement par définition. x sont E X , on a : continues, car elles sont semi-continues in- cp 2-12 propriétés (a), les Donc, fiées. Alors,y clairement, donc est continue v A(X) Enfin, de f plus, E (f) ..., sup sont bien B == ~ y équivalentes. Supposons-les vériface supplémentaire de FI est F , et la X v F’ . sur = A~(x) @ (a) résulte de la démonstration de A(X) s’écrit g + h , g ~ A~(x) , h E A~~(x) , (f). =&#x3E; o Si, alors C. Q. F. D. Exemple. suite que F’ vague. La M;«(a , ~0-~’ , 1)) Si on prend X = i» E x1 1) ) , = fonction-quotient (p = est la et 1) . M;«(a , -~)) , n’est F F’ = pas fermée pour la fonction ~ i~à(1 ~ ) , ~,1) -~ affine semi-continue inférieurement. REMARQUE 23. - L’hypothèse que te aux précédentes. est continue sur On le voit facilement dans le cas v voit tout de on X, F’ où est bien équivalenréduite à un point n’est pas est F qui topologie extrémal. THEOREME 24. - Les (a) (b) propositions suivantes est réticule pour L’ensemble son conv[F U u xe&#x26;(X), F Si assertions sont ces On sait F = (cf. [8]) que u vérifiées, (a) ====&#x3E; (0) ] . sont équivalentes : ordre propre ; (x) j est fermé. alors ~(X) B F est fermé de un fermé F n ô-1(r) fermé D’où De fermé, Y = et F’ . F fermé. Or on a : l’équivalence annoncée. plus, alors, est fermé dans 5(x) B F =6"~(ë(Y) B {.0)) F’ . C. Q. F.D. Ce théorème étend maux. aux faces fermées une proposition de [9j sur les points extré- 2-13 propositions PROPOSITION 25. - Les (a) A- (X~ (b) F’ est est (c) &#x26;(X) ’ M-.espace un est F propositions qu’on plus, quelques propriétés en (c’est-à-dire de Bauer &#x26;(F’ ) fermé) ; avec compact. Cela résulte facilement de Donnons, (cf. [9J) ; de Kakutani à élément unité simplexe compact un équivalentes : suivantes sont trouvera dans [9L de stabilité par passage quotient. au PROPOSITION 26. (a) Si est F si est X une (b) Si X (c) ë(x) Si face fermée de est (c’est-à-dire de Bauer simplexe un X , X/F est X/F simplexe métrisable, un est (réunion K un un soit tel que simplexe fermé), et de Bauer. est métrisable. compacts), dénombrable de est aussi K . un a . - [Pour propriété l’intérêt de cette La démonstration de cette K/H où points de est THÉORÈME et K [10].J aucune difficulté. On voit ë(F) = H , X/F l’espace compact quotient de K obtenu est en isomorphe à identifiant les en 26. - Soient X application quotient. X un sur le affine simplexe, quotient continue ~ : Y-&#x3E;Z , affine continue, 03C8 : voir présente ne que si universelle du cation canonique de et toute proposition stabilité, H . Propriété 7. (a), pour le particulier, de unique, tel e que 03C8 = 03C8 ° 03B4 . F Y une face fermée de = x/F . X -~ Alors pour tout Z , constante ’1°’ ° X, et sur ô simplexe l’appliZ, F , il existe ô . simplexe,et ô’ une application affine continue ait la même propriété surjective de X sur Y’ , tels que lecouple (Y’ , b’~ à Y. universelle que le couple (Y , b~ , alors Y’ est affinement isomorphe De (a) On a plus, si Y’ est un autre Unicité du quotient. - Considérons le diagramme suivant : et Ô Comme sont ôt surjectives, g 0 g’ = (b) Propriété définie -&#x3E; dérinie ,)(m) = 1. Dire que m -~ f(z) Or = A(Z) , E m Hi+ . Si (m [r ,](m) ~](m) .~Si (mo ~,*)(r) )(f)==[fo 0 0 = Alors == 1 , r fsl , (1 o f ~0 , est continue z in A(Z) . V f Si f 0 V . Soit f = est définie par: par : 0 o 0 g = Idy’ . universelle du quotient. - Pour toute soit #* : A(Z) A(z) -&#x3E;RJi mo ~,*:: A(Z)..,. m g’ et Idy ~"’~ déduit que on en à dire que équivaut (m ° , )(f) (f = 0 ,)(m) m -~ f(z ) est bien est continue continue, f car 6B ’ Notons donc ~’ l’application et il est clair continue, Vy - Or H’ sur m + qu’elle yV f y=&#x26;Y X est affine, Y -&#x3E; e : 0(y) (f) =f(x) par dans Z . Cette application ~’ est et que : E A(Z) : f[§~’(p~) =(f (f ° ,Hm) . isomorphe à Y. Soit est de zm si -~ Y H’~ cet isomorphisme Il est défini f s . .4. 11’" Z Y-&#x3E;Z. Cette application est affine ~ o &#x26;(x) = = h si xëX,ona: y=6 , Si continue, et ,’[l’application ,-[l’application f -~ e(y)(f)] (f H) . e f -&#x3E; 6A(Z) , [W o &#x26;(x)](h) = = h[W ô(x)] Donc ~ § ss ~ . Donc o c ’[l’application f -4~ f{x)]J(h) (h jq)[l’application f -&#x3E;. f(x)] = L’unicité 0 h A(Z) . Donc i 0 résulte du fait que ô(x) 8 = = ,(x) . ~(x) , et ceci h o V xeXj est surjective. n- o~ ]1- n.. 2-15 quotient comme solution d’un problème uniles quotients par deux faces pris successive- Nous allons utiliser la définition du versel pour démontrer résultat un sur ment. X LEMME 28. - Soit est une (et X face de simplexe. Tout un donc est convexe tel que compact simplexe). un Ce lemme est dû à MOKOBODZKI. En voici d’une techni- démonstration, inspirée une que d’EDWARDS. ,,~, Nous allons montrer que est affine. On lB le lemme de l’appendice III, fions les conditions de h , h E A(X) , Si De f plus, Enfin, ). i~) - lB ê(B) ~ sur donc inf(h1 , h2) , sup est bien semi-continue 18 = atteint 0(X) , sur Z et H = prenant en cela, nous allons ==ë(x) . Véri- lemme. ce &#x26;(X) (cf. appendice sur . est filtrant décroissant. Pour Montrons que cet ensemble S appliquer a soit son h2) avec supérieurement. minimum X , sur qui coïncide sur X , soit sur B , c’est alors et c’est alors celui que B , atteint 1B= Donc inf S B, puisse trouver est une point x 0 , ce qui de sur une F = un = est donc est affine. est puisque 1B vaut 1 face fermée de X contenant B . Supposons qu’on et &#x26;(F) n’appartenant pas à B . Alors x E B ~ et F = B absurde, puisque x e F . Donc et 1 , Alors, puisque face. C. Q. F. Do ’ LEMME 29. - Soient tion est de canonique une f ac e de face de X X/F , X un sur simlege X/F . et Alors et toute face de F une face de a pour image démont=er, sans le lemme X . Soit ô. 28, en l’applica- réciproque par ô X un précédent (en fait, utilisant le théorème simplexe, et soient l’application canoni ue de X sur PROPOSITION 30. - Soit de ô X une X . Cela résulte immédiatement du théorème 12 et du lemme le et soit de toute face fermée de l’image par 6 X/F X , peut 16). Fi et F2 son on quotient deux faces fermées X/F. , i = 1, 2. 2-16 il existe F n F2 ~ ~ , (a) Si (b) Dans tous les cas solutions du isomorphisme canonique un sont isomorphes, et sont; (X/F2)/Ô2(Fl) relatif problème upjversel aux applications constantes et F~ sur sur F2 . (a) X/ conv(F elle l’application canonique de X sur 1 u F 2) . Puisque 5 est constante sur Fi’ factorise au moyen d’une application affine Soit se continue est 5 51 : Y F1 u D’où l’ on F~ # § ; Donc déduit: t ô 0 6’ ’ b1 F~ sur se et 0 plus, ~t On voit u montrer sur Fl F2) qu’ils et u f ne au moyen d’un sont pas en sont toujours différents == l sur F2’ cf. (car surj ective, est ô1 est donc canoni- F2) et Fi n F2 = ~ . il,existe propriété, à avoir cette F2) puis- application que si général isomorphes Alors u u R2, exemple de 5i(F2). conv ( F~ F~) , sur et , puisque est la seule facilement, et soit sur moyen d’une au 5’ u o donc application de car à’ est surjective. D’après le théorème 16, quement isomorphe à De 5* simplexe, un F~ , factorise = ~ = x/conv(Fl continue, constante affine que ô surjective : Soit alors est affine continue et constante 2014?&#x3E; f E À(X) On peut même telle que f == 0 [9] ). Un raisonnement tout à fait (b) logue, utilisant le diagramme ci-contre, prouve l’isomorphisme de et de (X/F2)/Ô2(Fl) dans le ral, et le fait que solutions du les et ces problème cas géné- simplexes sont universel pour applications constantes sur ana- sur F1 F2 . C. Q. F. D. 2-17 En on se F,2 C F1 donne alors on Fi c F2 c. F3 , af- 2014~ SF3 F2 on a (X/F 03B4FF,)F si F est filtrante décroissante, - existe de faces fermées de famille S une qu’il voit et que si surjective, fine continue Si si particulier, X , est on 0 voit que : système pro jectif un de simplexes ;9 si F est - (x/F filtrante croissante, est un système inductif de sim- plexes. Nous allons voir, Donnons pour cela ve. définition. une DEFINITION 31. - Soient X . Nous dans On (E) Soit X fe A(X) , la f ac e Pour tout par B compact dans inclus X. alors On voit tout de suite que cette condition (El) un convexe si la condition suivante est satisfaite : épais est compact, et B fermée engendrée un convexe no t erons ~ ( B ) B dira que la limite inducti qu’on peut parfois déterminer dans le 2e cas, et toute Y 9 simplexe équivaut application à la suivante : affine continue f : on a X PROPOSITION 32. - Soit sante de faces fermées simplexe, et soit S un vides de non 2014201420142014201420142014201420142014201420142014201420142014201420142014201420142014201420142014 épais X. Alors le dans X/4l( te inductive Il est le problème filtrante crois- famille X . On suppose que l’ensemble est - 20142014201420142014201420142014201420142014201420142014201420142014 inductif de simplexes ------------ (X/ F . a pour F) . effet facile de voir que le en est, ici, U F~F système une universel des problème universel de la limite inductive applications constantes sur U F. FeS Essayons de généraliser Et pour bien voir de ce que serait un tel quoi il quotient de X sur est image directe de on Y. simplexe, et 03C6 une application affine continue un simplexe Y, telle que 03C6 [g(x)]cê(Y) (on dira que Y X ). Soit H 1~ espace des h 0 p , pour h eA(Y) . Pour X PROPOSITION 33. - Soient surjective problème du quotient à une famille de faces quelconques. s’agit, partons d’une application surjective de X sur le pose F un = rn-l((y}) . 2-18 (a) Alors chaque Fy est une face f ermée U et ~(x) ~(Fx) . Le sous-espace H ~ - ... .- - Les ’ A(Y) . - lus, FY , les ... - - nulles H 2 à - - - 2, .- et vérifie ). F sur isomorphe à esi H Y Y La provient problème est la solution du X dans les soit H de ce transport à Soit Z un Y 2014~ Z facile si F . chaque on f : telle que bien sur X 2014&#x3E; Z , constante fI 0 p = f ( f’ = dernière partie de A(Y) (cf. [5L [9J)~ de connues 0(y) . chaque F} 4&#x26;~X)] remarque que = propriétés de et soit simplexe, allons définir H sur {fE A(x) )1 f Cte VINCENT-SMITH (cf. [6]). La de résultats de EDWARDS et n’est que le applications affines universel pour les constantes simplexes~ point est exactement l’espace première partie Le fait que est ..... ..- est l’ensemble des fonctions de continues do (b) - - ... De chaque FY . Riesz, sépare sur &#x3E;"- (b) (Y, y) (a) constantes vérifie le lemme de H Enfin -~- (où Ep (a) A(X) de f fonctions disjointes est exactement 1’ espace des de = ~ sont F -- . -- chaque F . Nous unique, puisque sur sera surjective). Soit dépend Y , ae et soit pas du choix de Soit ge d’après le u A(Z) ; la fonction (a). Donc il existe 0 g Donc (p" (a) . On pose dans If’ -l(a) . Soit u e g[r(u)] = f(u) = g[t(v)], h he 0 f 0 g V g ~ = telle que h(a) A(Z) . h = f(u) . Montrons que ceci ne v E est constante A(Y) ~~u) = Donc o sur g 0 f ç(v) f(u) chaque F , = = g = o f(v) , h o donc ç . On a g 0 f ~ Hy alors s f(v) . et fI est bien dé- finie. L’affinité de dessus, que f = fI 0 ~ , si f a. est évidente, 20143" fi, sa continuité se démontre V g 2014~ montrant, comme ci~~(z) . Enfin, on a bien en par construction. C. Q. F. D. Inversement, jointes 2 à 2, nous dirons que la donnée d’une famille d’un simplexe X , telle que S(x) = U 1eI (F.), de faces est une &#x26;(F. ]. ) , fermées disrelation 2-19 R d’équivalence X . sur # F.. Si chaque sur est le Y de dire que A.(Y) y isomorphe à est X de quotient A(X) de L’idée est d’étudier le sous-espace Y est Y où R : par forme des fonctions constantes un simplexe, on a envie X/R . = condistions, par exemple l’hypothèse que If vérifie le lemme de Riesz. Et même alors, il se poursoit le simplexe réduit à un point, alors qu’on désirerait qu’il rait que existe une bijection de l sur &#x26;(Y) telle que Mais il n’en pas ainsi sera ajouter et il faudra général, en X/R des ’ . à égal ou plongé 2, dans que,? si réduite X est nuité, X/R F on a F au on n si e E X . Il est clair fermée de (0 , 1) ’B UA, n (e) soi t la f.ace de n La famille de faces fotmée des e . sur X . 0r, par un un Nous dirons (e) et des Fn raisonnement d’uniforme conti- HR constante, est donc que point. qu’une d’équivalence relation R (Fi) = sur un sim- iEI vérifie le lemme de Riesz, les faces -. F.1 ; Pour tout THÉORÈME 35. ciale Soient X . Alors il sur surjective 2014&#x3E; X (p : simplexe, et R existe un simplexe Y , X Il existe Découplé (Y , 03C6) X dans les simplexes, s’appelle une le D’ abord, puisque à-dire X Y = { dans e Y un Y , (b) (c) voie P face une simpliciale si l’espace HR associé est lel que: (b) É~ sépare Y =~. F n sinplexe réduit à est X (a) HR de C’est d’équivalence DÉFINITION 34 . - (c) conv(à n) . = }. p~ voit immédiatement que toute fonction de est le plexe ... , n n-ième nombre premier supérieur Considérant (0 , 1) comme PnPn -len soit {1p nn, 2p nn , point extrémal relation une = n . X , soit p , 1)) . = et soi t # n M;«(O , A X Exempie. - Soit et une l ~ ~(Y) : application de X par R, et se note vérifie le lemme de Riesz, 0 e affine continue universel pour les affines continues et constantes 1 simpli- et H)y = 1} ). 03C6-1(yi) = Fi , telle que problème est solution du quotient d’équivalence tels que : bijection # relation une Donc sur chaque applications F~ . X/R. IT A(Y) ,où Y Inapplication (p : = et est affine continue (pour = x H+1 (c’ est- ~ 03B4x o-(h y É~) ) . en- 2-20 03C6(x) est Or, soit f qu’élément de est y HR . E deux conditions Soit &#x26;(Y) . E y extrémal inplique = E p(X) (HAHN-BANACH). , HR sépare y = est Fi E est réduit à y. I , (n(F.) J J D’autre part, puisque ~ j 0 03C6-1(y) Xo m(x) . autre, de 1 ’ L’ensemble et X , revient à elle est, d’une part, sur HR) ) , bien que 0(X), de Xo ç 0 est f Dire que (HR’)’ (pour 03C3(HR1 , base de (If) ’+ ), une c y . compact un convexe les i. certain Un point. done 03C6-1(y) ~ F.i , une tant qu’en 0 sur Donc est ç seule face (car de ces surjective. donc contient point un Or, il est clair F.l , et F. peut avoir 1 03C6(Fi) . Y 1’équivalence Or X , face de une pour un sur dire que, = y . pour y inage. V y Donc, Montrons trer que, Soient w( a) que g(Y) , E qu’on Y 1 , ,(F. ) T v E u et = J. est y,1 ~(F.) J. tels que Y = v . = y.1 y( (a Alors y . = T (F.1 ) . point extrémal un ç(F.1) telle que unique 1 utiàse ainsi toutes les faces u , = F, il existe Pour cela, + + = et E b X tels R si E f -,- , B _/, non- Y . de v)/2 . Soient a . Donc, b)/2 ) ~(F.) ~ (u = allons nous HF+~ , on a Donc Donc et a b f-1(0) = Gi . = Or la condition plique que cet ensemble est identique à De plus, sa sous s’il existait première forme, x=ë(C.) ~ F.~ , i F.1 , serait nulle sur Donc G. = F.. Donc On a a et donc bien trouvé une plus, Montrons ;1 (y. ) plique alors que F. = (o) , f"* n il est clair que aurait E F. x im- . J G. est une (j~ i) , face contenant et toute de f Fi : H, ce qui contredit l’hypothèse de séparation. F., J e F. , et u=v=y.. Donc y. est extrémal. sur b ë(Y) : I ~ bi j ection Fi = 03C6-1(yi) . sont des faces fermées D’autre de nulle on i)+ - (HRFi)+ = ’ y. , 2 telle que 03C6-1(yi) , effet, V i ? à 2. L’hypothèse En disjointes i ~ §(x) = U 03C6(Fi) = yi. et les ë(F 1.) im- 03C6-1(yi) , ~ part, l’égalité 1 h E A(Y) ) résulte de la définition même Y. universelle du couple Enfin, la propriété pliquant la proposition directe, puisque on (Y ~ tp) sait que est maintenant évidente = en ap- &#x26;(Y) . C. Q. F. D. 2-?1 entendu, il serait agréable d’avoir des critères ~géométriques~ sur une relasur un simplexe X , permettant d’affirmer qu’elle tion d’équivalence R est simpliciale. Bien (F.). - = Dans le retrouve le on F. quotient grâce de la définition à des résultats de valence (a) est R (b) X . sur [5] A = 2014 se démontrent, ...y dans le cas moyen du théorème 11. le résultat suivant : simpliciale, F , soit Î ~ f 0 , L’implication (a) ~ (b) f B~ 201420142014 engendrée la .f d’indices, nombre fini = Pour toute face fermée B- 34 et X Soit 2014201420142014201420142014201420142014201420142014201420142014 Soit un un simplexe, et soit R (Fi)i~I une relation d’équiLes conditions suivantes sont équivalentes : 36. - CONJECTURE sauf pour successif par des faces fermées quotient comme peut raisonnablement conjecturer On pointa un (a), (b), (c) et les critères y d’une face, où est réduite à F. où cas == est par 0 BF , F.. ê(Bj Alors " est vraie. Si toujours ë(? ) . U == j~ 201420142014 f (o) , D c ’ e s t- à-dire l’ensemble B-,) . sur 20142014 ~ U = fermé, (b) ~ (a) est vraie. Donnons enfin cf. une de stabilité propriété (pour propriété, l’intérêt de cette [10]). X PROPOSITION 37. - Soit simpliciale sur (a) Si X (b) Si X (c) Si est R un simplexe, et soit une relation d’équivalence X . de Bauer, il en est de même de X/R . est métrisable, il en est de même de X/R . g(x) est un K (réunion dénombrable de compacts), il en est de même de g(X/R) . La démonstration 8. ne présente APPENDICE I : Ques propriétés convexe un minés dans la littérature monstrations. Nous voyons le lecteur (A). - difficulté. des fonctions convexes semi-continues sur un compact. Nous regroupons ici F aucune ensemble de résultats, dont la (cf, par exemple [?]), et qui plupart nous se trouvent dissé- servent dans nos dé- renrappelons pas le théorème d’Edwards, pour lequel nous à [5], [8]. On désignera par X un convexe compact quelconque . ne Toute fonction 03C6 , convexe semi-continue supérieurement , sur un convexe 2-22 l’ ~ [ compact X , est l’enveloppe inférieure de l’ensemhle , qui est filtrant croissant, des fonctions convexes continues qui la majorent strictement. énoncé en remplaçant partout "convexe" par "affine". (B). cident g une Soient l2014 f (D). - Toute fonction pact est bornée. (E). - Toute supérieure continues a convexe continue telle que convexe C’est faux semi-continue 9 semi-continue convexe général en pour supérieurement une de fonction ==&#x3E; v sur l’ordre de ~(f) ~ v(f) ~(f) ~ v(f) (G). - ~ X Soit Choquet un convexe X , minorée, f pour toute pour toute fonction 0 sur un convexe com- semi-continue convexe compact. sur M (x) ~ (H). - Si (l). - Soit continues f continue. Alors, convexe f convexe si ~ on v ,~ semi-continue. semi-continue f Pour toute est semi-continue inférieurement f (cela x devient vrai si est semi-continue supérieurement on se est f sur X fonction Alors, pour toute mesure restreint De plus, aux mesures dis- continue). supérieurement minorée, y convexe compact, alors telle que Alors une majorée. f = r sur &#x26;(X). famille filtrante décroissante de fonctions semi- une supérieurement (J). - Soit ~ ordre défini par : on a : crètes de barycentre L g la minorent. qui cette formule est fausse si, dans le 2e membre, , f $ h ~ fonction (p convexe semi-continue inférieurement est l’enveloppe l’ensemble g , qui est filtrant croissant, des fonctions convexes Le résultat est faux si 1- coïn- intérieurement. ~ ~ "" ë(x) ~ sur supérieurement sur X , et inférieurement quelconque, telle que f ~ g ? alors fonction h fonction une (F). - Soit r 1 une fonction semi-continue il existe y X . sur (C). - ~ semi-continues, qui coïncident Deux fonctions affines dé- convexe semi-continue , maximale pour l’ordre inf iEI f.l soit minorée. supérieurement sur de Choquet, (03C6) = X . (03C6) . 2-23 (K). - Soit X et soit simplexe, un f convexe A sur f est affine semi-continue X . Alors r(x) = Il. x (f) , où x 9..APPENDICE II :’ Les fonctions Rappelons qu’une fonction pour tout r - (L). v : Soient Y -&#x3E; (M). - ~ A,y X , Y Soient v est de X’ ~ Y’ est de topologique, topologiques,y Soient Ire classe est X un f : deux A -&#x3E; Y topologique, espace un sous-espace vectoriel quasi topologique quelconque, semi-continue (supé- applications de quasi et E espace vectoriel un applications de de EK. De plus, lre alors x -&#x3E; f(x) x u(x) est de f : si étant cette fois F classe, E dans X un topologique de quasi X -~ R et espace vectoriel 1re classe de quasi X F . (p) . - Soit r plication "graphe 1 f est de - lre classeo l’application sont de X -&#x3E; F dans quasi le dernier étant à base à base dénombrable. Alorsy l’ensemble des uô -&#x3E;X , continue, et X’ u : 1re classe. quasi et 1re classe si quasi espace trois espaces A -~ X ui sur un x. 1re classe. classe, f o u : o EX:i 18). 1re quasi x 1re classe. quasi (0). - de inférieurement) ou est de définition numérique Toute fonction Ire classe. Alors,y est de (cf. X --~ Y dénombrable. Soient L X -~ Y continue. Alors Y’ , rieurement (N). - f : boréliennes de quasi f ~ ouvert de X 0 barycentre - supérieurement et pour tout supérieurement, est la mesure maximale de , semi-continue , h = f u g : classe. X Soit f : X B F fonction de f " définie par : de quasi 1re classe X . sur Alors, l’ap- 1re classe. quasi (Q). - numérique une -~ un Y espace et g : topologique, F -&#x3E; Y X -~ Y , définie par deux hlx,F et soit F un applications = f et hBF de fermé de quasi X . Soient lre classe. Alors = g , est de quasi 1re 2-24 (R). - X Soient un espace (Y ) et topologique, une r~N n y soit d’espaces topologiques à bases dénombrables. Pour tout une application de quasi-premiëre classe. Alors ~ quasi-prenière X Soit un et soit h.)~ Si note on On suppose qu’il ~2 on existe ait que, pour toutes X sur en un hl’ h2 point de Z sous-ensemble 1B l’ h4 h1 , h2 , h3, c. s. ~ H , h2). tels vide de non i. telle que he H tel que, pour toutes X ~ Z . = h Si 1’ensemble 2 semi-continue supérieurement pour toute fonction réelle Alors, ~n ensemble de fonctions réelles un il existe 1B l’ h 2 un sup H (c’est-à-dire : le lemme de Riesz h~) avec ~- Y utile. compacta espace X , vérifiant sur X ~ f : c lasse . APPENDICE III : Un lemme 11. famille dénombrable la fonction EH, f sup f atteigne telle X, sur son minimum 1’ 2 Z, l’ ensemble Ff lh = E H g = 1 h &#x3E; fl est filtrant décrois- sant. Démonstration. - Soient g - g f , s. c. V Donc, un i . , atteint h2) = x &#x3E; EX, X par de x f h Ff . E minimum g &#x3E; f il existe hx E sur sur Soit X donc Z , telle R 1’h2 / x , tel que Riesz, inf(hh , h2) . on Par voit Par sup en un point X sur que V y de 2 Z . Or, sur Z , tout entier. r(x) on hypothèse, ait h (x) . Donc il f(y) h (y) . existe X Alors Vx1 , Vx2 , ... , Vxn. En utilisant le lemme de Alors son f . Donc voisinage ouvert Recouvrons h2 qu’il suite, Ff existe h E il telle que est filtrant décroissant. C. Q. F. D. 2-25 BIBLIOGRAPHIE [1] ALFSEN 1964, (Erik). - On the geometry of Choquet simplexes, Math. Scand., t. 15, p. 97-110. decomposition of a Choquet simplex into a direct convex sum of complementary faces, Math. Scand., t. 17, 1965, p. 169-176. [3] BAUER (Heinz). - Frontière de Silov et problème de Dirichlet, Séminaire Brelot-Choquet-Deny : Théorie du potentiel, 3e année, 1958/59, n° 7, 23 p. [4] CHOQUET (Gustave) et MEYER (Paul-André). - Existence et unicité des représentations intégrales dans les convexes compacts quelconques, Ann. Inst. 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