m.g.A’A. Donc ½.m.vA² = ½.m.vB’² - m.g.A’A, soit vA² = vB’² - 2.g.A’A = 4² - 2.10.0,6 = 16 –
12 = 4, soit vA = 2m.s-1.
b ) En B, calculer la vitesse du mobile et son accélération normale.
Toujours d’après le théorème de l’énergie cinétique, l’énergie cinétique en B est égale à
l’énergie cinétique en B’ diminuée du travail fourni par le poids de B’ à B : ½.m.vB² =
½.m.vB’² - m.g.BB’ , soit vB² = vB’² - 2.g.BB’ = 4² - 2.10.0,28 = 16 – 5,6 = 10,4. D’où vB =
3,22m.s-1, et aN = vB²/R = 10,4/0,28 = 37,14m.s-2.
En déduire la réaction du support.
La résultante des forces doit avoir pour valeur
= m.B, où B est l’accélération du mobile en
B. En ce point, l’accélération tangentielle est
nulle, puisque la vitesse passe par un
minimum. L’accélération est donc normale, et
de valeur aN = vB²/R. est la somme du poids
= m. du mobile, et de la réaction du
support, qui est normale puisque et
sont deux forces verticales dirigées vers le
bas. D’ où : et
Finalement : N = F – P = m. vB²/R – m.g =
m (vB²/R – g) = 20.10-3.(37,14 – 10) ≈ 0,55N.
3 ) Après un tour de boucle, le mobile repasse en B' avec la même vitesse de 4 m.s-1.
a ) Expliquer pourquoi.
Puisqu’il n’y a pas de frottement, l’énergie mécanique du mobile se conserve ; l’énergie
potentielle au point B’ est la même avant et après le tour, donc l’énergie cinétique aussi.
b) Montrer que la vitesse en C sera vC = ( 12 )1/2m.s-1.
d’après le théorème de l’énergie cinétique, l’énergie cinétique en C est égale à l’énergie
cinétique en B’ diminuée du travail résistant fourni par le poids de B’ à C : ½.m.vC² =
½.m.vB’² - m.g.C’C. Donc vC² = vB’² - 2.g.C’C = 4² - 2.10.0,2 = 16 – 4 = 12, soit vC = (12)1/2
=√12 = 2√3 m.s-1.
4 ) Une fois que le mobile a quitté le plan incliné :
a ) Etablir les équations horaires du mobile .
Une fois que le mobile a quitté le plan incliné, la seule force qui agiy sur lui est son poids P
= m.g. Il subit donc l’accélération g de la pesanteur. Prenons un repère orthonormé C’xz,
où C’ x est horizontal, dans le plan de la figure, orienté positivement vers la droite, et C’z
un axe vertical orienté positivement vers le haut. Dans ce repère, l’accélération est = =
-10 ; comme = d/dt, = .t + , si on prend l’origine des dates quand le mobile passe
en C. Comme fait un angle de 30°avec l’horizontale, ses composantes sont vCx =
vC.cos30 = 2√3. √3/2 = 3m.s-1, et vCz = vC.sin30 = 2√3. 1/2 = √3m.s-1, d’où vz(t) = - g.t + vCz
= - 10t + √3. Or = d /dt ; donc : x(t) = vCx.t = 3t (x(0) = 0), et z(t) = - ½ .g.t² + vCz.t + zC
= -5t² + √3.t + 0,2.
b ) Endéduire l'équation de la trajectoire .
de x(t) = 3t, on tire t = x/3 qui, reporté dans z, donne : z(x) = - 5(x/3)² + √3.(x/3) + 0,2 = -
5x²/9 + x/√3 + 0,2.
c ) Calculer les coordonnées du point de chute .
avec l’origine choisie, le sol correspond à z = 0 = -5x²/9 + x/√3 + 0,2, équation du second
degré dont le discriminant est ∆ = 1/3 + 4.(5/9).0,2 = 8/3 = 2,66> 0. Il y a donc deux
solutions, dont une seule positive : x = (1/√3 + √8/3)/(10/9) ≈ 2m.
B’
F
B
v augmente
v diminue