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B. LE CONTEXTE INTERNATIONAL DE LA DECONSTRUCTION DES NAVIRES D’ÉTAT. 27
1. Certains États sont déterminés à œuvrer en faveur
d’une déconstruction navale vertueuse ......................................................... 27
2. D’autres États sont en revanche plus discrets ................................................ 28
C. LES MOYENS ACTUELS DE DECONSTRUCTION .................................................. 29
1. En France..................................................................................................... 30
a) Les atouts brestois ...................................................................................... 30
a) Les potentiels du Havre, de Cherbourg et de Bordeaux...................................... 32
2. Les capacités au sein de l’Union européenne ................................................ 32
3. Les autres capacités européennes, au sein de l’OCDE et en Russie............... 34
4. Les pays asiatiques émergents ..................................................................... 35
III. — L’ECONOMIE DE LA DECONSTRUCTION DOIT POUVOIR S’ADOSSER
A UN CADRE JURIDIQUE QUI RESTE ENCORE LARGEMENT A DEFINIR............... 39
A. L’ESSOR D’UNE DECONSTRUCTION DES NAVIRES VERTUEUSE
IMPOSE LE DEVELOPPEMENT DE SYNERGIES ................................................... 39
1. La question de l’amiante et le marché de la ferraille contraignent
l’activité de déconstruction des navires.......................................................... 39
2. Le marché limité de la déconstruction des navires de guerre
et l’économie de cette activité incitent à rechercher de nouvelles dynamiques 40
B. LE CADRE JURIDIQUE ACTUEL EST COMPLEXE ET INADAPTE............................. 42
1. Les navires de guerre en fin de vie répondent à plusieurs
statuts et les réglementations corollaires se cumulent.................................... 42
a) Le navire de guerre en fin de vie est tout à la fois un matériel de guerre…............ 42
b) … et un déchet ? ......................................................................................... 43
2. Les règles internationales actuelles sont insuffisantes voire inadaptées .......... 44
C. POUR PARVENIR A UNE GESTION VERTUEUSE, LES TRAVAUX EN COURS
DOIVENT ETRE ENCOURAGES .......................................................................... 46
1. Certaines démarches sont particulièrement intéressantes .............................. 46
a) Les travaux au sein de l’Union européenne ..................................................... 46
b) Les travaux de l’organisation maritime internationale (OMI),
l’organisation internationale du travail (OIT) et la Conférence des Parties
à la Convention de Bâle .............................................................................. 47
2. Le passeport vert proposé par l’OMI .............................................................. 47
3. Un projet de convention indispensable mais qui n’exclut pas
d’autres mesures.......................................................................................... 48
a) Les éléments à prendre en compte pour l’élaboration d’une norme
internationale contraignante ........................................................................ 48
b) L’existence d’une convention internationale n’est pas exclusive d’autres mesures.. 49
CONCLUSION .......................................................................................................... 51