Sur la Guerre entre la Géorgie et la Russie et Sur la résolution de la

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Dr Ali KILIC Paris le 22 août 2008
Sur la guerre entre La Russie et la Géorgie
et
Sur la résolution de la Question Nationale et coloniale en Caucase
De nos jours la question nationale et coloniale en Caucase et au Moyen Orient n’a
pas été résolue. La guerre entre la Russie te la Géorgie en Caucase justifie et pose cette
question de nouveau. Ce qui caractérise notamment les rapports militaires économiques
politiques des forces impérialistes actuelles en Caucase et en Mésopotamie, plus
particulièrement au Kurdistan c’est la concurrence du partage du monde sous l’égide de
l’OTAN, des USA, des autres pays impérialistes. Plus le impérialisme est développé, plus le
manque de matières premières se fait sentir, plus la concurrence et la recherche des sources de
matières premières dans le monde entier sont acharnées, et plus est brutale la lutte pour la
possession des colonies
.
L’occupation de l’Afghanistan par l’URSS l’organisation des
talibans sur la base de l’anticommunisme par les USA, sous prétexte la lutte contre le
terrorisme l’occupation de nouveau Afghanistan pour partager par les forces impérialistes est
au cœur du conflit entre la Géorgie et la Russie.
« Le principal danger, à l'étape actuelle, est
représenté par la déviation vers le chauvinisme grand russe, qui cherche à réviser les bases de la
politique nationale et qui, sous couleur d'internationalisme, masque les aspirations des classes
déclinantes de la nation grande russe autrefois dominante, à recouvrer les privilèges perdus.
Parallèlement, on voit s'activer la déviation vers le nationalisme indigène, qui affaiblit l'unité des
peuples de l'U.R.S.S. et fait le jeu de l'intervention
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. ». La politique’ impérialiste et annexionniste de la
Russie et la colonisation de l’Ossétie du Nord, a poussé la Géorgie en s’appuyant sur les forces
impérialistes occidentales pour annexer et coloniser l’Ossétie du Sud alors ces types de guerres sont
des guerres coloniales et impérialistes qui ne sont pas conforme à la Déclaration de l’ONU de 1960
et à l’application de la déclaration des Peuples autochtones. Les forces impérialistes qui ont crée du
conflit en Europe Centrale ont accordé l’indépendance au Kosovo et au Timor Oriental, 75000
habitants ces mêmes forces sont contre l’indépendance du Kurdistan d’une nation de 40-45 millions
et contre l’unification et de l’indépendance de l’Ossétie et contre l’indépendance de Karabakh. C’est
la raison pour laquelle, l’analyse de la guerre entre la Russie et la Géorgie et la solution de la
question nationale et coloniale en Caucase est indispensable.
La vérité c’est que l'inégalité du développement économique et politique est une loi
absolue du capitalisme et de l’impérialisme. Dès 1930 les Républiques soviétiques
indépendantes de l’époque, liées avec elle, représentent une population de près de 140
millions d'habitants. Sur ce nombre, près de 65 millions ne sont pas des Grands Russes
(Ukrainiens,
Blancs-russiens, Kirghiz, Ouzbeks, Turkmènes, Tadjiks, Azerbaïdjan, Tatars de la
Volga, Tatars de Crimée, Boukhariniens, Khiviens, Bachkirs, Arméniens, Tchétchènes, Kabardiens,
Ossètes, Tcherkesses, Ingouches, Karatchaïs, Balkars [Les sept derniers peuples forment le groupe des
« Montagnards ».], Kalmouks, Caréliens, Avares, Darghiniens, Kazikoumouks, Kuriniens, Koumyks
[Les cinq derniers peuples forment le groupe des « Daghestans ».], Mariis, Tchouvaches, Votiaks,
Bouriates, Yakoutes, et autres). La politique du tsarisme, la politique des grands propriétaires fonciers
et de la bourgeoisie à l'égard de ces peuples, consistait à tuer chez eux les germes de tout étatisme, à
mutiler leur culture, à empêcher l'emploi de leur langue, à les maintenir dans l'ignorance et, enfin, à les
russifier autant que possible. Les résultats d'une telle politique sont : le manque de culture et le retard
politique de ces peuples ». Après la disparition de l’URSS cette politique est justifiée par la guerre
entamée par complexité de Turquie, des USA, de l’OTAN, de l’UE et de l’ONU.
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Résolution sur la rapport du CC en juillet 1930
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Position du problème
Quel rapport établir entre la situation stratégique militaire de Turquie dans la guerre
entre la Géorgie et la Russie ? Autrement dit pouvons nous parler du rôle militaire de
Turquie dans le conflit dans la mesure elle dispose de 52 bases militaires de l’OTAN
situées majoritairement au Kurdistan Nord colonisé par la Turquie allié militaire et
économique des USA ? Quelle est la nouvelle stratégie militaire des USA en Europe
Occidentale en Caucase, par rapport à la Turquie du point de vue de ses projets coloniaux
avec Ajarbaidjan, Daghestan, Mongolie, Kazakhstan, Tacikistan, Géorgie ? Quelle est la
politique colonialiste turque en Tchétchénie et en Géorgie ? Quelles sont les organisations
politiques et militaires turcs qui sont en activités en
Tchétchénie
et en Azerbaïdjan le
Président OZAL a été emprisonné sous le contrôle de l’Etat Major turc ? Comment l’ONU,
l’UE et l’OTAN pourront résoudre cette question sans appliquer la déclaration de l’ONU de
1960 et le traité de l’ONU relatif aux Peuples autochtones ? Quel est le statut colonial de
l’Arménie Occidentale ? Comment Kemal Dervis pourra représenter la Turquie en tant que
administrateur de l’ONU pour le développement alors que la Turquie a commis des
génocides, plus particulièrement des Arméniens, des Grecs des Kurdes et des Assyro
Chaldéens a détruit toutes les richesses principales du Kurdistan Nord a rasé de 4000
villages et forcé à la déportation de 15 millions kurdes et l’ONU et l’UE sont restées dans le
silence absolu ? Sommes nous la balkanisation du Caucase à partir de la guerre entre la Russie
et la Géorgie ?
La vérité c’est que la guerre entre la Russie et la Géorgie est une guerre coloniale et
une guerre impérialiste qui pose la question nationale et coloniale qui n’est pas résolue en
Caucase et la Turquie y est impliquée militairement. C‘est la question nationale de l’Ossétie
du Nord colonisé par la Russie et l’Ossétie du Sud par la Géorgie. Et quelle est l’exigence
impérialiste d’Adjarbaidjan et de Turquie concernant Karabakh et Ossétie ? Face à cette
situations quelles sont les propositions de l’ONU pour trouver une solution à la question
nationale et coloniale en Caucase ? Une dernière question peut on parler du facteur de la
géopolitique du Kurdistan dans la dynamique des relations internationales? Dans la mesure
« tout en approuvant officiellement la politique de démocratisation, menée par les Etats-
Unis au Moyen-Orient et en Eurasie, Ankara craint de manière sous-jacente de voir la marche
de l’administration Bush en faveur de « la liberté et l’autodétermination » aboutir
inévitablement à l’indépendance du Kurdistan irakien. Dans la mesure la Turquie compte
environ 25 millions de Kurdes et contre 6 millions de Kurdes en Irak – et 6 millions en Iran 2
millions en Syrie et les Kurdes en Géorgie , en Arménie la perspective de l’indépendance du
Kurdistan représente pour les pays colonialistes un « scénario cauchemar ». En d’autre
termes depuis l’arrivée au pouvoir de nouveaux dirigeants en Géorgie et en Ukraine, la
Turquie considère ces pays comme des concurrents potentiels à l’adhésion à l’UE, ou, tout au
moins, comme une autre série de prétextes, que l’UE pourrait utiliser pour bloquer les
négociations d’adhésion et quelle était l’orientation des relations militaires politiques et
économiques entre la Turquie et la Géorgie ? En quoi consiste l’aide militaire accordée par la
Turquie en Géorgie et au Kazakhstan, en Adjarbaidjan contre l’Arménie en tant que membre
de l’OTAN et de l’ONU?
Aujourd’hui le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a déclaré qu’il accueillera
le 9 septembre un symposium d'une journée sur le soutien aux victimes du terrorisme au siège
des Nations Unies à New York, a annoncé une porte-parole de l'ONU au moment où le
Président Sarkozy parlai dans la Cour des Invalides.Il s'agira du premier symposium de ce
genre dans l'histoire de l'ONU, a-t-elle précisé. « L'attention ne portera pas sur la politique - il
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est clair que le terrorisme est inacceptable – mais uniquement sur les victimes et comment les
Etats, les organisations internationales et la société civile peuvent mieux répondre à leurs
besoins », a ajouté cette porte-parole, Marie Okabe.
La Stratégie mondiale des Nations Unies de lutte contre le terrorisme, adoptée il y a
deux ans par l'Assemblée générale, souligne l'importance des victimes du terrorisme. Les
Etats membres ont appelé à mettre en place des systèmes nationaux d'assistance faisant la
promotion des besoins des victimes de terrorisme et de leurs familles et facilitant la
normalisation de leurs vies. La Stratégie encourage aussi les Etats membres à promouvoir la
solidarité internationale en soutien aux victimes et à encourager l'implication de la société
civile. Mais pour quelle raison l’ONU n’applique pas ses résolution de 1960 et la déclaration
relative aux droits des peuples autochtones et elle devint l’objet de la stratégie des forces
impérialistes ?
« Nous sommes résolus à leur refuser cet objectif stratégique », a dit Mme Rice.
« Nous n'allons pas laisser la Russie tracer une nouvelle ligne le long des États comme la
Géorgie et l'Ukraine, qui ne sont pas encore intégrés à l'infrastructure transatlantique. »
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Durant cette réunion, les membres du Conseil ont décidé de créer une commission
OTAN-Géorgie qui sera chargée de superviser la coopération avec la Géorgie au niveau d'un
large éventail de dossiers politiques, économiques et sécuritaires, entre autres, et d'assurer le
suivi des décisions prises au Sommet de l'OTAN qui s'est tenu à Bucarest en 2008, a dit Mme
Rice. L'un de ces objectifs est d'ouvrir à la Géorgie et à l'Ukraine la voie de l'intégration à
l'Alliance par le truchement d'un processus appelé Plan d'action pour l'adhésion (MAP).
Le Conseil a également reconnu la nécessité pour la Russie de respecter l'accord de
cessez-le-feu en six points signé avec la Géorgie et négocié par l'intermédiaire du président
français Nicolas Sarkozy au nom de l'Union européenne, a déclaré Mme Rice lors d'une
conférence de presse tenue à l'issue de la réunion. La Russie a accepté de replier ses colonnes
de blindés actuellement en Géorgie sur les positions qu'elles occupaient le 6 août, avant
l'éruption des combats en Ossétie du Sud.
Le Conseil de l'Atlantique Nord a également déclaré son soutien à l'intégrité
territoriale, à l'indépendance et à la souveraineté de la Géorgie sans poser l’annexion par la
Géorgie l’Ossétie d Sud.
Enfin, les ministres des affaires étrangères des pays membres de l'OTAN ont décidé
que l'Alliance ne laisserait pas la Russie créer une ligne de démarcation entre les États qui
sont membres de l'OTAN et ceux qui aspirent encore à le devenir, a dit Mme Rice.
« L'OTAN n'accepte pas l'existence d'une nouvelle ligne, et nous faisons comme si elle
n'existait pas, comme le prouvent la création de la Commission OTAN Géorgie et la réunion
de la Commission OTAN Ukraine, qui aura lieu la semaine prochaine (du 25 au 29 août),
ainsi que la visite qu'effectueront en Géorgie les représentants permanents de l'OTAN. »
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Merle D. Kellerhals Jr./ USA Gov
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Cette « nouvelle ligne » est une allusion géopolitique au « rideau de fer » qui a divisé
l'Est et l'Ouest pendant 60 ans durant la guerre froide. Mais aussi l’occupation impérialiste des
USA et de l’OTAN dont la Russie fait partie.
L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) s'est également
réunie le 19 août à son siège de Vienne (Autriche), et a décidé de déployer 100 observateurs
supplémentaires en Géorgie le plus rapidement possible, a déclaré la représentante des États-
Unis, Mme Julie Finley. « Nous escomptons que cette décision n'empêchera pas la création
d'autres mécanismes internationaux, conformément au plan en six points », a-t-elle dit.
Mme Rice a affirmé que le déploiement d'observateurs militaires de l'OSCE en
Géorgie, et notamment dans les régions séparatistes de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie,
cadrait parfaitement avec le plan de cessez-le-feu qui prévoit l'intervention d'observateurs
internationaux. Mais c’est Mme Rice , elle-même est séparatiste, qu’elle contre le droit à
l’autodétermination de l’Ossétie, du Kurdistan et de Krabakh. La présence d'observateurs de
l'OSCE dans le cadre d'un règlement du conflit est essentielle parce qu'elle constituera une
force neutre de maintien de la paix. « Je pense qu'il est clair que la Russie est devenue une
partie au conflit » et que, en conséquence, elle ne peut plus agir comme force impartiale dans
ce domaine.
Comme on lui demandait si les États-Unis cherchaient à isoler la Russie, Mme Rice a
répondu par la gative. « C'est le comportement de la Russie durant la récente crise qui
l'isole des principes de coopération de la communauté des nations. Envahir des pays voisins
plus petits, bombarder des infrastructures civiles, aller dans les villages et provoquer le chaos,
c'est cela qui isole la Russie. »
Elle a ajouté que le recours par la Russie à la force militaire en Géorgie et la reprise
des patrouilles de bombardiers au large des côtes de l'Alaska, comme au temps de la guerre
froide, étaient des bravades qui pourraient avoir des effets imprévus. Elle a également attiré
l'attention sur des vols russes le long de la côte norvégienne et sur d'autres défis lancés aux
membres de l'OTAN.
Elle a expliqué que la première apparition, il y a six mois, de patrouilles de
bombardiers Tu-95 Bear H près de l'Alaska « constitue un jeu très dangereux que les Russes
voudront peut-être reconsidérer ». Durant la guerre froide, en effet, les deux pays, les États-
Unis et l'URSS, se surveillaient gulièrement au moyen de patrouilles le long des côtes et de
vols de reconnaissance. Pour quelle raison ?
Bush a présenté ses condoléances au président français Nicolas Sarkozy à la suite du
décès de dix soldats français cette semaine en Afghanistan, a indiqué vendredi un porte-parole
de la Maison Blanche. "Le président (Bush) a exprimé ses condoléances au président Sarkozy
et au peuple français pour les soldats morts récemment en Afghanistan", a claré le porte-
parole Gordon Johndroe alors que le président américain était dans son ranch de Crawford, au
Texas (sud). MM. Bush et Sarkozy ont aussi "discuté (au téléphone) du récent voyage en
Afghanistan du président français", a souligné M. Johndroe. Dix soldats français ont été tués
lundi et 21 autres blessés au cours de combats contre les talibans à 50 km de Kaboul, soit le
bilan le plus meurtrier pour l’armée française depuis un attentat en 1983 à Beyrouth 58
parachutistes avaient trouvé la mort. Ces morts, les plus importantes sur le terrain en
Afghanistan au sein des forces de l’Otan depuis le début de l’intervention dans ce pays, ont
dominé l’actualité en France cette semaine, certains médias s’interrogeant notamment sur la
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décision du président Sarkozy de renforcer le contingent français dans ce pays. Comme
l’Humanité ,Le quotidien français Le Monde a affirmé mercredi, en citant des témoignages de
soldats blessés lors de l’attaque, que certains des soldats français tombés dans l’embuscade
des talibans avaient été "touchés" par les frappes aériennes de l’Otan censées leur permettre
de sortir de ce guet-apens, dits "tirs amis".Quelle est la vérité ? Qui a tué les soldats français,
les Talibans ou les forces de l’OTAN ?
C’est pourquoi dans un premier temps nous examinerons les relations entre l’OTAN
et la Géorgie,puis les relations entre les USA et la Pologne dans un deuxième temps nous
élaborons l’analyse des relations militaires économiques entre la Russie et l’OTAN et
l’Allemagne et l’OTAN et les relations entre la Géorgie et la Turquie, entre la Turquie et la
Russie dans un troisième lieu nous étudierons les conditions et les circonstances de la
guerre entre la Russie et le Géorgie et les relations entre l’Arménie et l’OTAN et la position
de l’ONU et de l’UE et des USA finalement dans les applications de ses résolutions nous
aborderons la question nationale et coloniale en Caucase vit les peuples plus anciens du
monde et l'Assemblée générale des Nations Unies a approuvé le projet de programme .Elle a
également engatous les gouvernements et toutes les organisations autochtones concernés à
prendre les mesures propres à faciliter l'adoption, dans les meilleurs délais, du projet de
déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones. Alors juste à la Journée
Internationale des peuples autochtones la Guerre a éclaté entre la Géorgie et la Russie et
Mahmut Dervis, administateur à l’ONU représentant d’un pays destructeur a fait une
déclaration.
1. La Géorgie et l’OTAN
La réunion du Conseil de l'Atlantique Nord au niveau des ministres des affaires étrangères
tenue au siège de l'OTAN, Bruxelles, il ya trois jours Le Conseil de l'Atlantique Nord s'est
réuni en session ministérielle spéciale le 19 août 2008, a exprimé sa vive préoccupation
devant la situation en Géorgie et examiné ses implications plus larges pour la coopération
euro atlantique de la stabilité et la sécurité. Une solution pacifique et durable au conflit en
Géorgie doit être fondé sur le plein respect des principes de la Géorgie à l'indépendance, la
souveraineté et l'intégrité territoriale reconnue par le droit international et des résolutions du
Conseil de sécurité. Mais qui met en danger la Sécurité des peuples en Caucase et en
Mésopotamie ? Pourquoi pas d’ une solution pacifique et durable pour l’indépendance de
l’Ossétie, Krabakh et le Kurdistan ?
Le Conseil de l'Atlantique Nord déplore « tous la perte de vies humaines, victimes
civiles et des dommages aux infrastructures civiles qui en a résulté du conflit. Nous sommes
d'aider les efforts de secours humanitaire. Nous nous sommes rencontrés avec le Président en
exercice de l'OSCE, ministre finlandais des Affaires étrangères M. Alexander Stubbs, pour
discuter des questions essentielles à ses yeux nécessaires pour être pris en compte.
Nous
saluons l'accord conclu et signé par la Géorgie et la Russie, à travers les efforts diplomatiques
de l'Union européenne, l'OSCE et les États-Unis, de mettre fin aux hostilités et à parvenir à
une solution politique au conflit. Nous sommes pleinement derrière ces efforts. Nous insistons
sur l'urgence de rapide, complète et de bonne foi mise en œuvre de l'accord, y compris un
nouveau mécanisme international pour surveiller le respect de ces engagements. L'action
militaire doit cesser définitivement et les forces militaires doivent regagner leurs positions
tenues avant le déclenchement des hostilités. Pleinement les débats internationaux doivent
commencer sur les modalités pour la sécurité et la stabilité en Abkhazie et en Ossétie du Sud.
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