
La forme impersonnelle 
 
Dans une proposition à la tournure impersonnelle, le sujet du verbe est un « il », un « ceci », un « cela »,  qui ne 
représente rien. Un pronom qui ne renvoie à aucun nom. 
 
Exemples :  « Il pleut »,  « Il tonne », « il neige », « il faudrait »…  
 
« Jamais il ne s’est vu de tels changements en si peu de temps » (Mme de Sévigné, lettre à M. de Coulanges du 24-
12-1670) 
« Auparavant, il s’y faisait un grand commerce de meunerie » (A. Daudet, 
Le Secret de maître Cornille
) 
 « Je découvris ce jour-là que les grandes personnes savaient mentir aussi bien que moi, et il me sembla que je 
n’étais plus en sécurité parmi elles
 
» (chapitre 8)