Philippe Caubère - Atelier Théâtre Jean Vilar

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DOSSIER DE PRESSE
Philippe Caubère, légende vivante
du théâtre et du cinéma français,
en exclusivité en Belgique en octobre !
Philippe Caubère, biographie
Philippe Caubère est un comédien, auteur et metteur en scène français né à
Marseille en 1950. Sa carrière artistique est riche et passionnante.
En 1971, il monte à Paris où il intègre le Théâtre du Soleil dirigé par Ariane
Mnouchkine. Il entre dans la compagnie avec un désir d’apprendre et voit
cette expérience comme une chance, une occasion extraordinaire de comprendre le fonctionnement d’une troupe.
Philippe Caubère dans Molière, le film
Ariane Mnouchkine,
fondatrice du Théâtre du Soleil
Sous la mise en scène d’Ariane Mnouchkine, il joue dans les pièces 1789,
1793 et L’Âge d’Or qui rencontrent un franc succès. Il interprète également
Molière dans le film du même nom, aux côtés d’Armand Delcampe dans
le rôle de son père.
Après sept années passées au Théâtre du Soleil, il se lance dans la mise en
scène de Dom Juan de Molière, dans lequel il tient le rôle principal. La pièce
est créée en 1977 à la Cartoucherie de Vincennes pour le Théâtre du Soleil,
en collaboration avec le Théâtre de la Tempête.
Rapidement, Philippe Caubère est considéré comme un des acteurs les plus
remarquables de sa génération.
Dès 1978, Armand Delcampe l’invite à l’Atelier théâtral de Louvain-laNeuve, théâtre de création mais aussi d’accueil, fraîchement installé sur le
nouveau site universitaire. Il y interprétera Lorenzaccio d’Alfred de Musset
ainsi que Touzenbach dans Les Trois Sœurs de Tchékhov dans des mises en
scène d’Otomar Krejca en 1979.
Philippe Caubère et Clémence Massart
dans Dom Juan
Il se consacre totalement à l’écriture durant l’année 1980 avec la rédaction
d’une pièce qui fera de lui l’inventeur de l’autobiographie théâtrale. La
Danse du Diable est une histoire comique et fantastique où Philippe Caubère se raconte seul sur scène en retraçant son enfance et son adolescence
au pays provençal. Nous y croisons les différentes personnes qui ont marqué son parcours tel que De Gaulle, Sartre, Mauriac, Malraux, Johnny. La première version est présentée à Bruxelles au Ciné Rio en 1981. Elle est ensuite jouée au festival d’Avignon où elle fait l’évènement. As de la mise
en abyme, Philippe Caubère prouve qu’il est capable de jouer de manière
éblouissante plusieurs personnages à la fois et séduit le public.
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Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11
En 1986, il rédige le Roman d’un Acteur, une épopée burlesque en onze
épisodes composée en deux parties : l’Âge d’Or et La Belgique.
Dans cette œuvre, il reprend le personnage principal de La Danse du Diable,
Ferdinand Faure, au moment où le jeune homme quitte le Théâtre du Soleil
et le théâtre subventionné « classique » pour écrire et monter ses propres
spectacles.
Le premier tome du Roman d’un Acteur est édité chez Joëlle Losfeld en
1994. La plupart des créations qui en découlent sont également filmées
par la suite à destination du cinéma de 1994 à 2006 par Bernard Dartigues.
Après Molière en 1977, Philippe Caubère se fait connaître auprès du grand
public dans les deux films d’Yves Robert sortis en 1989. La Gloire de mon
père et Le Château de ma mère retracent les souvenirs d’adolescence de
Marcel Pagnol. Philippe Caubère y incarne le rôle du père, Joseph Pagnol,
et devient un acteur qui fait partie de la vie de nombreux spectateurs.
Plus tard, en 1998, sort le film Aragon – l’an 2000 n’aura pas lieu tiré de la
pièce écrite, mise en scène et jouée par Caubère en 1996. En 2005, nous le retrouvons au cinéma dans le film Truands de Frédéric
Schöenderffer où il incarne le personnage Corti.
Entre temps, au théâtre, Philippe Caubère a continué de réaliser des créations avec Chemin de la mort et Vent du gouffre en 1991 ; Champ de betteraves, Voyage en Italie et Bout de la nuit en 1992 ; Marches du palais en 1993.
Entre l’année 2000 et 2005, parait son troisième spectacle autobiographique, prolongation du Roman d’un Acteur. L’Homme qui danse est
constitué de trois volets : Claudine et le théâtre, 68 selon Ferdinand et Ariane
et Ferdinand regroupant six pièces. Ceux-ci sont rapidement édités chez
Joëlle Losfeld et sont filmés en 2005 par Bernard Dartigues. Un épilogue
reprenant deux pièces, La Ficelle et La mort d’Avignon, est créé en 2007.
Marcel Pagnol est le personnage qu’il jouera ensuite dans Jules et Marcel
d’après la correspondance Raimu/ Pagnol en 2009 puis en 2011 au Théâtre
de l’Odéon de Marseille où la pièce sera filmée par Elie Chouraqui.
2011 sera également l’année de la création de Caubère joue Benedetto : Urgent
crier ! d’André Benedetto, dans laquelle il incarne le dramaturge, ancien directeur du festival « off » d’Avignon.
En 2012, Philippe Caubère crée Marsiho lors du festival d’Avignon au
Théâtre des Carmes. Ce texte d’André Suarès jette un nouveau regard sur
la ville de Marseille - ville natale du comédien - dans les années trente.
Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11
Philippe Caubère
et l’Atelier Théâtre Jean Vilar
Depuis 1978, Armand Delcampe a régulièrement invité Philippe Caubère à jouer
au cœur de la cité universitaire, mais aussi à Bruxelles.
On oublie souvent que la première version de La Danse du Diable a d’ailleurs
été jouée à Bruxelles, au Ciné Rio en 1981, avant d’être reprise au festival d’Avignon avec le succès qu’on lui connaît.
Par la suite, l’Atelier Théâtre Jean Vilar collabore beaucoup avec le Théâtre du Soleil et accueille notamment Ariane ou l’Age d’Or en 1988. Philippe Caubère revient
aussi en 1997 au Cirque Royal avec les poèmes d’Aragon et au Théâtre Jean Vilar
avec la mise en scène de Que je t’aime de Clémence Massart.
C’est dire l’émotion particulière que suscite le retour à Louvain-la-Neuve de Philippe Caubère pour cette «quinzaine» exclusive.
Découvrez l’intervention de Philippe Caubère lors de la présentation de saison au
Théâtre Jean Vilar en mai dernier :
http://youtu.be/rcNvqNQDmTg
«Quinzaine Philippe Caubère»
du 6 au 18 octobre 2014
Théâtre Jean Vilar - Louvain-la-Neuve
Le comédien présentera en alternance deux de ses spectacles
Marsiho
La Danse
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les 6, 7, 10, 17
octobre 2014
les 9, 11, 12, 14, 16,
18 octobre 2014
Infos pratiques :
Théâtre Jean Vilar - Rue du Sablon (derrière la Place Rabelais) - 1348 Louvain-la-Neuve
Représentations à 20h30 sauf le jeudi à 19h30 et le dimanche à 16h
Infos et réservations : 0800/25 325 – www.atjv.be
Les à-côtés
jeudi 17.10, à l’issue du spectacle, rencontre avec Philippe Caubère.
Visitez l’espace pro de notre site internet www.atjv.be, vous y trouverez des visuels en haute définition.
(Login = presse / Mot de passe = jeanvilar)
Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11
La Danse du Diable
Du 9 au 18 octobre 2014 au Théâtre Jean Vilar
A (re)voir !
En 2014, le spectacle a tourné en France, notamment à Béziers, Beaucaire, Avignon, Lille et Toulon. En 2014, l’Atelier Théâtre Jean Vilar vous le présente en
exclusivité en Belgique !
Présentée pour la première fois en 1981, La Danse du Diable est un spectacle
autobiographique qui a fait l’événement à sa création. Cette reprise est un
véritable cadeau pour le public car, 33 ans plus tard, la magie reste intacte…
Pendant trois heures, Philippe Caubère tient son auditoire en haleine grâce à
son talent et sa présence ensorcelante. Il est irrésistible, à la fois bouleversant
et terriblement comique, il fait mouche à chaque réplique. On vit avec lui son
enfance et son adolescence au pays provençal. On y croise De Gaulle, Sartre,
Mauriac, Malraux, Johnny, Roger Lanzac, Lucien Jeunesse, Gaston Defferre,
François Billoux, les vedettes des années 50-70. Mais surtout on rencontre
Claudine Gautier, mère de l’auteur et son double imaginaire qui emporte tout
son petit monde à un train d’enfer grâce à son bagout intarissable.
« J’ai monté la première Danse du Diable en 1981, alors que j’avais 31 ans. Aujourd’hui, j’en ai 63. J’avais envie depuis très longtemps de remonter ce spectacle
autobiographique. Aujourd’hui, cette recréation, c’est un peu mon Temps retrouvé... »
Philippe Caubère, juillet 2013
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Écriture, mise en scène et interprétation : Philippe Caubère
Une production de Véronique Coquet pour La Comédie Nouvelle avec le soutien
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Danse du Diable raconte son enfance et son adolescence à Marseille époque Gaston Defferre - à travers
les tribulations du jeune Ferdinand
Faure - double imaginaire de Philippe Caubère - aux prises avec une mère redoutablement abusive et des rêves fous de théâtre.
Le succès du spectacle incite l'acteur
devenu auteur à poursuivre la saga.
Ce sera Ariane ou l'âge d'or, ses débuts de comédien, puis les Enfants
du Soleil, et bien d'autres épisodes,
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multitude de personnages que Caubère habite seul sur scène. Cette fresque balzacienne et drolatique de onze spectacles - chacun dure trois heures minimum ! - constituera Le Roman d'un acteur.
«Je réalisais un rêve: écrire des textes et les jouer. Mais je ne pensais
pas devoir faire aussi le producteur », sourit Philippe Caubère dont
la carrière a fini par être cannibalisée
par cette aventure, « âne matière
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monstrueuse», et même marginalisée. « C'était une situation de non-retour. » II sera tout de même à l'écran
un touchant Joseph Pagnol dans La
Gloire de mon père, un caïd endurci
dans Truands. Puis s'ouvrira à
d'autres auteurs, adaptant Recouvre-le de lumière, hommage d'Alain
Montcouquiol à son frère le torero Nimeno II, ou encore Marsiho d'André
Suarès. Caubère s'est aussi associé à
Michel Galabru dans Jules et Marcel.
des lustres mais le texte est revenu
plus vite qu'il ne l'imaginait, «en
quinze jours ». Quand la déchirure
au tendon a tout enrayé...
Aujourd'hui il se dit fin prêt et piaffe
d'impatience. «Ça me plaît de faire
comme Johnny Hallyday. Les parents, voire les grands-parents, amèneront leu rs petits pour qu'ils découvrent un morceau de leur
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soit un peu démodé ? «Je vais être totalement mégalomane :je n'ai pas le
moindre doute sur ce texte très classique qui m'émeroeiUe encore ! La
seule chose que je craigne, c'est l'engagement physique. Je n'ai pas envie que l'on dise "c'est la Danse du
Vieux" », dit-il avant de se transformer à nouveau en diable.
JEAN-MARIE GAVALDA
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31 janvier à Béziers (Zinga Zanga + dédicace
fe 30 janvier, 17 h 30, à la librairie Clareton) ;
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(Chêne Noir) avec également au programme
"Avignon 68" (28 février et 2 mars).
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reprend sa "Danse du Diable" créée en 1981.
théâtre français.
La reprise de ce solo mythique s'est
déroulée en fait voici presque un an,
à Tarascon-sur-Ariège, interrompue
dès le second soir par une rupture
du tendon d'Achille. «Je n'ai pax
compris ce qui m'arrivait. C'était
violent», se souvient Philippe Caubère. Deux mois en fauteuil roulant et
une interminable convalescence
dans sa maison près de l'étang de Serre ont mis entre parenthèses ce spectacle dans lequel l'acteur avait beaucoup investi, ravivant la flamme de
ses grands débuts en solitaire, le prélude d'une aventure théâtrale sans
équivalent.
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Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11
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Marsiho
Du 6 au 17 octobre 2014 au Théâtre Jean Vilar
© Michèle Laurent
Avec Marsiho (Marseille en provençal) d’André Suarès, Philippe Caubère
nous emmène dans le Sud. Seul sur scène, il dialogue avec la ville qui l’a
vu grandir.
Le comédien fait renaître le Marseille du début du XXe siècle, ses bruits,
ses activités, ses scènes de genre, sa galerie truculente de personnages…
La ville millénaire, sublime et fangeuse, est rendue dans toute sa complexité, ses mélanges, ses paradoxes, au travers d’une prose teintée de
poésie et de sensualité.
Quel régal de découvrir l’auteur génial et méconnu qu’est André Suarès à
travers l’interprétation ample et violente qu’en donne le Marseillais Philippe
Caubère. Pendant deux heures, celui-ci devient la chair des mots du poète.
Télérama Sortir, janvier 2013
Adaptation, mise en scène et interprétation : Philippe Caubère
Une production de Véronique Coquet pour La Comédie Nouvelle avec le
soutien du Ministère de la Culture et de la Communication.
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Caubère : "malgré mon
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Philippe Caubère a dû mettre
pied à terre. Verdict : rupture du
talon d'achille. En juillet, il devait jouer trois spectacles au
Théâtre des Carmes pour le Festival Off d'Avignon. In fine, il dira, assis, le "Mémento occitan"
de son m a î t r e , A n d r é
Benedetto.
I Pour vous, qui êtes un comédien de l'énergie, comment le
vit-on?
Il faut rester calme, en tout cas
essayer (sourire). Je me dis que
je vais pouvoir faire des choses
pour lesquelles je n'avais pas eu
CAUBERE
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Page 1/4
perai sur un tabouret pendant
que Jérémy Campagne sera à la
guitare rock. Je lui ai demande
dè s'inspirer du "Osez Joséphine" de Bashung car "Mémento
occitan" c'est une balade au galop d'un troubadour à moto, André Benedetto. Pour moi, il est
le Kerouac occitan de la "Beat
génération" et dans ce poème
écrit en 1981, il raconte ce 2e
pays, 1'Occitanie, qui va de Bordeaux à Clermont et Menton.
I Comment allez-vous?
Bien merci. Le 25 mai, j'ai dévissé, comme on dit. Alors que
j'étais sur scène en train de
jouer, mon pied est allé tout
droit et ma jambe a tourné à
droite. Ça a fait "Clac"! C'est la
première fois de ma vie que ça
m'arrive. Le surlendemain, un
copain chirurgien de Vitrolles
m'a opéré. Depuis, je dois rester
immobilisé (encore trois semaines) avant de passer à six semaines de rééducation. J'ai rapidement été rassuré car on m'a expliqué que ce n'était pas dû à
mon âge (il a 62 ans ndlr) ni parce que j'avais trop fait de vélo (il
est adepte du VTT dans les collines de la Farre-les-oliviers
ndlr).
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I Marseille capitale européenne de la culture sans Caubère,
Val (ett! et I AM c'est bizarre...
Vous avez raison, et il faut ajouter la famille Ascaride. Je crois
que la culture marseillaise
n'était pas le sujet des organisateurs, qui étaient portés vers la
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culture mondiale. C'est pas graE
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En juillet, il devait jouer 3 spectacles aux Cannes. A l'arrivée, il
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oùn et autres
dira, assis, le "Mémento occitan" de Benedetto. / PHOTO A ESPOSITO C'est encore pire à Avignon,
fonctions,
le Festival In est séquestré par le
articles
significa
tifs
le temps, comme éditer la (Toulon). Mardi (demain), je parti socialiste et la branchitude
deuxième partie du "Roman suis au Théâtre Silvain (Mar- parisienne, qui méprise le Off,
d'un acteur" (la Belgique).
seille) avec Michel Galabru festival de la plèbe. J'espère
pour la reprise exceptionnelle qu'Olivier Py aura le courage de
I Pour le F e s t i v a l Off de "Jules et Marcel". Là, pas de se mettre à dos "Libération" et
d'Avignon, vous avez donc dû soucis, on joue de toutes façons "Le Monde" !
assis. En juillet, au théâtre des
changer votre fusil d'épaule?
Recueilli par Fabien BONNIEUX
Je dois garder mon plâtre jus- Cannes, je vais dire (et non pas
Mémento occitan" par Philippe Caubère,
qu'à début août, j'ai donc dû re- lire) "Mémento occitan" d'Anhuit soirs seulement à 22 h 30 du 6 au 25
porter les trois pièces, que je dré Benedetto, décédé il y a 4
juillet au Théâtre des Carmes, Avignon ;
jouerai en janvier et février chez ans. Dans la lere partie du specta0 04 90 82 20 47.
les Berling au Théâtre Liberté cle, je serai assis dans un fau-
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Eléments de recherche : PHILIPPE CAUBERE : comédien et autres fonctions, articles significatifs
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Eléments de recherche : PHILIPPE CAUBERE : comédien et autres fonctions, articles significatifs
Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11
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