DOSSIER DE PRESSE Philippe Caubère, légende vivante du théâtre et du cinéma français, en exclusivité en Belgique en octobre ! Philippe Caubère, biographie Philippe Caubère est un comédien, auteur et metteur en scène français né à Marseille en 1950. Sa carrière artistique est riche et passionnante. En 1971, il monte à Paris où il intègre le Théâtre du Soleil dirigé par Ariane Mnouchkine. Il entre dans la compagnie avec un désir d’apprendre et voit cette expérience comme une chance, une occasion extraordinaire de comprendre le fonctionnement d’une troupe. Philippe Caubère dans Molière, le film Ariane Mnouchkine, fondatrice du Théâtre du Soleil Sous la mise en scène d’Ariane Mnouchkine, il joue dans les pièces 1789, 1793 et L’Âge d’Or qui rencontrent un franc succès. Il interprète également Molière dans le film du même nom, aux côtés d’Armand Delcampe dans le rôle de son père. Après sept années passées au Théâtre du Soleil, il se lance dans la mise en scène de Dom Juan de Molière, dans lequel il tient le rôle principal. La pièce est créée en 1977 à la Cartoucherie de Vincennes pour le Théâtre du Soleil, en collaboration avec le Théâtre de la Tempête. Rapidement, Philippe Caubère est considéré comme un des acteurs les plus remarquables de sa génération. Dès 1978, Armand Delcampe l’invite à l’Atelier théâtral de Louvain-laNeuve, théâtre de création mais aussi d’accueil, fraîchement installé sur le nouveau site universitaire. Il y interprétera Lorenzaccio d’Alfred de Musset ainsi que Touzenbach dans Les Trois Sœurs de Tchékhov dans des mises en scène d’Otomar Krejca en 1979. Philippe Caubère et Clémence Massart dans Dom Juan Il se consacre totalement à l’écriture durant l’année 1980 avec la rédaction d’une pièce qui fera de lui l’inventeur de l’autobiographie théâtrale. La Danse du Diable est une histoire comique et fantastique où Philippe Caubère se raconte seul sur scène en retraçant son enfance et son adolescence au pays provençal. Nous y croisons les différentes personnes qui ont marqué son parcours tel que De Gaulle, Sartre, Mauriac, Malraux, Johnny. La première version est présentée à Bruxelles au Ciné Rio en 1981. Elle est ensuite jouée au festival d’Avignon où elle fait l’évènement. As de la mise en abyme, Philippe Caubère prouve qu’il est capable de jouer de manière éblouissante plusieurs personnages à la fois et séduit le public. TELERAMA, 1981 LE QUO TIDIEN PARIS, 16 déce DE mbre 1981 CHARLIE HEBDO, 9 décembre 1981 Un magicien de théâtre, un U génial cabotin, un fameux re ne bête de scè ne Une des plus fortes émotions de théât comédien. uve qui soient, c’est celle-ci, lorsqu’on épro Le pouvoir de la scène à avec la sensation physique de partager l’état pur. type au dire de désir le salle une toute L’HUMANITÉ, 30 juillet a nous qu’il ir plais le 1981 qui est sur la scène s de donné. On ne tape pas dans ses main Œd ipe s’ e nvo où le la même façon que d’habitude les jours une on a trouvé ça “ pas mal ”. On est dans Ph ilip pe Caubère (Moliè s, et grosse bulle, tout le monde, et lui là-ba dans le film d’Ariane Mn re bien sent se on où fois kine), seul en scène plus ouchc’est une des rares de deux heures, rem avec beaucoup de gens autour. porte un succès qu’il n’a pas volé. Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11 En 1986, il rédige le Roman d’un Acteur, une épopée burlesque en onze épisodes composée en deux parties : l’Âge d’Or et La Belgique. Dans cette œuvre, il reprend le personnage principal de La Danse du Diable, Ferdinand Faure, au moment où le jeune homme quitte le Théâtre du Soleil et le théâtre subventionné « classique » pour écrire et monter ses propres spectacles. Le premier tome du Roman d’un Acteur est édité chez Joëlle Losfeld en 1994. La plupart des créations qui en découlent sont également filmées par la suite à destination du cinéma de 1994 à 2006 par Bernard Dartigues. Après Molière en 1977, Philippe Caubère se fait connaître auprès du grand public dans les deux films d’Yves Robert sortis en 1989. La Gloire de mon père et Le Château de ma mère retracent les souvenirs d’adolescence de Marcel Pagnol. Philippe Caubère y incarne le rôle du père, Joseph Pagnol, et devient un acteur qui fait partie de la vie de nombreux spectateurs. Plus tard, en 1998, sort le film Aragon – l’an 2000 n’aura pas lieu tiré de la pièce écrite, mise en scène et jouée par Caubère en 1996. En 2005, nous le retrouvons au cinéma dans le film Truands de Frédéric Schöenderffer où il incarne le personnage Corti. Entre temps, au théâtre, Philippe Caubère a continué de réaliser des créations avec Chemin de la mort et Vent du gouffre en 1991 ; Champ de betteraves, Voyage en Italie et Bout de la nuit en 1992 ; Marches du palais en 1993. Entre l’année 2000 et 2005, parait son troisième spectacle autobiographique, prolongation du Roman d’un Acteur. L’Homme qui danse est constitué de trois volets : Claudine et le théâtre, 68 selon Ferdinand et Ariane et Ferdinand regroupant six pièces. Ceux-ci sont rapidement édités chez Joëlle Losfeld et sont filmés en 2005 par Bernard Dartigues. Un épilogue reprenant deux pièces, La Ficelle et La mort d’Avignon, est créé en 2007. Marcel Pagnol est le personnage qu’il jouera ensuite dans Jules et Marcel d’après la correspondance Raimu/ Pagnol en 2009 puis en 2011 au Théâtre de l’Odéon de Marseille où la pièce sera filmée par Elie Chouraqui. 2011 sera également l’année de la création de Caubère joue Benedetto : Urgent crier ! d’André Benedetto, dans laquelle il incarne le dramaturge, ancien directeur du festival « off » d’Avignon. En 2012, Philippe Caubère crée Marsiho lors du festival d’Avignon au Théâtre des Carmes. Ce texte d’André Suarès jette un nouveau regard sur la ville de Marseille - ville natale du comédien - dans les années trente. Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11 Philippe Caubère et l’Atelier Théâtre Jean Vilar Depuis 1978, Armand Delcampe a régulièrement invité Philippe Caubère à jouer au cœur de la cité universitaire, mais aussi à Bruxelles. On oublie souvent que la première version de La Danse du Diable a d’ailleurs été jouée à Bruxelles, au Ciné Rio en 1981, avant d’être reprise au festival d’Avignon avec le succès qu’on lui connaît. Par la suite, l’Atelier Théâtre Jean Vilar collabore beaucoup avec le Théâtre du Soleil et accueille notamment Ariane ou l’Age d’Or en 1988. Philippe Caubère revient aussi en 1997 au Cirque Royal avec les poèmes d’Aragon et au Théâtre Jean Vilar avec la mise en scène de Que je t’aime de Clémence Massart. C’est dire l’émotion particulière que suscite le retour à Louvain-la-Neuve de Philippe Caubère pour cette «quinzaine» exclusive. Découvrez l’intervention de Philippe Caubère lors de la présentation de saison au Théâtre Jean Vilar en mai dernier : http://youtu.be/rcNvqNQDmTg «Quinzaine Philippe Caubère» du 6 au 18 octobre 2014 Théâtre Jean Vilar - Louvain-la-Neuve Le comédien présentera en alternance deux de ses spectacles Marsiho La Danse du Diable les 6, 7, 10, 17 octobre 2014 les 9, 11, 12, 14, 16, 18 octobre 2014 Infos pratiques : Théâtre Jean Vilar - Rue du Sablon (derrière la Place Rabelais) - 1348 Louvain-la-Neuve Représentations à 20h30 sauf le jeudi à 19h30 et le dimanche à 16h Infos et réservations : 0800/25 325 – www.atjv.be Les à-côtés jeudi 17.10, à l’issue du spectacle, rencontre avec Philippe Caubère. Visitez l’espace pro de notre site internet www.atjv.be, vous y trouverez des visuels en haute définition. (Login = presse / Mot de passe = jeanvilar) Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11 La Danse du Diable Du 9 au 18 octobre 2014 au Théâtre Jean Vilar A (re)voir ! En 2014, le spectacle a tourné en France, notamment à Béziers, Beaucaire, Avignon, Lille et Toulon. En 2014, l’Atelier Théâtre Jean Vilar vous le présente en exclusivité en Belgique ! Présentée pour la première fois en 1981, La Danse du Diable est un spectacle autobiographique qui a fait l’événement à sa création. Cette reprise est un véritable cadeau pour le public car, 33 ans plus tard, la magie reste intacte… Pendant trois heures, Philippe Caubère tient son auditoire en haleine grâce à son talent et sa présence ensorcelante. Il est irrésistible, à la fois bouleversant et terriblement comique, il fait mouche à chaque réplique. On vit avec lui son enfance et son adolescence au pays provençal. On y croise De Gaulle, Sartre, Mauriac, Malraux, Johnny, Roger Lanzac, Lucien Jeunesse, Gaston Defferre, François Billoux, les vedettes des années 50-70. Mais surtout on rencontre Claudine Gautier, mère de l’auteur et son double imaginaire qui emporte tout son petit monde à un train d’enfer grâce à son bagout intarissable. « J’ai monté la première Danse du Diable en 1981, alors que j’avais 31 ans. Aujourd’hui, j’en ai 63. J’avais envie depuis très longtemps de remonter ce spectacle autobiographique. Aujourd’hui, cette recréation, c’est un peu mon Temps retrouvé... » Philippe Caubère, juillet 2013 20 FEV 14 n Quotidie 2 (cm²) : 17 approx. page : 10 Surface N° de Page 1/1 91862 ES BP E D'ORV 57 75 00 ESTIENNDEX 1 - 04 91 EILLE CE Écriture, mise en scène et interprétation : Philippe Caubère Une production de Véronique Coquet pour La Comédie Nouvelle avec le soutien du Ministère de la Culture. médien ir. Le co hêne No Diable ». C u d e Théâtr se du sa « Dan reprend 20 FEV vé s retrou Le temp pe Caubère de Philip Surface 25 JAN 14 Quotidien OJD : 130065 Le int-Louis, treux, Sa château de Les Char même le es, en sont ilippe Borély, et gu 81 que Phs) crée Parc sso à Veuvenar us des Mar19 été nn an • C'est een(il a alors 31 la Condi- Picadécors. Bien codécouverts par Caubèr nse du Diable » àux de pro- lesillais, ils seront le, Sarte, Mau-« La Da Soies, alors lie festival. se autres. De Gaul ny, Gaston Dé tion desation officiel du est âgé les c, Malraux, John ux, la panoplie aussi gramm d'hui le comédienêne Noir riare, François Billops là seraRENCONTRE Aujour s. Et c'est au Chle autobio- fer s stars de ce tem de 63 anrend ce spectac de toutes de rendez-vous. » le po rtr ai t de qu'il rep e, « matrice »à l'origine au aî s c'est aussi , mère de l'augraphiqutions futures, i connaît. M audine Gautieruble imaginaire, ses créa rrière qu'on lu très long- Cl r et de son do monde, le récit de la cais envie depuis er ce spec- teuqui mène tout le n elle-même, à « J'ava t-il, dè remont est un mo- « la représentatio sous son imatemps, di tte re-création , c'est un et train d'enfer et te, son bagout un tacle. Cetorique de ma vie. » débordan gination ble... » ' ment his Temps retrouvé.. ère est reintarissae Philippe Caub plusieurs peu mon èn ns t i lu r Sur scble, glissant da st pa c'e ensorcelan ce r piè eu à la fois, umer la nce d'un douta Le dans es ag rés it nn ra L'acteur T O T démiurge et méditerranéen On pour et l'adolesce l nommé perso ectateurs. 22 Caubère a toujours l'œil di provençais les an- les sp l'enfance me ys hilippe sa pa rier un regard qui transfévrier et enfant dud Faure, depu 70. Pour defév Molière, ndredi 21 dimanche 23 n Ferdinanjusqu'aux annéesdu Diable Verie Locatio et pétille. Surtout lorsr à 20h, 16h.perce nées SOte ur La Danse raconte, fév samedi ler mars à qu'il évoque cette Danse du son au autant qu'elle mique et et 04 90 86 74 87 Diable qui va renaître ce soir à Beau« évoqueun spectacle copoétique. au caire, sur les bords du Rhône, entre Provence et Languedoc, au cœur du car c'est ue, c'est à dire royaume de ce prince si singulier du fantastiq Surface approx. (cm²) : 559 Page 1/1 Ce soir au théâtre de Beaucaire, avant Béziers et Avignon Philippe Caubère entre à nouveau dans la danse P Philippe Caubère O/2 E 2/GTG/OT CAUBER 930050 059292 En 1981, après avoir quitté l'ombre tutélaire d'Ariane MnouchMne, rncarné ificatifsau cinéma, un Molière arti d'anthologie cles sign ctions, joué Lorenzaccio dans la Cour d'honautres fon édien et neur du Palais des Papes à Avignon, ERE : com PE CAUB : PHILIP Caubère, alors âgé de 31 ans, conçoit che her de rec Eléments un spectacle autobiographique. La Danse du Diable raconte son enfance et son adolescence à Marseille époque Gaston Defferre - à travers les tribulations du jeune Ferdinand Faure - double imaginaire de Philippe Caubère - aux prises avec une mère redoutablement abusive et des rêves fous de théâtre. Le succès du spectacle incite l'acteur devenu auteur à poursuivre la saga. Ce sera Ariane ou l'âge d'or, ses débuts de comédien, puis les Enfants du Soleil, et bien d'autres épisodes, tous forges dans l'improvisation, une Page 1/1 A partir de vendredi, au Chêne Noir, il re prend "La danse du diable", cr éée à I Philippe Caubère lors d'une visite récente à Béziers, en repérage, multitude de personnages que Caubère habite seul sur scène. Cette fresque balzacienne et drolatique de onze spectacles - chacun dure trois heures minimum ! - constituera Le Roman d'un acteur. «Je réalisais un rêve: écrire des textes et les jouer. Mais je ne pensais pas devoir faire aussi le producteur », sourit Philippe Caubère dont la carrière a fini par être cannibalisée par cette aventure, « âne matière photo PIERRE ' i • monstrueuse», et même marginalisée. « C'était une situation de non-retour. » II sera tout de même à l'écran un touchant Joseph Pagnol dans La Gloire de mon père, un caïd endurci dans Truands. Puis s'ouvrira à d'autres auteurs, adaptant Recouvre-le de lumière, hommage d'Alain Montcouquiol à son frère le torero Nimeno II, ou encore Marsiho d'André Suarès. Caubère s'est aussi associé à Michel Galabru dans Jules et Marcel. des lustres mais le texte est revenu plus vite qu'il ne l'imaginait, «en quinze jours ». Quand la déchirure au tendon a tout enrayé... Aujourd'hui il se dit fin prêt et piaffe d'impatience. «Ça me plaît de faire comme Johnny Hallyday. Les parents, voire les grands-parents, amèneront leu rs petits pour qu'ils découvrent un morceau de leur jeunesse. » CAUBER E 213962 Ne craint-il pas que son vieux tube 9300524/M RJ/OTO/ 2 soit un peu démodé ? «Je vais être totalement mégalomane :je n'ai pas le moindre doute sur ce texte très classique qui m'émeroeiUe encore ! La seule chose que je craigne, c'est l'engagement physique. Je n'ai pas envie que l'on dise "c'est la Danse du Vieux" », dit-il avant de se transformer à nouveau en diable. JEAN-MARIE GAVALDA jmgavalda@midilibre com k Ce soir à Beaucaire; vendredi 31 janvier à Béziers (Zinga Zanga + dédicace fe 30 janvier, 17 h 30, à la librairie Clareton) ; fes 21, 22, 23 février et 1 < mars à Avignon (Chêne Noir) avec également au programme "Avignon 68" (28 février et 2 mars). Quand P (re)dansehilippe Caubère avec le d Spectacl e autobiog I Plus de trente an iable raphique , l'artiste s après avoir mon revi té L ce ent sur sc ène. Et pa tte comédie sse par Bé ziers. Joseph père de Ma Fabien BON rcel, dan Pagnol, NIEUX film père et Les à succès, La glo s les deux tant, si Phi château de ma ire de mon mère. Pou amour très lippe Caubère reve rde sa régi pagnolesque de ndique un on, Ma rseille il est homme de théâtre. aussi et surtout et cles parisien un Pas ceu un comédie s, bien au con x des cerne à la plu n, auteur et mettraire, plutôt dres imp me prolixe, qui teur en scèrefuse les Son œuv osés par la bienséan caman d'unre majeure, c'est ce. dix années acteur, auquel ainsi Le Roil consacr graphiqu de sa vie. Une pièc era de onze e et monumentale, e autobiocun qu'ilspectacles de troi constituée I Philippe joué au festa lui-même miss heures chaCaubère Elém en scène ents deival d'A sera seul vign et Apr sur scèn on. Un challen recherch e : PHI e pendant ès Beauca LIPPE CAU ge près de ire la sem BERPhil trois heur E : ippe aine dern com Cau Avignon, es. ière, une sera et autr Photo PIER main soirédienbère Zintion esàfonc quèlques c'est là qu'il ava RE SALIB 2d7vila ga Zan pour raco 515ine 680 A ga des, artic sure les pendan 5a5bles a80d02 La Danse années plus tôt,it déjà créé, enfance, ces bell nter à nouvea l'af64f priv 247 tifst plusieur u son significa é de es 708scèn en 1981, ses et surt a55709 que et fant du diable, une e 856818 out... sa années marseillai- donc, avec ses yeus mois. Le revo pièc asti ima c159449 e que com mèr gin com fance mar x bril ilà sur sa mèr e, « ave édien. « ation déb iPour moi lants du jeune a ouvert lesseillaise. C'est celle et son en- sable bagout ordante et son c son challenge de , c'ét me si ses portes de la reno e-là qui lui d'un temps ». Et tant pis intaris- âge, la quintesdonner sur scèait un vrai ne, à mon dien, il les premières annéesmmée, mê- peuvent pasque les moins de s'il parle l'enfance que sence de la jeun esse, de Soleil que avait passées au de comé- Sartre, Ma connaître. « De20 ans ne Et Béziers estje n'ai plus. » uria ne. « Elle dirigeait Ariane théâtre du cien Jeuness c, Malraux, Joh Gaulle, cette tournée une étape spéc qui se iale e, Gaston nny, Lu- Avignon ment enc reste mon mod Mnouchki- sont des et mêm prépare, entr dans Def ges avec ore, j'ai suivi l'unèle. Récem- connaît»,références que tou ferre... Ce de la prépara e Paris. « En 198e Lille, tion de 1, lors t le monde j'étais ven de me voirde jeunes comédie de ses sta- Ce n'es dit-il. mon cances à u passer quèlques spectacle, ses 63 ans. ici », s'amuse-t-ilns éberlués commet donc pas « la dan Pézenas. il se du haut de le J'ai répété jours de vaUn retour re. Après le craignait. Bien du vieux » le des fêtes... J'av dan s aux la orig que son tion physiquplusieurs mois au contrai- vanbruit des camion ais été frappé salactualité ines ? Peut-être. Puis par de préparas qui pas t. Ça m'a e, il s'est sur les plan , celle qui - text saient devait replongé diable qu'i ches, c'est cett le ramène surees. « Et c'est revenu dans les On y revient... rappelé ma jeunesse e Danse -t-il. Ave l rejoue, .» du trente ans c la mêm très vite », asLUDOVIC plus tard jouer, de les part e envie TRABUC . deuxièm de age ltrabuche HET e représen r. Las, lors de les I Demain à t@midilib 20 h 30 à re.com tation, l'été la Une Zinga Zan dédicace dernier, ga (35 €). rencontre aujo urd'hui à CAUBERE 7702509300 508/G CP/MFG/2 CAUBERE 0872009300524/GSD/OTO/2 Avignon en 1981 reprend sa "Danse du Diable" créée en 1981. théâtre français. La reprise de ce solo mythique s'est déroulée en fait voici presque un an, à Tarascon-sur-Ariège, interrompue dès le second soir par une rupture du tendon d'Achille. «Je n'ai pax compris ce qui m'arrivait. C'était violent», se souvient Philippe Caubère. Deux mois en fauteuil roulant et une interminable convalescence dans sa maison près de l'étang de Serre ont mis entre parenthèses ce spectacle dans lequel l'acteur avait beaucoup investi, ravivant la flamme de ses grands débuts en solitaire, le prélude d'une aventure théâtrale sans équivalent. lique. bo dia e « Ça me plaît de faire que qu éti po i ère auss comme Johnny » ub Ca Philippe 847d050152202c0542b24b64150965dc095268503186424 Eléments de recherche : PHILIPPE CAUBERE : comédien et autres fonctions, articles significatifs (cm²) : 412 Tout ce qu sur Philipp e vous ne saviez pas e Caubèr e E ntre Cau la rel atiobère et Avignon n réj oui ou ssa pres de ten due dur e dep nte mam soi40 ans A partir de uis d Ariane r I ancien com de au com ptcMnouchkme 63édien se du diableui icp icn d I a ans dan au Chene spectacle non Off du Fescree en 1981 dan Un trv al qui s le débuts DANSE son jeu marqua les DU DIABL la gl andde o a\c ntu sur le Je et E ble Fer "La Dan se du diab din and icd c son dou sait on tou Fa ure Ma le ', cree en 1981 dan t de Caubèr îs val d Avi s le Off du Fes e? gnon (la ti I BIDE ET Conditio des soie n s), évoque LA COURNANAS DANS l'enfance et l'adoles d'un enfa Je suis \enD'HONNEUR nt du pay cence u en 197 jou ci loi cal, Fer s proven 9 pou dina cnz r acc io dan cour d hon les annees nd Faure, dan s SO a 70 trueux Et neur Un bide mos la Évidemment la Méditerranée n'est jales ' sta rs" de cet Toutes ns rig ola de un grand souven te epoque sont au mais loin. Philippe Caubère (que cerren d lutant Le spe cta cle ir de chambre dezvous dans tains connaissent surtout aujourd'hui la de l'adoles joue pouplus attendu qu il était qui reve r la premie était de theatre cent pour sa défense du libre exercice pui des Gerard re Dan "La fois se du vei lle dc Phihpe en 195 de la prostitution) porte en sautoir tout le por diable" est sur tom e de la prc mic ic j éta 2 La Gautier, trait de Claudi l'identité sudiste, raillant les « petits is en ne mere de il n y ava nanas Le lendem l'au et de son it plus per marquis parisiens », et même cerdouble ima teur sonne ain re, qui me ginai tains décideurs marseillais, qui I verSON TRU et la rep né tout le monde C rés À , DANS LES LUI : LE VTT rouillent la culture. « Rs me trouvent le même entation el COLLINES , a un tram Ch d'enfe30 ez Trentre vieillot, pagnolesque, maurrassien, JAN 14 r, sou troi viers (presmor a la Fare les s sa féru toyable,Quotidie "La Danse s ans apres sa cre le mipi Oil de n en ignorant que les racines desce)texOJD son du diable ation au : 1300ima j aime meSalon de Proven débord 65 gination Festival ' son pre ant Surface bal e Off danune tes que je défends plongent dans et ade age mie approx. d Avi son bag s les colline r spectac i en e est assez inta riss(cm² out le ou il se gnon Philippe abl ) : 315 s a\ ec de VTT mo} en Caubère raconte grande civilisation antique. » sique dans les ore •» Vendredi e la rep a travers et ne I ai plu DAVIGNO illes Ma mu tam ant Av Ferdinand rend au Chene dimanche a samedi a 20 h edis notam noir Faure /PHC 16 tam» temps s fait depuis un îs je LA PLACEN, IL GOÛTE PE Totalement << mégalomane 20 h au Chen li samedi ler mars ment TOM LA RENT ccr Le problè a e noir qu a\ec mo rmer abo Quand DÈ L'HORLOG U » AU DEPA me e est Page 1/1Avignon L0/3 rd quelqu 0€ RT, IL DE pia tiq ue je suis a Avign E nd jc paii e est tout ou rien plu Suarès, Montcouquiol, ou qua récemLA s e CO TES pro cho ass on je RR TAIT plu fon d ct de se de de ez dur ant qua s en velo jc Jeune IDA s intéressan Fiedenc beaucoup i ouï e I Horloge G est peu la place de ment Benedetto (Urgent crier!), tre Schoendoe rm meont pas mo nhi rc J ado ïc t monde j étais comme tou sure san heures La de rffei sto i jc tiouvai I ambiance même une tonalité tragique qui a incit le I IL s plus Et Ca bai iiet » s bai SON FRER luc ene la coinda (SUP)POR a mon Cannes et ] aime la placedc la déc ouve et degueulasse pui té Caubère à retrouver son lumineux TE EA ert plu s ses terrass des thé s j ai en Si vous voulez LE MARCEL dePascal Caubère L'ŒIL tar d \oi r es le res âtral et arti sourire avec La Danse du Diable. est ma la stique I aspect me ui i cel en ti ain dc fanCaubère C cst pho to pou r le directeur n a\ aïs pas «Le théâtre de la mort c'est pas mon lui biu vam cin e du i a pense au auquel ]e maces trois fre qui a offi cie sul ema tout pre ) nou s \me nt (eta iec gn truc, c'est peut-être pour ça que j'ai GU S im (le)visioim cœur desres le ret our et I cs itor hom is ei a partiel le film Ti e grand pub du souci avec le théâtre officiel. » mes 3 (to Le lement a Lou Hands lic le con urn pou r naît son rmarmJ e II n'avait plus joué la Danse depuis surtout rôle de le Eléments de reche rche : PHILI PPE CAUB ERE : comé dien et autres fonctions, articles avec l'artis 17 h 30 à te se déro la librairie ule Clareton. 9073353359 c0dc05c2f1 significatifs 4634cd0305 440a232a08 01b74cb Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11 14 Quotid OJD : 124 ien 580 approx. 4 n 0 Marsiho Du 6 au 17 octobre 2014 au Théâtre Jean Vilar © Michèle Laurent Avec Marsiho (Marseille en provençal) d’André Suarès, Philippe Caubère nous emmène dans le Sud. Seul sur scène, il dialogue avec la ville qui l’a vu grandir. Le comédien fait renaître le Marseille du début du XXe siècle, ses bruits, ses activités, ses scènes de genre, sa galerie truculente de personnages… La ville millénaire, sublime et fangeuse, est rendue dans toute sa complexité, ses mélanges, ses paradoxes, au travers d’une prose teintée de poésie et de sensualité. Quel régal de découvrir l’auteur génial et méconnu qu’est André Suarès à travers l’interprétation ample et violente qu’en donne le Marseillais Philippe Caubère. Pendant deux heures, celui-ci devient la chair des mots du poète. Télérama Sortir, janvier 2013 Adaptation, mise en scène et interprétation : Philippe Caubère Une production de Véronique Coquet pour La Comédie Nouvelle avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication. T 13 11 OC Surface ien Quotid 124580 OJD : : 364 . (cm²) approx Page 1/1 rance F a L " : e Caubèr rseille" Philippe prend pas Ma ne com 19 COUR 13222 MAS D'ESTIENNE D'ORVES RSEILLE BP CEDEX 1 - 04 91 91862 57 75 00 11 OCT Surface le a choisi GAR RO ubère pe Ca THIE RRY s, Philip e". / PHOTO ré Suarè théâtr e d'And r l'art et le iho" ? adoxal de "Mars st la prevre par mbattant pou ne œu c'e scè , un "co iho", une mise en un décor. Et e je fais des ra ne "Mars hard Martin qu u au is scè Il y fois depu is conçen par Ric ttre en ère ". J'ava Pour me ursky dirigé . To r- mi ul en scène ur le jou er ais ni Rama ité Ma théâtre "se criso llic ne pouv tacle po liav iez s fait desrsiho ur réa ce spec . Comme je é au théâ2013 po Suarès. I Vo us air cré Ma ur ps, Suarè i ce in nc l'ai tem et ple ven je de Do on j'aar Pro re, même féroces. autou seilleà Avign s le fai refus? tre d'amo tiques fois une let e de ce li- ser un projetque révèle ce is solli- pa des Carmes r et des éclairCe , va t tre aginé un mu t l'extérieur. reest à la ine. La lectur e psycha- Selon vous er. J'aROGER 248ati AVENUE pr ojeSALENGRO im45 45 suggèren rel vis qui eu et de ha un effet presqu - 04 po ur unnt qu e la91 84 de rêve Il fau t le13015 qui un i. J'a i 13MARSEILLE An it". qualifiez stin maud nde I Vous ce ma énie au uez-vous liq de "g ent exp issance ? ns le Comm na recon ion , les ge Suaque de es rat Théâtre. A travers « parole d' André Su Marsiho », Philip pe Caubè arès. Lin e vision re porte à la fois ensoleillé ce soir et demai n sur la e et obsc scèn ure de la ville, dura e du Toursky la nt l'entre -deux-gu erres org bé À la Li aient avec Geborationnisconfondétait un colla lui était un rez qui re alors que C'est diffite notoi antifasciste. succès ou nt le sr lita mi e un my xp liq ue cile d'ecès. Il y a presqucrois qu'il vre a eu - ges r est un objetr un bateau, ra su r mo é M P 20 importa for mu au l'insuc tour de ça. Jer, indépen- na ly tiq ue que Suarès ts que cit aucoup plus de Marsiho. Pré r à tou , il mu l... Il y tère au s particulie ait à aucun l'impression de sentimenait. Les be se en scène é en plein air es flète tour, un borde le qu'aimait . tas en art inspir assion- mi pour être jou trois homm - chantie sique, cel Wagner, les était trè éra pp litt ire lait des n'a à tale m' mu An dant, il politique ouait qu'il est ma ville na ent être compne sup- vu it consacré Benedetto, ou- de la s : Debussy et nt-garde de e éta Suarè Montc group rd'hui, on dirMais d'u ne gens préfèrMarseille, je s parrs d'ava d: André risien Pa- du Su arès et Alainsuis pas sûr compositeu Pa TARZI Aujou de droite. a été un des nels avec . s Le Su ide ne oque a BACH plu tôt éclairée. Il F (Nouvelle porte pas ça.t en rigolant, d, on dréiol. Mais jeprofondes et intns. son ép ueilli par Mouni du Rec droite rs de la NR s faire par- lent du foo ands. Au fon théâtre e institutioplus en- qu les choses à 21h au (3 ). st e) san . Il était gnol, des tru ille comme unarès, que intéressent les fondateu et demain de Léo Ferré tiste n'e as ion rse Su français Ce soir ena Revue cette associatment. Il était regarde Maélevé. Po ur est une me jourd'hui, l'ar des manifest , 16 prom rsky Tou tie de rlait franche c'est plus fa- fan t mal rse : Marseille oyan- Aucentre d'intérêt. 5835 049102 juif, paEt en France, re en étant c'est l'inve use et flamb grec- le ns culturelles la 57 ueille ifique com- tio conçu 2b1c13 org s gn poète. devenir célèb le c34 ou ma vil z-v et ne d520e8 ent ave a202b5 cile de cier. France terrible fo rt 454a24 I Comm r- te, e et latine. La Ce tex te llice0e62 roman 745b60 . su r Ma qu 517a65 film Fe pa s ça arè s rit Su pr en d e toujours le ificatifs les sign I Qu 'éc "Marsiho"? ge qu 'on voqu s, artic tion m'é ns élo es fonc en et autr seille da plu s bel ille. Et édien E : com C'e st lefaire de Marse CAUBER LIPPE e : PHI puisse Eléments 2 TO/ E 5/FCC/O CAUBER 730050 970587 de recherch n approx. (cm N° de pa ²) : 449 ge : 15 Page 1/2 A o is sa m marseilla une œu l'écrivain s laisse oine litdré Suarè patrim nse. Unméconnu du pupe vre imme n Philip qui reste téraire que le comédie restituer de rblic et propose ne de Ma Caubèree mise en scèprovençal). avec un arseille en qui pose un lle siho (Mte poétique une "vi Un tex ambivalent suret vulgaire, regard s voluptueuse soleil, à la à la foi r exposée au aux excrée et ky, tour à tou au sublim du Tours saleté, Sur la scène us promèments". Caubère no des années Philippe le Marseille Vieux-Port ne dansL'Estaque au r Stellior et 30, de nt par le ba ne... en passanne fellinien arès sa patro dré Su 13 Quotidie rsky n au Tou et demai s ce soir rè ua S André siho" d' ue "Mar édien jo Le com r t e n 1 9 4An8 ,- Marseille , sans dé tour Re m is de sa bl qu contraini l'i m m ob ili sa es su re , Lenc sentation t d'annuler uneit et l'a surtouthe. « André Suar ès voulai estivale reprécomprend diable au 17 de JUIN t du lieu, so La 13 re la comp Da théâtrProv. dim. nse du se e Siavec CaubèrQuotidien lvain, s mélan n orgueil, ses pa lexité e sera ceOJD Philippe au théâtre so: ir124580 bouilloire ges. On y découvradoxes, et demain To do ur nt sk MarsihSurface : 320 la violence re une y.(cm²) paradoxe Il pr o, sigapprox. és en , , pa ter c'e né rti a st un d'u seillais, An cip dré Suarèn au tre Mar- Fr Pilier de la Noe à sa beautê ». Méc nu ançaise uv , An s.Su avec certaelle Revue pourtanon arès était ill us tre s pa irs in t un auteudréPage période de 1/1 Claudel et , tels qus de ses r majeur Pa e l'e de ul Pa nt la d'une dr Va re-d ul durant laq oite anar léry, « défenseur uelle a étéeux-guerres, centr pièce, do chiste, pr e, éc seille, en nt le titre signirite cette alors vo mal perçu dans unoche du milieu est donc langue provenfie Mar- Suarès n'eué à la gauc2he Rue de la L?jerneta Athos Palace », qu ça An n es le. res 98000 MONACO 00 377 dr tio tai Il visionna é93 50 56 52 n de faire trait de la ire ce quit pas moins « un c'est asse cité phocéenne, un por- cément l'o dérangea it fordance. « z rare, sans condmais, et médisanc rdre établi ». Ob La es e, jet cen- finire mépris et de tendre ma description nt de de ar gu m en is elle m'a boulen'est pas solitude do l'enfermer « da haine, ns nt il fit sa lippe Ca ta it l'a n dern versé », révolte ». une r Ph i- Cago spectacleubère alors en roie les et da du côté ge du En ch patronne fél théâtre de et jouera assis en juillet auxduCannes blanc imemise et costu linienne m maculé, Philippee d'un teuil (celui du spectacle "MarsiCauho"). Dans la seconde, je grim- 22/27 NOV 13 Hebdomadaire Caubère : "malgré mon accident, je fais le Festival Off" AVIGNON fl s'est rompu le talon d'achille L e 25 m a i , à T a rascon-sur-Arriège (Pyrénées), en pleine représentation de "La danse du diable", Philippe Caubère a dû mettre pied à terre. Verdict : rupture du talon d'achille. En juillet, il devait jouer trois spectacles au Théâtre des Carmes pour le Festival Off d'Avignon. In fine, il dira, assis, le "Mémento occitan" de son m a î t r e , A n d r é Benedetto. I Pour vous, qui êtes un comédien de l'énergie, comment le vit-on? Il faut rester calme, en tout cas essayer (sourire). Je me dis que je vais pouvoir faire des choses pour lesquelles je n'avais pas eu CAUBERE 5833866300503/GAD/OTO/2 Page 1/4 perai sur un tabouret pendant que Jérémy Campagne sera à la guitare rock. Je lui ai demande dè s'inspirer du "Osez Joséphine" de Bashung car "Mémento occitan" c'est une balade au galop d'un troubadour à moto, André Benedetto. Pour moi, il est le Kerouac occitan de la "Beat génération" et dans ce poème écrit en 1981, il raconte ce 2e pays, 1'Occitanie, qui va de Bordeaux à Clermont et Menton. I Comment allez-vous? Bien merci. Le 25 mai, j'ai dévissé, comme on dit. Alors que j'étais sur scène en train de jouer, mon pied est allé tout droit et ma jambe a tourné à droite. Ça a fait "Clac"! C'est la première fois de ma vie que ça m'arrive. Le surlendemain, un copain chirurgien de Vitrolles m'a opéré. Depuis, je dois rester immobilisé (encore trois semaines) avant de passer à six semaines de rééducation. J'ai rapidement été rassuré car on m'a expliqué que ce n'était pas dû à mon âge (il a 62 ans ndlr) ni parce que j'avais trop fait de vélo (il est adepte du VTT dans les collines de la Farre-les-oliviers ndlr). Surface approx. (cm²) : 1654 I Marseille capitale européenne de la culture sans Caubère, Val (ett! et I AM c'est bizarre... Vous avez raison, et il faut ajouter la famille Ascaride. Je crois que la culture marseillaise n'était pas le sujet des organisateurs, qui étaient portés vers la CAUBER culture mondiale. C'est pas graE 665697730 0502/XVP/ ve, moi, je suis maligne intérieuOTO/2 re, chaque obstacle me permet Eléments de recherde rebondir. Mais le mal est proche : ILIPpas PE CA fond,PHet qu'à En juillet, il devait jouer 3 spectacles aux Cannes. A l'arrivée, il UBERMarseille. E : com édie oùn et autres dira, assis, le "Mémento occitan" de Benedetto. / PHOTO A ESPOSITO C'est encore pire à Avignon, fonctions, le Festival In est séquestré par le articles significa tifs le temps, comme éditer la (Toulon). Mardi (demain), je parti socialiste et la branchitude deuxième partie du "Roman suis au Théâtre Silvain (Mar- parisienne, qui méprise le Off, d'un acteur" (la Belgique). seille) avec Michel Galabru festival de la plèbe. J'espère pour la reprise exceptionnelle qu'Olivier Py aura le courage de I Pour le F e s t i v a l Off de "Jules et Marcel". Là, pas de se mettre à dos "Libération" et d'Avignon, vous avez donc dû soucis, on joue de toutes façons "Le Monde" ! assis. En juillet, au théâtre des changer votre fusil d'épaule? Recueilli par Fabien BONNIEUX Je dois garder mon plâtre jus- Cannes, je vais dire (et non pas Mémento occitan" par Philippe Caubère, qu'à début août, j'ai donc dû re- lire) "Mémento occitan" d'Anhuit soirs seulement à 22 h 30 du 6 au 25 porter les trois pièces, que je dré Benedetto, décédé il y a 4 juillet au Théâtre des Carmes, Avignon ; jouerai en janvier et février chez ans. Dans la lere partie du specta0 04 90 82 20 47. les Berling au Théâtre Liberté cle, je serai assis dans un fau- CAUBERE 3648138300509/XME/MFG/2 Eléments de recherche : PHILIPPE CAUBERE : comédien et autres fonctions, articles significatifs da7c85ed5d80f701e2864624c80555611966be822132356 Eléments de recherche : PHILIPPE CAUBERE : comédien et autres fonctions, articles significatifs Contact : Atelier Théâtre Jean Vilar - Adrienne Gérard - [email protected] - 010/47.07.11