… l’intelligence pour aimer, l’amour pour comprendre ...
Un matin, juste avant les priè-
res, Mamma Rosa descend de sa
chambre, et dit à ses pro-
ches : « Cette nuit, la Vierge m’a
appris une nouvelle prière » (1). On
s’assemble autour d’elle et Mamma
rosa continue : « Jésus, donne-moi
l’intelligence pour aimer, et l’a-
mour pour comprendre »…
PETITE PANIQUE
A SAN DAMIANO
L’entourage reste interdit ! On réflé-
chit, puis on insinue, un peu dubita-
tif : « Mamma Rosa, vous devez
vous tromper ! C’est certainement :
Jésus, donne-moi l’intelligence pour
comprendre, et l’amour pour aimer »…
Un témoin raconte que ce
jour-là, un petit vent de panique a
soufflé à San Damiano. Les amis de
Mamma Rosa ont pu prendre peur
devant l’apparent illogisme de la dé-
claration, car la situation restait ten-
due avec l’évêché et la moindre im-
prudence, la moindre «erreur » au-
rait été inévitablement exploitée par
les ennemis des apparitions de Ma-
rie en ce lieu (1964-1981).
Rosa, qui était très humble, dit
qu’elle allait redemander à la sainte
Vierge.
Un peu plus tard, après avoir prié,
elle affirma :
« Si, si, c’est bien cela, la
Vierge me l’a redit, c’est bien :
« Jésus, donne-moi l’intelligence
pour aimer, et l’amour pour com-
prendre »… Et Rosa précisera plus
tard que cette prière serait impor-
tante pour le nouveau règne de Jé-
sus et de Marie.
Le père Francesco Bocchi connaît
bien San Damiano. En accord avec
l’évêque de Piacenza, il a assuré
pendant plusieurs années l’accom-
pagnement spirituel du lieu et des
pèlerins. Nous l’avons interrogé sur
cette déclaration de Rosa :
‘’L’amour sans intelligence’’,
nous a-t-il répondu, « On
pourrait dire, l’amour sans
vérité, est un amour qui ne
construit pas, c’est u n
faux. Alors Mamma Rosa,
je crois qu’elle est rentrée
profondément dans l’unité
de l’homme, et elle a com-
pris qu’une intelligence
sans amour, c’est morce-
ler, fractionner une per-
sonne ». Cette idée de
séparation entre intelli-
gence et amour est bien
trempée dans l’esprit de
nos contemporains. ‘’Le
cœur a ses raisons que la
raison ignore’’ (2) disait
Pascal. L’intellectuel se
méfie de l’affectivité. L’in-
telligence craint l’amour
car aimer veut dire accep-
ter d’entrer en dépendance
de quelqu’un. L’exercice
de l’intelligence requiert
toujours plus d’autonomie,
d’indépendance vis à vis
du cœur qui est assimilé
au subjectif.
De même, l’amour se méfie de la
raison. Les hommes de ce temps
préfèrent la passion, l’immédiateté
des satisfactions du pouvoir, de la
chair ou des sentiments. Quant à la
conscience, éclairée par l’intelli-
gence qui est don de l’Esprit, elle
leur est insupportable face à leurs
envies et ambitions ».
La Madone à San Damiano
constate : …Personne ne veut plus
souffrir ; personne ne veut plus ai-
mer ; seulement jouir et prendre plai-
sir dans le monde en compagnie du
Démon… SD 14 mars 1969.
C’est pourquoi le père Fran-
cesco insiste : « Une affectivité mal
donnée ne construit pas et peut aus-
si faire du mal. Et une intelligence
sans amour ça gèle, ça refroidit, ça
rend désagréable une vérité » (1). On
pourrait ajouter en citant le raccourci
du père Pierre Caillon : « La vérité
sans amour durcit, l’amour sans véri-
té pourrit » !
C’ETAIT DU
SAINT AUGUSTIN ! …
« Amour et intelligence forment un
ensemble qui fait cheminer la per-
sonne, ajoute le père Francesco. Je
croyais que c’était une citation de
saint Augustin ! La première fois que
j’ai entendu : « Donne-moi l’intelli-
gence pour aimer… je croyais que
cela ne venait pas de Mamma Rosa,
mais de saint Augustin…cela pour-
rait être un signe que l’Esprit de
Dieu habite Mamma Rosa » (1).
1.Ce fait est rapporté dans le film «San Damiano : Témoins de Vérité »
Dans le DVD : Jardin de Paradis. Ed SDMedia 2. Pensée n°423 (Lafuma)
Icône de Tendresse
Le
Le bulletin de
bulletin de
bulletin de
San Damiano Media
San Damiano Media
San Damiano Media
Ne craignez pas,
Ne craignez pas,
Priez,
Priez,
Offrez,
Offrez,
Souffrez et
Souffrez et
Faites silence…
Faites silence…
SD 3 avril 1970
SD 3 avril 1970
SD 3 avril 1970
N° 3 - 11 février 2001
GRATTER LA SURFACE
DU TRESOR
Le message de Marie à San
Damiano a un charisme propre. Le
cœur simple qui le reçoit simplement
en est tout transformé. Il lui suffit d’é-
couter ce qu’elle dit, comme le ferait
un petit enfant.
La parole de Dieu imprègne ce
message. Le langage de Marie est
aussi celui d’une jeune juive for-
mée par les rabbins. Il faut donc
s’attendre à ce que cette culture
biblique laisse son empreinte dans
ses mots et même dans le Lieu ou
elle pose ses pieds … Tâchons
de gratter un peu la surface de ce
trésor.
« L’amour pour comprendre »,
nous propose-t-elle... Mais
qu’est-ce que comprendre ? A
quoi mène l’exercice de l’intelli-
gence ?
Réponse de saint Thomas :
« Qui dit intelligence, dit une cer-
taine connaissance intime ; faire
acte d’intelligence c’est comme
qui dirait “lire dedans” … la
connaissance pénètre jusqu’à
l’essence de la réalité… Mais la
lumière de notre intelligence n’a
qu’une vertu bornée (qui marque
les limites du don naturel de l’in-
telligence). L’homme a besoin
d’une lumière surnaturelle pour
pénétrer au-delà, jusqu’à la
connaissance de choses qu’il
n’est pas capable d’atteindre par sa
lumière naturelle. C’est cette lumière
surnaturelle donnée à l’homme qui
s’appelle : « le don d’intelligence» (3).
Saint Jean précise : « Nous sa-
vons que le Fils de Dieu est venu et
qu’il nous a donné l’intelligence afin
que nous connaissions le (Dieu)
Véritable » (4).
Dans la citation suivante du
message de San Damiano nous re-
trouvons cette même inspiration que
l’intelligence est ordonnée à la dé-
couverte du divin, mais par les yeux
de l’amour : « Récitez souvent des
“Credo” plusieurs fois durant les
jours et aussi la nuit si vous ne
dormez pas. Ces “Credo” vous don-
neront la foi et vous pourrez la don-
ner aussi aux autres car Jésus ou-
vre les intelligences, ouvre les
cœurs de mes enfants. Il les pénètre
de son amour, de sa splendeur qui
vous font monter avec persévérance
vers le ciel » SD 5 juin 1969.
Tout au long de ces pages, nous
aimerions montrer que le message
de Marie est en pleine harmonie avec
les écritures et avec l’enseignement
de l’Eglise. C’est un des éléments
essentiels pour discerner si un phé-
nomène charismatique comme celui
de San Damiano vient de l’Esprit-
Saint. Passons en revue quelques
citations sur le lien entre intelligence
et amour
« Jusqu’aujourd’hui, Yahvé ne
vous avait pas donné un cœur pour
connaître » (5) enseignait Moïse aux
juifs de l’Exode.
Salomon disait : « La pensée,
c’est une étincelle qui jaillit au batte-
ment de notre cœur » (6) !
Puis Jésus, s’adressant aux pè-
lerins d’Emmaüs :
« O cœurs sans intelligence »…
Ceux-ci, après qu’Il les eût quittés, se
dirent l’un à l’autre : Notre cœur n’é-
tait-il pas tout brûlant au-dedans de
nous quand il nous parlait, quand il
nous expliquait les Ecritures ? » (7) ;
Et enfin, saint Ambroise :
« Rappelle-toi que tu as reçu le signe
spirituel, l’Esprit de sagesse et d’in-
telligence… Le Christ seigneur t’a
confirmé et il a mis en ton cœur le
gage de l’Esprit » (8).
A la lumière de ces textes, il est
clair que la prière de Mamma Rosa
n’a rien d’anachronique, mais qu’elle
s’inscrit dans la droite ligne d’une
tradition biblique.
l’Amour ne s’oppose pas à ce
don surnaturel d’intelligence : l’Amour
(au sens profond de l’Amour qui brûle
dans le cœur de Dieu et qui est versé
dans celui de l’homme) est au
contraire indispensable à l’exercice
de cette intelligence (9).
COMPRENDRE, OUI ! MAIS
COMPRENDRE QUOI ?
Marie annonce à San Damia-
no : « J’enverrai tous mes
anges et saints du ciel illumi-
ner tous mes enfants de la
terre, qu’ils reviennent repen-
tis, qu’ils lèvent les yeux au
ciel et demandent pardon »
SD 30 janvier 1970.
Comprendre : avec les yeux du
cœur tournés vers le ciel en
implorant le pardon et non avec
l’indifférence ou le mépris, du
haut de nos certitudes, mais
avec ce cœur pur, « moulé »
par Marie. Alors, l’intelligence
nous sera rendue.
Rappelons-nous : au temps de
sa déchéance parmi les hom-
mes, un ange apparût a Nabu-
chodonosor le roi de Babylone,
car il avait prié, rempli de
contrition. Il s’écria : « Au
temps fixé, moi, Nabuchodonosor, je
levai les yeux au ciel : l’intelli-
gence me fut rendue, alors je bénis
le très haut…, et pour l’honneur de
ma royauté me revinrent gloire et
splendeur » (10). Etonnante similitude
de ces deux messages qui associent
l’ange, la contrition implorante et le
retour de l’intelligence
Comprendre quoi ? De nom-
breux messages nous invitent à réflé-
chir sur le bien et le mal : « De tou-
tes les parties du monde, je réclame
mes enfants parce que je vois qu’ils
sont tellement dans la boue ! …Ils ne
comprennent plus ni le bien, ni le
mal, et ils ne s’aiment plus. Il n’y a
qu’orgueil et superbe, et tant de ma-
lice ! » SD 27 juin 1969.
3. St Thomas Somme théologique ; La foi t II art I-3
4. 1Jn 5, 20
5. Dt 29, 3
6. Sg 2, 2
7. Lc 24,32
8. St Ambr, myst. 7, 42.
9. Si les anciens d’Israël faisaient résider l’intelligence dans le cœur, ce
n’était pas un anthropomorphisme déplacé, mais plutôt une intuition
d’en haut. D’entretiens personnels avec Mamma Rosa, je retiens qu’elle
considérait que l’âme résidait dans le cœur. Il ne faudra pas envisager le
cœur, ici, en tant qu’organe, mais comme le lieu de ce que les hébreux
nomment «la hesed », c’est à dire tout à la fois : la tendresse, le don de
l’âme, l’amitié confiante, l’abandon, la piété, la charité pour le pro-
chain, la soumission joyeuse à la volonté de Dieu (cf. la note de la Bible
de Jérusalem sur Os 2, 21
10. Dn 4, 31
11. Sir 17, 7-8
12. Ex 9, 7
2
On trouvera une correspon-
dance avec le livre de l’Ecclésiasti-
que : « Il les remplit de science et
d’intelligence et leur fit connaître
(discerner) le bien et le mal, il mit sa
lumière dans leur cœur pour leur
montrer la grandeur de ses œu-
vres » (11).
C’est bien un des grands problè-
mes d’aujourd’hui. Il semble que la
maladie la plus répandue aujourd’hui
soit celle de l’intelligence. Le juge-
ment des hommes est enfoui sous
une chape de ténèbres, une puis-
sance d’obscurcissement (12).
« Ne voyez-vous pas à quel
point le monde est troublé », nous dit
Marie à San Damiano «à quel point il
est angoissé et dans quelle an-
goisse ? Ils ne se comprennent plus,
ils ne savent plus distinguer le bien
et le mal » SD 12 juin 1968.
Comment aurions-nous pu ima-
giner en 1964-1970 qu’on en vien-
drait à un tel aveuglement, en cette
fin de siècle ! Les esprits sont si obs-
curcis sur les problèmes qui touchent
à la vie et à la dignité humaine ! Pre-
nons quelques exemples, issus du
cerveau des chercheurs scientifiques.
Le RU 486 n’est rien d’autre
qu’une molécule- infanticide.
L’amniocentèse est une sorte
d’inquisition contre l’enfant : il s’agit
de faire enquête systématique, rem-
boursée (et peut-être bientôt obliga-
toire) sur les motifs de condamnation
de cet enfant. Si un problème de san-
té (souvent inexistant ou exagéré),
est dépisté, l’enfant est systématique-
ment proposé au bûcher
de l’avortement.
Les expérimentations
sur l’embryon et les
cultures de tissus em-
bryonnaires consistent à
faire pousser artificielle-
ment des petits d’hom-
mes pour les dépecer
ensuite et en faire des
médicaments ou des cos-
métiques dans la plus
pure tradition nazie.
Le clonage humain
consiste à reproduire des
bébés sans mère comme
machine à produire des
organes-pièces-de-
rechange.
Ce ne sont que quelques
exemples de ces dévia-
tions de l’intelligence. Il
faudrait aussi parler de
l’euthanasie ; en faire la
promotion de consiste à
justifier des criminels-
soignants pour se débarrasser des
malades âgés, coûteux en encom-
brants pour la société ; de l’Etat-
souteneur avec le minitel rose ; du
déferlement sans précédent de la
pornographie et de la violence avec
ses conséquences sur l’insécurité et
les suicides (la France est cham-
pionne du monde). Il faudrait parler
des nations de la faim qui interpellent
les nations de l’opulence et du gaspil-
lage.
Il s’agit bien là d’une maladie de l’es-
prit ou les hommes ne savent plus
discerner ni le bien, ni le mal…
Donc Marie à San Damiano, il
y a 30 ans, avait vu le problème dans
sa globalité d’aujourd’hui.
Les débuts de l’histoire de ce Lieu ne
commencent-il pas par le plus beau
des exemples ? Marie s’est adres-
sée, à une mère de famille, Mamma
Rosa, qui, envers et contre tout,
avait voulu garder son bébé mal-
gré les risques mortels pour elle,
de cette décision (13).
13. Voir à ce sujet «Mamma Rosa, une vie» dans le film vidéo:
« San Damiano ou la présence de Marie »
14. Gn 3, 3
15. Gaudium et Spes 12-3
16. Ps 8, 6-7
Gaudium et Spes 13-2
18. 1 Co 13, 8
Icône de l’enfant prodigue
Christ miséricordieux de Vilnius
Jésus, j’ai Confiance en vous
3
AU JARDIN D’EDEN,
L’INTELLIGENCE S’EST
OBSCURCIE :
Cette maladie de l’esprit, de
l’incapacité au discernement du bien
et du mal a commencé au Jardin d’E-
den, face à l’arbre de la connaissance
du bien et du mal. « Vous ne mange-
rez pas du fruit de cet arbre sous
peine de mort », avait dit le Seigneur à
Adam (14).
A l’état d’origine le premier
homme n’avait pas à dire la prière de
Mamma Rosa, car Il était par nature
dans une intelligence d’amour sur tou-
tes choses…(15).
« A peine le fis-tu moindre
qu’un Dieu ;
Tu le couronnes de gloire et
de beauté,
pour qu’il domine sur
l’œuvre de tes mains ;
Tout fut mis par toi sous ses
pieds » (16). Chante le psalmiste.
Cette intelligence s’est brutale-
ment obscurcie.
L’auteur, le Diable, celui qui divise, a
introduit la rupture entre amour et in-
telligence. C’était le début de la puis-
sance d’aveuglement ! ...
« C'est donc en lui-même que
l'homme est divisé. Voici que toute la
vie des hommes, individuelle et collec-
tive, se manifeste comme une lutte
combien dramatique entre le bien et
le mal, entre la lumière et les ténè-
bres » (17).
Depuis, la sueur de l’homme ne
finit pas de couler ! L’humanité
rame, progresse laborieusement
pour tenter de récupérer morceau
après morceau, cette domination
perdue! Et la science, dont s’enor-
gueillit l’humanité, n’étend ses
connaissances que sur une infime
partie du créé, et à quel prix !
Marie nous prévient : «Ils
mettent tous leurs espoirs dans la
science (pensano solo andare
avanti con la scienza), mais la
science sert peu pour l’éternité »
SD 2 mai 1970 ; comme en écho à
l’apôtre qui dit : « la charité ne
passe jamais. Les prophéties ?
elles disparaîtront ; les langues ?
elles se tairont ; la science ? elle
disparaîtra » (18).
Dans le mode de pensée de
Mamma Rosa, il n’y a aucun obs-
curantisme. La sainte vierge lui
montrait toutes les somptuosités
inconnues de la création qu’elle
tentait de décrire à son tour. Des
chercheurs qui l’interrogeaient
s’entendirent répondre : II ne faut pas
cesser de chercher. Dans la nuit,
vous découvrirez peu à peu des
choses nouvelles... Puis de décou-
vertes en découvertes Mamma Rosa
leur annonçait que Dieu leur ferait dé-
couvrir le «Cœur de la Rose », c’est à
dire celui qui est le principe de tout.
«Jésus embrasera votre cœur, il vien-
dra au centre de votre cœur, Jésus !
Vous comprendrez beaucoup de
choses et vous comprendrez le mal
et le bien » SD 26 mai 1970.
Rétablir cette unité de l’intelli-
gence et de l’amour qui est au cœur
du message, n’est-ce pas porteur
d’espérance ? …
Y aurait-il dans cette prière de Mam-
ma Rosa une force de retour vers l’é-
tat originel, perdu par nos premiers
parents ?
Nous avons vu dans le précé-
dent courrier que la spiritualité du jar-
din de paradis à San Damiano expri-
mait une sorte de nostalgie de Dieu
qui montre son désir de refaire de sa
création abîmée, un nouveau paradis.
Mais pas un paradis terrestre
comme l’ancien. Le projet va infini-
ment plus loin : Marie nous entraîne
dans une spirale d’amour dont le cen-
tre est le principe de tout amour : Jé-
sus-Christ, le nouvel Adam. Non pas
devenir de nouveaux Adam, mais
d’autres Christ !
UNE PRIERE POUR
LE NOUVEAU REGNE
Demandons l’amour de Marie,
pour comprendre qu’elle vient. De-
mandons l’intelligence du cœur, pour
la recevoir dans nos foyers. Deman-
dons-lui de l’accueillir dans nos âmes
grâce au chapelet.
Notre seul mérite sera d’accep-
ter de faire sa volonté. Alors viendra le
règne de Jésus.
« Mes fils de prédilection, si vous
êtes saints, vous amènerez toutes
les âmes au ciel, si vous êtes dans
la charité, dans l’amour, dans la
pauvreté, tous vous suivront »
SD 12 décembre 1969.
Jean-Romain Fabrikant
Adam et Eve chassés du Paradis
Masaccio, 1426-1427
« Jésus, donne-moi
l’intelligence pour aimer,
et l’amour
pour comprendre » … :
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