Société pharmaceutique
(MEDA PHARMA)
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
Prostigmine 0,5 mg/ml, solution injectable
Prostigmine 12,5 mg/5 ml, solution injectable
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
1 ml de Prostigmine 0,5 mg/ml, solution injectable contient 0,5 mg de méthylsulfate de néostigmine.
1ml de Prostigmine 12,5 mg/5 ml, solution injectable contient 2,5 mg de méthylsulfate de néostigmine.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Prostigmine 0,5 mg/ml, solution injectable (IM, SC, IV ts lente)
Prostigmine 12,5 mg/5 ml, solution injectable (IM, SC, IV très lente)
4. DONNEES CLINIQUES
4.1 Indications thérapeutiques
Indiqué dans la constipation atonique, le météorisme (p. ex. avant une radiographie) ainsi quen cas datonie intestinale postopératoire
et de rétention urinaire.
Diagnostic et traitement de la myasthénie grave.
Inhibition des curares (neutralisation des effets des curares et des myorelaxants non dépolarisants de type curare).
4.2 Posologie et mode d’administration
Posologie
Dose standard :
• Constipation atonique, météorisme (p. ex. avant une radiographie) :
Adultes : ½ à 1 ampoule de 1 ml (0,25-0,5 mg) par voie SC ou IM.
• Atonie intestinale postopératoire et tention urinaire :
Adultes : 1 ampoule de 1 ml (0,5 mg) par voie SC, IM ou en IV très lente ; répéter cette dose toutes les 4 à 5 heures jusqu’au
rétablissement de la fonction intestinale ou vésicale (ristaltisme intestinal perceptible à l’auscultation, défécation ou miction
spontanée).
• Myasthénie grave :
Diagnostic : La myasthénie diminue rapidement après une administration IM, IV ou SC de 0,5 à 2 mg de Prostigmine.
Traitement : La dose doit être adaptée au degré d’invalidité ; un traitement concomitant de Mestinon per os peut savérer utile.
- Crise aiguë
Chaque patient doit avoir sur soi deux ampoules de 0,5 mg de Prostigmine afin de pouvoir se les administrer par voie SC ou IM en cas
de symptômes sévères. Si nécessaire, le patient sera hospitalisé et des doses complémentaires de Prostigmine 1 mg peuvent être
administes jusquà deux à trois fois par heure, par voie parentérale.
- Traitement chronique
La préférence doit être accore à Mestinon, car ce médicament agit de façon plus progressive et plus longtemps que Prostigmine.
La dose doit être adaptée sur base individuelle en fonction de létat clinique et des données électrophysiologiques, mais lessentiel est
dassurer un maximum de confort et de sécurité au patient.
Il est ts important determiner la dose optimale : une dose trop faible naméliore pas suffisamment la fonction musculaire, tandis
qu’une dose trop élevée peut induire une intoxication cholinergique (voir surdosage).
Adultes : Des doses de 1 à 2,5 mg seront administrées par voie IM ou SC à différents intervalles au cours de la journée. La dose
quotidienne totale est généralement comprise entre 5 et 20 mg, mais des doses plus élevées sont quelquefois nécessaires. Lors de la
recherche de la dose efficace, la dose est augmentée progressivement tous les deux jours, chaque fois en fonction de la ponse
clinique du patient. La dose quotidienne doit être répartie en 6 à 12 prises. La dose efficace suivante doit être administrée 60 à 90
minutes avant le retour à létat initial. Lévaluation du fonctionnement d’un groupe de férence, par exemple la force de préhension de
la main ou lévaluation d’une activi globale (p. ex. le deg d’autonomie lors de l’exécution d’une tâche), peut être utilisée comme
critère d’activité clinique.
• Inhibition des curares (neutralisation des effets des curares et des myorelaxants non dépolarisants de type curare):
1 à 5 mg en IM et/ou en IV, éventuellement associé à 0,4-1,2 mg de sulfate d’atropine afin de duire les effets insirables
cholinergiques, tels que bradycardie et hypersécrétion. Les doses mentionnées ci-dessus ne peuvent être dépases, même en cas de
surdosage de curares.
Population pédiatrique
Dose standard :
• Constipation atonique, météorisme (p. ex. avant une radiographie) :
Enfants : ¼ à ½ ampoule de 1 ml (0,125-0,25 mg) par voie SC ou IM.
Chez lenfant, il peut être utile dadministrer, une demi-heure aps linjection de Prostigmine, un lavement à base de glyrine (50 mg à
10%) ou de chlorure de sodium (20 mg à 10%).
• Atonie intestinale postopératoire et tention urinaire :
Enfants : ¼ à ½ ampoule de 1 ml (0,125-0,25 mg) par voie SC ou IM.
• Myasthénie grave :
Traitement :Nouveau-nés : Prostigmine doit être administré à une dose initiale de 0,1 mg par voie IM. La dose sera ensuite adaptée sur
base individuelle, en contrôlant l’évolution clinique du tonus du bébé. La dose sera augmentée tous les deux jours. La dose moyenne
est de 0,05 à 0,25 mg (0,01 à 0,04 mg/kg par voie parenrale toutes les 4 heures, 30 minutes avant la e.
Enfants : * Enfants de moins de 6 ans : dose initiale : 0,2 mg par voie parentérale.
*Enfants de plus de 6 ans : dose initiale : 0,5 mg par voie parenrale.
La dose sera adaptée sur base individuelle, et sera augmentée tous les deux jours. La dose recommane est de 0,02 à 0,04 mg/kg
par voie IM ou SC toutes les 3 à 4 heures (dose quotidienne totale habituelle : 1 à 6 mg).
Recommandations posologiques spéciales :
En cas d’insuffisance rénale sévère, il peut savérer nécessaire de prolonger lintervalle entre les administrations ou dadministrer des
doses rétées plus faibles.
Mode dadministration
Il est recommandé dadministrer Prostigmine avant le repas, afin de prévenir d’éventuelles difficuls de mastication ou de déglutition.
4.3 Contre-indications
- Obstruction mécanique des intestins ou des voies urinaires ;
- Asthme bronchique ;
- Maladie de Parkinson ;
- Péritonite ;
- Hypersensibilité connue à la néostigmine ou à lun des excipients de Prostigmine ;
- Troubles circulatoires hypodynamique post-opératoires ou choc
- Administration concomitante de myorelaxants dépolarisants, tels que le suxaméthonium et le caméthonium, car ils agissent en
synergie. Cela convient uniquement pour contrer les effets de myorelaxants non dépolarisants.
4.4 Mises en garde sciales et précautions d’emploi
Lutilisation de néostigmine nécessite lélimination pliminaire de toute cause physicochimique ou biochimique de la détérioration de la
contraction musculaire.
La prudence est de mise chez les patients présentant les maladies suivantes : asthme bronchique, vagotonie, insuffisance cardiaque
décompensée, infarctus du myocarde récent, arythmies cardiaques (particulièrement la bradycardie et le bloc atrioventriculaire),
hypotension, occlusion coronaire récente, diabète suc, épilepsie, maladie de Parkinson, infection des voies urinaires,
hyperthyroïdisme, ulre gastrique ainsi qu’après une chirurgie intestinale.
La prudence est également de mise lors dun traitement aux bêta-bloquants et lors d’une anesthésie à l’halothane. En effet, puisque le
risque de bradycardie et d’art respiratoire est augmenté durant une anesthésie à l’halothane, la néostigmine ne doit pas être
administe avant que lanesthésie à l’halothane ne soit terminée. Pour les autres interactions avec dautres médicaments voir section
4.5.
Lutilisation de doses élevées de Prostigmine peut causer un bloc neuromusculaire paradoxal. Quand de hautes doses sont
administes, de l’atropine doit être administrée juste avant ou simultanément. Attention que latropine pourrait masquer les premiers
signes doverdose.
Particulièrement lorsque Prostigmine est administe en IV, une administration immédiate datropine et un traitement par électrochocs,
incluant la respiration artificielle, peuvent être requis.
Il est important de distinguer la myasthénie d’une crise cholinergique, cette dernière étant causée par un surdosage de néostigmine. Les
deux crises provoquent une faiblesse musculaire extme mais elles requièrent chacune un traitement différent (voir section 4.9).
Labsence de réponse thérapeutique recherchée après un traitement par Prostigmine peut être imputable à un surdosage (voir section
4.9).
Lorsque la fonction rénale est limitée, des intervalles prolongés entre deux doses ou des doses subséquentes plus faibles sont indiqués.
4.5 Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions
- Lors du traitement de la myasthénie grave, lorsque Prostigmine seul (ou associé à d’autresinhibiteurs de la cholinesrase) ne suffit
pas, l’adjonction de corticostérdes est envisageable. Cependant, lusage concomitant de néostigmine et de méthyl prednisolone peut
aggraver les symptômes de la myasthénie grave.
- Prostigmine neutralise les effets des myorelaxants non dépolarisants de type curare. Prostigmine nantagonise pas mais prolonge le
blocage phase I des myorelaxants dépolarisants tels que le suxaméthonium et le caméthonium.
- Latropine s’oppose aux réactions cholinergiques à Prostigmine, à savoir bradycardie et hypersécrétion. Toutefois, il convient de
garder à l’esprit que l’on perd ainsi un moyen de contrôler la dose et quil existe un risque de surdosage sans signes précurseurs.
- Certains antibiotiques aminoglycosides (principalement la kanamycine, la streptomycine, la néomycine) ont un effet myorelaxant non
dépolarisant. L’effet de la néostigmine est aussi cont par la clindamycine, la colistine et les polymyxines. Ces antibiotiques doivent
être utilisés avec la plus grande pcaution chez les patients myasthéniques. Les doses de Prostigmine doivent être ajuses en fonction.
- Les agents anesthésiants locaux et certains agents anesthésiants systémiques, les agents antiarythmiques et d’autres produits
pharmaceutiques qui portent atteinte à la transmission neuromusculaire et aggravent potentiellement la myasthénie grave doivent être
utilisés avec précaution lorsqu’ils sont utilisés de manière concomitante avec la néostigmine (exemples : quinine, chloroquine,
hydroxychloroquine, quinidine et procnamide, propafénone, lithium). Les doses de Prostigmine doivent être ajuses en fonction.
- La néostigmine peut augmenter les effets insirables de la morphine et des dérivés de la morphine ainsi que ceux des barbituriques
(exemple : entrave à la fonction respiratoire), des ta-bloquants (hypotension, bradycardie de longue due), des anesthésies à
lhalothane (bradycardie et art respiratoire).
- Lusage concomitant dantagonistes du calcium et d’agents bloquants neuromusculaires peut mener à un blocage musculaire intensifié
résistant à laction de la néostigmine.
4.6 Fécondité, grossesse et allaitement
Grossesse
Il nexiste pas de données ou il existe des données limitées sur l'utilisation de méthylsulfate de néostigmine chez la femme enceinte.
Prostigmine ne peut être administ pendant la grossesse que lorsque les avantages potentiels lemportent sur les risques pour le fœtus.
Prostigmine ne doit pas être administré à une date proche de l’accouchement car le méthylsulfate de néostigmine augmente lirritabilité
urine et peut causer une naissance prématurée.
Allaitement
Il nexiste pas de données suffisantes sur lexcrétion de méthylsulfate de néostigmine /metabolites dans le lait maternel. Prostigmine ne
doit pas être administré pendant lallaitement. Si un traitement par Prostigmine est indispensable, lallaitement doit être ar.
Fécondité
Il nexiste pas de données.
4.7 Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
A cause des effets secondaires potentiels de la néostigmine, tels que le myosis, les troubles de laccomodation et une sécrétion
lacrymale accrue, laptitude du patient à conduire et à utiliser des machines peut être alrée.
4.8 Effets insirables
Prostigmine peut induire des effets insirables fonctionnels sur le sysme nerveux végétatif. Les effets de type muscarinique incluent :
nausées, vomissements, diarrhée, gastralgies, augmentation du péristaltisme intestinal et des sécrétions bronchiques, salivaires et
lacrymales, chute de la tension artérielle, bradycardie et myosis.
Les effets nicotiniques primaires incluent : spasmes, fasciculations et faiblesses musculaires.
Les actions cholinergiques à Prostigmine peuvent être particulièrement gênantes lorsque Prostigmine est utilisé pour neutraliser leffet
de myorelaxants non dépolarisants ;s lors, on recommande d’administrer une injection combinée à base de Prostigmine et de sulfate
datropine (voir rubriques « Posologie et mode d’administration » et « Surdosage »).De rares cas de actions allergiques et
anaphylactiques ont été rapportés.
Dans les classes de systèmes d’organes, les effets secondaires sont class par ordre de fréquence selon les catégories suivantes :
Très fquent (≥ 1/10)
Fréquent (≥ 1/100 à < 1/10)
Peu fréquent (≥ 1/1000 à < 1/100)
Rare (1/10000 à < 1/1000)
Très rare (< 1/10000)
Interminée (ne peut être estimée sur base des données disponibles)
Affections du système immunitaire
Très rare : réactions d’hypersensibili et anaphylaxie.
Affections oculaires
Interminée : myosis, sécrétions lacrymales accrues.
Affections cardiaques
Interminée : arythmies (incluant la bradycardie, la tachycardie, le bloc atrioventriculaire, un rythme nodal et des variations de l’ECG
non scifiques), ainsi que lart cardiaque, la syncope et l’hypotension.
Ces effets ont été observés particulièrement lorsque l’administration de néostigmine a été faite par voie parentérale. Des tachyarythmies
mettant la vie en danger ont été rapportées chez des patients présentant le syndme de WPW suite à ladministration de néostigmine.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Interminée : séctions bronchiques accrues, bronchospasme
Affections gastro-intestinales
Interminée : naues, vomissements, salivation accrue, flatulence, diarrhée et péristaltisme augmenté.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Interminée : hyperidrose
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Interminée : crampes musculaires, asthénie musculaire, fasciculation.
4.9 Surdosage
Comme avec tout inhibiteur de la cholinestérase, un surdosage de Prostigmine peutclencher, chez les patients atteints de myasthénie
grave, une crise cholinergique associée à une myasthénie sévère, ou une aggravation de celle-ci. Si ce symptôme de surdosage nest
pas tecté, une paralysie potentiellement fatale des muscles respiratoires peut se développer.
Les autres sympmes de surdosage sont les réactions mentionnées à la rubrique « Effets insirables » ; paradoxalement, un
surdosage peut provoquer à la fois une tachycardie et une bradycardie.
Traitement : Arrêter immédiatement ladministration de Prostigmine et d’autres inhibiteurs de la cholinestérase , et administrer 1 à 2 mg
de sulfate datropine (jusquà 4 mg) préférentiellement par injection intraveineuse lente (ou sous-cutanée éventuellement); selon
lévolution de la fréquence du pouls, cette dose peut être répétée toutes les 2 à 4 heures si nécessaire. Le transfert vers un centre
hospitalier peut savérer nécessaire en vue dinstaurer une éventuelle ventilation artificielle.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1 Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : para sympathicomimétique-cholinergique, code ATC: N07AA01
Les propriétés cholinergiques de la néostigmine résultent essentiellement du fait que la néostigmine stabilise lacétylcholine en inhibant
lactivité de la cholinestérase. Il en résulte une action plus longue et plus puissante de l’atylcholine.
La néostigmine favorise la transmission de linflux nerveux moteur et sensoriel au niveau du tractus gastro-intestinal, de lappareil
urogénital et dautres organes qui contiennent du tissu musculaire lisse; elle facilite également la fonction musculaire pendant plusieurs
heures. Sur le plan clinique, cette action stimulante sur linflux nerveux se manifeste principalement par une augmentation du
péristaltisme de lintestin, de luretère et de la vessie. La néostigmine augmente également lactivité ctoire des glandes innervées par
les fibres cholinergiques postganglionnaires ; il en résulte une augmentation de la sécrétion bronchique, gastrique et sudorale. La
néostigmine exerce un effet complexe sur le sysme cardiovasculaire; le principal effet est la bradycardie, avec une diminution du débit
cardiaque. La néostigmine neutralise le blocage neuromusculaire induit par les curares et les myorelaxants de type curare (c-à-d. les
myorelaxants non dépolarisants) ; il existe toutefois une interaction synergique entre la néostigmine et les myorelaxants dépolarisants. La
néostigmine n’exerce aucun effet notable sur l’action des myorelaxants ganglioplégiques.
5.2 Propriétés pharmacocinétiques
Distribution
Après une injection intraveineuse, la néostigmine est rapidement distribuée à travers l’espace extracellulaire. Lactivité de
latylcholinestérase au niveau des érythrocytes est quasi entièrement inhie dans un délai de 2 à 3 minutes. Lactivi
pharmacologique maximale est généralement atteinte dans les 7 à 15 minutes qui suivent l’administration intraveineuse. Lactivité
enzymatique se rétablit pour atteindre jusquà environ 28% des valeurs témoins après 40 minutes et jusqu’à 55% après 60 minutes. Le
volume de distribution apparent est de 0,5 à 1/kg.
Métabolisme
La néostigmine est essentiellement métabolisée en 3-hydroxyphényl-triméthylammonium et en différents composants non identifiés.
Élimination
La demi-vie délimination de la néostigmine varie essentiellement autour d’une valeur moyenne d’environ 1 heure. La clairance totale
est de 8 à 14 ml/min/kg.
La néostigmine est éliminée par voie rénale et extrarénale. 60 à 80% de la dose est éliminée dans les 24 heures dans les urines, soit
sous forme inchangée, soit sous forme de métabolites.
5.3 Données de curité préclinique
Pas de données disponibles
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1 Liste des excipients
Prostigmine ampoules de 1 ml à 0,5 mg/ml : chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, eau pour injection pour une ampoule de 1 ml.
Prostigmine ampoules de 5 ml à 2,5 mg/ml : chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, phénol, eau pour injection pour une ampoule
de 5 ml.
6.2 Incompatibilités
Prostigmine ne peut être administ après une anesthésie à lhalothane, mais peut être administe après lart de ladministration
dhalothane.
6.3 Due de conservation
5 ans
6.4 Pcautions particulières de conservation
A conserver à une température ne dépassant 25°C.
La date de remption est mentionnée sur l'emballage après les lettres EXP. La date dexpiration est le dernier jour du mois indiqué.
6.5 Nature et contenu de lemballage extérieur
Prostigmine 0,5 mg/ml, solution injectable : boîte de 5 ampoules de 1 ml
Prostigmine 12,5 mg/5 ml, solution injectable : bte de 5 ampoules de 5 ml
6.6 Pcautions particulières délimination et manipulation
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
7. TITULAIRE DE LAUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
S.A. Meda Pharma N.V.
166, Chause de la Hulpe
1170 Bruxelles
Belgique
8. NUMERO(S) DAUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
Prostigmine 0,5 mg/ml solution injectable: BE 054774
Prostigmine 12,5 mg/5 ml solution injectable : BE 054783
1 / 6 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !