"Planète Ballanger" n° 29

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PLANÈTE
BALLANGER
#
29
SE P T. 20 1 3
Le magazine d’information du personnel de l’Hôpital Robert Ballanger
LE SAVIEZ-VOUS ?
Un lactarium au CHIRB
ZOOM SUR ...
Les transports sanitaires
à lire @ 8
LE SAVIEZ-VOUS ?
Externalisation de la Blanchisserie
à lire @ 16
SANTÉ
L’essor de la cardiologie
interventionnelle
à lire @ 6
Edito
Le Directeur
Jean PINSON
C’est la rentrée. La « saison 2013-2014 » a démarré
également une forte augmentation de l’hôpital de jour
sur les chapeaux de roue. D’ici à la l’été 2014 nous en médecine. Regroupées, les consultations seront
ouvrirons les bâtiments SSR, hôpital de jour de
pédopsychiatrie et nouvelle crèche (début 2014) et
bien sûr le bâtiment Femme-Enfant (mi-2014).
L’ouverture opérationnelle de ces nouveaux bâtiments
se prépare déjà activement, sous l’égide de plusieurs
comités de pilotage réunissant l’ensemble des
professionnels concernés. L’organisation médicale
pour la montée en charge des activités de SSR a
été récemment définie avec la création d’un pôle
« filières » (intégrant les activités de court séjour
gériatrique et de neurologie, les activités de SSR
locomoteur, neurologique, gériatrique et polyvalent).
Nous commençons également à travailler sur le
développement de la chirurgie ambulatoire, à l’instar
de la très belle dynamique initiée par la chirurgie
pédiatrique. Dans le nouveau bâtiment, la maternité
aura plus de place pour accueillir plus de naissances,
la pédiatrie pourra se développer et nous attendons
plus lisibles et plus faciles d’accès pour les patients.
Nous allons consolider nos relations avec nos
tutelles dans le cadre du renouvellement du Contrat
Pluriannuel d’Objectifs et de Moyens (CPOM) qui
sera négocié au printemps. Ce contrat déterminera
notamment la place (importante !) de notre hôpital
dans l’offre de soins de Seine-Saint-Denis. Il sera
soigneusement préparé en amont par des discussions
avec l’ensemble des pôles et des services.
La livraison des nouveaux bâtiments conduira aussi
bien sûr à une réflexion sur l’utilisation des surfaces
libérées ainsi que l’aménagement général de l’hôpital
et de ses abords. Enfin, condition indispensable
au bien-être au travail, la sécurité des personnes
(patients, visiteurs et personnels) fera l’objet d’un
renforcement, dans le cadre d’un groupe de travail
direction / CHSCT qui sera mis en place dans les
jours qui viennent.
Sommaire
ENJEUX, MODERNISATION & DÉVELOPPEMENT DURABLE
La participation du CHIRB au Baromètre du Développement Durable en établissement de santé ........... P. 3
ÉVALUATION & PERFORMANCE
En route vers la Certification HAS 2014.............. P. 4
RESSOURCES HUMAINES
Mobilité juillet 2013 ............................................. Portrait ................................................................ LE SAVIEZ-VOUS ?
Un lactarium au CHIRB ...................................... SANTÉ
Externalisation de la Blanchisserie ..................... L’essor de la cardiologie interventionnelle .......... P. 6
ZOOM SUR UN SERVICE / PÔLE / MÉTIER
Les transports sanitaires du CHIRB ................... P. 8
PLAN D’ACTION & ORGANISATION
Hôpital 2012 : ouverture de nouveaux services.. P. 10
P. 12
P. 14
Exposition photos - Hôpital 2012......................... P. 15
P. 16
P. 17
RÉTROSPECTIVE
Concert « Jeunes Talents » en diabéto............... Le sain et le son ................................................. Fête de la musique en psychiatrie....................... P. 18
P. 19
P. 20
ENJEUX, MODERNISATION & DÉVELOPPEMENT DURABLE
La participation du CHIRB au Baromètre du
Développement Durable en établissement de santé
3
par C. CHAUMETTE, Secrétaire du Comité Développement Durable
Comme depuis plusieurs années, le CHIRB a répondu à la campagne 2013 du
Baromètre du Développement Durable en établissement de santé.
L
e Baromètre du Développement Durable en
établissement de santé est une enquête annuelle qui a
pour but de mesurer la prise en compte du Développement
Durable et de recenser les actions écologiquement,
socialement et économiquement responsables mises en
œuvre.
Cette étude est menée auprès des 6 000
structures sanitaires et médico-sociales
adhérentes des fédérations hospitalières
FHF, FEHAP, FHP et Unicancer.
Il s’agit d’une démarche volontaire pour
tous les établissements de santé français
publics ou privés, lucratifs ou non : hôpitaux,
cliniques, maisons de retraite, centres de
lutte contre le cancer…
Chaque établissement peut ainsi évaluer
son engagement, ses démarches et se
situer par rapport à l’ensemble du secteur.
En participant à cette enquête, le CHIRB contribue donc
au partage d’expériences avec tous ceux qui s’engagent
et veulent s’engager dans le Développement Durable.
Le questionnaire de ce Baromètre comporte 10
fiches, correspondant chacune à une thématique du
Développement Durable et permettant une analyse des
différents volets du DD.
•
Perception du DD par le directeur
•
Perception du DD dans notre établissement
•
Organisation et management
•
Communication et ressources humaines
•
Installations Classées au titre de la Protection de
l’Environnement
•
Politiques d’achats
•
Construction et rénovation des bâtiments
•
Eau et énergie
•
Déchets
•
Transports
Nous remercions toutes les personnes qui ont contribué,
grâce à leurs renseignements, à répondre le plus
précisément possible à cette enquête.
Les résultats de cette 6ème édition du Baromètre DD ont été
présentés à l’occasion des Rencontres du Développement
Durable, lors des Salons de la Santé et de l’Autonomie qui
se sont déroulés du 28 au 30 mai.
D’une manière générale, les établissements
ont un intérêt croissant pour cette enquête.
A la vue du grand nombre de participants, les
résultats ne sont plus, comme initialement,
individualisés.
Les directions sont de plus en plus
convaincues de l’importance de cette
démarche DD et engagées dans sa mise
en œuvre.
La prise en compte du DD ne semble plus
une contrainte optionnelle liée à l’aspect
réglementaire et à la Certification de la
HAS, mais une « nécessité incontournable
perçue comme un investissement ».
Le périmètre d’intervention s’est considérablement élargi
et les trois piliers du DD - environnemental, social et
économique - sont bien représentés dans les priorités et
les actions menées.
De même, tous les domaines d’activités font aujourd’hui
l’objet d’actions DD inscrites dans cette démarche
organisée, professionnelle et collective.
Parmi les pistes d’actions proposées, certaines sont en
cours ou en projet au CHIRB :
•
Réalisation d’un bilan carbone
•
Formation et incitation des personnels (soignants)
à intégrer le DD dans les gestes quotidiens
•
Formation des agents à l’éco-conduite
L’analyse complète des résultats est disponible sur la
GED.
Le Comité Développement Durable invite chacun
d’entre vous à continuer une démarche écocitoyenne à l’Hôpital :
Le Développement Durable est l’affaire de tous.
ÉVALUATION & PERFORMANCE
En route vers la Certification HAS 2014
par M-N CORUBLE, Responsable Qualité
L
a dernière visite de certification de notre établissement a été réalisée en novembre 2010. Suite à cette visite, un
rapport de suivi a été adressé à la Haute autorité de Santé (HAS) en mai 2012. Ce rapport, a conduit la HAS à
prononcer la certification de notre établissement avec Recommandations (6).
La prochaine visite de certification de notre établissement est programmée pour décembre 2014. La procédure de 2014
s’appuiera d’avantage sur la démarche qualité de chaque établissement. Ainsi, notre programme d’amélioration qualité
et sécurité des soins devient la force motrice de la démarche. L’autoévaluation, considérée comme un outil managérial
d’appréciation,
nous
permet de préparer
nos plans d’actions au
regard des attentes
de la HAS. Celle-ci est
complétée des résultats
d’audits,
de
suivi
d’indicateurs, d’analyse
de
la
satisfaction
patient...
En outre la certification
2014 s’appuiera sur la
méthodologie de visite
dite du « patient traceur
», qui sera expérimentée
au cours du second
semestre 2013 sur
notre
établissement.
Les données recueillies
conduiront également
à la mise en place
de
plans
d’action
complémentaires.
Calendrier de préparation de la visite de certification au CHI Robert Ballanger
Méthodologie
Résultats de l’autoévaluation 2013 :
les points forts
.. Réalisation de l’autoévaluation par pole sur l’ensemble
des références en présence du service qualité, de
personnels médicaux et paramédicaux de chaque pole,
des responsables concernés pour les références du
chapitre 1 sur le management,
.. Regroupement des critères et observations afin
d’obtenir la cotation globale établissement
.. Affinage des résultats avec les résultats d’audit et
d’indicateurs
.. Mobilisation des équipes
.. Harmonisation des cotations
.. De nombreuses cotation A et B, notifiant l’atteinte d’un
niveau de qualité satisfaisante, notamment concernant
prise en charge des urgences, la politique d’évaluation
des pratiques professionnelles, l’accueil du patient, la
gestion budgétaire, l’hygiène des locaux, la gestion des
déchets, la gestion de crise, la sécurité des biens et des
personnes….
5
Points d’amélioration
Les références pour lesquelles des plans d’actions d’amélioration sont nécessaires sont les suivantes :
Référence
Intitulé
Secteur(s) concerné(s)
3d
Qualité de vie au travail
Etablissement
7c
Gestion de l’énergie
Etablissement
8f
Gestion des évènements indésirables
Etablissement
11c
Information du patient en cas de dommages liés aux
soins
Etablissement
12a
Prise en charge de la douleur
Etablissement
13a
Prise en charge des patients en fin de vie
Etablissement
15a
Identification des patients à toutes les étapes de la
prise en charge
Etablissement
26a
Organisation du bloc opératoire
Etablissement
14b
Accès du patient à son dossier
MCO SSR
20a
Prise en charge médicamenteuse du patient
MCO SSR
22a
Demande d’examens et transmission des résultats en
imagerie médicale
MCO SSR
22b
Démarche qualité en service d’imagerie médicale
MCO SSR
11a
Information du patient sur son état de santé et les soins
proposés
MCO SSR
20b
Prise en charge médicamenteuse de la personne âgée
MCO SSR
23b
Education thérapeutique du patient
SSR
10e
Respect des libertés individuelles et gestion des
mesures de restriction de liberté
PSY
14a
Gestion du dossier patient
PSY
Pour chacune de ces références, le service qualité a réalisé des analyses de causes et proposé des plans d’action en
cours de validation avec les pôles et responsables concernés.
Répartition des cotations parmis les 160 références concernant le CHIRB
(juin 2013)
29; 18%
41; 26%
4; 3%
15; 9%
71; 44%
cotation A
cotation B
cotation C
cotation D
Références Non Adaptées ou Non Validées
Conclusion
Les efforts se poursuivent en
adéquation avec la politique qualité
gestion des risques et sécurité du
patient du CH robert Ballanger.
Au total, 12% des références HAS
doivent obligatoirement faire l’objet
d’actions d’amélioration.
Cependant, la dynamique interne
montre également la volonté de
toujours améliorer nos pratiques
pour la prise en charge des patients.
C’est pourquoi des plans d’actions
sont également en cours sur des
références cotées A ou B.
SANTÉ
L’essor de la cardiologie interventionnelle
par Dr J-M. MONTELY, Chef de service de Cardiologie
C
omme chaque année, la journée mondiale du
cœur - célébrée le 29 septembre 2013 - a été
l’occasion de sensibiliser chacun aux risques et à la
prévention des maladies cardiaques.
En effet, l’athérosclérose coronaire est la principale cause
de maladies cardiaques et se développe avec l’âge,
avec une vitesse et une sévérité dépendant des facteurs
de risque cardio-vasculaires tels que le tabagisme,
l’hypertension artérielle, le diabète, l’hypercholestérolémie
et la sédentarité.
Les grandes étapes de la cardiologie
interventionnelle des coronaires
Réalisée en raison de signes d’appel (angine de poitrine)
ou de résultats anormaux d’examens complémentaires
(par exemple Electrocardiogramme d’effort), ou en urgence
pour les syndromes coronariens aigus, la coronarographie
met en évidence des zones de rétrécissements appelées
sténoses sur une ou plusieurs des branches principales
des deux artères coronaires.
Ces examens sont réalisés depuis le début des années
70, avec initialement un traitement chirurgical par pontage
aorto-coronarien, avec un greffon veineux prélevé à
la jambe ou en dérivant l’artère mammaire interne du
patient pour apporter un flux sanguin normal au-delà des
sténoses.
La première angioplastie par dilatation au ballonnet a eu
lieu en 1977. A partir de 1992, on a pu assister à la mise
en place systématique d’une endoprothèse coronaire ou
stent (treillis métallique qui étaye l’artère par l’intérieur
pour réduire les complications aigues et les mauvais
résultats à distance).
Grâce à cette nouvelle technique, le risque de réapparition
d’un rétrécissement serré (resténose) est passé d’à peu
près 50 % lors des dilatations au ballonnet seul, à moins
de 20 %.
La cicatrisation est obtenue en un mois pendant lequel
on doit administrer deux anti-aggregants plaquettaires
(aspirine faible dose et clopidogrel) afin d’éviter la
formation de caillots au contact du corps étranger que
constitue le stent.
Depuis 2002 ont dispose de stents actifs avec un polymère
qui revêt le stent et délivre à la paroi artérielle une dose
infime d’un produit antimitotique qui évite la constitution
d’une resténose par cicatrisation excessive qui peut
affecter jusqu’à 20 % des patients lorsqu’on intervient sur
des artères de petit calibre (3 mm et moins) ou/et chez
des patients diabétiques.
Le risque de mauvais résultat à distance devient voisin
de 5 à 10 % mais il faut administrer le double traitement
anti-aggregant pendant un an et tenir compte du risque
hémorragique, de l’âge et de la nécessité éventuelle
d’actes chirurgicaux avant de choisir entre stent nu et
stent actif.
En 2012, un peu plus de la moitié des angioplasties ont
utilisé un stent actif.
L’angioplastie se fait sous anesthésie locale en salle de
coronarographie et ne nécessite qu’une surveillance de
48 heures en cardiologie ; la chirurgie coronaire se fait
par thoracotomie sous anesthésie générale, circulation
extracorporelle, avec séjour de 8 jours en chirurgie
cardiaque suivi d’ une convalescence de 3 à 4 semaines,
en cardiologie puis en centre de réadaptation cardiaque.
Les progrès de la cardiologie interventionnelle
Les syndromes coronariens aigus sont une indication
déterminante de l’angioplastie en urgence immédiate
ou différée. Il s’agit d’une complication aigue de
l’athérosclérose, avec une rupture de la plaque et la
formation au contact d’un thrombus (caillot en terme
commun) qui peut totalement obstruer l’artère et entrainer
la mort du muscle cardiaque irrigué par celle-ci (infarctus
du myocarde).
Pour limiter au maximum la taille de l’infarctus et ses
conséquences (risque de décès
et d’insuffisance
cardiaque), il faut rétablir le plus vite possible la circulation
dans l’artère occluse. La coronarographie permet de
visualiser une branche artérielle totalement obstruée.
L’angioplastie consiste à passer au travers du thrombus
et de la lésion un petit guide métallique puis d’avancer
dessus des instruments ; jusqu’à récemment un ballonnet
fragmentait le caillot et rétablissait le flux avant de traiter la
sténose par mise en place d’un stent.
7
L’interne de garde de cardiologie, Guner EMIRALI entourée de Marie-Noelle VIOTTY, IDE de coronarographie et de sa fille Justine, IDE vacataire
d’USIC pour une angioplastie de nuit en juin 2013
Une nouvelle technique a été validée par des essais
cliniques : il s’agit de l’aspiration du caillot par un microcathéter amené au contact de l’occlusion suivie de la mise
en place d’un stent.
Le traitement des syndromes coronariens aigus doit être
effectué le plus vite possible et de préférence dans les 6
heures suivant le début de la douleur, uniquement sur des
critères cliniques : douleur thoracique intense et diffuse
et modifications électro-cardiographiques typiques, sans
attendre la confirmation biologique par l’élévation de la
troponine (retardée de plusieurs heures), pour transférer
directement le patient en salle de coronarographie.
Ce type d’urgence peut survenir à n’importe quel moment
de la journée, souvent la nuit ou au petit matin, et il faut
donc disposer 24 h sur 24 d’une équipe spécialisée,
intervenant en astreinte comportant un médecin et une
infirmière de salle de cathétérisme, qui se déplacent à la
demande du cardiologue de garde sur place, avec l’aide
d’une seconde infirmière prise sur l’effectif de l’USIC.
Plus de la moitié des syndromes coronariens aigus ont
une présentation clinique moins dramatique, avec un
diagnostic affirmé par les examens complémentaires
successifs conduisant à une coronarographie-angioplastie
réalisée dans les 48 à 72 heures de l’hospitalisation en
USIC.
La cardiologie interventionnelle à Ballanger
Elle est exercée au CHIRB 24h/24 depuis 1999, avec une
salle totalement refaite en février 2009.
L’activité a été réglementée en 2009 par un décret qui a
débouché en 2011 sur le renouvellement des autorisations
d’activité en région ile de France pour 5 ans, avec la
nécessité de se conformer annuellement à un volume
minimal de 350 angioplasties.
En 2012, ont été réalisées au CHRB 782 coronarographies,
371 angioplasties coronaires, dont 133 en urgence
pour des syndromes coronariens aigus ; deux tiers des
patients urgents ont été amenés directement en salle par
un SMUR qui est intervenu soit au domicile, soit dans un
service d’urgence d’un établissement voisin lorsque le
malade s’y est présenté directement. Les autres patients
ont été adressés après un passage au SAU du CHRB.
Les progrès de la cardiologie interventionnelle ont permis
de reculer les limites de l’angioplastie. Seuls les patients
les plus graves et jugés techniquement inaccessibles sont
confiés au chirurgien : en 2012, nous n’avons adressé que
31 patients pour revascularisation chirurgicale.
ZOOM SUR UN SERVICE / PÔLE / MÉTIER
Les transports sanitaires du CHIRB
par C. GUÉRIN, Responsable du service Transports Sanitaires
L
e service des transports sanitaires du CHIRB existe depuis 1956.
Il assure le transport des patients en cours d’hospitalisation en interne d’un bâtiment à l’autre et en externe
pour des examens, consultations ou transferts de moins de 48 heures vers d’autres établissements.
Il possède quatre Véhicules Sanitaires Légers, 4 ambulances et 1 TPMR (Transport de patients a Mobilité Réduite).
L’équipe
L’organisation
Elle comprend sept ambulanciers diplômés d’état qui
sont tenus au secret professionnel, comme toutes les
équipes soignantes.
Les membres qui la composent sont :
Depuis 2011, nous avons réduit notre plage horaire, afin
de travailler en binôme, ce qui nous a permis d’effectuer
145 transports supplémentaires en externe.
Le nombre de demandes de transports externes
grandissant nous permet d’absorber un maximum de
transport et ainsi d’éviter de sous-traiter.
M. TESSIER Julien, M. NEGOCE Irenée, M. DE
CORDOVA Didier, M. HENRY Gérard, M. MARIEANTOINETTE Victor, Mme GUERIN Carole.
Depuis le 21 janvier 2013, le CHIRB a effectué un
marché, avec les Ambulances CHARLES.
9
Comparatif du nombre de transports réalisés par le CHIRB et le privé
entre septembre 2010 et août 2012
3000
2592
2218
2500
2000
sept 2010/aout 2011
1500
oct 2011 / aout 2012
1000
500
0
523
239
668,5
303
Privé
CHIRB EXT
Ainsi, toutes les demandes de transports doivent
impérativement être faxées au service des transports
sanitaires au 7293.
Si une demande de transport est à effectuer le jour
même, il faudra coupler votre bon de transport d’un appel
téléphonique afin de vérifier nos disponibilités.
Les principales missions
33
Les transferts
Nous effectuons les transferts vers l’aéroport CDG
de patients sortants qui étaient en transit dans notre
établissement afin de recevoir des soins ainsi que ceux
des patients des secteurs psychiatriques en UMD (Unité
pour Malades Difficiles) qui sont situés dans toute la
France.
Grâce à cela, l’hôpital a économisé 14 311.30€ de
transport pour 4 allers-retours longue distance en 2012.
33
que le patient est pris en charge au CHIRB.
Aussi, nous accompagnons les patients aux audiences
du tribunal de Bobigny, lorsqu’ils sont sous contraintes et
que l’entretien ne peut s’effectuer par vidéoconférence.
De plus, nous effectuons les transports des patients de
ces secteurs en fugue, qui sont sous la responsabilité du
directeur et avons effectué des rapatriements sanitaires
en collaboration avec les ambulanciers allemands qui
nous attendaient à la frontière.
Les Chiffres-clés
7092 transports aller-retour en 2012.
4826 patients transportés en interne d’un bâtiment à
l’autre.
2266 patients transportés en externe pour des examens,
consultations ou transferts de moins de 48 heures vers
d’autres établissements.
Les transports internes
Nous intervenons sur divers malaises et chutes de
visiteurs dans l’enceinte de l’établissement, à la demande
du service Sécurité.
D’autre part, en fonction de notre charge de travail, nous
réalisons les courses du laboratoire quand le service
parcours n’est pas disponible.
33
CHIRB INT
Les transports externes
Nous nous chargeons des transports de patients
sans sécurité sociale, quand le bon de transport est
accompagné du courrier de l’assistante sociale, précisant
Contact
Vous pouvez nous joindre au 7319 ou sur nos DECT au
4949 et 4959 du lundi au vendredi de 6h30 à 19h00.
Si votre demande a lieu un week-end ou un jour
férié, vous devez uniquement appeler la société
d’Ambulance CHARLES (en précisant la position du
patient VSL ou AMBULANCE).
Dans le cas où le patient sort définitivement, vous
devrez faire appel à l’accueil des admissions au 5195.
PLAN D’ACTION & ORGANISATION
HÔPITAL 2012 :
ouverture de nouveaux ser vices
Laetitia Flender, Directrice de la stratégie et des affaires médicales
Jean-Pierre Nigen, Directeur des travaux et services techniques, Chef de projet Hôpital 2012
C
omme chacun d’entre vous peut le constater de visu tous les jours, le chantier Hôpital 2012 avance à grands
pas, nous souhaitons que « Planète Ballanger » contribue à suivre le fil rouge de l’ouverture des nouveaux
bâtiments.
Le calendrier prévisionnel est le suivant :
e et
Bâtiment SSR, crèch
ychiatrie :
-ps
pédo
hôpital de jour de
2013
Livraison fin décembre
équipements :
on
ais
livr
/
ce
Mise en servi
début 2014
c : février 2014
• Ouverture au publi
•
•
Bâtiment fem
me-enfant,
consultations
et hôpitaux d
e
jour :
•
•
Livraison fin avril
2014
Mise en service/
livraison
équipements : m
i 2014
11
9
13
Focus sur le futur bâtiment SSR
Le bâtiment est composé de 3 niveaux :
1. Sous-sol : Logistique et technique
2. Rez de chaussée :
• Vestiaires et bureaux
• Consultations y compris balnéothérapie
• Hôpital de jour de SSR neurologique et
locomoteur (20 places contre 5 actuellement)
3. 1er étage dédié à l’hospitalisation (85 lits contre 24
actuellement) :
• 28 lits SSR neurologique
• 28 lits SSR locomoteur et polyvalent
• 29 lits SSR gériatrique
Un comité de pilotage a été mis en place début juillet afin de préparer et suivre les différentes étapes pour anticiper la
mise en service du nouveau bâtiment.
L’ensemble des équipes est donc mobilisé tant les enjeux pour réussir l’ouverture de ce nouveau bâtiment sont nombreux
et variés :
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Définition détaillée des organisations cibles (soignantes mais aussi logistiques et médico-techniques)
Dimensionnement du scénario d’ouverture (ouverture de 42 lits puis montée en charge progressive en fonction
du budget 2014 et des recrutements)
Préparation des équipes (organisations de travail, recrutements de personnels médicaux et non médicaux)
Processus de mise en place des équipements bio-médicaux, hôteliers et informatiques (de la définition du
besoin à la mise en service)
Préparation des systèmes d’information
Communication interne, externe, patients sur cette nouvelle offre de soins
Respect et suivi du planning
Respect et suivi du budget global
Déménagement
Finalisation du projet : nous continuerons d’accompagner les équipes après l’ouverture du bâtiment pour
travailler avec elles sur d’éventuels ajustements.
RESSOURCES HUMAINES
Mobilité juillet 2013 :
Toute l’équipe du C.H.I.R.B. souhaite la bienvenue à
Dr ALANSARI-NUEILATI
Helene
Dr BOUICHE
Nasser Eddine
ATTELY
David
BENYAHIA
Sahra
BOUIALA
Mohamed
CHEVRE
Julie
DOUMBIA
Assitan
EL BACHIR
Karim
ESAKU
Hugo
ESSOCéline
MAGDZIAREK
Charlotte
MARETS
Véronique
MATHE
Jean-Luc
SOUMARE
Hawa
TILLAY
Marie-Laurence
TORRET-DROUVILLE
Johanna
Ils ont quitté le C.H.I.R.B.
Dr PINESEmmanuelle
Dr REZIG
Kamel
Dr SANTANGELO
Giuseppe
BENOIST D ANTHENAY
Delphine
CAVAILLES
Aymeric
GILCecile
NOUVET
Muriel
NTJEBEPulcherie
PIZARRO GARCIA
Rosario
POZAS FLORES
Olga
Ils ont pris leur retraite
ABITABILE
Jean-Jacques
GONZALEZ
Carmen Medin
HOHMANN VITALE
Françoise
NGUYENThi Nga
Après, parfois, une longue carrière au C.H.I.R.B., vous avez pris votre retraite bien méritée en 2013. Quelque
soit votre métier, fonction ou grade vous avez contribué au développement de l’activité de l’établissement et
nous vous en sommes reconnaissants et vous souhaitons une excellente retraite.
13
9
13
Ils ont pris leur retraite
On me demande quelques mots pour le fameux « Planète Ballanger »
pour le départ de Mme Fabreguettes… Mais c’est un numéro spécial
qu’il faudrait ! Comment faire court pour la raconter un peu ??
Au moins rappeler qu’elle a démarré ici il y a + de 30 ans avec 4 ou 5
aventurier(ère)s et qu’elle laisse une PUI de plus de 40 personnes dans
des locaux presque idéaux avec un circuit du médicament et des DMS à
faire pâlir d’envie bon nombre de collègues et de directeurs.
Alexandra (pour les intimes, et ils sont nombreux au CHIRB !) s’est
impliquée sans compter dans la vie de notre hôpital : combien de journées
finies à pas d’heure («Pierre est là, heureusement qu’il gère ! »),
Dr Alexandra Fabreguettes
souvent autour d’un verre (parler donne toujours soif !) pour discuter avec
Chef de service de la Pharmacie
les internes, nous expliquer son point de vue, ses attentes, ses déceptions
aussi ! combien de repas sautés pour une réunion prioritaire, une IDE ou
une aide soignante à voir et bien sûr, un médecin à écouter (son second métier fut bien Analyste-Conseillère PsychoStratégico-Hospitalo centrée ou alors psychologue avec option « remonte-moral » garantie !).
Son engagement a été total, à l’intérieur et à l’extérieur de l’hôpital, et ses appuis, parfois devenus des amis, fidèles
et nombreux. Elle a ainsi joué un rôle décisif pour la PUI et l’hôpital mais aussi auprès de très nombreuses personnes
qui se reconnaîtront.
Enfin ses recrutements ont souvent été très justes (et je ne parle pas de moi !) et elle laisse derrière elle un service
solide prêt à continuer la belle aventure.
Je termine en remerciant vivement tous ceux et celles, très nombreux, qui ont participé aux festivités pour son départ.
Les fêtes furent belles grâce à vous tous et toutes et Alexandra en a été très touchée.
V. Duperrin
Entier, généreux, il a basé ses rapports
professionnels
sur l’amour et la fraternité.
Il a transmis le gout du travail bien fait, la joie de vivre
et le partage.
Christian va manquer à l’ensemble de l’équipe
restauration, ses coups de gueule resteront mémorables,
il n’aura jamais « rechigné » à remplacer l’un ou l’autre
pour la bonne marche du service dans « la culture
commune du travail » comme il se plait à dire.
Il part discrètement pour une longue nouvelle vie, pleine
de projets.
Christian JAVALOYES
Responable-adjoint service Restauration
« Monsieur Java », comme le nomme une bonne
partie de l’équipe de restauration, « Christian »,
« Java », « le Monsieur aux cheveux blancs » pour
les autres a su tisser depuis 2005 des relations
franches, directes, parfois vives avec l’ensemble
des services.
Nous lui souhaitons une belle retraite bien méritée,
entouré des siens et des copains. Profites-en longtemps
« Java » !
Et maintenant comme disait Alphonse Allais : « ne
remets pas à demain ce que tu peux faire aprèsdemain »...
F. Beneteau
RESSOURCES HUMAINES
Portrait
Laetitia MICAELLI-FLENDER,
Directrice de la stratégie et des affaires médicales
1.Quelles formations avezvous suivies ?
Après des études à l’Institut
d’Etudes
Politiques
de
Grenoble, j’ai réussi le concours
d’entrée à l’Ecole Nationale de
la Santé Publique en 1999.
2. Pouvez-vous nous
présenter votre parcours
professionnel ?
J’ai démarré ma carrière
à
l’Assistance
PubliqueHôpitaux de Paris en 2001
en tant que Directrice des
ressources humaines à l’hôpital
gérontologique Charles Richet
à Villiers-le-Bel pour préparer
la mise en place des 35 heures.
J’ai ensuite rejoint en 2004
l’hôpital Beaujon à Clichy
(92) d’abord sur la fonction
ressources humaines pendant 4
ans puis sur la fonction finances
et recherche.
J’ai ensuite eu la chance de créer et mettre en place la première direction des finances et contrôle de gestion du Groupe
hospitalier Saint-Louis Lariboisière F. Widal puisque ces hôpitaux ont fusionné début 2010. Cette expérience financière
s’est enrichie de missions transverses sur le redécoupage des pôles, la contractualisation interne et la mise en place
d’une gouvernance médico-administrative autour de la cancérologie.
3. Quelles missions exercez-vous au CHIRB ?
Jean Pinson m’a proposé de rejoindre l’équipe du CHRIRB début mai pour coordonner les projets d’ouverture des
nouveaux bâtiments : SSR et hôpital de jour de pédopsychiatrie début 2014, bâtiment femme-enfant et plateau de
consultations et hôpitaux de jour mi-2014. Il vient également de me confier la responsabilité des affaires médicales.
Je suis ravie de découvrir le dynamisme et les nombreux projets des équipes du CHIRB au service d’une population
en pleine expansion démographique. Etant née dans le 93, contribuer à y ouvrir une nouvelle maternité en 2014 a
beaucoup de sens pour moi.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Un lactarium au CHIRB
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par Dr C. GOISSEN, Pédiatre-responsable d’unité et Mme A. DOOGHE, Cadre de l’unité
Le 17 juin 2013, le lactarium du CHIRB a ouvert après contrôle et validation de l’ANSM (Agence Nationale de
Sécurité du Médicament).
Sa mission principale est d’assurer la pasteurisation du lait maternel destiné aux enfants prématurés.
La pasteurisation a été rendue obligatoire à compter de juillet 2012. Ce procédé, qui consiste à chauffer le lait à 60°
durant 30 minutes, permet aux prématurés les plus fragiles de bénéficier du lait de leur mère dès les premiers jours de
vie tout en respectant les règles de sécurité sanitaire.
La maternité du CHIRB est un centre périnatal de niveau IIB. A ce titre, le service de néonatologie, accueille chaque
année des prématurés nés <32SA ou pesant moins de 1500 g.
Ces enfants naissent pour certains au CHIRB, pour d’autres dans des centres périnataux de type 3 et sont transférés
secondairement au CHIRB dès que leur état médical l’autorise.
L’existence du lactarium, au sein même de l’établissement, permet d’instaurer ou de poursuivre l’alimentation de ces
nouveau-nés par le lait de leur propre maman, en évitant la lourdeur, la complexité et le coût d’un partenariat avec un
lactarium d’un autre établissement.
L’ouverture de cette structure s’inscrit donc en droite ligne de la politique de promotion de l’allaitement maternel de
l’établissement mise en œuvre par les équipes du pôle Femme-Enfant.
A terme nous envisageons de proposer nos services à d’autres centres périnataux de type IIB ou III du 93 ne disposant
pas de lactarium afin qu’une majorité d’enfants nés prématurés dans notre département puissent être allaités par leur
maman dès la naissance.
Alexandra POIREL et Nicole ADE MENSAH (Auxiliaires de puériculture) , Dr Céline Goissen, Anne Dooghe.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Externalisation de la blanchisserie
par B. HAMMAMA, Directrice des services économiques et des équipements
Le service blanchisserie traite le linge nécessaire à l’hébergement des patients (draps alèzes,
couvertures…) et les tenues professionnelles soit 11 articles différents.
Il fournit l’ensemble du linge de l’hôpital et depuis octobre 2010, traite également le linge de l’hôpital
Saint-Denis, depuis novembre 2008 le SSR Sainte Marie et jusque fin 2012 la maison de retraite de Saint
Ouen.
Cela représente 1073 tonnes pour l’année 2012 de linge.
C
e service est géré par Monsieur Sadgui,
secondé par Monsieur Deverdun responsable
clientèle et Monsieur Harouat, responsable production.
Ils coordonnent ensemble la production avec une équipe
de 18 agents dont deux agents mis à disposition par
l’hôpital Saint- Denis.
Cette blanchisserie est efficiente et l’implication des
personnels a permis d’absorber le double d’activité à
effectif quasi constant.
Grâce à son activité extérieure le service blanchisserie
a généré des recettes à l’hôpital pour l’année 2012, de
910 000 euros.
Le service Blanchisserie est certifié ISO 9001 – V 2008.
Le dernier audit a eu lieu les 11 et 12 avril 2013 et les
résultats ont été très satisfaisants. Le service a mis à jour
l’ensemble de ses procédures et a revisité l’ensemble
de son process avec l’aide du service qualité afin de
préparer cet audit.
Cependant, les locaux et les installations techniques de
la blanchisserie sont très vétustes.
Les travaux, pour une nécessaire remise à niveau,
s’élèveraient à 2 millions d’euros. Le coût de ces travaux
ne peut être assumé seulement par le CHIRB, dans un
contexte d’investissements du site déjà très important.
C’est pourquoi nous avions initialement sollicité notre
principal partenaire, le centre hospitalier de Saint-Denis,
afin qu’il participe à l’investissement dans le cadre d’un
groupement de coopération sanitaire.
D’abord intéressé, le Centre hospitalier de SaintDenis s’est finalement désisté car il avait lui-même
fait le choix d’externaliser sa propre blanchisserie,
également pour des raisons financières.
Les conditions de travail étant pénibles et les
risques en termes d’hygiène importants, nous avons
été contraints d’opter pour une externalisation de
l’activité à compter de janvier 2014.
Le CHIRB débutera une nouvelle collaboration
sur le territoire du 93 en adhérant au Syndicat
Inter Hospitalier Blanchisserie de l’Est Francilien
SIHBEF, situé sur le site de l’établissement de
santé Ville Evrard.
Ce contexte d’externalisation est purement lié à la
situation du CHIRB et ne remet pas en cause la
qualité du travail et l’investissement du personnel
de la blanchisserie que l’on se doit de saluer.
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Actuellement, le personnel est reçu par la DRH afin d’étudier avec chaque agent les opportunités de
repositionnement sur d’autres services de l’hôpital ou sur le site de Ville Evrad, qui propose l’opportunité de 11
postes en blanchisserie. Le SIHBEF nous proposera prioritairement sur une période de trois ans ses postes
vacants. De même que la direction des services logistique de Ville Evrard s’engage à étudier prioritairement les
candidats provenant du CHIRB, entre 3 et 4 postes correspondant à des départs programmés sur une période
de deux ans.
Bien sûr ces postes sont réservés tout d’abord aux agents de la blanchisserie mais sont ouverts à tout autre
agent du CHIRB qui souhaiterait un rapprochement géographique.
Toute personne intéressée doit se rapprocher de la DRH.
Accueil des parents en salle de surveillance
post-interventionnelle
par S. RIFI, IDE
Depuis mi-mars 2013, l’équipe de salle de surveillance
post-interventionnelle (SSPI), accueille un parent
en post-opératoire auprès de son enfant. C’est
l’aboutissement d’un projet débuté avec le parent
accompagnant son enfant en per-opératoire en salle
de transfert.
Un prix de soutien nous a été attribué à la SFAR, à la suite
d’un concours de l’ association Sparadrap sur l’accueil de
l’enfant en SSPI. Cela nous a poussé à faire aboutir notre
projet.
Il s’agit d’un travail en partenariat avec les services de
chirurgie pédiatrique et ambulatoire.
Le parent accompagnant doit signer, dans le service
d’hospitalisation, une charte dans laquelle lui sont signifiées
les conditions d’accueil en SSPI. Dès son arrivée en salle
de transfert, le parent et l’enfant sont vus par un membre
du service qui vérifie la signature de la charte et explique
au parent le moyen d’accès en SSPI. Il sera prévenu dans
le service dès l’arrivée de son enfant en post-opératoire.
L’agrandissement de la SSPI a permis cet accueil car un
espace a été aménagé exclusivement pour que l’enfant
ne soit pas en contact de l’adulte, avec une entrée pour le
parent sans passer devant les autres patients.
Toute l’équipe d’anesthésie s’est investie pour rendre
l’endroit accueillant.
Notre satisfaction est grande ainsi que celle des parents
qui sont plus rassurés, sans angoisse de l’attente.
Nous les considérons comme partenaires dans la prise en
charge de l’enfant.
L’équipe de SSPI remercie tous ceux qui ont contribué à
l’aboutissement de ce projet.
RÉSTROSPECTIVE
Concert « Jeunes Talents » en diabéto
mardi 4 juin 2013
par A. MASSOT, stagiaire en communication
Le mardi 4 juin a eu lieu au service de diabétologie un
concert de musique classique. Antonine Bacquet, soprano
et Clément Latour, guitariste sont venus interpréter des
morceaux de John Dowland, Manuel De Falla, FrançoisJérôme Gimenez et Benjamin Britten.
La voix envoûtante d’Antonine Bacquet a su, accompagnée
du talent de Clément Latour à la guitare, captiver l’attention
des patients. Pendant près d’une heure, des chants anglais,
espagnols et français ont résonné dans les couloirs de la
diabétologie.
Aux premières loges un patient de 74 ans a assisté à la totalité
du concert et nous a fait part de son enthousiasme :
« C’était bien, dans ma famille tout le monde fait de la musique
et j’ai moi-même fait le conservatoire d’Aulnay. C’était extra
comme concert ! Cela permet de s’évader et de sortir de son
quotidien. La voix de la jeune fille portait énormément comme
si celle-ci avait eu un micro. »
Une autre patiente âgée de 92 ans a quant à elle retrouvé le
sourire :
« J’ai vraiment bien aimé le concert. Cela m’a redonné le
sourire et m’a rendu heureuse. La chanteuse avait une jolie
voix qui est très puissante, c’était extraordinaire. J’ai beaucoup
aimé également le guitariste qui l’accompagnait ».
Le sain et le son
jeudi 20 juin 2013
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par Dr S.Poupeney-Bouchoucha, Présidente du CLAN
Le dynamisme des membres du CLAN a permis à notre hôpital de participer pour la première fois à la journée
Nationale d’alimentation nutrition le 20 Juin 2013. Le principe était de communiquer auprès du plus large public
sur l’équilibre alimentaire.
Pour notre première journée nous avons choisi de
cibler le personnel hospitalier qui vient déjeuner
au restaurant .
Tout d’abord, un menu « amélioré » a été proposé
aux patients et par l’équipe du restaurant du
personnel. Nous avons profité de cette occasion
pour apporter aux personnels hospitaliers qui
déjeunaient au restaurant, des informations
sous forme de sets décorés sur les plateaux,
jeux, recettes, photos….évoquant l’importance
de l’équilibre alimentaire pour notre santé, tout
à fait compatible avec le plaisir de manger !
Les échanges ont été nombreux et variés, il est
ressorti de cette expérience un intérêt gratifiant
du personnel pour ce sujet ainsi que l’envie et le
besoin d’approfondir ses connaissances
sur ce thème.
L’esprit de fête a été insufflé par la présence
de deux talentueuses musiciennes (Duo
Svadistana violon et alto mail : duo.
[email protected]) qui ont interprété
un florilège de compositions baroques,
classiques et contemporaines. M. Lecolleter
et ses compagnons accordéonistes (Mme
Mue et M. Michaels) ont ensuite égayé le
repas d’airs de musette. L’enthousiasme
des enfants de la crèche venus pour
écouter la musique, a laissé un souvenir
inoubliable de cette journée.
Notre première participation à la
journée nationale de l’alimentation
a donc été une réussite, nous
espérons renouveler l’expérience et
élargir le public lors d’une prochaine
journée d’action du CLAN accessible
aux patients et aux visiteurs, et lors
de la prochaine journée Nationale de
l’alimentation.
RÉSTROSPECTIVE
Fête de la musique en psychiatrie
vendredi 21 juin 2013
par A. CARRARO
Cette année encore, la musique s’est invitée à la Cafétéria du Centre Social de Psychiatrie ! C’est sur un air
d’accordéon qu’elle s’est transformée en une joyeuse guinguette autour des barbecues.
Au rendez-vous, danses, démonstration de salsa, WII avec Just Dance et bien sur karaoké et ses « envolées de
canards »…
Une journée bien remplie pour tous soignants et soignés dans la joie et la bonne humeur.
Les équipes soignantes du CATTP de Psy A de Psy B de Psy C, l’Hôpital de Jour de Psy C, l’équipe de la Cafétéria et
notre accordéoniste Michel LE COLLETER et sa coéquipière Marie MUE.
PLANÈTE
BALLANGER
Le Magazine du personnel de l’établissement
Directeur de la publication : Jean PINSON
Comité de rédaction et de coordination : Geneviève PONTOISE, Patrick COMYN, Maïka ELOTA
Conception graphique et maquette : Maïka ELOTA et l’agence K DOUBLE B - www.kdoubleb.com
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