Frequently Asked Questions (FAQs) au sujet de la Démence Au fait, qu’est-ce que la démence? On parle de démence à l’âge adulte si deux des facultés cognitives suivantes, ou plusieurs d’entre elles, se détériorent: la mémoire, la parole, l’attention, l’exécution d’opérations connues, la pensée abstraite, les fonctions exécutives (planification et exécution d’opérations complexes comme la préparation d’un repas, par ex.). Le déclin altère de manière significative le quotidien de la personne concernée. Plus d’une centaine de diagnostics médicaux peuvent aller de pair avec une démence. Le diagnostic le plus courant est celui de la maladie d’Alzheimer, dont les causes ne sont pas encore clairement établies à nos jours. Cette maladie ne peut pas encore être prévenue, ni stoppée, ni guérie. Cependant, des médicaments peuvent circonscrire ou ralentir de nombreux symptômes. La deuxième forme la plus courante de démence est la démence vasculaire à la suite d’altérations des vaisseaux sanguins dans le cerveau. On rencontre aussi souvent des formes combinées de maladie d’Alzheimer et de démence vasculaire. Une petite partie des démences est causée par des maladies qui peuvent potentiellement être guéries. Il est donc important de chercher ses causes et de les traiter au besoin. Des démences de ce type peuvent être stoppées, dans le meilleur des cas elles sont réversibles. Combien de personnes atteintes de démence vivent-elles en Suisse? Le nombre de personnes atteintes de démence augmente de plus en plus. Cela tient à l’essor de la population âgée. Car le risque d’être atteint d’une maladie du cerveau s’accroît de manière exponentielle dès l’âge de 60 ans, pour atteindre un maximum de 40 pourcent dans la tranche d’âge des personnes de plus de 90 ans. Sur la base du développement démographique, le nombre de 110'000 personnes atteintes de démence passera à 140'000 dans 10 ans. Il faut compter avec 300'000 personnes atteintes de démence en 2050. FAQs au sujet de la démence / juillet 2011 1 Comment reconnaître à temps la démence? Les signes précurseurs sont: - l’oubli de propos que la personne vient de tenir ou de choses qu’elle vient de faire quelques minutes auparavant l’oubli de choses qui sont importantes ou émotionnellement significatives l’altération du langage: difficultés à trouver des mots courants, utilisation de mots explétifs ou inadéquats la perte d’orientation dans un environnement connu le choix d’emplacements totalement inadéquats pour y poser des objets les variations d’humeur, comme une surexcitation sans motif réel l’apathie, la perte d’initiative et d’intérêts. Les symptômes mentionnés peuvent avoir d’autres causes qu’un début de démence. Mais ils doivent être pris au sérieux: ils signalent qu’il est urgent de procéder à un examen médical approfondi. L’examen médical porte sur les domaines suivants :examen corporel approfondi, y compris examens neurologiques, examens du sang, procédés d’imagerie médicale (CT ou IRM du crâne), examen neuropsychologique. Dans certains cas (formes rares de démence, patients ou patientes encore jeunes), d’autres examens peuvent être entrepris, par exemple des tests génétiques ou des procédés d’imagerie spécifiques comme le PET = Positron-EmissionsTomographie ou SPECT = Single Photon Emission Tomographie, qui recourent à des substances radioactives, afin de mettre en évidence les fonctions de différentes régions du cerveau. Quels soins et quelle forme d’accompagnement proposer en cas de démence? La maladie causée par la démence ne peut pas être guérie par la médecine ; son évolution ne peut pas être stoppée par les médicaments mais ralentie, tout au plus. C’est la raison pour laquelle il est primordial d’assurer aux patients atteints de démence des soins et un accompagnement optimaux, qui prennent au sérieux les déficits résultant de la maladie et qui répondent à la dignité inaliénable de la personne. Le fondement et la charnière des différentes possibilités d’intervention est un modèle d’accompagnement, élaboré au sein de l’EMS, qui tient compte des besoins des personnes atteintes de démence, du point de vue de l’habitat et de l’organisation des soins. Aujourd’hui, les approches et les méthodes citées ci-dessous font partie des outils indispensables pour une « Dementia Care » adéquate. A) Validation Cette approche de la communication a été développée par Naomi Feil. Elle repose sur une démarche sans censure et sans préjugés, tournée vers le monde de la personne atteinte de démence. Par un comportement de validation on doit permettre aux personnes atteintes de démence d’achever des tâches importantes, non accomplies lors des précédentes phases de vie. FAQs au sujet de la démence / juillet 2011 2 Nicole Richard a poursuivi le développement de cette approche (validation intégrative). Cette approche renonce au recours à une thérapie sujet à caution, et met au premier plan l’établissement d’une relation, dans la mesure où elle prend au sérieux les sentiments et les pulsions des personnes. D’autres informations concernant la validation sont détaillées dans l‘édition 2/2010 de la revue spécialisée «Curaviva». B) Thérapie du milieu La notion de «milieu» comprend aussi bien l’environnement en termes d’espace, que la forme des échanges et les activités. La thérapie du milieu est une approche thérapeutique visant à adapter l’environnement matériel et social de la personne à ses sentiments, à son vécu et à ses capacités diminuées par la démence. Etant donné que les personnes atteintes de démence sont toujours plus surmenées par les exigences du quotidien, et qu’elles réagissent avec des symptômes de stress, des aménagements ciblés des espaces ainsi qu’une organisation des journées, adaptée aux besoins des malades, peuvent largement contribuer à leur bien-être. Dans ce domaine, il faut prendre en compte les aspects architecturaux et logistiques, comme la lumière, la couleur et la conception des espaces mais aussi la mise en place d’un entourage social adéquat. C) Travail sur la mémoire / travail biographique La connaissance de la trajectoire individuelle facilite une compréhension sans préjugés du comportement et des habitudes quotidiennes du patient. Il est particulièrement utile de bien connaître le mode d’interaction des personnes concernées, leur capacité à faire face et à surmonter les difficultés et les événements importants survenus dans leur vie. D) Kinesthésie Cette méthode est fondée sur l’analyse des modèles des mouvements corporels. Afin de reconnaître ces modèles, aussi bien dans leur développement que dans les habitudes individuelles, il est recommandé de soutenir efficacement les personnes atteintes de démence dans leurs mouvements corporels. Comme tous les mouvements corporels sont enregistrés dans le cerveau, la connaissance des habitudes individuelles peut aider le personnel soignant à trouver plus aisément « la bonne porte d’entrée» pour seconder les patients dans leurs mouvements. E) Stimulation basale / Snoezelen Si la communication verbale s’estompe, la communication avec la personne atteinte de démence peut s’effectuer à travers les sens. Contact visuel, perception auditive, stimulation corporelle, activation du sens de l’équilibre, stimulation par le toucher, stimulation vibratoire, orale et olfactive peuvent amener la personne à s’orienter et l’aider à mieux percevoir son corps et son FAQs au sujet de la démence / juillet 2011 3 environnement. Pour toutes ces approches et ces méthodes CURAVIVA Formation continue offre des cours spécialisés ainsi qu’une formation inhouse (www.weiterbildung.curaviva.ch). Essentiel: une qualité de vie aussi bonne que possible Le but visé par l’accompagnement et les soins est d’apporter à la personne atteinte de démence une qualité de vie aussi élevée que possible pendant tout le décours de la maladie. Entretemps, plusieurs méthodes ont été développées afin de trouver et d’assurer une bonne qualité de vie, compte tenu des besoins différenciés des individus. A) Dementia Care Mapping (DCM) Cette méthode est fondée sur l’approche centrée sur la personne développée par Tom Kitwood. Il s’agit d’un processus d’observation visant à cerner dans le détail le bien-être relatif des personnes, pour en tirer des déductions quant à la qualité des soins prodigués individuellement. B) L’instrument de Heidelberg pour la saisie de la qualité de vie de personnes atteintes de démence (H.I.L.DE) Avec cet instrument, développé au cours d’un projet multi-phase, les soignants peuvent saisir eux-mêmes la qualité de vie des résidents dans leur expression multidimensionnelle et en déduire les mesures de soins et d’accompagnement adéquates. Que représente le nombre croissant de personnes atteintes de démence pour le secteur des EMS? Des exigences élevées pour les soins L’évolution de la démence est continue. Pendant le décours moyen d’environ 8 ans pour la démence d’Alzheimer (55 pourcent de toutes les maladies de démence) le taux de gravité augmente progressivement. Au cours des phases moyenne et finale de la maladie, les exigences en termes de soins et d’accompagnement sont si élevées, que ces personnes ne peuvent presque plus vivre dans leur environnement habituel. Elles ont besoin de soins prodigués par des professionnels, en continu, et elles séjournent de ce fait le plus souvent dans des EMS. Cette évolution débouche sur le fait que de nos jours au moins deux résidents sur cinq souffrent d’une forme de démence. Dans les EMS de la Ville de Zürich, ce taux représente presque 70 pourcent. La prise en charge et les soins des patients atteints de démence représente un des plus gros défis. A l’avenir, CURAVIVA Suisse entend apporter plus souvent son appui dans ce domaine, par des échanges au niveau professionnel, des offres de formation continue et des rapports d’expérience « Best Practice ». FAQs au sujet de la démence / juillet 2011 4 Un défi particulier Les soins et l’accompagnement aux personnes atteintes de démence comportent des défis particuliers. En font partie: A) Le risque de chute Puisque les personnes atteintes de démence perdent aussi progressivement le contrôle sur les fonctions corporelles, elles sont également plus exposées au risque de chute, suivant les phases de la maladie. Les mesures prises par le personnel soignant les protègent de ces risques. Mais ces mesures sont plus au moins coercitives et de nature à réduire leur liberté. En collaboration avec l’Ecole évangélique de Fribourg en Brisgau, le domaine spécialisé personnes âgées de CURAVIVA Suisse a démarré le projet ReduFix. Par une formation ciblée, les soignants apprennent à connaître les mesures de protection et à exercer des procédés qui leur permettent d’agir de manière professionnelle en cas de dilemme. B) Le risque de fugue C’est surtout au stade moyen de la maladie que des personnes atteintes de démence ressentent une forte pulsion de bouger. Comme elles sont affaiblies dans leur orientation spatio-temporelle, elles quittent souvent seules leur environnement familier. Deux mesures de protection se sont révélées efficaces: Que comportent précisément les soins et l’accompagnement des personnes atteintes de démence dans les EMS? Qu’est-ce qui compte le plus? - les divisions protégées pour personnes atteintes de démence : grâce à l’aménagement des espaces et à des mesures optiques, beaucoup d’EMS ont crée des habitats qui réduisent de manière significative le sentiment «d’être enfermé». - «le compagnon» électronique: les personnes atteintes de démence et qui risquent de s’éloigner sont pourvues d’un émetteur GPS, permettant d’identifier le lieu où elles se trouvent et leur état physique actuel. Accompagnement Accompagner une personne atteinte de démence signifie lui apporter les mesures de soutien qui correspondent à ses besoins, dans l’accomplissement des actes de la vie et en toute situation. L’accompagnement doit se faire sur la base d’un partenariat, empreint de bienveillance et de considération pour le patient. Il s’agit constamment de trouver le bon équilibre afin de ne pas exiger trop, ni trop peu. Les points essentiels de l’accompagnement du patient sont, compte tenu de sa trajectoire: - FAQs au sujet de la démence / juillet 2011 une communication digne et respectueuse des propositions d’activités 5 - des activités artistiques socialisantes la liberté de mouvement des possibilités de détente l’intégration sociale (être présent, participer à des fêtes, etc). Les soins Les soins aux personnes atteintes de démence doivent être adaptés à l’individu dans leurs modalités journalières. Les approches de la validation, de la kinesthésie et de la stimulation basale mentionnées ci-dessus forment la base des soins personnalisés. Au stade de démence avancée, les soins palliatifs prennent de plus en plus d’importance. Font aussi partie des soins les activités assumées par les proches. On évitera également le surmenage dû aux structures rigides (douches selon horaire, se coucher d’après le plan de service etc.). Les défis les plus fréquents pour les soins sont: Y-a-t-il des projets pilote pour l’accompagnement des malades atteints de démence? - l’incontinence les troubles du comportement : le patient lance des cris, déambule, est tout le temps inquiet le risque de chute les problèmes de déglutition les crises d’épilepsie reconnaître les souffrances physiques : douleurs, infections, besoin d’uriner, d’aller à selle les troubles du sommeil les hallucinations l’agitation la dépression le délire - dès 1985: Sonnweid, Bachtelstrasse 68, 8620 Wetzikon différentes unités d’accueil: communauté d’habitation, petits groupes accompagnés, îlots de soins dès 1990: Oberried Demenz-Zentrum Belp, Seftigenstrasse 116, 3123 Belp EMS pour personnes atteintes de démence grave et dont le comportement pose des défis particuliers dès 1997: Basler Wirrgarten - ATRIUM, Hammerstrasse 156, 4057 Basel accueil de jour dès 2003: Der rote Faden, Bramberghöhe 4, 6004 Luzern accompagnement de jour - - Remarque: toutes ces institutions offrent formation et accompagnement. FAQs au sujet de la démence / juillet 2011 6 Quelle est l’offre en structures d’accueil pour les personnes atteintes de démence dans les EMS en Suisse? - Quelles sont les connaissances dont on dispose aujourd’hui concernant l’architecture et l’aménagement d’unités pour personnes atteintes de démence dans les EMS? structures d’accueil groupées spécialisées qui prennent en charge exclusivement des personnes atteintes de démence structures d’accueil groupées qui prennent en charge des personnes sans déficit des fonctions cognitives en même temps que des personnes atteintes de démence structures d’accueil groupées avec accompagnement de type communauté d’habitation accueil de jour hébergement pour vacances hébergement pour la nuit Même si les structures d’accueil spécialisées présentent quelques avantages par rapport aux structures d’accueil mixte (voir ci-dessous), il ne faut pas exclure l’une ou l’autre des possibilités d’accueil. Les deux ont leurs avantages et désavantages, chacune peut représenter la solution la mieux adaptée pour certaines personnes atteintes de démence. Des enquêtes menées en Australie et aux Etats-Unis ont montré qu’environ 10 pourcent des personnes atteintes de démence souffrent de symptômes neuropsychiatriques concomitants tellement lourds qu’elles doivent être prises en charge dans une institution spécialisée. Les autres peuvent être soignées à la maison par des proches, accompagnés et formés, ou être prises en charge dans une institution non spécialisée par du personnel soignant formé et accompagné. Ce qui est important pour les personnes souffrant d’une démence grave, ayant un besoin impératif de bouger, est de pouvoir disposer d’un environnement sans trop de barrières, avec accès à des espaces verts protégés. L’aménagement intérieur devrait correspondre à des formes d’habitat connues. L’éclairage devrait être plus clair que celui auquel sont habituées les personnes en bonne santé ; il est recommandé d’éclairer à 500 Lux. Les concepts ayant fait leurs preuves sont: les espaces ouverts, semi-ouverts et des espaces privés, à savoir un grand salon-salle à manger, des couloirs confortablement aménagés qui invitent à déambuler et à s’asseoir, une chambre à coucher privative avec des objets personnels. - FAQs au sujet de la démence / juillet 2011 la lumière : un bon éclairage indirect qui ne jette pas d’ombres ! les couleurs chaudes des sols sans obstacles ni décalages de couleurs les main-courantes les espaces-verts qui présentent peu de risques de chute 7 Y-a-t-il des données empiriques sur les structures d’accueil les mieux adaptées pour prendre en charge les personnes atteintes de démence? Lors d’une enquête, le Centre de gérontologie de l’Université de Zurich a procédé à une comparaison de la prise en charge dans des structures d’accueil spécialisées et intégrées .Les résultats montrent que les institutions disposant d’une unité spécialisée pour les personnes atteintes de démence présentent des avantages en ce qui concerne la qualité de vie des résidents et la satisfaction au travail du personnel. Les résidents y sont plus autonomes, ils sont moins soumis à des mesures de restriction de la liberté et souffrent moins de douleurs. Les soignants des unités spécialisées se sentent moins surmenés par les patients et les conditions de travail, ils ont plus de plaisir dans leurs activités et sont en général plus satisfaits de leurs conditions de travail que leurs collèges des structures intégrées. Remarque : les structures d’accueil spécialisées sont particulièrement adaptées pour les malades atteints de démence présentant des symptômes psychiques concomitants graves. Quelles sont les particularités de la prise en charge dans les structures d’accueil spécialisées – contrairement aux structures d’accueil intégrées? Que fait CURAVIVA Suisse en matière de démence? Le personnel est au bénéfice d’une formation encore plus ciblée, il connaît les approches cidessus et les applique. Le déroulement journalier/les possibilités d’activités sont adaptés aux personnes atteintes de démence. Les soins et l’accompagnement sont axés sur les ressources et la reconnaissance des déficits. Ceci favorise la diminution du surmenage et augmente en conséquence la qualité de vie des patients. - Que se passe-t-il sur le plan politique en matière de démence? FAQs au sujet de la démence / juillet 2011 Appui des motions qui soutiennent à l’échelon national les stratégies en matière de démence Publication régulière d’articles spécialisés concernant la démence dans la revue parlementaire « Point de vue » de CURAVIVA Suisse et de Pro Senectute Articles spécialisés sur le thème de la démence dans différentes publications Collaboration– entre autres sur le thème de la démence – au sein de la CI Financement des soins Coopération avec l’Association Alzheimer Suisse Dossier web « Démence » sous « www.curaviva.ch/dossiers » participation à la journée nationale « Démence – défis socio-politiques et de santé » de l’OFSP du 20 août 2011 Offres de formation continue de CURAVIVA formation continue : filières et cours spécialisés sur différents sujets, voir sous www.formationcontinue.curaviva.ch Cours de formation intra muros de CURAVIVA formation continue sur des thèmes tels que la validation intégrative, la réduction des mesures privatives de liberté etc. L’Association Alzheimer Suisse recueille actuellement des signatures pour un manifeste « Priorité Alzheimer». Celui-ci demande entre autres que les personnes atteintes de démence obtiennent un accompagnement et des soins économiquement acceptables. Pour une 8 discussion politique, nécessaire de toute urgence, il faut une étude actualisée des coûts. Au Conseil national, deux motions et une interpellation ont été déposées concernant la prise en charge des personnes atteintes de démence : Les motions de Jean-François Steiert (09.3509) et Reto Wehrli (09.3510) demandent à la Confédération d’élaborer des bases pour développer une stratégie commune entre la Confédération et les cantons quant à la politique à suivre en matière de démence. Le Conseil national a approuvé les propositions le 12 avril 2011. Les motions passent maintenant au Conseil des Etats. L’interpellation de Viola Amherd (09.34442) pose la question du développement et de la garantie de prise en charge des patients atteints de démence. Elle n’a pas encore été traitée. Où les personnes et les intéressés concernés, peuvent-ils obtenir des informations concernant le thème de la démence? Nous recommandons les sites web et les documents suivants: - - Page web de l’Association Alzheimer Suisse: www.alz.ch Rapport final de l’étude sur les coûts de la démence: www.ecoplan.ch Manifeste „Priorité Alzheimer“ de l’Association Alzheimer Suisse: www.alz.ch Publications spécialisées concernant les malades atteints de démence: o Sandra Oppikofer, Andreina Lienhard & Regula Nussbaumer (2005) DemenzpflegeEvaluation, Bewohnerinnen und Bewohner mit Demenz im Pflegeheim – Darstellung und Vergleich spezialisierter versus integrierter Betreuungsformen. Zürcher Schriften zur Gerontologie Nt.2 (ISSN 1660-7651); www.zfg.uzh.ch o Christoph Held, Doris Ermini-Fünfschilling (2005): Das Demenzgerechte Heim. Rahmenempflehlungen zum Umgang mit herausforderndem Verhalten beim Menschen mit Demenz in der stationären Altenhilfe, Bundesministerium für Gesundheit (2007), ISSN 1862-1600; www.bund.de o Tom Kitwod (2008): Demenz o Informations concernant les cours Dementia Care Mapping (DCM) de l’institut de formation Tertianum, à Berlingen: www.zfp.tertianum.ch o Informations concernant l’Instrument de Heidelberg pour la saisie de la qualité de vie de personnes atteintes de démence (H.I.L.DE.): www.uni-heidelberg.de (Fakultäten / Gerontologie / Forschung) Informations complémentaires: Christoph Schmid, domaine spécialisé personnes âgées de CURAVIVA Suisse, [email protected] Infor mation à propos des cours FAQs au sujet de la démence / juillet 2011 9