Plan 712 SF - Cégep de Sainte-Foy

publicité
PHILOSOPHIE ÉTHIQUE ET POLITIQUE
340-712-SF
Plan de cours
1.
Identification
Collège :
Cégep de Sainte-Foy
Département :
Philosophie
Cours :
340-712-SF, Éthique et politique
Composante :
Formation propre
Séquence :
Sciences, Lettres et Arts
Préalable :
avoir réussi le cours Philosophie et rationalité (340-710-SF)
Pondération :
3-0-3
Professeur :
Bernard Boulet, bureau E-328, 659-6600 poste 6106
Session :
Automne 2011
Disponibilité en dehors des cours : (horaire en annexe, disponibilités sur Omnivox)
Couriel :
MIO ou [email protected]
Info sur le cours :
www.cegep-ste-foy.qc.ca/freesite/index.php?id=5569
2.
Thématique générale du cours
Le thème général du troisième cours est l’agir humain. Afin d’en mieux juger, l’étudiant ou
l’étudiante prend connaissance de différentes théories éthiques et politiques en les appliquant à
des situations contemporaines relevant de la vie personnelle, sociale et politique.
Le cours examine notre morale démocratique et notre régime démocratique (c’est-à-dire notre
opinion de la justice). Il identifie quelques traits de la démocratie avec Tocqueville, il découvre
les racines de la pensée démocratique chez Rousseau, il examine une critique de la pensée
démocratique chez Nietzsche, il discute le nihilisme démocratique avec Beckett. Enfin, avec un
retour à Tocqueville, et avec certains essais de Montaigne et une pièce de Shakespeare, il
découvre quelques lacunes dans la morale et le régime démocratiques.
Les problèmes éthiques contemporains examinés dans le cours touchent davantage à deux
thèmes : d’abord la place prépondérante accordée aux droits et libertés et la place incertaine
accordée à l’excellence dans notre démocratie moderne. Aussi, les étudiants auront à discuter
un dilemme moral qu’ils pourraient rencontrer dans leur futur domaine professionnel.
3.
Objectifs et habiletés, contenus et évaluation
3.1 Objectif : Porter un jugement sur des problèmes éthiques et politiques de la société
contemporaine
1. Dégager la dimension éthique de l’action dans ses aspects personnels, sociaux et
politiques
2. Présenter quelques théories philosophiques, éthiques et politiques
3. Appliquer ces théories philosophiques, éthiques et politiques à des situations
actuelles, choisies notamment dans le champ d’études de l’élève
4. Défendre une position critique à propos d’une situation problématique
3.2 Habiletés et contenus
1.
Introduction
1.1
1.2
1.3
2.
2.2
3.2
3.3
4.2
4.4
e
(2e et 3 semaines)
Rousseau, Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité. L’amour de soi et la pitié
dans l’état de nature justifient l’égalité démocratique ; la perfectibilité ou la liberté de
l’homme ; la naissance de l’amour-propre et de l’inégalité. La démocratie libérale.
Le Romantisme vu à travers la peinture et la musique depuis quatre siècles.
Morale du sentiment, de la pitié, ou morale démocratique.
Une critique de la liberté et démocratie modernes
4.1
(2 heures)
Tocqueville, De la démocratie en Amérique Introduction et II.2.1. « Pourquoi les peuples
démocratiques montrent un amour plus ardent et plus durable pour l’égalité que pour la
liberté. » L’amour de l’égalité et l’oubli du bien commun. Théorie politique libérale.
Tocqueville, De la démocratie en Amérique II.2.2 « De l’individualisme dans les pays
démocratiques ». L’individualisme propre à la démocratie. Théorie politique libérale.
La naissance de la liberté et la démocratie modernes
3.1
4.
Question du cours : Qu’est-ce que la morale démocratique ? Qu’est-ce que la démocratie
moderne ?
Tocqueville, Lettre au comte de Molé, 1835 ; et De la démocratie en Amérique,
Introduction (extrait). Discussion. Le « rond-point » de notre société : l’égalité.
Introduction à quelques notions : l’agir humain ; on loue et blâme les actions, donc liberté
et responsabilité, et intention de bien et de mal ; distance entre ce qui se fait et ce qui
devrait se faire. Dimension politique : justice et bien commun. Exercice d’initiation :
imaginer un dilemme moral (expérience propre à l’agir humain) ; analyse de la situation :
l’acte lui-même, les circonstances, les conséquences.
Les traits essentiels de notre démocratie
2.1
3.
(2 heures)
e
(4e à 6 semaines)
Nietzsche, Crépuscule des idoles. « Rencontres d’un inactuel », aph. 37, 38, 39, 48 ; « Les
redresseurs de l’humanité » ; « Le problème de Socrate ». Critique de la démocratie à partir
de la morale volontariste et de la théorie politique aristocratique.
Nietzsche, Par-delà Bien et Mal, aph. 4, 44, 188, 202, 225, 260. La liberté radicale dans la
morale volontariste et dans la théorie politique aristocratique.
Nietzsche, Le Gai Savoir, aph. 125 (l’insensé). La mort de Dieu et le nihilisme.
5.
5.1
5.2
5.3
6.
e
L’éthique et la politique dans l’oubli de la nature
Beckett, En attendant Godot. Le nihilisme démocratique.
Peinture et musique contemporaine.
Le fait majeur du XXe siècle : la Shoa, Nuremberg, la morale des droits et libertés.
La morale et la politique selon la nature
6.1
6.2
6.3
6.4
6.5
e
(9 &10 s.)
e
e
(11 à 15 semaines)
Tocqueville, De la démocratie en Amérique II.1.1 « De la méthode philosophique des
Américains » et II.1.2 « De la source principale des croyances chez les peuples
démocratiques ». Sentiment d’indépendance mais soumission à l’opinion de la masse.
Montaigne, Essais, « De l’éducation ». Morale du jugement réflexif.
Montaigne, Essais, « Que le goût des biens et des maux dépend en bonne partie de
l’opinion que nous en avons ». L’imagination et la raison.
Montaigne, Essais « Des Cannibales ». Le retour au bon sens naturel et à l’animal politique.
Shakespeare, Le Marchand de Venise. Justice et raison dans la cité et dans le cercle d’amis.
3.3 Méthodes pédagogiques
Le cours est présenté selon le mode de la confrontation entre les auteurs et les pensées
philosophiques qu’ils proposent. Les étudiants sont placés devant le fait incontournable qu’il y
a eu des façons différentes, mais cohérentes, de concevoir les réponses aux questions
philosophiques. La réflexion philosophique est présentée comme un effort de se situer
rationnellement par rapport aux tentatives les plus importantes qui ont marqué l’histoire de la
pensée occidentale. Ainsi, par un dialogue continu avec des textes qui sont enracinés dans une
perspective historique, l’étudiant acquiert une autonomie intellectuelle.
Dans le cours, les étudiants sont appelés à évaluer la portée et la validité des auteurs rencontrés
et des textes lus : ils doivent prendre position. Ce travail de prise en charge du texte et de prise
de position personnelle se réalise notamment par des travaux écrits d’analyse de texte et de
dissertation.
Le cours, à la fois en lui-même et dans la suite des deux autres cours de philosophie, est
présenté en référence à l’ensemble de l’histoire de la pensée occidentale. Il s’agit de placer une
pensée dans son contexte historique, mais aussi de saisir sa place dans la suite des moments
forts de la pensée et son rôle dans le développement des savoirs.
En plus du vecteur historique, le cours, à la fois en lui-même et dans la suite des deux autres, a
un vecteur épistémologique, selon lequel certains aspects de la méthode, de l’objet et de la fin
des champs du savoir (sciences de la nature, sciences humaines, lettres et arts) sont analysés et
comparés. Le troisième cours de philosophie est mis à contribution pour situer le champ des
sciences humaines par rapport aux autres.
Durant la session, le professeur présente ponctuellement des résumés pour faire le point sur un
thème, sur un débat d’opinion ou sur les apports de l’expérience commune accessible aux
étudiants.
Le professeur fait référence à certaines notions étudiées dans les autres cours du programme de
façon à exercer l’étudiant à l’intégration des divers savoirs.
3.4 Activités d’évaluation
L’évaluation formative. Pour ce cours, l’évaluation formative est constante et étalée sur
l’ensemble de la session. Elle se présente sous forme d’exercices, de discussions dirigées, de
tests de lecture, de courts résumés ou de réponses brèves à des questions préparatoires au cours.
La correction de ces activités formatives est effectuée en classe et/ou par le biais d’annotations
indiquant dans quelle mesure les apprentissages du cours sont en bonne voie d’intégration.
Pour stimuler une participation assidue à ces activités formatives, assurer la constance au travail
et ainsi garantir une bonne préparation aux examens et à la dissertation, le professeur peut
accorder 10% de la note finale à ces activités.
L’évaluation sommative. Pour ce cours, l’évaluation sommative comporte trois moments forts :
Deux examens, réalisés en classe, et la rédaction d’un texte argumentatif d’au moins 900 mots
et d’un maximum de 1400, qui doit être rédigé à la maison. Voir le tableau ci-après pour le
calendrier des évaluations.
Évaluation
Date
Contexte de réalisation
Pondération
Habiletés et contenus visés*
Examen 1
Début 7e semaine
En classe
22*
1.1, 1.2, 1.3, 2.1, 3.1, 3.2
Travail long
12 e sem.
À la maison
25*
1.3, 2.1, 3.3, 3.4, 4.1, 4.2, 4.3
Examen final
Sem. d’examen
En classe
25
2.1, 3.3, 3.4, 4.1, 4.2,
Quest. hebdo.
Hebdomadaire
À la maison
8
Formatif, 4 corrigés
Tests de lecture
mensuel
En classe
8
Sommatif
Trav. conjoints
sept. et oct.
À la maison
12
Biologie ; Français ; Musique
*dont 5 points accordés au champ d’étude de l’étudiant, dans le cadre de l’adaptation au programme
Critères de correction
Toutes les évaluations sont faites à partir de ces balises : appropriation, cohérence, clarté,
pertinence, complétude, suffisance et réalisme.
Prendre comme critère l'appropriation, c’est vérifier si les réponses ou les argumentations
traduisent une certaine compréhension, grâce à laquelle l’étudiant se montre intellectuellement
fécond, ou si, au contraire, elles ne traduisent qu’une mémorisation pure et simple.
Prendre comme critère la cohérence, c’est vérifier si les réponses ou les argumentations des
étudiants, par lesquelles ils rendent compte de l’atteinte des objectifs et des standards, se
composent de parties compatibles, liées et harmonisées entre elles, ou si, au contraire, elles
comportent des contradictions.
Prendre comme critère la clarté, c’est vérifier si les réponses ou les argumentations sont
formulées de façon suffisamment nette et distincte pour être intelligibles, ou si, au contraire,
elles recèlent des obscurités, des équivoques qui nuisent à leur intelligibilité.
Prendre comme critère la pertinence, c’est vérifier si les réponses ou les argumentations
conviennent à l’objet ou si, au contraire, elles ne sont pas suffisamment en lien avec lui.
Prendre comme critère la complétude, c’est vérifier si, dans une réponse, tous les éléments
requis sont présents.
Prendre comme critère la suffisance, c’est vérifier si ce qui est avancé est suffisant pour motiver
l’adhésion.
Prendre comme critère le réalisme, c’est vérifier si les réponses ou les argumentations sont en
conformité avec l’expérience qu’on peut avoir des choses.
4.
Médiagraphie, règles institutionnelles et règles départementales
4.1 Médiagraphie
Allard, G., Discours sur l’inégalité de Rousseau, Collection Résurgences.
Beckett, En attendant Godot.
Tocqueville, De la
http://classiques.uqac.ca.
démocratie
en
Amérique,
II.1.1,
II.1.2,
II.2.1,
II.2.2,
Montaigne, Essais, Livre I, chapitres 25, 30, 40, Collection Résurgences.
Nietzsche, Crépuscule des idoles, « Le Problème de Socrate », « Les redresseurs de
l’humanité » ; « Rencontres d’un inactuel » aph. 37, 38, 39, 48, (trad. Mathieu Robitaille).
Nietzsche, Le Gai Savoir, aph. 125 (trad Mathieu Robitaille).
Nietzsche, Par-delà Bien et Mal, aph. 4, 44, 55, 188, 202, 225, 260 (trad. Mathieu Robitaille).
Shakespeare, Le Marchand de Venise. Garnier-Flammarion, Édition bilingue.
4.2 Règles sur l'évaluation des apprentissages
Ces règles se trouvent dans la Politique d'évaluation des apprentissages (disponible à partir de
la page d'accueil du site Web du Cégep de Sainte-Foy: onglet Le Cégep, Publications et
formulaires, Politiques et règlements).
En ce qui concerne les points perdus pour le français, il n'est en aucun cas possible de récupérer
ses points en corrigeant après-coup ses fautes.
POLITIQUE DES ABSENCES. Conformément à l'article 6.1.11 de la Politique d'évaluation
des apprentissages au Cégep de Sainte-Foy, l'étudiant(e) qui s'absente au-delà d'une proportion
de 15% d'un cours (en l'occurrence plus de 6 heures) est passible d'un échec. – Remarque :
l’absence au cours n’est pas un droit, mais une exception.
5.
Intégration avec les autres cours
Fil intégrateur avec les lectures en Littérature française sur le nihilisme contemporain.
Fil intégrateur avec le cours d’Économique sur le thème du libéralisme.
Fils intégrateurs avec le cours de Sociologie sur le glissement, en sociologie, de la nature
(XIXe s.) à la culture (XXe s.) et sur la distinction entre les valeurs et les faits.
Fil intégrateur avec le cours d’Histoire sur la démocratie moderne.
Fil intégrateur avec le cours de Biologie sur l’évolution et l’homme comme être historique.
Fil intégrateur avec le cours d’Anglais sur la force de l’opinion publique (l’opinion de masse)
Fil intégrateur avec le cours de Maths (statistiques) sur les sondages de l’opinion publique.
Fil intégrateur possible avec le cours d’Anglais sur Oscar Wilde et la liberté morale.
Travail conjoint avec Biologie sur les types de regard qu’on porte dans nos observations des
phénomènes naturels.
Travail conjoint avec Français sur le choix humain chez Camus et Nietzsche.
Travail conjoint avec Musique : Nietzsche, le Zoroastrisme et le poème symphonique « Ainsi
parlait Zarathoustra » de Richard Strauss (conférence de Benjamin René).
Questions hebdomadaires
(200 à 300 mots par travail, à l’ordi, en divisant votre texte en paragraphes, pas de page titre)
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
Tocqueville, De la démocratie en Amérique, II.2.1 et II.2.2. Sous le régime démocratique, l’auteur craint-il
pour l’égalité ou la liberté ? Lequel seriez-vous prêt à sacrifier en premier, l’égalité ou la liberté ? Quelle
différence l’auteur fait-il entre l’égoïsme et l’individualisme ?
Rousseau, Discours sur l’inégalité, Livre I. Expliquez ce que veut dire Rousseau avec l’analogie de la statue
de Glaucus dans la Préface ? Pour défendre l’idée que le premier homme de l’histoire était bien dans sa
condition solitaire, Rousseau fait des remarques sur son corps (§45-56), son esprit (§57-76) et son cœur (§7795). Choisissez une remarque dans chacune de ces parties qui montre justement que l’homme était bien, au
début, et ne cherchait pas à évoluer.
Rousseau, Discours sur l’inégalité, Livre II. Nommez une cause qui a provoqué l’évolution humaine.
Comment la vanité (l’amour-propre) est-elle apparue pour la première fois ? Pourquoi Rousseau dit que la
liberté humaine ne peut jamais se perdre ?
Nietzsche, Crépuscule des idoles, « Rencontres d’un inactuel », aph. 37, 38, 39, 48. Pourquoi notre époque
serait moins bonne que la Renaissance (37). L’homme libre est un guerrier, écrit Nietzsche : expliquer cette
expression en référant à un autre passage dans le texte (38). Pourquoi Nietzsche voudrait que les mariages
soient de longue durée (39) ? Pourquoi Nietzsche n’aime pas Rousseau (48) ?
Nietzsche, Crépuscule des idoles, « Les redresseurs de l’humanité ». En quoi le christianisme est une morale
de domestication ? En quoi la morale en Inde est une morale de l’élevage ? Malgré que Nietzsche critique les
deux morales au dernier paragraphe, laquelle lui semble préférable d’après le paragraphe 4 ?
Nietzsche, Par-delà Bien et Mal, aph. 4, 44, 188. Donnez un exemple tiré de vos observations et qui montre
que les gens préfèrent parfois vivre dans l’erreur ou le mensonge (4) ? Pourquoi Nietzsche refuse-t-il
d’appeler libres ceux qui privilégient la morale de la pitié (44) ? Nietzsche préfère-t-il la discipline ou le
laisser-aller (188) ?
Nietzsche, Par-delà Bien et Mal, aph. 202, 225, 260. Est-ce que la maxime « ni dieu ni maître » s’applique à
votre vie (202) ? Quelle sorte de pitié Nietzsche éprouve-t-il, et envers qui (225) ? Laquelle correspond à la
morale du dressage, la morale des maîtres ou la morale des esclaves (260) ?
Tocqueville, De la démocratie en Amérique, II.1.1 et II.1.2. Est-ce que les Québécois possèdent les mêmes
tendances intellectuelles que les Américains dont parle Tocqueville (II.1.1) ? Expliquez la source principale
des croyances chez les peuples démocratiques (II.1.2).
Beckett, En attendant Godot. L’auteur cherche-t-il à nous heurter pour que nous ne demeurions pas comme
Vladimir et Estragon, ou affirme-t-il que les hommes sont inévitablement dans leur situation et qu’on n’y peut
rien ?
Montaigne, Essais, I.26, « De l’éducation ». Relevez cinq exemples ou analogies qu’utilise Montaigne pour
nous faire comprendre son idée de l’éducation. Montaigne dit-il qu’on doit s’exercer à juger la façon que
vivent les hommes ? Qu’en penses-tu ? Que dirait Nietzsche de ce chapitre de Montaigne ?
Montaigne, Essais, « Que le goût des biens et des maux dépend en bonne partie de l’opinion que nous en
avons ». Quel serait, pour toi, le plus grand des maux ? Es-tu d’accord avec Montaigne, qui discute si la mort,
la pauvreté et la douleur sont des maux ? Est-ce que ce sont les maux ou les biens que notre imagination
exagère le plus souvent ?
Montaigne, Essais, « Des Cannibales ». En quoi les Amérindiens seraient meilleurs que les Européens, selon
Montaigne ? À ton avis, ces Cannibales sont-ils nobles ou barbares ? Que dirait Rousseau de ce chapitre de
Montaigne ?
Shakespeare, Le Marchand de Venise. Pourquoi y a-t-il tant d’animosité entre Antonio et Shylock ?
Expliquez comment l’amitié entre Antonio et Bassanio est à la fois belle et décevante. Préféreriez-vous vivre
à Venise ou à Belmont ?
Téléchargement