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LIVRE BLANC
Le décisionnel au service de la relation clients
Réalisé par Jocelyne Youyou
Directeur de Missions, le CXP
et
Laurence Dubrovin
Analyste, le CXP
En partenariat avec
© 2009 CXP
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Livre Blanc – Mars 2009
CRM : les nouvelles frontières du CRM
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Le décisionnel au service de la relation clients
Sommaire
1.
Dynamique du marché
2.
Les évolutions fonctionnelles
3.
le CRM analytique se développe avec le concours du
décisionnel
4.
Les évolutions du marché des progiciels
1 - Dynamique du marché
L’année 2007 avait été marquée pour le domaine du CRM par
des acquisitions, alors même que les signes de reprise se
confirmaient. On peut citer parmi eux Pivotal et Saratoga
désormais dans le giron de CDC Software, mais aussi KDP qui
revenait à Sage. Cette phase d’acquisitions maintient encore
d’une part des purs players du domaine tels que Selligent,
Pivotal, Salesforce, Coheris, d’autre part les grands acteurs de
la gestion tels que SAP, Oracle, Sage mais aussi de
l’infrastructure comme Microsoft. Enfin, un nouveau venu sur le
marché de l’open source avec SugarCRM.
Le marché du CRM est en croissance depuis 4 années
consécutives, avec une progression de 7 % environ en France
en 2008 selon IDC. Au niveau mondial, cette croissance est
comprise entre 10 et 15 %, 11 % selon Forrester. Certains
acteurs ont vu leur chiffre d’affaires progresser de plus de
30 % cette année.
Du côté des projets clients, certains dossiers mûris depuis
longtemps voient aujourd’hui leur aboutissement, avec une
prise de décision plus rapide et une définition de besoins plus
raisonnable. Le marché est plus mûr, et cela se ressent du
côté des utilisateurs, qui savent que la stratégie est au moins
aussi fondamentale que le choix de l’outil.
Les PME continuent à attirer les convoitises de tous les
éditeurs. Elles sont encore minoritaires à s’être équipées en
solutions de CRM, et même si elles ne présentent pas des
projets aussi ambitieux et lucratifs que les grands groupes, elles
sont aujourd’hui bien informées des apports d’une bonne
gestion de la relation client, et plus motivées qu’avant pour s’y
lancer : environ 20 % d’entre elles affirment avoir un projet.
Du côté des grands comptes, les évolutions techniques et
fonctionnelles des solutions amènent les entreprises à
constamment mettre à jour leur équipement, à compléter leur
solution par de nouveaux modules, ou encore à équiper des
services de l’entreprise qui ne faisaient pas partie du projet
initial. Et surtout, on prend conscience de l’indispensable et
nécessaire intégration entre le back et le front office.
Dans un contexte économique très concurrentiel, la promesse
du CRM est séduisante : la fidélisation des clients est
primordiale puisqu’il est de toute façon plus coûteux de
chercher à en acquérir de nouveaux.
La mise en place d’une solution de CRM est une condition
nécessaire, bien que non suffisante, pour mener à bien une
stratégie orientée client.
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2 - Les évolutions fonctionnelles
Concepts et tendances
Richesse
fonctionnelle






Portail
E-business
Intégration des
modules
Analytique
Processus
Intégration des
canaux



Verticalisation
Temps réel
Intégration des
systèmes
R
OFF
MA
DE
2000/2001
2001/2002




Mid-market
Open Source
ASP
ROI




BI
Web 2.0
SOA
On Demand
E
E
ND
2002/2003
2004/2005
2006/2008
Source le CXP
3 - Le CRM analytique se développe avec le concours du
décisionnel
La composante décisionnelle est devenue un des piliers des offres CRM : les outils de CRM
opérationnel, même s’ils recentrent toutes les interactions clients dans la même base de
données, ont besoin ensuite d’outils d’analyse statistique et de segmentation pour exploiter
cette énorme masse d’informations.
Après une période de développement d’interfaces entre les outils décisionnels (Cognos
racheté depuis par IBM, Actuate, Business Objects acquis par SAP) et les outils opérationnels
(CRM, ERP), principalement à des fins d’analyse et de reporting, nous assistons aujourd’hui à
l’émergence de solutions plus évoluées, dédiées à la Business Intelligence, et plus orientées
vers l’interaction entre le décisionnel et l’opérationnel.
Chez les éditeurs de CRM, ces fonctions analytiques sont mises en avant aujourd’hui, avec
les technologies OLAP et l’intégration de solutions telles que Microsoft Analysis Services.
Elles s’orientent vers une analyse plus fine du client, grâce aux cubes multi-dimensionnels qui
permettent une navigation plus aisée et la génération de cibles pour les actions marketing. Ce
mouvement se poursuit aujourd’hui chez plusieurs éditeurs CRM, qui ont soit créé des offres
basées sur Microsoft Analysis Services, comme Selligent ou Pivotal, soit racheté des
spécialistes, comme Coheris avec Harry Software, ou encore développé eux-mêmes de
nouvelles fonctions analytiques et décisionnelles très intégrées aux fonctions CRM
opérationnelles.
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De plus en plus, les informations qui étaient avant analysées "a posteriori", le sont aussi "en
temps réel", pour remonter à l’utilisateur les indicateurs nécessaires pour mener à bien son
action commerciale (voir les applications très concrètes dans les centres d’appels des
télécoms, ou les nouveaux outils disponibles sur le poste de l’agent bancaire), et même de
plus en plus "a priori" avec les fonctions étendues d’analyse prédictive pour par exemple
anticiper sur les clients susceptibles de passer à la concurrence.
Au niveau des applications marketing, les acteurs du décisionnel (Cognos chez IBM, Business
Objects chez SAP, SAS, SPSS,…) amènent leur technologie pour permettre, entre autres,
l’analyse multi-dimensionnelles ou le data mining. Les éditeurs de CRM grands comptes
(Oracle avec Siebel, SAP avec SAP CRM,…) mettent maintenant en avant des solutions
analytiques transversales permettant d’obtenir une vision de la rentabilité du client ou de
prévoir leur comportement pour les campagnes marketing.
Des fonctions marketing avancées
Les spécialistes EMA (Enterprise Marketing Automation) ont été en grande partie rachetés à
l’instar d’Epiphany, souvent choisi pour ses fonctionnalités avancées en marketing, qui fait
maintenant partie d’Infor.
L’écart se creuse avec les solutions PME qui n’intègrent pas de gestion avancée de
l’exécution de campagnes multi-canal, ni d’automatisme dans le déclenchement et la gestion
de ces opérations, et les spécialistes EMA (Unica, SAS, Epiphany d’Infor, Neolane), qui
s’orientent vers une notion plus vaste de gestion des ressources marketing, pour gérer les
budgets et plannings, et vers l’optimisation des campagnes, prenant en compte la
disponibilité du canal, les coûts de communication, la pression commerciale et toute autre
règle marketing ou commerciale.
L’étape suivante, qui est déjà une réalité dans certaines entreprises orientées e-business, est
le marketing temps réel, qui prône de répondre instantanément à tout événement client par
l’émission d’une offre marketing adaptée.
Paramétrage et workflow
Les éditeurs de progiciels de gestion ont beaucoup investi sur l’intégration des processus :
pour fournir le meilleur service au client, le commercial doit être capable de lui calculer un prix
correct, de vérifier la disponibilité en stock des produits, de renseigner l’acheteur sur
l’avancement de sa commande, toutes ces informations pouvant être puisées dans le système
ERP, ou, plus généralement, dans le back-office, qui est encore, dans certains domaines
(banques, assurances), bâti sur des applications spécifiques.
Au sein même des outils purement CRM, cette notion de processus est mise en avant par les
éditeurs, qui souhaitent donner une vision plus intégrée de leur solution. Avec la
multiplication des fonctionnalités, il est parfois difficile d’avoir une vision cohérente de l’intérêt
du progiciel, et le fait de raisonner en tant que process métier permet de se recentrer sur les
apports concrets de la solution. Les éditeurs d’ERP s’adaptent aux organisations qui sont de
plus en plus matricielles. Ils mettent à disposition des clients des processus complets et non
plus seulement des fonctions verticales. Par exemple, les données et les flux liés aux modules
marketing, vente, finance, logistique et service sont pré-identifiés et liés dans le flux métier
"prise de commande sur le web".
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Cette problématique d’intégration du CRM et de l’ERP n’est pas propre aux grands comptes. En
effet, beaucoup de PME appartiennent au secteur de l’industrie, où l’action des vendeurs va
souvent jusqu’à la saisie de commande. L’intégration du CRM et de l’ERP permet de
synchroniser efficacement les fichiers articles et tarifs, et d’éviter de ressaisir la commande dans le
système de back-office. Si l’on ajoute la composante de service après-vente que peuvent proposer
certaines entreprises, la problématique d’intégration devient primordiale, et doit être envisagée
avec soin. Un outil unique proposant un processus intégré de bout en bout est un avantage à ne
pas négliger.
N’oublions pas non plus qu’un des principes du CRM, la vision à 360 degrés du client, nécessite
de récupérer aussi les données issues de la gestion comptable et de l’administration des ventes :
position du compte client, dates des dernières livraisons, montants facturés et réglés, etc.
Le ROI, leitmotiv des éditeurs et des utilisateurs
Les raisons de succès ou d’échecs d’un projet CRM sont nombreuses et fortement dépendantes
du contexte client : adhésion des utilisateurs, atteinte rapide du ROI, intégration dans le système
informatique existant, gestion de l’information client, intégration des processus, en sont quelquesunes. Les éditeurs CRM, pour motiver les décisionnaires, cherchent activement à lever ces
difficultés par des méthodes de mise en œuvre ou de nouvelles fonctionnalités produits.
En particulier, les spécialistes grands comptes (SAP, Oracle) ont mis l’accent dans leurs dernières
versions sur l’amélioration de la simplicité de paramétrage, de déploiement, d’utilisation et
d’administration de leur offre, dans le but encore une fois d’atteindre plus rapidement le retour sur
investissement du projet. Il est clair que les évolutions fonctionnelles multiples, ainsi que le
passage aux versions web, n’avaient pas eu pour conséquence de simplifier les solutions. Avec
l’avènement des nouvelles interfaces Ajax et Web 2.0, les écrans sont devenus beaucoup plus
lisibles, la navigation bien plus intuitive, le nombre d’étapes plus réduit pour rechercher une
information de base : tout ceci constituant autant d’atouts en faveur de l’utilisation des produits
actuels. Les éditeurs ont concrétisé leurs promesses en faisant de gros efforts quant à l’ergonomie
des dernières versions sorties cette année.
La gestion multicanal et autres techniques pour entrer en communication
avec le client
Du côté de l’offre, la prise en compte de multiples canaux d’interaction client (envoi d’e-mail,
connexion au site Web, appel depuis un téléphone fixe ou mobile, usage de PDA, Blackberry,
Windows Mobile, etc.) et l’arrivée de nouveaux standards de développement (architecture
Internet basée sur les web services, Ajax…) a obligé les éditeurs à faire évoluer de façon très
significative leurs progiciels.
Les éditeurs les plus avancés cherchent également à compléter leur offre pour mieux gérer les
dernières techniques du e-marketing, et tout particulièrement le search marketing. On avait ainsi
e
vu sortir en effet chez Salesforce et NetSuite (le 2 leader américain du CRM en ASP) de nouvelles
fonctionnalités pour suivre les campagnes de liens sponsorisés de Google AdWords et intégrer les
prospects détectés dans la base CRM. Lorsque les internautes effectuent des recherches sur
Google à l'aide de l'un des mots clés du fournisseur, son annonce est susceptible d’apparaître à
côté des résultats de recherche. La publicité est ainsi diffusée auprès d'un public qui s’intéresse
aux produits et services de l’entreprise fournisseur. Ceci a pour vocation à attirer des clients.
Lorsque les internautes cliquent sur l’annonce, ils peuvent effectuer un achat sur le site ou obtenir
plus d'informations sur l’entreprise fournisseur. Il n’est pas nécessaire d’avoir une page Web pour
démarrer, Google aidant à en créer une gratuitement.
Par ailleurs, Google Analytics permet de tracer de façon très détaillée toute l’activité des
internautes sur le site Web (navigation sur le site, abandon, retour, etc. …) avec un niveau de
finesse étonnant. On peut aussi savoir si les internautes proviennent du pays d’origine ou de
l’international, ce qui permet de mesurer l’étendue par région, pays, et continent des prospects
potentiels.
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4 - Les évolutions du marché des progiciels
Un marché réparti entre spécialistes CRM et acteurs de gestion
Vente à la
grande distribution
Offres FDV
pour le CPG
CAS
Klee
Offres EMA
(campagnes marketing)
Publicité
FDV Concept
MEI
Dendrite
Epiphany / Infor
Marketing
Chordiant
Neolane
SAS
Unica
Aims
Offres de
configuration commerciale
Amdocs
Coheris
Force de Vente
E-deal
Pivotal Microsoft
Baan
Cincom
Commence
SAP Sage
Frontrange Applix
Access
Eudoweb
Commerce
KDP
Offres CRM
SalesForce
Saratoga
Update
PME
Selectica
Ines eFront
Selligent
Orbis
Offres CRM
Siebel
Mid-Market
Oracle
PeopleSoft
Offres CRM
Offres CRM
Grands Comptes
ASP
Vente BtoB
Source le CXP
Les ERP prennent la pole position
Depuis les rachats de Siebel par Oracle et d’Epiphany par SSA/Infor, ce sont sans conteste
les ERP qui prennent les premières positions sur le marché du CRM, puisque SAP et Oracle
dépassent à eux deux les 50% de parts de marché au niveau mondial.
Grâce à sa large base installée, SAP a connu une très forte progression sur le marché du
CRM au cours des dernières années. Mais son concurrent direct Oracle revendique
aujourd’hui la première position en termes de nombre d’utilisateurs de fonctions CRM,
puisqu’il en déclare plus de deux millions, suite au rachat de Siebel (qui inclut Siebel on
Premise et Siebel OnDemand). On notera l’arrivée du dernier module d’Oracle Deal
Management qui a pour objectif de rationaliser les processus de décision et de faciliter la
tarification.
Sur le marché mid-market ou PME, les éditeurs d’ERP disposant d’une gamme CRM sont
aujourd’hui nombreux, et parmi eux, des groupes d’envergure internationale disposent d’une
force de frappe commerciale et marketing importante. Sage se démarque particulièrement,
avec aujourd’hui quatre gammes à son catalogue et une stratégie CRM mondiale. Microsoft
continue sa progression avec la sortie récente d’une version majeure qui vient combler les
lacunes de la précédente.
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Compte tenu des problématiques d’intégration propres aux projets CRM (multiplication des
bases clients, transferts des commandes, synchronisation du catalogue produits, mise à jour
des tarifs, etc.), le choix d’une solution intégrée peut s’avérer source d’économies dans le coût
total de possession du système. Il faut bien entendu que la solution réponde aux besoins
fonctionnels exprimés. C’est l’argument par exemple d’un éditeur comme Ordirope qui a
intégré dans son offre, suite au rachat de l’intégrateur Isys, un module de CRM (Minos CRM).
La concentration se poursuit
Les rachats de sociétés se sont poursuivis, dans tous les domaines.
Salesforce lui-même, qui connaissait une croissance essentiellement organique, a
commencé à s’intéresser à des sociétés qui lui permettent de compléter son offre : il avait
ainsi racheté Sendia début 2006 pour offrir une solution mobile synchronisée, et a acquis une
petite société Kieden, pour proposer une solution qui permet de gérer les campagnes
publicitaires Google AdWords.
Access Commerce avait complété son offre de configuration commerciale par l’acquisition
de la société Exsyde, éditeur français d’un logiciel de PIM (Product Information Management).
L’éditeur a effectué une augmentation de capital pour mener à bien sa stratégie d’acquisitions.
Onyx, qui fut un des acquéreurs potentiels de son concurrent direct Pivotal, a fini lui aussi par
être la proie d’un éditeur d’ERP, la société américaine M2M.
Il reste maintenant sur le marché quelques spécialistes historiques qui intéresseront moins les
leaders par la profondeur de leur offre que par la taille de leur base installée, ou par leur
expérience du monde de la PME. Difficile toutefois de trouver un acteur avec une présence
internationale suffisante pour intéresser un acquéreur potentiel.
Enfin, la croissance d’éditeurs à la force de frappe commerciale et/ou marketing importante
(Microsoft CRM, Salesforce.com mais aussi SugarCRM), ajoute de nouvelles composantes
sur le marché prisé des PME.
Le mid-market toujours convoité
Sage fait du mid-market et des PME son cœur de cible ainsi que d’autres acteurs tels que
Coheris, Microsoft, Selligent, Cegid et e-Deal.
Sage propose historiquement trois lignes de produits : Act ! by Sage pour les processus
standard, la gestion des clients et des contacts (qui s’adresse aux particuliers et aux TPE),
Sage CRM pour les processus personnalisables, la force de vente, le service client, le
marketing en mode de déploiement standard (qui s’adresse aux PME), Sage Saleslogic pour
les processus spécifiques et un mode de déploiement projet (qui s’adresse aux grosses PME
et MGE moyennes et grands entreprises). Il doit aussi intégrer Vente Partner de KDP qu’il a
acquis l’an dernier. Ainsi l’éditeur veut adapter son offre à la taille de l’entreprise. Saleslogic
couvre la gestion de la force de vente (gestion des clients, prospects, contacts), le service
client et le suivi, le marketing, tout en intégrant une plate-forme de développement, la mobilité
et le multilinguisme.
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Pivotal couvre la force de vente, le marketing, le service, la vente en ligne et la gestion des
partenaires. Il s’adresse aux entreprises du mid-market, qu’il définit comme ayant un chiffre
d’affaires compris entre 200 millions et 3 milliards de $ et qu’il traite en direct. Pour celles en
dessous de 200 millions de $, il passe par un réseau indirect. La taille des projets varie de
30 à 2 500 - 3 000 utilisateurs.
ème
Coheris qui est classé 3
éditeur CRM sur le marché français derrière Oracle et SAP tire
bien son épingle du jeu puisqu’il réalise 80 % de son chiffre d’affaires en CRM et CRM
analytique. Il propose Coheris CRM pour la gestion des réseaux de vente à distance en
B to C, Coheris Trade (ex-FDV) pour la gestion de la force de vente en B to B dans les
domaines de la grande distribution, de la pharmacie et de la cosmétique, Coheris Target pour
la gestion et le ciblage des campagnes marketing, Coheris Analytics ou Harry pour le CRM
analytique et le pilotage de la relation client en environnement décisionnel, Coheris Mining
(ex-SPAD) pour le marketing prédictif.
Microsoft avec la toute nouvelle version de Microsoft Dynamics CRM vise toujours le
mid-market par une politique tarifaire attractive mais veut aussi mieux servir les grands
comptes en termes de performances, de fonctionnalités et adresser de nouveaux besoins. Il
propose également sa solution en mode hébergé SaaS et permet de mutualiser les serveurs
Microsoft CRM. Microsoft délivre le multilinguisme et le multi-devises. Cette version vise à
s’adapter aux méthodes de travail de l’utilisateur (MS Office, Outlook, Mobilité), au métier de
l’entreprise (avec une personnalisation avancée, une gestion des processus via workflow) et
aux attentes de l’informatique (déploiement plus rapide, administration plus simple).
Selligent, lui, a vu la taille de son client moyen progresser de 80 postes à 150-200 postes.
Selligent X@ couvre les quatre fonctions principales du CRM que sont la vente, le marketing,
le service client et l’analytique. Pour les projets plus modestes ou nécessitant un démarrage
rapide, Selligent dispose de la solution SmartStart : celle-ci repose sur une version préparamétrée qui peut se démarrer en 30 jours. La solution Selligent est liée aux architectures
Microsoft .Net et s’appuie du côté analytique sur Microsoft Analysis services.
Cegid propose Cegid Business CRM conçu pour les petites et moyennes entreprises (de 20 à
2 000 salariés). Cette offre propose trois modules (administration des ventes, marketing et
service client) et couvre l’ensemble de la chaîne commerciale. Elle s’intègre aux outils
bureautiques et de messagerie avec une synchronisation bidirectionnelle avec Outlook. Elle
prend en compte les utilisateurs nomades en mode connecté ou non. Elle permet les
échanges d’informations avec le reste des fonctions du SI (gestion commerciale, comptabilité
etc.). Elle intègre le multi-canal (SMS, mailing, e-mailing, fax, Web) via des liens en temps
réel. Elle intègre un connecteur CTI (Couplage Téléphonie Informatique) pour un routage
automatique et la gestion des files d’attentes. Cette offre est multilingue, multidevise et intègre
Cegid Business Portal, le portail collaboratif de l’éditeur. Enfin, Cegid a passé un accord
technologique avec QAS pour intégrer QuickAddress Pro, la solution de saisie et de contrôle
de la qualité des adresses postales.
e-Deal se positionne à la fois sur le mid-market et les grands comptes. e-Deal CRM se
compose de logiciels tous indépendants les uns des autres, chacun d'eux prenant en charge
l'une des dimensions de la relation client. Il répond aux problématiques des organisations
BtoB, BtoC ou mixte et couvre la gestion de la force de vente, la gestion du centre d’appels
avec le support et les réclamations clients, la gestion des campagnes marketing et la mobilité.
Pour la partie de décisionnel analytique, e-Deal utilise la technologie d’analyse
multidimensionnelle OLAP de DI-Atlantis. e-Deal supporte aussi le multilingue et le multidevises. Le progiciel fonctionne en mode licence ou SaaS.
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Update Software propose la suite CRM update.seven composée de modules pour améliorer
la performance de la relation client. Il délivre des processus métier prédéfinis, verticalisés par
secteur d’activité et rapidement opérationnels. Il permet d´adapter tous les processus métier
marketing, ventes et service au client devenant le support global de tous les processus client :
de l´acquisition jusqu´au service sur mesure des clients. Cette solution intègre le travail au
bureau ou en situation de mobilité, le travail collaboratif (il permet d’intégrer des applications
par des échanges bidirectionnels via XML avec les ERP ou la GED) enfin des fonctions BI
avec un module OLAP qui couvre l’analyse et le reporting.
Business Vision, acteur français basé en Espagne propose SaCom (pour Système d’Actions
COMmerciales), solution de gestion commerciale et de la clientèle pour le secteur bancaire
qui couvre la gestion de la force de vente, le marketing et le service client. Il comporte parmi
ses références aussi bien des PME que des grands comptes.
La verticalisation s'étend
Les éditeurs les plus mûrs (Oracle Siebel, Pivotal, SAP) ont consolidé la verticalisation de
leurs offres. Télécoms, banque, assurance, pharma sont les secteurs les plus prisés (et une
des raisons pour lesquelles Oracle s’était emparé de Siebel), car les plus consommateurs
d’outils CRM. Dans ce cadre, la prise en compte de processus métier est indispensable, et
c’est ce qui est maintenant proposé par les éditeurs. Chez Oracle Siebel et SAP, ce autour
d’une trentaine de solutions qui sont au catalogue.
Les solutions pour PME sont également touchées par ce phénomène : Siebel OnDemand,
l’offre CRM en mode SaaS d’Oracle se décline sur plusieurs secteurs verticaux. Pivotal
propose des offres dans 5 secteurs, mais c’est la finance qui s’est le mieux développée en
France. Eudoweb, lui, s’attaque au secteur public, et plus particulièrement aux collectivités
locales et aux CCI.
Les acteurs de niche se maintiennent et sont même en croissance
Certains acteurs se sont maintenus dans leur secteur de niche. On peut citer Neocase qui se
positionne sur le service client du CRM et plus particulièrement sur les demandes clients et
employés avec une gestion des procédures d’escalade. Il a contracté un partenariat avec
Microsoft sur Dynamics CRM en se plaçant en complément de son offre. Outre Neocase
Customer Service, Neocase propose Self Service un portail client final, Partner Center un
portail partenaire et KB une base de connaissances.
Neolane, lui propose une solution collaborative orientée processus qui permet de modéliser,
rationaliser et automatiser les processus du marketing du CRM, prend en compte tous les
modes d’interaction client et assure une intégration des partenaires (acteurs marketing
décentralisés ou délocalisés). Son moteur de personnalisation permet de générer X messages
différents à partir d’un seul modèle mais avec des règles différentes selon les profils. Il fournit
aussi un moteur de workflow pour dessiner une offre marketing dans le temps à partir du
premier achat.
Eptica est dédié à la gestion des e-mails entrants, le routage et la réponse. Il intéresse aussi
bien les secteurs du retail, du secteur public et de la banque/assurance, ceux qui gèrent une
grosse volumétrie de mails quotidiens. Il peut aussi intéresser les grosses PME qui ont
souvent un site Web mais pas encore de CRM car il peut s’installer en autonome. Cet acteur
veut développer aussi le Web Self Service qui est un complément naturel à l’email car il vise
à amener le client à aller sur le site pour l’éduquer à se débrouiller seul avant même de poser
sa question par e-mail.
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Akio se positionne lui sur le Customer Interaction Management, autrement dit la gestion de
l’interaction client avec la gestion de contacts, la gestion des emails entrants, la gestion des
réponses automatiques via le Web, la gestion du chat multi-sessions, la gestion des fax, la
gestion des campagnes par e-mailing. Plus généralement, il se positionne sur la gestion multicanal.
Parmi les acteurs de niche, on peut aussi citer des sociétés telles que : Talisma, eGain, Kana
et Klee.
Talisma est aussi positionné sur le Customer Interaction Management (CIM) et intègre l’accès
Web en self service, la gestion des réponses aux e-mails, le chat en ligne, la voix sur IP. Il
fédère ces différents canaux d’interaction et inclut des fonctions analytiques ainsi qu’une base
de connaissances.
EGain propose la gestion du service client et la gestion du centre de contacts pour usage
interne ou à base de "OnDemand". Il offre une plate-forme dite de service management et
délivre une infrastructure générale aux diverses sources d'interaction. Il permet d’administrer
et d’automatiser les interactions client via le mail, le web, le courrier papier et le téléphone.
Kana propose la gestion du service client en mode multicanal et couvre la gestion des
réponses aux emails et de la collaboration autour du Web, la gestion du centre de contacts, la
gestion de l’accès en self service au site Web.
Klee propose Klee Commerce, solution de force de vente et de merchandising et Klee
Interactive, solution de design sur le Web et de e-marketing.
Le mode SaaS confirme sa percée
Le modèle locatif avec logiciel hébergé suscite un véritable engouement. Tous les acteurs du
CRM (Oracle, SAP, Selligent, Microsoft, etc.) ou presque ont mis une offre en place, avec
quelques subtilités en terme de partage des ressources, comme l’offre Saas (Software as a
Service) de Pivotal, par exemple. Certains dédient des offres à ce type de fonctionnement. On
peut citer Salesforce bien sûr mais aussi Oracle Siebel OnDemand et bientôt Pivotal
OnDemand (qui devrait être bâti sur des briques de Saratoga et enrichi de fonctions Pivotal).
Le succès des éditeurs OnDemand est particulièrement notable dans le domaine du CRM.
Salesforce.com est crédité de plus de 6 % de part de marché au niveau mondial par Gartner.
Le français Eudoweb a connu aussi une progression en ce sens, eFront également. Plus
généralement, c’est parmi les "gazelles du logiciel", ces sociétés en forte croissance
détectées lors d’une récente étude Le CXP/IDC, que le mode SaaS est le plus développé,
tous domaines confondus.
Salesforce couvre la force de vente avec la gestion des contacts et des partenaires, le
marketing (pour générer des leads, fidéliser les clients, gérer les campagnes marketing,
segmenter les clients, effectuer du e-mailing de masse), le service après-vente avec le
support, un portail client, des librairies d’applications (plus de 700 applications publiées), une
plate-forme de développement. La force du modèle est de capitaliser sur ce que Salesforce et
ses partenaires ont publié : il ne s’agit pas d’une solution monolithique mais évolutive.
Oracle Siebel OnDemand s’adresse depuis les TPE jusqu’aux grands comptes avec des
configurations de plus de 1 000 utilisateurs. Le produit couvre le marketing, les ventes, le
service et le décisionnel avec deux options : le mailing de masse et le centre d’appels.
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EudoWeb propose EudoNet, une solution CRM disponible en Intranet et en ASP. Initialement
conçue pour l’équipement des forces de vente, avec gestion de l’activité commerciale, des
affaires et des devis, elle traite aujourd’hui les fonctions de vente, marketing et service client.
Son niveau de paramétrage lui permet de traiter également des projets de gestion du SAV
avec intervention sur site. L’éditeur vise les PME ayant des projets de vingt à plusieurs
centaines utilisateurs mais s’attaque aussi à présent à des projets plus importants.
En termes d’évolution, Eudoweb et EFront diversifient leurs offres en les adaptant à des
besoins métiers. Le lyonnais Ines a progressé lui aussi rapidement, avec l’apport de
nouveaux modules pour s’étendre vers le marketing. Quant à Salesforce, ses ambitions sont
énormes, puisqu’il annonce tout simplement la mort du logiciel et le recours massif aux
applications hébergées, grâce au succès d’Internet. Salesforce a ainsi créé une communauté
de fournisseurs d’applications en ligne via sa plate-forme AppExchange, lancée il y a déjà
3 ans, et qui regroupe aujourd’hui plus de 200 éditeurs.
Facilité de mise en place, d’usage et d’accès, et surtout de gestion, grâce à l’administration
externalisée de l’application, sont les arguments qui convainquent les entreprises de toutes
tailles à consulter des éditeurs OnDemand pour leurs projets CRM, au même titre que les
autres. Les fonctionnalités des offres OnDemand sont en effet tout à fait honorables et très
comparables à celles des offres mid-market, et surtout, leur ouverture et leur possibilité de
paramétrage ne les empêchent plus de s’adapter aux particularités des projets de leurs
clients.
Enfin, autre point différenciant du mode "OnDemand" : c’est l’éditeur qui se charge des mises
à jour du logiciel qui se font en instantané sans nécessiter de procédure de migration lourde.
L’écriture même du produit est faite pour gérer la gestion des versions de façon native mais
aussi la gestion du développement, la gestion de la qualité de service (SLA qui doit être
mesurable), enfin la gestion des abonnements.
L'Open Source se développe
Le monde du logiciel libre est né sur les logiciels d’infrastructure (OS, base de données,
navigateur,…), mais il poursuit sa progression vers les applications de gestion, ainsi que les
solutions décisionnelles. Le principe de la gratuité des licences peut sembler tentant pour une
PME, mais elle doit tout de même s’appuyer sur un prestataire de services pour la mise en
œuvre, le paramétrage et la maintenance de la solution, qui font partie des facteurs de succès
du projet. En effet, si l’on veut bénéficier de maintenance, d’évolutions avec des
fonctionnalités plus sophistiquées mais aussi de support, il faut payer une redevance sous
forme d’abonnement. Le niveau fonctionnel des offres en fait généralement des solutions bien
adaptées et à la hauteur de celles proposées en mode licence classique.
Pour l’instant, ce sont surtout des produits américains qui font parler d’eux sur le marché de la
relation client, comme SugarCRM, créé par d’anciens collaborateurs d’Epiphany. En France,
les sociétés de services Carrenet et Synolia proposent des services autour de cette
application, dont la traduction de l’application en français et l’accès en mode SaaS. Autre
prestataire, Smile est une société de services spécialisée sur les offres Open source (BI,
gestion de contenu, CRM, etc.).
Evaluer la souplesse d'adaptation des progiciels
L’aspect fonctionnel reste essentiel. Les projets CRM sont de plus en plus axés sur le métier
de l’entreprise, et les possibilités de paramétrage des progiciels sont très étendues. Il faut
donc analyser attentivement les réponses que peuvent apporter les éditeurs aux besoins
fonctionnels des utilisateurs, et leur capacité à gérer des processus qui peuvent être
complexes, quelles que soient la taille ou l’activité de l’entreprise utilisatrice.
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Le décisionnel au service de la relation clients
Les entreprises doivent considérer leur propre organisation avec l’œil du client, et mettre en
place les outils qui vont permettre de rendre plus efficace l’interaction client. Elles doivent
évaluer la capacité des outils à répondre aux besoins actuels, mais aussi à s’adapter
facilement aux évolutions commerciales et marketing que les entreprises voient s’enchaîner
aujourd’hui à un rythme de plus en plus rapide.
La réconciliation du back office et du front office
Plus généralement, les solutions CRM en mode stand alone déconnectées du reste du SI sont
révolues car elles ne sont pas compatibles avec une vision à 360 degrés du client. Quand un
client contacte l’entreprise, ce sont tous les services et les compétences sous-jacentes qui
doivent être prêts à collaborer pour répondre au plus près à ses attentes, lui donner ainsi la
perception d’être traité comme un cas unique et in fine lui proposer une solution personnalisée
et différenciée.
Enfin, le CRM dépasse le champ du client
On constate que le CRM dépasse de plus en plus son champ de prédilection initial pour
s’intéresser à d’autres populations que les clients et cibler d’autres acteurs : les fournisseurs,
les partenaires, les employés. Ainsi, on peut citer EudoWeb qui a décliné son offre pour la
relation presse, Neocase qui propose une offre portail RH, Coheris qui se positionne sur le
concept de Global Relationship Management, Nëlis qui commercialise une solution XRM pour
désigner d’un vocable générique "le tiers" au sens large, concept aussi repris par Selligent.
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ORACLE France
Portes de La Défense - 15 bd Charles de Gaulle
92715 COLOMBES CEDEX
Tél. : 01 57 60 20 20
Site web : www.oracle.com
Contact
Repères
Valérie de Montvallon –
Date de création : 1977
[email protected]
Nom du dirigeant : Lawrence ELLISON
Effectif Monde : 84 000
Chiffre d’affaires Global : 22,4 milliards de dollars
Nombre de clients Monde : 320 000 clients dans
plus de 145 pays
La société
Le métier d'Oracle, c'est l'information : comment la gérer, l'utiliser, la partager, la protéger.
Oracle est le seul éditeur à proposer des solutions à tous les niveaux de votre activité : bases de données,
middleware, business intelligence, applications de gestion et collaboration. Avec Oracle vous disposez des
informations nécessaires pour mesurer les résultats, améliorer les processus opérationnels et communiquer une
information unique et fiable à toutes les entités de votre entreprise.
Couverture fonctionnelle
Oracle CRM, qui inclut désormais Siebel, est la meilleure solution au monde pour optimiser la valeur de votre
relation client. Offrant une gamme inégalée de produits, d'options de déploiement et une expertise métier, Oracle
est le choix qui s'impose pour votre CRM.
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Seul Oracle vous permet de tirer pleinement avantage de votre environnement commercial en constante
évolution, grâce à une configuration sans code des processus métier critiques.
Seul Oracle travaille sur la nouvelle génération de SOA, applications natives qui permettent des processus
métier CRM spécifiques à chaque secteur d'activité et entièrement personnalisables.
Seul Oracle certifie toutes ses applications CRM d'entreprise sur le middleware SOA le plus ouvert qu'il soit :
Oracle Fusion Middleware.
Seul Oracle s'efforce de préserver les stratégies métier de tous ses clients, grâce au développement continu
de tous ses produits.
Oracle a opéré plusieurs acquisitions stratégiques, notamment Telephony@Work et Sigma Dynamics afin
d'étendre son offre CRM et y intégrer une technologie puissante de centre de contacts et des analyses
prédictives en temps réel.
Liste de clients
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
L’Agefiph accélère le traitement de ses quelques
60 000 dossiers annuels.

Le groupe B&B Hôtels réduit de 70% le temps de
réponse de son service client.

Bergerat Monnoyeur se dote d’un centre de relation
client après vente pour une qualité de service
irréprochable.

POWEO place la relation client au cœur de ses
processus métiers.

Quatrem met en place un service Client pour
accroître la satisfaction de ses clients.

La Fnac : une gestion de la fidélisation clients plus
souple et plus réactive.

Proxiserve améliore le suivi des contrats de
services au niveau national pour plus de
4 millions de logements.
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
Compass Group met sur pied une solution de
CRM Vente et Gestion de Contrats au niveau
européen et formalise ses process métiers
grâce à Siebel On Demand.

La SNCF gagne à fidéliser avec Siebel CRM

SITEL France accroît la satisfaction de sa
clientèle, augmente ses revenus et développe
ses services.

Le groupe La Poste place la Relation Client et
le pilotage des activités au cœur de sa stratégie
Courrier.

Le site.tv booste ses campagnes marketing et
augmente la productivité de ses ventes, tout en
maîtrisant ses coûts.
Livre Blanc – Mars 2009
Le décisionnel au service de la relation clients
Le CXP, Centre d’eXpertise des Progiciels*
vous aide à choisir vos progiciels et vos solutions informatiques
Le CXP, une structure unique en Europe
Créé en 1973 sous l’impulsion du Ministère de l’Industrie, par des utilisateurs de grands groupes : Air
France, Anotec, Bred, BSN (aujourd’hui Danone), EDF, la RATP et la Société Générale, le CXP
sensibilise alors la profession informatique sur l’intérêt du nouveau concept de « package logiciel »
et fournit la première méthode de choix d’un produit logiciel. Dédié à l'expertise des progiciels et de
leur environnement technologique, le CXP représente une structure originale, unique en Europe.
Les valeurs du CXP
Le souci de l'objectivité et la fiabilité des informations publiées,
Une approche pragmatique des besoins des clients : le CXP a été créé par des
utilisateurs pour des utilisateurs,
La garantie d'une complète et véritable indépendance fondée sur le principe
déontologique d'objectivité vis-à-vis des fournisseurs.
Les services CXP : de l’information au
conseil
Des experts renommés
Les analystes du CXP bénéficient de plusieurs
années d’expérience métier et informatique.
LA VEILLE
Des bases de données uniques en Europe
(6 600 progiciels, 2 300 éditeurs, 1 300
prestataires).
Ils ont mis en place une méthodologie unique et
éprouvée pour évaluer les progiciels.
Un décryptage et une analyse de l’actualité du
logiciel d’entreprise.
Les études du CXP sont une référence dans le
domaine IT et servent de sources à de
nombreuses publications spécialisées.
De nombreux événements : Forum CXP, webconférences, petits déjeuners, participation à des
salons.
Ils sont en contact permanent et privilégié avec
l’ensemble des acteurs du marché des progiciels :
rendez-vous individuels d’expertise, salons,
conférences, séminaires.
LES ETUDES
Des outils d’aide au choix de progiciel :
le Service Expert (à découvrir dans ce document).
Véritables experts, ils animent également des
blogs, des conférences dans des salons
professionnels et assurent des cours dans des
écoles d'ingénieurs.
LES MISSIONS DE CONSEIL
Rédaction de cahier des charges, consultation des
éditeurs, sélection de progiciel, négociation
commerciale, assistance à maitrise d’ouvrage.
●●● La vocation du CXP : aider l'utilisateur final à faire le meilleur choix de ses outils progiciels .
le CXP - 12, rue Godot de Mauroy - 75009 Paris - Tél. : +33 1 53 05 05 53 - www.cxp.fr
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