ALFRED DE MUSSET / GEORGE SAND Les Amants du Siècle

publicité
La Compagnie du Shaboté présente ALFRED DE MUSSET / GEORGE SAND Les Amants du Siècle Spectacle en deux par.es : LA CONFESSION D’UN ENFANT DU SIECLE Alfred de MUSSET Adapta&on et Mise en Scène : Nicolas Lormeau de la Comédie-­‐Française Musique Originale de Bertrand Maillot Avec Virginie Bienaimé, Romain Dutheil Geoffroy Guerrier*, Nicolas Lormeau*, Laurent Montel * en alternance ELLE ET LUI Georges SAND Le spectacle que nous vous proposons donne à entendre tour à tour la voix de Musset et celle de Sand à travers deux histoires absolument différentes mais inspirées des mêmes faits. Deux histoires qui sont la vérité et qui ne sont qu’invenCons. Deux histoires qui pourrait être la leur ; ou bien être la nôtre. Première Par&e : La Confession d’un Enfant du Siècle d’Alfred de Musset (durée 1h05) Avec Geoffroy Guerrier ou Nicolas Lormeau (en alternance) Octave : Il n'en faut pas douter, l'amour est un mystère inexplicable. Qu'est-­‐ce que c'est, je vous le demande, qu'un lien plus dur, plus solide que le fer, et qu'on ne peut ni voir ni toucher ? Qu'est-­‐ce que c'est que de rencontrer une femme, de la regarder, de lui dire un mot, et de ne plus jamais l'oublier ? Pourquoi celle-­‐là plutôt qu'une autre ? Invoquez la raison, l'habitude, les sens, la tête, le cœur, et expliquez, si vous pouvez. Vous ne trouverez que deux corps, un là, et l'autre ici, et entre eux, quoi ? L'air, l'espace, l'immensité… » Deuxième Par&e : Elle et Lui de George Sand (durée 1h10) Avec Virginie Bienaimé, Romain Dutheil, Laurent Montel Octave : Gabrielle, croyez-­‐vous donc qu'il soit possible à un homme de mon âge de vous voir sans être amoureux de vous ? Gabrielle : Amoureux ? Vous voilà amoureux, c'est bien sûr ? Octave : Oh ! Ne vous fâchez pas, mon Dieu ! Ce n'est pas si sûr que cela. Il m'a passé des idées d'amour par la tête, par les sens, si vous voulez. » . Deux récits : une même inspira&on. La Confession d’un enfant du siècle (1836) et Elle et Lui (1859) sont inspirées de la passion réelle vécue par Alfred de Musset et George Sand entre juillet 1833 et Mars 1835 : des amours malmenées par la vie de débauche dont Musset ne parvient pas à se défaire, et par la liaison que Sand a eu avec le docteur Pietro Piagello à Venise. Si Musset s’inspire de sa propre vie depuis sa prime jeunesse jusqu'à la fin de la passion qu'il a eu avec Georges Sand, force est de constater que tout y est romancé et que rien ne s'est réellement passé comme le décrit Musset. Et George Sand uClise le même procédé pour écrire Elle et Lui : tout est vrai -­‐ rien n’est vrai ! Car la vérité est connue : ils se rencontrent dans un salon liZéraire, leur entente est immédiate, leur relaCon est explosive tant sur le plan intellectuel que charnel. Mais Musset est en réalité incapable d’aimer, et il ne peut s’empêcher de fréquenter les cabarets et autres lieux de débauches. Afin de se retrouver seuls et pour tenter de « sauver » leur amour les deux amants se rendent en Italie, à Venise. Sand y tombe malade. Musset en profite pour fréquenter les cabarets italiens. Sand remise, c’est maintenant Musset qui est aZeint d’une fièvre typhoïde. Sand fait appel à un médecin italien Pietro Pagello, dont elle tombe amoureuse et dont elle devient la maitresse. Leur amour ne se relèvera pas de ce voyage en Italie, de ces deux maladies, de ces nombreuses maîtresses et de cet amant. Ce qui inspire Musset lorsqu’il écrit La Confession c'est son amour pour Sand. Ce qui inspire Sand lorsqu’elle écrit Elle et Lui c'est son amour pour Musset. Ce qui nous réunit c'est cela : Un amour vrai. Un amour unique. Un amour d'arCstes complexes et tourmentés. Ici, comme souvent en amour, la vérité s’écrit entre les lignes et se raconte dans les silences. Résumés Musset : La Confession d’un Enfant du Siècle. Un jeune homme de 19 ans -­‐ Octave de T. -­‐ est trahi par la femme avec qui qui il vit sa première grande histoire d’amour. Convaincu que toutes les femmes sont faites pour tromper il prend le parC de se jeter dans la débauche pour être certain de « n’aimer plus jamais ». Alors qu’il s’y livre avec délectaCon et désespoir, on vient l’averCr de la mort de son père. CeZe nouvelle le plonge dans la dépression et l’éloigne de Paris. A la campagne, il rencontre par hasard une femme de dix ans son ainée – Gabrielle Pierson -­‐ d’une grande pureté dont il tombe amoureux fou. Pourtant, incapable de se débarrasser du souvenir de la trahison iniCale de sa première maîtresse, il va, à travers un comportement suicidaire et violent, forcer ceZe femme à incarner la figure de la femme infidèle et duplice qui selon lui relève de nature même de toutes les femmes : « aimer pour les femmes c’est jouer à men.r comme les enfants jouent à se cacher ». Ainsi, incapable ni de l’aimer ni de la tuer, il finira par s’éloigner définiCvement d’elle, restant seul et en proie à ses démons éternels. Sand : Elle et Lui A Paris, une jeune veuve, est pressée d’amour par un jeune homme de dix ans son cadet. Elle y résiste craignant de le perdre une fois « l’affaire faite ». Le jeune homme quant à lui, est tout aussi jaloux qu’il est amoureux. Il redoute la présence de Palmer, de cet « ami », de cet « étranger » à qui son amante réserve de longues plages d’après-­‐midi : c’est homme plus âgé est lui aussi mais en secret, éperdument amoureux de la jeune veuve. C’est précisément cet homme mûr qui à travers un récit poignant, donne le courage au plus jeune de s’engager avec ceZe femme dans une relaCon plus profonde que l’aventure d’une nuit. Mais une fois la relaCon consommée le jeune homme se révèle incapable d’aimer avec sérénité et réclame le droit d’avoir d’autres maitresses et de pouvoir vivre une vie mondaine. La jeune femme blessée d’un côté et pressée de l’autre par l’autre homme qui lui offre sa main, choisit finalement de se réfugier dans la solitude, préférant cela à des amours violentes ou – ce qui serait pire – raisonnables. Quelques repères… En Mars 1835 s’achève définiCvement la liaison passionnelle de George Sand et Alfred de Musset commencée un peu plus d’un an et demi auparavant : Musset a alors 24 ans et Sand en a 30. L’un comme l’autre sont alors des auteurs forts connus en France. Moins d’un an plus tard Musset publie La Confession d’un Enfant du Siècle – de mon point de vue son plus grand chef d’œuvre – Musset ne s’y donne pas forcément le beau rôle, mais il ne raconte pas non plus la vérité. A travers ce récit, il réorganise la chronologie des évènements ; il « hiérarchise » en quelque sorte ses senCments ; il invente des raisons et des causes… Quoi qu’il en soit, il nous reste, ce texte magnifique, fondateur de toute l’œuvre de Musset et dont on ne peut se passer dès lors qu’il s’agit de réfléchir sur ce que fût ceZe période poliCque et arCsCque d’une invenCon unique -­‐ d’une révoluCon devrais-­‐je écrire – qu’on nomme le RomanCsme. A ceZe publicaCon, à ce succès, George Sand ne répond rien. Elle aZendra que Musset disparaisse en 1857 pour s’aZeler à la rédacCon de Elle et Lui qui sera publié en 1859. George Sand a alors 55 ans et cela fait presque 25 ans que sa liaison avec Musset est achevée. A la lecture de ce très beau roman de George Sand, deux choses viennent d’abord frapper les yeux : tout d’abord le style qui n’est pas tellement éloigné de celui de Musset comme si l’amante et l’admiratrice avait souhaité dans sa réponse posthume donner la possibilité au lecteur de voyager avec fluidité d’un écrit à l’autre. Ensuite, elle s’y donne un rôle absolument, définiCvement et exclusivement féminin : le rôle d’une mère. D’une mère qui a perdu son enfant d’abord et dont l’ombre et le souvenir teinte en enCer son rapport à l’amour ; et puis d’une mère qu’elle est pour ainsi dire devenue pour son jeune amant fougueux et incapable d’aimer, et qu’elle tente ainsi d’apaiser par un amour quasi maternel. C’est donc bien un point de vue absolument féminin que George Sand pose sur l’histoire d’amour non résolue qu’elle a eue avec Alfred de Musset. Ceci dit, et exactement comme Musset, George Sand ne raconte pas non plus vraiment la vérité. Mais après tout, existe-­‐t-­‐il une vérité objecCve à raconter dès lors qu’il s’agit d’amour ? Adapta&on, scénographie et espace sonore. La Confession d’un enfant du Siècle est un récit. Seul en scène, vêtu de noir, l’acteur réinvente les lieux et les personnages de son récit par la seule force de la prose de Musset. Un simple chapeau haut de forme évoque le siècle et une unique chaise permet d’invoquer les différents espaces. Ainsi ne subsistent que peu d’obstacles entre les mots de Musset et les oreilles des spectateurs... Les étapes de ce voyage iniCaCque qui conduit Octave de la désillusion à la solitude sont marquées par les appariCon de la musique de Bertrand Maillot. CeZe musique résolument contemporaine, créée pour le spectacle, permet aussi d’ancrer le spectacle dans une intemporalité universelle et troublante. Elle et Lui est un roman. L’adaptaCon offre donc la parole aux protagonistes : le spectacle est pris en charge par trois acteurs : là où les situaCons étaient racontées elle deviendront incarnées. Le roman de Sand est aussi un roman épistolaire : ainsi l’adaptaCon pour la scène reprend certains passages dialogués et de nombreuses leZres. Tout ce qui relève du domaine de l’expression des senCments des personnages est pris en charge par les acteurs. Ici aussi la forme scénographique est très dépouillée. La chaise unique se démulCplie en trois chaises semblables qui figureront tous les lieux de l’acCon. Cependant nous avons voulu placer l’acCon dans un temps qui ne serait pas exactement le notre : nous évoquons donc la fin du 19eme siècle qui est le temps de l’écriture du roman. A travers des costumes d’été, de Cssus chaleureux et de coupes décontractées nous souhaitons permeZre le développement des senCments. Là encore la musique de Bertrand Maillot vient marquer les lieux et les temps, mais sa forme est de facture bien plus « classique » que pour La Confession, et elle ne laisse entendre exclusivement qu’un piano, rappelant que lorsque Sand écrit Elle et Lui elle est alors vécu et achevé l’autre grande passion de sa vie : celle qui l’a unit à Frédéric Chopin. Interpréta&on L’écriture romanCque n’a besoin que d’une seule chose pour s’épanouir : de vérité. De mon point de vue, l’acteur ne doit pas chercher autre chose en lui, que ceZe vérité des senCments. Toutes les formes, tous les décalages, toute la « théâtralité » enfin est prise en charge par l’auteur. Toute tentaCve formelle et/ou abstraite devient ici – à mon sens – sans objet. Essayer – et ce n’est pas le plus simple – de meZre toute son âme dans chacun des mots, dans chacune des images créées... Oser se désirer et se haïr. Oser l’élan et la retenue. Oser les larmes vraies. Oser la frustraCon ressenCe. Oser la lâcheté et la mauvaise foi. Oser l’explosion des cœurs. Oser se meZre à nu, ici et maintenant. Voilà tout le défi du théâtre romanCque. Jean Vilar n’écrivait-­‐il pas à ces acteurs après la seconde représentaCon de Ruy Blas au fesCval d’Avignon : « Aux amoureux, d’aimer comme des fous. Aux drôles, d’être tonitruants ou vifs. Aux rôles d’autorité, d’être autoritaires, vifs, nets. Forts. Il faut jouer, si ce mot a un sens, roman.que. Pas de pudeur. Oui, pas de pudeur. » Ainsi c’est de cela qu’il s’agit : Oser raconter vraiment et sans fausse pudeur une histoire d’amour vraie et impossible. Comme toutes les histoires d’amour en somme ! La Confession doit être jouée sans calcul et sans distance. C’est à quoi je m’aZache dès que commence ce long voyage qui s’adresse véritablement aux spectateurs. Conserver ceZe fronCère poéCque du théâtre tout en cherchant à la franchir en permanence, voilà le défi posé à l’interprète de la Confession. La forme théâtrale d’Elle et lui est plus classique mais les enjeux dramaturgiques sont les mêmes : ainsi Virginie Bienaimé, incarne avec douceur et sensualité la figure féminine du spectacle, Romain Dutheil, jeune acteur fougueux et talentueux rencontré alors qu'il était "élève comédien de la Comédie-­‐Française" offre à Octave le brin de folie qui convient et Laurent Montel, dont j'avais eu le plaisir de partager la loge alors qu'il était encore pensionnaire de la Comédie-­‐Française, permet à Palmer d’aZeindre toute la profondeur et la douleur nécessaire au déroulement du récit amoureux. Nicolas Lormeau Nicolas Lormeau, Sociétaire de la Comédie Française, MeZeur en Scène À la Comédie Française, il a mis en scène -­‐ en 2013 : Hernani de Victor Hugo (Printemps des Comédiens Montpellier et Vieux Colombier) -­‐ en 2010 : La Confession d’un Enfant du Siècle de Alfred de Musset au Studio théâtre. -­‐ en 2010 : Et sous le portrait de Molière, un gobelet en plas&que – une Visite de la salle Richelieu. -­‐ en 2002 : Courteline au Grand Guignol de A.Paul Antoine et Georges Courteline au Studio Théâtre -­‐ en 2001 : L'Âne et le Ruisseau -­‐ de Alfred de Musset au Studio Théâtre . En dehors de la Comédie Française, il a mis en scène -­‐ en 2012 : Un rien nous fait chanter – un spectacle Musical au Théâtre du Ranelagh , Paris -­‐ en 2007 : Odyssée Si loin d’elle -­‐ de Dominique Pompougnac . Cahors -­‐ en 2007 : La Fabuleuse Histoire de Praline -­‐ de Nicolas Lormeau. Cité des sciences Paris. -­‐ en 2006 : Le Songe -­‐ Ballet d’après Shakespeare. Chorégraphie de Jean Christophe Maillot. (Dramaturgie et co mise en scène Nicolas Lormeau) Monte Carlo -­‐ en 2006 : L’Orphéon Célesta -­‐ spectacle musical d’E. Hussenot au Théâtre du Renard. Paris -­‐ en 2005 : Dans la Chambre -­‐ Comédie d’après Feydeau et Courteline, Le lavoir moderne Paris -­‐ en 2003 : Parce que je vous aime -­‐ Comédie Musicale de Nicolas Lormeau (d’après des textes de Hugo, Musset, et des chansons des grandes comédies musicales américaines et des grands interprètes français…) La Nouvelle Eve. -­‐ en 2003 : La Forêt des cœurs sombres -­‐ de Jean Frédéric Vernier. Théâtre des art Enghien les bains -­‐ en 1994 : L'Ours " précédé de Les méfaits du tabac -­‐ de Anton Tchekov. FesCval Out of the Off. -­‐ en 1993 : Les Gros Chiens -­‐ de Chaval. FesCval Moissons d'Avril à Palaiseau. Out of the off 94. Confluences. Paris. -­‐ en 1992 : PouceZe -­‐ de Charles Vildrac. Dans les cuisines de Confluences. Paris. -­‐ en 1992 : Rêves dans l'obscurité -­‐ de Michaël Cohen. Iasi Roumanie. -­‐ en 1992 : Ferdinande des Abysses -­‐ comédie en musiques et sous Marine de Karin SERRES, Musiques de Bertrand MAILLOT. Le grand Bleu. Lille. -­‐ en1990 : Embrasse les Tous de Nicolas Lormeau d’après Brassens et Ruy Blas -­‐ de Victor HUGO. Théâtre de Sartrouville. -­‐ en 1988 : Une femme qu’à le cœur trop pe&t de Fernand Crommelynck au CNSAD A la Comédie Française depuis 1996, Nicolas Lormeau a joué notamment dans : Le Système Ribadier -­‐ de Georges Feydeau Mise en scène Zabou Breitman, L’Anniversaire – de Harold Pinter, Mise en Scène Claude Mouriéras, La Tête des Autres -­‐ de Marcel Aymé Mise en scène Lilo Baur. Le Chapeau de Paille d’Italie -­‐ de Eugène Labiche Mise en scène Giorgio Barberio Corse~. Le Mariage -­‐ de Nicolas Gogol Mise en scène Lilo Baur. Parôles Pas de Rôles -­‐ CréaCon collecCve Mise en scène De Koe, TG Stan. Les Affaires sont les Affaires -­‐ de Octave Mirbeau Mise en scène Marc Paquien Ubu Roi -­‐ de Alfred Jarry Mise en scène Jean Pierre Vincent. Le Mariage Forcé. -­‐ de Molière Mise en scène Pierre Pradinas Pedro et le Commandeur -­‐ de Félix Lope de Vega Mise en scène Omar Porras Cyrano de Bergerac -­‐ de Edmond Rostand Mise en scène Denis Podalydès L’Amour Médecin -­‐ de Molière Mise en scène Jean Marie Villégier Le Conte d’hiver -­‐ de Shakespeare Mise en scène Muriel MayeZe Fables de la Fontaine -­‐ de Jean de la Fontaine Mise en scène Bob Wilson Platonov -­‐ de Molière Mise en scène Jacques Lassalle La Nuit des Rois -­‐ de Shakespeare Mise en scène Andrzej Seweryn Sganarelle ou le cocu imaginaire -­‐ de Molière Mise en scène Thierry Hancisse. Le Marchand de Venise -­‐ de Shakespeare Mise en scène Andreï Serban. Le Malade Imaginaire -­‐ de Molière Mise en scène Claude Stratz. Le Mariage Forcé -­‐ de Molière Mise en scène Andrejz Seweryn Le Legs -­‐ de Marivaux Mise en scène Jean Pierre Miquel. Le Révizor -­‐ de Nicolas Gogol Mise en scène Jean Louis Benoit. Les Fourberies de Scapin -­‐ de Molière Mise en scène Jean Louis Benoit. La Vie Parisienne -­‐ de Offenbach Mise en scène Daniel MESGUICH. Les Fausses Confidences -­‐ de Marivaux Mise en scène Jean Pierre MIQUEL. A l’extérieur, Nicolas Lormeau a joué notamment dans : L’Histoire du Soldat " de Stravinsky et Ramuz DirecCon musicale Olivier Dejours. Chat en Poche " de Feydeau Mise en scène Simon Eine. Les Sta&ons de Piaf " de Michel Rivgauche Mise en scène de Serge HUREAU. Les coulisses de l'illusion de Marie Ange Guillaume. (visite spectacle de l'Olympia) Mise en scène Serge HUREAU. Katak de Karin Serres. Mise en scène ECenne POMMERET. Geoffroy Guerrier -­‐ Dans le rôle d’Octave (La Confession) Ancien élève du Conservatoire naConal supérieur d'art dramaCque Au Théâtre, il a joué dans : 2011 Cabaret -­‐ Sam MENDES Rôle : Clifford Bradshaw Théâtre Marigny 2010 ENEAS 9 (F. CONSTANT) -­‐ F. CONSTANT Théâtre Paris-­‐VilleZe 2009 A Double Tranchant (A. MARIETTA) -­‐ M. MARIETTA Théâtre des Déchargeurs 2008 La Poudre aux Yeux (LABICHE) -­‐ H. JAPPELLE 2007 Cabaret (Comédie musicale aux Folies Bergère) -­‐ S. MENDES Rôle : Cliff 2005 Coeur de Cible (A. MARIETTA) -­‐ M. MARIETTA 2004 Miracle en Alabama (W. GIBSON) -­‐ B. BUDAN 2003 Les Sincères (MARIVAUX) -­‐ H. JAPPELLE. 2003 Ulysse à Bagatelle (HUSSENET ET GUERRIER) -­‐ S. HUREAU 2002 Le Barbier de Séville (BEAUMARCHAIS) -­‐ M.GUTIERREZ. 2001 Les Marquiscs de la FourcheZe (LABICHE) -­‐ H. JAPPELLE 2001 Trois Pe&tes Choses (D. POMPOUGNAC) -­‐ D. POMPOUGNAC. 2001 Le Pe&t-­‐Maître Corrigé (MARIVAUX) -­‐ F. TOKARZ 2000 Bagages accompagnés (F. ROUSSEAU) -­‐ S. HUREAU 2000 An&gone (SOPHOCLE) -­‐ H. JAPPELLE 2000 Titanic-­‐city (CREATION COLLECTIVE) -­‐ F. CONSTANT 1999 Lorenzaccio (MUSSET) -­‐ B. LAMBERT 1998 Britannicus (RACINE) -­‐ M. REBJOCK 1998 "Le plaisir de rompre" "Le pain de ménage" (RENARD) -­‐ H. JAPPELLE 1997 Le Misanthrope (MOLIERE) -­‐ M. REBJOCK 1996 Le neveu de Rameau (DIDEROT) -­‐ G-­‐P. COULEAU. 1996 Les fausses confidences (MARIVAUX) -­‐ H. JAPPELLE 1995 Virage (T. DORST) -­‐ M. REBJOCK 1995 Quintêtes (D. POMPOUGNAC) -­‐ J-­‐F. MAURIER 1995 Tartuffe (MOLIERE) -­‐ H. JAPPELLE 1995 "Courtefeyche et Labideau" (LABICHE, FEYDEAU ET COURTELINE) -­‐ N. VAROUTSIKOS 1994 Papiers-­‐Concert (D. POMPOUGNAC) -­‐ J-­‐F. MAURIER 1993 L'Enterrement de la Sardine (d'après L-­‐C. SIRJACQ et X. TOMEO) -­‐ H. PIERRE 1993 Les Gros Chiens (CHAVAL) -­‐ N. LORMEAU 1993 La Mégère Apprivoisée (SHAKESPEARE) -­‐ J-­‐M. JALIN 1992 PouceZe (C. VILDRAC) -­‐ N. LORMEAU 1992 On restaure ( A. GROHEUX) -­‐ S. HUREAU. 1992 Mademoiselle Rose (F. GARCIA LORCA) -­‐ M. CERDA 1991 "La comtesse d'Escarbagnas" et "Le Mariage Forcé" (MOLIERE) -­‐ J. SERANNE 1990 "Le Misanthrope" et "Le Bourgeois Gen&lhomme" (MOLIERE) -­‐ J-­‐M. JALIN 1989 Embrasse-­‐les-­‐tous (N. LORMEAU ) -­‐ N. LORMEAU. Comédie musicale autour de chansons de Georges BRASSENS 1989 Figaro ( A. SAVELLI) -­‐ A. SAVELLI Laurent Montel -­‐ Dans le rôle de Palmer (Elle et Lui) Formé au Conservatoire d'Avignon et au cours Florent, il travaille au sein de plusieurs compagnies avant d'intégrer en 1997 la Comédie-­‐Française en tant que pensionnaire. Il y reste 6 ans. Depuis il a travaillé avec Jean-­‐Louis Benoit, Sandrine Anglade, et surtout Daniel Mesguich. -­‐ en 2013 Le Cid, Corneille, m.e.s. Sandrine Anglade -­‐ en 2012 Hamlet, Shakespeare, m.e.s. Daniel Mesguich -­‐ en 2011 Veillée douce, concepCon, écriture, mise en scène et interprétaCon, -­‐ en 2010 L'oiseau vert, Carlo Gozzi, m.e.s. Sandrine Anglade La nuit des rois, Shakespeare, m.e.s. Jean-­‐Louis Benoit, Pierre de la lune, spectacle musical, écriture, Ensemble Fa7 -­‐ en 2009 De Gaulle en mai , texte et m.e.s. Jean-­‐Louis Benoit -­‐ en 2008 Neige d'été de Céleste Florian, m.e.s. Daniel Mesguich Schloïmé, spectacle musical avec l'ensemble Fa7 -­‐ en 2007 L’histoire du soldat de Stravinsky, m.e.s. Nicolas Lormeau Eby et son pe&t chaperon rouge, écriture et jeu, m.e.s. Sarah Gabrielle -­‐ en 2006 Cinna de Corneille, m.e.s. Daniel Mesguich, rôle d’Auguste Boulevard du boulevard du boulevard, m.e.s. Daniel Mesguich -­‐ en 2005 Le Prince de Hombourg, de Heinrich von Kleist, m.e.s. Daniel Mesguich Les Révérends de Slawomir Mrozek, m.e.s. Georges Werler -­‐ en 2004 Comme il vous plaira de William Shakespeare, m.e.s. William Mesguich Un tramway nommé désir de Tennessee Williams, m.e.s. Elsa Royer, rôle de Mitch Dom Juan de Molière, m.e.s. Daniel Mesguich, -­‐ en 2003 La fausse suivante de Marivaux, m.e.s. Véronique Vella -­‐ en 2002 Opéra Savon de J.D. Magnin, m.e.s. Sandrine Anglade -­‐ en 2002 Andromaque de Jean Racine, m.e.s. Daniel Mesguich Le Mariage de Gombrowicz, m.e.s. Jacques Rosner L'École des maris de Molière, m.e.s. Thierry Hancisse Le Bourgeois Gen&lhomme de Molière, m.e.s. Jean-­‐Louis Benoît Le Diable et le bon dieu de Jean-­‐Paul Sartre, m.e.s. Daniel Mesguich -­‐ en 2000 Amorphe d’OZenbourg de J.C. Grumberg, m.e.s. Jean-­‐Michel Ribes -­‐ en 1999 Les Femmes Savantes de Molière, m.e.s. Jacques Connort, Simon Eine Faust de Johann Wolfgang von Goethe/Gérard de Nerval, m.e.s. Alexander Lang Le Revizor de Nikolaï Gogol, m.e.s. Jean-­‐Louis Benoît -­‐ en 1998 La Tempête de W. Shakespeare, m.e.s. Daniel Mesguich Mère Courage et ses enfants de Bertolt Brecht, m.e.s. Jorge Lavelli Les Femmes savantes de Molière, m.e.s. Simon Eine Le Comédien métamorphosé de Stefan Zweig, m.e.s. Jacques Connort -­‐ en 1997 La vie parisienne de J. Offenbach, m.e.s. Daniel Mesguich -­‐ en 1993 Le Pe&t Prince Cannibale d'après Françoise Lefèvre, m.e.s. Jean-­‐Pierre Andréani Les Méfaits du tabac de Tchekhov, Groupe Bolbec, m.e.s. Nicolas Lormeau -­‐ en 1992 Les Fourberies de Scapin de Molière, m.e.s. Judith Gui~er -­‐ en 1991 Rendre à César de Marguerite Yourcenar, m.e.s. Jean-­‐Pierre Andréani -­‐ en 1990 La Locandiera de Carlo Goldoni, m.e.s. Michel Cochet -­‐ en 1989 Pas d'hamburger pour Folamour d'Evelyne Guilleman, m.e.s. Evelyne Guilleman -­‐ en 1988 On purge bébé de Georges Feydeau, m.e.s. Jean-­‐Max Jalin -­‐ en 1987 L'Aiglon d'Edmond Rostand, m.e.s. Jean-­‐Max Jalin Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, m.e.s. Jean-­‐Max Jalin Romain Dutheil -­‐ Dans le rôle d’Octave (Elle et Lui) Il débute sa formaCon en 2002 au conservatoire d'Orléans. C'est en 2008 qu'il entre à l'Ecole Régionale d'Acteur de Cannes (ERAC) pour conCnuer sa formaCon. A ceZe occasion il collabore avec Youri Pogrebnitchko, Hubert Colas, Robert Cantarella,... Il ParCcipe à Phèdre(s), créaCon de fin d'étude, mis en scène par CharloZe Clamens et Valérie Dreville en 2011 au théâtre de l'Aquarium. En 2011 il intègre le groupe d'élèves-­‐comédiens de la Comédie Française où il joue sous la direcCon de Catherine Hiegel dans L'Avare de Molière, Jérôme Deschamps dans Un Fil à la paZe de Georges Feydeau, Alain Françon dans La trilogie de la Villégiature de Carlo Goldoni et Eric Ruff dans Peer Gynt d'Enrik Ibsen. Lors de la saison 2012-­‐2013, il fait parCe de la Loyale, troupe permanente du CDN de Besançon dirigé par Christophe Maltot. C'est ainsi qu'il joue dans Timon d'Athènes de William Shakespeare co-­‐mis en scène par Philippe Lanton et Christophe Maltot et dans De mémoire d'estomac de AntoineZe Rychner mis en scène par Robert Sandoz. Vous avez pu le voir récemment dans Le Bourgeon de Georges Feydeau mis en scène par Nathalie Grauwin et dans Rose is a Rose is a Rose is a Rose d'Ivana Sajko mis en scène par Philippe Lanton. Virginie Bienaimé -­‐ Dans le rôle de Gabrielle (Elle et Lui) Après s’être formée durant trois années de à l’école Claude Mathieu, elle crée la Compagnie du Shaboté en 2003. Dans le cadre de la Compagnie, elle joue : En 2003, Les Précieuses Ridicules -­‐ de Molière Mise en Scène Julien Renon, en 2004, Le Pe&t Maitre Corrigé -­‐ de Marivaux Mise en Scène Olivier Treiner en 2005, l’Ile des Esclaves -­‐ de Marivaux Mise en Scène Olivier Treiner en 2006, Léonce et Léna -­‐ de Buchner Mise en Scène Alexandre Steiger en 2006, Alice au Pays des Merveilles – créaCon collecCve de la Cie du Shaboté en 2007, Oncle Vania de Tchekhov Mise en Scène Jean Bellorini en 2007, Le Plus Heureux des Trois -­‐ de Labiche Mise en Scène Virginie Bienaimé en 2008, La Demande en Mariage – de Tchekhov Mise en Scène CharloZe Dupuydenus en 2010, L’Oiseau Bleu – de Maurice Maeterlinck Mise en Scène Florian Goetz et Jérémie Sonntag en 2012, Le Jeu de l’Amour et du Hasard – De Marivaux Mise en Scène Paul Nguyen Parallèlement, elle met en scène tous les spectacles équestres du Musée Vivant du Cheval à ChanClly depuis 2004 et y parCcipe en 2012 en tant que volCgeuse. En 2008, elle crée La Scène au Jardin, un fesCval de Théâtre qui accueille une dizaine de compagnies chaque été au Théâtre de la Faisanderie à ChanClly. Compagnie du Shaboté Virginie Bienaimé créé la Compagnie du Shaboté en 2003 suite au vif succès qu’elle remporte lors des représentaCons des Précieuses Ridicules de Molière, créé à même les parterres des jardins du Potager des Princes. Depuis ces premiers pas, la Compagnie du Shaboté développe un théâtre tout terrain et tous publics, qui s’adapte aussi bien aux espaces de plein air qu’aux salles de théâtre. La Cie du Shaboté s’engage à ne proposer ni un théâtre de diverCssement, ni un théâtre engagé, mais un théâtre d’éveil : « Le théâtre doit rendre intelligent, sensible, faire vivre au spectateur une aventure intérieure, lui faire poser sur le monde un certain regard ; c’est ceZe a~tude d’éveil qui doit ouvrir les Le spectacle guide, propose des voies. Le spectateur ressent, voit, écoute, décrypte, décode, en un mot, décuple son acuité, sa capacité d’éveil ». (Jean Pierre Miquel – Le théâtre et les jours). Dans ceZe opCque, la Compagnie met en scène les grands auteurs du répertoire (Molière, Beaumarchais, Marivaux, Labiche) et s’aventure aussi à faire découvrir les auteurs plus méconnus comme Büchner ou Maeterlinck. Ces créaCons de plein air uClisent les éléments présents du décor naturel afin de donner aux textes une dimension cinématographique. Ainsi, la Compagnie va à la rencontre du public désireux de s’aventurer hors des salles, mais aussi, à la rencontre du public qui ne s’y aventure jamais. De même, après avoir fidélisé le public par des spectacles de plein air, elle l’incite à passer le seuil del a boîte noire. La Compagnie du Shaboté, en résidence au Théâtre de la Faisanderie, travaille depuis sa créaCon à élargir principalement sa diffusion à l’ensemble de la Picardie mais aussi sur le territoire naConal. Toutes les créa&ons En 2003, Les Précieuses Ridicules -­‐ de Molière Mise en Scène Julien Renon, en 2004, Le Pe&t Maitre Corrigé -­‐ de Marivaux Mise en Scène Olivier Treiner en 2005, l’Ile des Esclaves -­‐ de Marivaux Mise en Scène Olivier Treiner en 2006, Léonce et Léna -­‐ de Buchner Mise en Scène Alexandre Steiger en 2006, Alice au Pays des Merveilles – créaCon collecCve de la Cie du Shaboté en 2007, Oncle Vania de Tchekhov Mise en Scène Jean Bellorini en 2007, Le Plus Heureux des Trois -­‐ de Labiche Mise en Scène Virginie Bienaimé en 2008, La Demande en Mariage – de Tchekhov Mise en Scène CharloZe Dupuydenus en 2010, L’Oiseau Bleu – de Maurice Maeterlinck Mise en Scène Florian Goetz et Jérémie Sonntag en 2012, Le Jeu de l’Amour et du Hasard – De Marivaux Mise en Scène Paul Nguyen Contact : Virginie Bienaimé Compagnie du Shaboté 17 rue de la Faisanderie 60 500 ChanClly [email protected] 06 60 74 59 46 
Téléchargement