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Utilisation de GALEXOS® chez les patients infectés par le VHC de génotype 1a
GALEXOS® en association avec le PegIFN-alfa et la RBV
Les taux de réponse virologique soutenue (RVS) à GALEXOS® en association avec le
pegIFN-alfa et la RBV étaient plus bas chez les patients atteints d’hépatite C de
génotype 1a présentant un polymorphisme Q80K de la NS3 par rapport aux patients sans
polymorphisme Q80K. Un test de dépistage du polymorphisme Q80K est recommandé chez les
patients porteurs du VHC de génotype 1a lorsqu’un tel test est disponible et les résultats doivent
être pris en compte dans la décision d’instaurer un traitement par GALEXOS® en association
avec le pegIFN-alfa et la RBV. En l’absence d’information sur le polymorphisme Q80K, les
patients peuvent être pris en charge en utilisant les règles d’arrêt du traitement (voir Tableau 8,
POSOLOGIE ET ADMINISTRATION). Les taux de RVS selon le taux d’ARN du VHC à la
semaine 4 sont présentés à la section MICROBIOLOGIE, Effet des polymorphismes initiaux
du VHC sur la réponse au traitement.
GALEXOS® en association avec le sofosbuvir
Chez les patients infectés par le VHC de génotype 1a et atteints de cirrhose, on peut envisager de
réaliser un test de dépistage du polymorphisme Q80K avant d’instaurer le traitement par
GALEXOS® en association avec le sofosbuvir.
Chez les patients infectés par le VHC de génotype 1a et non atteints de cirrhose, la présence d’un
polymorphisme Q80K de la NS3 n’a pas eu d’impact sur l’efficacité de GALEXOS® en
association avec le sofosbuvir pendant la durée de traitement recommandée de 12 semaines (voir
ESSAIS CLINIQUES).
Utilisation chez les patients qui ont connu un échec thérapeutique suite à un traitement
antérieur par des antiviraux à action directe contre le VHC
L’innocuité et l’efficacité de GALEXOS® n’ont pas été étudiées chez les patients qui ont connu
un échec thérapeutique suite à un traitement antérieur par GALEXOS® ou par d’autres antiviraux
à action directe contre le VHC.
Utilisation chez les patients infectés par d’autres génotypes du VHC
Les données cliniques sont insuffisantes pour appuyer l’utilisation de GALEXOS® chez les
patients infectés par les génotypes 2, 3, 5 ou 6 du VHC.
Carcinogenèse et mutagenèse
Des études de carcinogénicité n’ont pas été réalisées avec le siméprévir. Le siméprévir s’est
avéré non génotoxique lors d’une série de tests in vitro et in vivo (voir TOXICOLOGIE).
Utilisation avec la RBV : la RBV n’a pas exercé d’effets oncogènes lors d’une étude de 6 mois
réalisée auprès de souris transgéniques de souche p53+/- ou d’une étude de carcinogénicité de
2 ans chez le rat. La RBV est génotoxique dans les tests in vitro et in vivo. Consulter les
renseignements thérapeutiques de la RBV.