.iiiiHiitfAifHi;
la
ville
aujourd'hui
et
demain
Le
temps
des
peuples
32
Thaïlande
Architectes
«
aux
pieds
nus
»
Sur
le
modèle
très
réussi
du
système
chinois
des
médecins
«
aux
pieds
nus
»
(habitants
de
zones
rurales
reculées
qui
sont
formés
pour
dispenser
des
soins
élémentaires),
plu¬
sieurs
pays
envisagent
actuellement
de
for¬
mer
des
architectes
«
aux
pieds
nus
»
qui
aideront
à
résoudre
les
gros
problèmes
d'habitat
qu'on
rencontre
dans
les
villages
ou
à
la
périphérie
des
villes.
En
Thaïlande,
les
architectes
«
aux
pieds
nus
»
de
Baan
Nong
Pai
Le
village
de
bambou
»)
ont
recours
aux techniques
traditionnelles
de
la
vannerie
pour
fabriquer
les
murs
et
les
volets
d'un
jardin
d'enfants.
le
Courrier
Une
fenêtre
ouverte
sur
le
monde
Le
Courrier
du
mois
CE
numéro
du
Courrier
de
l'Unesco
est
consacré
à
l'un
des
problèmes
les
plus
graves
de
notre
époque
:
l'explosion
urbaine
et
ses
conséquences
pour
l'avenir.
En
l'an
2000,
plus
de
la
moitié
de
la
population
de
la
planète
sera
concentrée
dans
les
villes,
se
poseront
d'énormes
problèmes
de
logement,
de
transport,
de
ravitaillement,
de
scolarité,
d'hygiène
et
de
sécurité.
Le
phénomène
de
la
croissance
urbaine
touche
principa¬
lement
les
pays
en
développement
:
le
caractère
dramatique
qu'y
prend
l'expansion
démesurée
des
concentrations
urbaines
ferait
presque
oublier
le
dépeuplement
et
la
détérioration
de
certains
quartiers
du
centre
des
villes
des
pays
industrialisés.
Alors
que
leurs
infrastructures
ne
parviennent
déjà
plus
à
satisfaire
aux
besoins
de
leurs
populations
actuelles,
les
villes
du
tiers
monde
continuent
d'exercer
un
effet
magnétique
sur
les
habitants
des
régions
rurales
qui
les
entourent,
et
reçoivent
un
afflux
massif
de
nouveaux
arri¬
vants.
D'abord
attirés
par
les
lumières
de
la
ville,
ceux-ci
se
heurtent
bien
vite
à
l'amère
réalité
des
bidonvilles,
ils
doivent
mener
une
lutte
désespérée
pour
la
survie.
Certaines
de
ces
questions
et
d'au¬
tres
aspects
des
crises
que
traversent
les
grandes
métropoles
du
monde
sont
évoqués
dans
l'article
intitulé
«
La
ville,
aujourd'hui
et
demain
»,
qui
s'inspire
des
conclusions
d'un
colloque
international
tenu
à
Paris
en
octobre
1984
avec
la
participation
de
plus
de
800
per¬
sonnes
venues
de
70
villes
différentes.
Les
conséquences
d'une
croissance
démographique
et
urbaine
accélérée
sont
beaucoup
mieux
perçues
depuis
que
s'est
tenue
à
Bucarest
en
1974,
sous
l'égide
de
l'Organisation
des
Nations
Unies,
une
première
Conférence
mondiale
de
la
population,
suivie
en
1984
d'une
seconde
Conférence,
qui
s'est
réunie
à
Mexico
pour
procéder
à
la
révision
et
à
l'évaluation
du
Plan
d'action
mondial
sur
la
popu¬
lation
adopté
à
Bucarest.
L'apport
de
l'Unesco
à
la
Conférence
de
Mexico
consistait
notamment
en
une étude,
Unesco,
population
et
.
développement,
dont
nous
publions
ici
quelques
extraits
particuliè¬
rement
intéressants.
Près
du
tiers
de
ce
numéro
est
consacré
à
la
présentation
des
pro¬
jets
primés
au
concours
mondial
des
jeunes
architectes
organisé
par
l'Unesco
sur
le
thème
«
Habitat
de
demain
» à
l'occasion
de
l'An¬
née
internationale
de
la
jeunesse.
Les
maquettes
de
ces
projets
figu¬
reront
à
l'Exposition
internationale
de
Tsukuba,
qui
aura
lieu
au
Japon
du
17
mars
au
16
septembre
de
cette
année.
Le
jury
du
con¬
cours
était
présidé
par
Kenzo
Tange
et
la
présentation
des
projets
primés
s'ouvre
sur
un
article
ce
grand
architecte
et
urbaniste
japonais
se
penche
sur
les
idées
et
les
théories
qui
durant
un
demi
siècle
ont
façonné
son
Deux
autres
articles
de
ce
numéro"
sont
dus
à
des
architectes
de
renommée
internationale
:
Oscar
Niemeyer,
qui
a
conçu
les
princi¬
paux
bâtiments
de
Brasilia,
la
capitale
du
Brésil,
et
dont
la
vision
de
la
ville
de
l'an
2000
réserve
une
large
place
à
la
culture
et
aux
loi¬
sirs
dans
la
vie
urbaine
;
et
Hassan
Fathy,
un
grand
architecte
égyp¬
tien,
qui
trace
pour
nous
les
contours
du
Caire
de
demain.
Enfin,
Jean
Dethier,
un
architecte
belge
et
un
spécialiste
de
la
construction
en
terre
crue,
entrevoit
une
solution
à
la
crise
du
loge¬
ment
dans
la
modernisation
des
techniques
de
construction
à
base
de
ce
matériau
disponible
partout
en
abondance.
Rédacteur
en
chef
:
Edouard
Glissant
Mars
1985
38e
année
Photo
Unesco/Jean-Claude
Bernath
4
«
Habitat
de
demain
»
Un
concours
mondial
des
jeunes.
architectes
4
L'espace
urbain
et
architectural
par
Kenzo
Tange
8
«
Habitat
de
demain
»
Dix
projets
du
monde
entier
18
La
ville
de
l'an
2000
par
Oscar
Niemeyer
20
Les
métamorphoses
du
Caire
par
Hassan
Fathy
22
L'Unesco
et
la
sauvegarde
du
Vieux
Caire
24
La
ville,
aujourd'hui
et
demain
30
L'homme
et
le
citadin
31
L'avenir
de
l'architecture
de
terre
par
Jean
Dethier
2
Le
temps
des
peuples
THAÏLANDE
:
Architectes
«
aux
pieds
nus
»
Notre
couverture
:
détail
du
dessin
de
Tomás
Pérez
de
la
Partilla
(Espagne),
l'une
des
sélectionnées
du
Concours
mondial
de
dessins
d'enfants
organisé
en
1979
à
l'occasion
de
l'Année
internationale
de
l'enfant
(voir
légende
de
la
couverture
de
dos).
Photo
Unesco/Jean-Claude
Bernath
Mensuel
publié
en
31
langues
Français
Italien
Turc
Macédonien
Finnois
Une
édition
trimestrielle
par
l'Unesco,
Organisation
Anglais
Hindi
Ourdou
Serbo-Croate
Suédois
en
braille
est
publiée
des
Nations
Unies
pour
l'éducation,
Espagnol
Tamoul
Catalan
Slovène
Basque
en
français,
en
anglais,
la
science
et
la
culture
Russe
Persan
Malais
Chinois
en
espagnol
et
en
7,
place
de
Fontenoy,
Allemand
Hébreu
Coréen
Bulgare
coréen.
75700
Paris.
Arabe
Néerlandais
Kiswahili
Grec
Japonais
Portugais
Croato-Serbe
Cinghalais
ISSN
0304-3118
N"
3
-
1985
-
OPI
-
85
-
3
-
i
420
F
Un
concours
mondial
des
jeunes
architectes
DANS
le
cadre
de
l'Année
internationale
de
la
jeunesse,
l'Unesco
a
lancé,
en
collaboration
avec
l'Union
interna¬
tionale
des
architectes,
un
concours
mondial
des
jeunes
architectes
sur
le
thème
«
Habitat
de
demain
».
72
pays
ont
annoncé
leur
participation
en
organisant
chacun
un
concours
national
pour
sélectionner
5
projets
parmi
des
présen¬
tées
par
des
étudiants
et
des
architectes
de
moins
de
35
ans.
Chaque
projet
devait
être
présenté
sur
deux
panneaux
de
700
x
1
000
mm
et
exprimer
comment
le
candidat
conçoit
un
modèle
d'habitation
enraciné
dans
le
contexte
socio-culturel
de
son
pays,
en
harmonie
avec
son
environnement
et
assimilant
les
acquis
de
la
science
et
de
la
technologie.
En
mai
1
984,
un
jury
composé
de
huit
personnalités
s'est
réuni
au
siège
de
l'Unesco
à
Paris
pour
choisir
10
lauréats
parmi
les
concurrents
sélectionnés
dans
les
concours
nationaux.
Selon
le
règlement
du
concours,
les
projets
gagnants
seront
réalisés
en
maquette
pour
figurer
dans
le
«
Pavillon
de
la
Paix
mondiale
Famille
des
Nations
Unies
»
à
l'Exposition
internationale
de
Tsu-
kuba
(Japon),
qui
doit
se
tenir
du
1
7
mars
au
1
6
septembre
1
985.
Le
thème
principal
de
cette
exposition
sera
«
La
maison
et
son
environnement
Science
et
technologie
au
service
de
l'homme
chez
lui
».
Avec
la
participation
de
Japan
Airlines,
les
1
0
lauréats
se
verront
offrir
par
l'Unesco
un
séjour
de
deux
semaines
à
Tokyo
pour
visiter
«
l'Expo
Tsukuba'85
».
(Dans
le
cas
d'une
uuvre
collective,
un
représentant
choisi
par
l'équipe
bénéficiera
de
l'invitation).
Dans
son
appréciation
des
projets,
le
jury
a
noté
que
«
le
con¬
cept
du
futur
et
la
notion
du
"demain"
diffèrent
selon
le
contexte
socio-culturel
et
économique...
Beaucoup
d'architectes
recon¬
naissent
qu'il
est
déjà
difficile
de
concevoir
un
habitat
contempo¬
rain
qui
corresponde
pleinement
aux
besoins
et
aux
aspirations
des
femmes
et
des
hommes
d'aujourd'hui.
D'autre
part,
on
doit
reconnaître
que
l'habitat
de
demain
se
construit
aujourd'hui
avec
les
connaissances
conceptuelles
et
techniques
de
notre
époque
et
que
dans
beaucoup
de
pays
cet
habitat
ne
peut
être
que
l'adaptation
d'une
partie
plus
ou
moins
importante
du
parc
immobilier
existant.
«
Les
nombreux
projets
reçus...
montrent
une
grande
diversité
des
préoccupations
selon
les
pays.
Outre
les
projets
purement
utopiques
ou
les
projets
qui
relèvent
du
rêve,
un
grand
nombre
de
plans
font
preuve
d'un
réalisme
certain
et
montrent
que
les
jeunes
architectes
sont
non
seulement
préoccupés
par
l'intégra¬
tion
du
projet
dans
son
environnement
mais
également
par
son
insertion
sociale.
Par
ailleurs,
nombreux
sont
les
plans
qui
met¬
tent
en
évidence
que
la
formation
des
architectes
s'est
fortement
diversifiée
au
cours
des
dernières
années
et
que
beaucoup
d'écoles
dans
les
pays
en
développement
font
aujourd'hui
preuve
d'une
grande
autonomie
intellectuelle
et
se
montrent
par¬
faitement
conscientes
des
spécificités
du
contexte
socio-culturel
du
pays
ou
de
la
région
dans
lesquels
les
architectes
sont
appe¬
lés
à
opérer.
»
Les
projets
primés
sont
présentés
de
la
page
8 à
la
page
17
et
précédés,
ci-contre,
d'un
texte
Kenzo
Tange,
président
du
jury,
expose
ses
conceptions
d'architecte
et
d'urbaniste.
Les
citations
faites
dans
ces
projets
sont
tirées
des
textes
présentés
par
les
candidats
eux-mêmes.
^
^p^
L'espace
urbain
par
Kenzo
Tange
LORSQUE
je
fus
diplômé
de
l'Univer¬
sité
en
1938,
l'architecture
moderne
était
déjà
en
proie
aux
pièges
du
formalisme.
Le
mouvement
moderne,
qui
se
nommait
lui-même
rationalisme
ou
fonc¬
tionnalisme,
avait
rejeté
toutes
les
tradi¬
tions,
tous
les
styles
du
passé
et
était
dominé
par
l'idée
que
«
la
boîte
blanche
»
qui
n'est
en
fait
qu'un
simple
point
de
départ
était
le
but
à
atteindre.
Toute
négation
du
passé
était
intégrée
sans
résistance.
Moi,
je
ne
pouvais
m'empêcher
de
penser
que
l'ar¬
chitecture
perdait
ainsi
de
sa
vitalité.
J'étais
alors
fortement
influencé
par
Le
Corbusier,
qui
me
semblait
être
le
seul
à
placer
son
tra¬
vail
au
niveau
de
l'art
architectural.
J'étais
aussi
très
attiré
par
l'architecture
de
la
Renaissance
et
par
Michel-Ange.
L'étude
de
Michel-Ange
me
permit
de
comprendre
la
grandeur
de
la
Grèce
et
de
la
Rome
antiques.
Je
m'intéressais
particuliè¬
rement
à
une
collection
d'immenses
dessins
Entrée
et
jardins
du
sanctuaire
d'Ise,
au
Japon.
et
architectural
représentant
des
agoras
et
des
forums.
A
la
même
époque,
je
me
passionnais
pour
l'ar¬
chitecture
japonaise
classique
et
surtout
pour
le
Temple
d'Ise
qui
me
semblait
être
un
prototype
de
l'architecture
japonaise
et
pour
le
Palais
de
Katsura.
En
1946,
je
fus
appelé
à
m'occuper
du
plan
pour
la
reconstruction
d'Hiroshima.
Cette
expérience
se
révéla
pour
moi
d'une
importance
primordiale,
me
permettant
alors
d'entrevoir
la
difficulté
d'ancrer
l'ar¬
chitecture
contemporaine
dans
la
réalité
japonaise,
derrière
laquelle
nous
pouvions
discerner
encore
le
poids
de
la
tradition.
A
cette
époque,
le
débat
sur
la
tradition
s'amplifiait.
Mon
intérêt
pour
la
tradition
Yayoi,
base
de
la
société
aristocratique,
le
céda
alors
à
celui
que
je
portai
à
la
tradition
Jomon,
d'essence
populaire.
En
quelque
sorte,
la
culture
Yayoi
pourrait
être
consi¬
dérée
comme
apollinienne
ou
raffinée,
et
la
culture Jomon
comme
dy'onisiaque
ou
brute.
Mais
si,
pour
moi,
la
tradition
agis¬
sait
comme
un
catalyseur,
stimulant
le
déve¬
loppement
de
mes
idées
et
présente
tout
au
long
de
l'élaboration
et
de
la
conception
des
projets,
elle
n'apparaissait
pas
en
tant
que
telle
dans
le
résultat
final.
Cette
prise
en
compte
de
la
tradition
était
liée
au
dessin
du
projet,
bien
que
notre
méthodologie
revêtit
une
dimension
différente.
Tout
d'abord,
il
fallait
adopter
une
posi¬
tion
critique
vis-à-vis
du
fonctionnalisme.
Il
existe
dans
un
bâtiment
autant
de
fonctions
différentes
que
d'usagers.
Il
convenait
donc
de
tenir
compte
de
la
totalité
de
ces
fonc¬
tions,
définies
d'ailleurs
arbitrairement.
Dans
le
cas
d'un
hôtel
de
ville,
par
exem¬
ple,
il
est
clair
que
l'on
doit
faire
face
à
tou¬
tes
sortes
de
demandes
imposées
par
le
maire,
les
conseillers,
le
personnel,
les
visi¬
teurs...
Etant
donné
cette
variété,
savoir
quelle
est
la
fonction
véritable
d'un
hôtel
de
ville
devient
d'une
importance
primordiale
dans
une
approche
méthodologique.
C'est
ainsi
qu'apparut
le
concept
de
typologie
des
fonctions.
De
toutes
ces
demandes
et
fonctions
arbi¬
traires,
nous
dégageons
celles
qui
paraissent
les
plus
humaines,
les
plus
essentielles,
les
plus
orientées
vers
l'avenir
:
accompagnée
d'un
contenu
métaphysique,
la
typologie
des
fonctions
atteint
alors
la
dimension
du
symbole.
Mon
travail
sur
Hiroshima
m'avait
per¬
mis
de
développer
certains
concepts
mettant
en
jeu
les
relations
entre
l'architecture
et
la
ville.
Le
Centre
et
le
Parc
de
la
Paix
étaient
devenus
le
c
de
la
ville-mémorial
d'Hiroshima...
Je
pris
alors
conscience
de
la
nécessité
d'ajouter
un
élément
supplémentaire
aux
quatre
fonctions
définies
dans
la
Charte
d'Athènes*,
et
susceptible
de
conférer
à
la
ville
un
caractère
d'entité
et
de
centralité.
Cet
élément
fut
le
«
noyau
urbain
»,
con¬
cept
structurel,
permettant
de
doter
les
vil¬
les,
comme
pour
Hiroshima,
d'une
entité
organique.
Je
compris
qu'en
termes
de
lieux
de
rencontres
des
habitants,
l'architecture
devait
dépasser
le
point
de
vue
fonctionnel
pour
aboutir
à
des
concepts
plus
généraux.
Clairement
conscient
du
rôle
de
l'infor¬
mation
dans
notre
société,
je
commençais
à
pressentir
que
l'espace
urbain
et
architectu¬
ral,
auparavant
ouvert,
aéré,
exerçait
en
fait
une
force
d'attraction.
J'avais
de
plus
en
plus
le
sentiment
que
les
espaces
que
j'avais
interprétés
précédemment
comme
étant
créés
par
Yécartement
des
objets
physiques,
exerçaient
au
contraire
une
force
qui
faisait
adhérer
ces
objets.
J'arrivais,
peu
à
peu,
à
considérer
l'espace
comme
une
énergie
d'adhérence
réellement
active.
Cette
certi¬
tude
détermina
une
évolution
fondamentale
dans
ma
manière
de
penser
l'architecture
et
l'urbanisme.
L'espace,
lui-même,
transmet
des
messa¬
ges
aux
hommes.
En
termes
linguistiques,
la
structure
établit
la
grammaire
des
messages.
Elle
est
le
réseau
des
moyens
par
lesquels
les
hommes
peuvent
communiquer
entre
eux.
Nous
parvenions
à
la
conclusion
qu'il
est
impossible
de
comprendre
un
bâtiment,
un
groupe
de
bâtiments
ou
un
espace
urbain,
sans
introduire
le
concept
de
structure
dans
notre
réflexion.
La
proposition
de
réorganisation
structu¬
relle
contenue
dans
notre
plan
pour
Tokyo
en
1960
était
un
premier
pas
vers
une
appro¬
che
structurelle
et
non
plus
fonctionnelle.
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