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Aux médecins qui m’ont formée et accompagnée tout au long de mes études, d’Angers à Paris, en
passant par Madagascar.
A Madame le Docteur Madeleine FAVRE, merci pour votre complicité et vos précieux conseils.
A Olivier Brunetière, ma source exotique d’inspiration. Ton style et ton humour sont aussi précieux à
mes yeux que la tendresse et la cuisine de Martine. Vive la vie « Mora-Mora ».
A Manu et aux co-externes angevins, merci pour ces bons souvenirs carabins, bonne route à vous !
A mes co-internes parisiens : l’exilée de Melun, les clodoaldiens, les poulettes de Villeneuve, les
rencontrés du jeudi matin, les signataires du groupe O, et tous les autres. Vive la nouvelle
génération de MG !
A Alexandre et au SNJMG, merci de m’avoir permis de vivre cette belle aventure syndicale.
Aux patients qui ont participé à cette étude et à tous ceux que j’ai pu rencontrer depuis le début de
mon parcours. C’est vous qui m’aidez à avancer et à améliorer ma pratique.
A mes deux belles-mères. Je vous revois : Mary à Giens et Florence à Biarritz, ces 150 pages entre les
mains, avec vos crayons correcteurs et votre patience admirable. Un immense merci.
A Marcel, merci pour cette matinée passée à la BU de la Timone. Tout commence par une bonne
recherche bibliographique non ?
A Thérèse, merci pour cette « traduction-express » à ton retour du Canada !
A mon bizuth, je suis tellement fière de toi. Bon voyage à Lyon !
A Héloïse et Vanessa, mes éternels piliers.
A Julien, mon co-auteur expatrié. Garde tes slogans « pro-déprescription » bien précieusement, on
ne sait jamais…
A Vic. Tu vois mon Titou, finalement j’aurai fini mes études avant toi !
A Pierre et Lorraine. Mes complices infaillibles. Maintenant on peut jouer au docteur, mais en vrai !
A Mamo et Nani, mes grands-mères chéries. Merci pour votre soutien depuis le début. J’ai bien
compris votre devise : « Le bon travail, c’est : ni trop, ni trop peu, ni trop vite, ni trop lentement ! »
A Dad, Papé, Tonton Yves, Marc, Bernard et Christiane. Je sais que vous suivez mon parcours de là-
haut. Merci pour vos clins d’œil et vos ondes bienveillantes.
A Baboun et Mamily, merci de m’avoir aidée à y croire jusqu’au bout.
A Jérôme. Tu as été plus que génial, cette thèse est à toi. Tia Ianao.
A notre fille, tu m’as aidée à terminer ce travail avant ton arrivée. Maintenant je suis toute à toi.