oblig

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Nom, prénom :
Partie I :
Eléments scientifiques complets
( ≥ 17 éléments)
Synthèse pertinente
Synthèse maladroite ou
partielle
Eléments scientifiques presque complets
( ≥ 14 éléments)
Aucune synthèse
Eléments scientifiques partiels ( ≥ 8
éléments)
Eléments scientifiques parcellaires ( ≥ 4
éléments)
Rédaction et schéma corrects
Rédaction et/ou schéma maladroits
Rédaction et schéma corrects
Rédaction et/ou schéma maladroits
Rédaction et schéma corrects
Rédaction et/ou schéma maladroits
Rédaction et schéma corrects
Rédaction et/ou schéma maladroits
Pas d’éléments scientifiques (< 4 éléments) répondant à la question traitée
Éléments
d’évaluation
0
Indicateurs (éléments de correction)
Forme de la
synthèse
Introduction
Développement
Conclusion
Rédaction
Clarté, grammaire, orthographe
Schéma
Adapté (schéma d’une zone de subduction), clarté (titre, légendes), correct
Idée
essentielle
Éléments
scientifiques
issus des
connaissances
acquises
8
Mise en place
de l’activité
magmatique
Nouveaux
matériaux
continentaux
Subduction, LO s’enfonce → fusion partielle de la péridotite sus-jacente →
Le magma produit monte et est à l’origine de nouvelles roches.
LO hydratée en s’éloignant de la dorsale
En subductant, la LO subit un métamorphisme de haute pression, et se
déshydrate.
Apparition de minéraux de plus en plus déshydratés (glaucophane, grenat
et jadéite, ou, faciès schiste bleu et éclogite)
L’eau hydrate la péridotite du manteau chevauchant
→ abaisse la température de fusion partielle
La péridotite hydratée se met à fondre partiellement et produit un magma
(moins dense) qui remonte dans la lithosphère chevauchante
Refroidissement lent en profondeur → roche magmatique plutonique (à
texture grenue). Exemple de granitoïdes : granodiorite, granite
Refroidissement rapide en surface → roche magmatique volcanique (à
texture microlithique). Exemple : andésite, rhyolite
Volcanisme explosif (magma visqueux (riche ne silice), riche en gaz)
Ces nouvelles roches constituent les matériaux de la croute continentale →
accrétion continentale
/7
/6
/1
/3
/3
/2
Réponses vraies : Q1 c, Q2b, Q3c, Q4c
Éléments
d’évaluation
Indicateurs (éléments de correction)
Éléments
scientifiques
issus des
documents :
(complets,
pertinents,
utilisés à bon
escient en
accord avec le
sujet…)
Document 1 :
- Afrique : fréquence plus élevée de l'allèle HbS, en particulier en Afrique sub-saharienne.
- Europe : allèle est quasi absent.
Document 2 :
Les zones où il y a transmission du paludisme sont équatoriales sur tous les continents.
Document 3 :
- là où il y a le plus de décès liés au paludisme, le nombre d'individus hétérozygotes est le plus important
(valeurs)
- pas d'hétérozygotes parmi les victimes du paludisme (alors qu’en théorie càd si le génotype n’influait pas sur
la résistance au paludisme, il devrait avoir des hétérozygotes malades du paludisme) (valeurs)
Éléments
scientifiques :
connaissances
Mécanisme de sélection naturelle : dans un milieu, si un phénotype est favorisé, alors les individus possédant
ce phénotype survivent mieux et ont davantage de descendants. Ainsi la fréquence des allèles induisant ce
phénotype augmente dans la population.
Éléments de
démarche
(L’élève
présente la
démarche qu’il
a choisie pour
répondre à la
problématique,
dans un texte
soigné
(orthographe,
syntaxe),
cohérent
(structuré par
des connecteurs
logiques), et
mettant
clairement en
évidence les
relations entre
les divers
arguments
utilisés.)
 Problématique posée en intro et réponse en conclusion :
Doc 1 => il n'existe que des individus homozygote pour l’allèle non HbS (il s’appelle HbA) (HbA//HbA) en
Europe,
tandis qu'il existe en Afrique les 3 génotypes : (HbA//HbA) = phénotype sain (non-drépanocytaire),
(HbA//HbS) = porteur-sain (qui peut développer des symptômes drépanocytaires en altitude) et (HbS//HbS) =
phénotype drépanocytaire mortel.
Doc 2 => on peut supposer que le moustique qui transmet cette maladie vit dans des habitats aux climats
équatoriaux.
Doc 3 :
Plus d’hétérozygote dans les pays où le plus de paludisme => allèle HbS doit donc donner un avantage sélectif
dans ce milieu où sévit le paludisme.
Pas d’hétérozygote parmi les morts du paludisme/ prévu => le fait de posséder les 2 versions du gène permet
de résister au développement du paludisme
Dans un pays où il n'y a pas de transmission du paludisme, si les hétérozygotes étaient nombreux dans la
population, les croisements induiraient davantage d'homozygotes (HbS//HbS). Or ce génotype induit le
phénotype drépanocytaire, mortel. A terme, l'allèle HbS disparaît dans un milieu sans paludisme.
Comme le génotype hétérozygote est favorisé dans un milieu où sévit le paludisme, les individus
hétérozygotes survivent et peuvent donc se reproduire,
et ce davantage que les homozygotes (HbA//HbA) (qui peuvent mourir du paludisme)
et que les homozygotes (HbS//HbS) (qui meurent de la drépanocytose).
→ La fréquence de l'allèle HbS est donc plus élevée, comparée à un environnement où le paludisme est
absent.
=> l'allèle HbS est donc conservé dans les populations où sévit le paludisme, alors qu'il entraîne une maladie
mortelle.
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