Surveillance du mode respiratoire : fréquents aspirer et
faire des lavages, des radiographies pulmonaires sont faites
régulièrement, surveillance de la prescription par rapport
aux paramètres respiratoires, les volumes, gazométrie sur
prescriptions, en pratiquant les « petits soins » quotidiens
vérification des marquages sur la sonde d’intubation…
kinésithérapie respiratoire si besoin.
Surveillance hémodynamique : pouls, tension artérielle
(grâce au KTR si besoin), température, fréquence
respiratoire, saturation en O2 ainsi qu’en CO2, diurèse,
glycémie capillaire, PVC et PIC sur prescription médicale.
Surveillance du risque thromboembolique : pose de BAV,
sur prescription CPI, et mise sous HBPM.
Surveillance par rapport au risque infectieux : si
température supérieure ou égale à 38.5, informer le médecin
et prélèvements bactériologique, surveillance des points de
ponction (KTC, KTR, …).
Surveillance digestive : reprise du transit, alimentation
parentérale.
Surveillance de l’intégrité de la peau : bain de lit,
prévention d’escarre, changement de position toutes les 4
heures, matériel anti-escarres (matelas, bottes, restons, …),
lors des « petits soins » faire attention aux points d’appui de
la sonde d’intubation ou de la sonde naso-gastrique par
exemple, surveillance des œdèmes (par bilan
entrées/sorties, et peser toutes les semaines par exemple).
S’il y a après l’arrêt des sédations un risque fonctionnel est
présent envisager son devenir (maison de rééducation, …).