De petites citations qui peuvent rapporter
gros…
Rosabeth Moss Kanter :
La course à la performance conduit à une véritable
« Olympiade des entreprises ».
Kenichi Ohmae : (apôtre japonais de la
mondialisation)
« la souveraineté est passée des mains des Etats dans
celles des consommateurs ».
John Adair :
« le leadership est un savoir qui peut se transmettre et
s’apprendre »
Peter Senge (l’entreprise apprenante) :
« Il ne suffit plus d’avoir une seule tête pensante, un
Ford ou un Renault. Le temps est fini où le patron
résolvait un problème, dictait une politique, et où tout
le monde appliquait les doctrines du grand stratège. Les
organisations qui atteindront l’excellence seront celles
qui auront trouvé le moyen de profiter au maximum de
l’engagement de leur membres, et de leur capacité à
apprendre, à tous les niveaux. »
« le facteur clé de succès des entreprises, aujourd’hui, est
la capacité à changer »
Tom Peters :
« La formation permanente des gens, perçus comme un
portefeuille à valoriser, doit être une priorité à l’échelle
de l’entreprise comme à l’échelle nationale. Dans les
entreprises performantes, la valeur ajoutée sera
produite de plus en plus par les hommes. »
Citation issue de la Bible (pour la culture
d’entreprise) :
« Là où il n’y a pas de mission , le peuple périt. »
Stalk et Hout :
“ Le temps est un outil de management plus utile que le
coût »
Théodore Levitt :
« L’industrie est un processus de satisfaction des clients,
et pas de production de biens »
Michael Hammer :
« Le réengineering est une remise en cause
fondamentale, une redéfinition radicale des processus
opérationnels pour obtenir des gains spectaculaires dans
les performances critiques que constituent aujourd’hui
les coûts, la qualité, le service, la rapidité ».
« Si le mouvement de réengineering prenait de
l’ampleur, jusqu’à 75% des cadres d’aujourd’hui se
retrouverait sans emploi !»
K. Galbraith :
« Pour les propriétaires, l’objectif est de maximiser leur
profits tandis que les managers vont rechercher à
maximiser leur propre fonction d’utilité »
Alchian et Radner :
« la firme est en permanence en train de faire des
arbitrages visant à satisfaire une partie au moins des
intérêts de chacun des groupes qui la compose. On
passe des deals pour obtenir une tranquillité sociale ».
Liebenstein :
La variable « organisation » dans l’efficience de la firme
est évidente : cette variable, pour lui, est appelée
« efficience X ».
Aoki :
« la capacité organisationnelle des firmes à générer une
gamme de produits qui s’adapte aux demandes
imprévisibles du marché et aux nouvelles technologies
constitue une dimension essentielle de l’efficacité des
entreprises .»
Argyris :
« l’efficacité d’une organisation dépend donc de sa
capacité à atteindre ses buts mais également de sa
faculté à s’adapter à l’environnement et surtout de sa
capacité à exploiter les énergies humaines de ses
membres et notamment l’énergie psychologique »
Drucker :
« il faut s’en tenir à ce que l’on sait faire »
« le management doit passer par la direction, par les
objectifs et l’autocontrôle »
Hammel & Prahalad :
« L’avantage concurrentiel est désormais dans la mise
en tension permanente des capacités de l’organisation.
Capacités qui dépendent essentiellement des
comportements des hommes et des femmes qui
constituent l’organisation »
« le concept de pôle de compétences priviligie
l’apprentissage organisationnel e font des ressources
internes le pivot des facteurs clés de succès »
Zarifian :
« la compétence est un processus qui s’enrichit de savoir
faire empiriques et opératoires permettant de faire face
à des situations imprévues ».
Sumantra Ghoshal :
« l’individu est le moteur de la création de valeur »
« l’entreprise est sociale : cela ne signifie pas qu’elle a
une responsabilité sociale, amis que sa performance
économique dépend de ses composants sociaux , et non
plus économiques ou financiers. »
« C’est la philosophie du manager qui crée l’ambiance
de l’entreprise et qui influence la conduite de chacun
au quotidien »