Il existe une : Rareté des ressources ; rareté des moyens financiers, du tps, des ressources humaines
…
Rien n’est rare dans la valeur absolue. Mais l’abondance évacue tout problème de choix dans
l’utilisation des ressources « que produire ? combien ? pour qui ? »
Exemple : ressource pétrolière de – en – rare car la consommation de pétrole diminue, elle
augmente de nos jours a cause de ces pays émergents (inde ou chine) qui eux continuent à utiliser
cette ressource ( car il sont en pleine maturation de leurs marchés.
Rareté c’est la rareté entre les ressources (biens) et les besoins.
Les besoins ce sont nous qui les définissons, qui les exprimons (besoins économiques).
-Les besoins économiques : leurs satisfactions nécessitent du travail, des efforts.
-Les biens (ou ressources) économiques : satisferont des besoins économiques, mais nécessitent un
acte productif.
Le pétrole est devenu un bien économique
Les biens non économiques : l’air , niveau d’ensoleillement ce sont des biens dont la valeur est dit
contingentes c’est a dire qui vont influencer d’autre bien.
Tout bien naturel peut devenir économique en nature ou par influence :
-on nous fait payer le soleil, la vue à travers l’immobilier (dernier étage : soleil, vue)
-en cas de pollution atmosphérique, on s’interroge sur la façon de préserver l’air ( de le produire),
on veut assainir ou fuir cette pollution de l’air.
-La valeur de notre bien immobilier dépend aussi de la carte scolaire. Implicitement on achète un
bien non économique.
La rareté se mesure en nombre de jour de consommation.
La rareté s’exprime entre le décalage de biens (ou ressources) et besoins.
II L’économie, science des choix
La rareté contraint a choisir, on ne peut produire jusqu'à saturation. Il faut du temps pour produire
tous les biens économiques nécessaires a tous les besoins d’une population, il faut donc faire un
choix parmi toutes les productions possibles. Dans l’utilisation des moyens de production c’est le
problème de l’allocation des ressources « que produire, combien et comment produire »
Il y un autre problème : celui de la répartition des ressources (si la taille du gâteau est limitée la
part de l’un ne peut augmenter au détriment de l’autre)
-Choisir, c’est renoncé : décidé entre plusieurs alternatives (ex : plus intéressant a produire ou à se
former )
Ex : salarié en formation ne rapporte pas : donc effet de récession.
Utilisé son tps au meilleur usage, ex : pas de clients.
L’université coûte les frais de scolarité c’est à dire pas grand choses, mais cela nous coûte surtout
notre tps .
-La renonciation à un coût, la rareté impose des coûts : un coût d’opportunité.
Le coût d’opportunité d’un choix est la satisfaction qu’aurait procuré le choix qui est le meilleur
possible parmi les autres.
C’est un investissement, il y a une rentabilité.
Entre bac et bac + 3 : 5%
Entre bac bac + 5 : 7 %
Attention le coût en économie est très large : il désigne une estimation
subjective des opportunités sacrifiés qui ne comprennent pas seulement ni
nécessairement l’argent dépensé.