QCM de décembre 2005 – CORRIGE

CHTOLIVIERSARTHE
QCM de décembre 2005
Légion des Pays de la Loire, Groupement de la Sarthe
Question 1 : La responsabilité pénale d’une personne physique se définit par :
Une faute non intentionnelle commise matériellement et directement
Une capacité à réparer le préjudice
une aptitude à répondre de ses actes délictuels
une faculté à subir la peine prévue par la loi
une décision de commettre une infraction effaçant le fruit de sa liberté
Question 2 : Les causes d’exclusion de la culpabilité sont :
La contrainte et l’imprudence
la privation d’intelligence, empêchant la compréhension de la nature des actes
l’abolition du discernement ou le contrôle des actes par un état de trouble psychique ou
neuropsychique au moment des faits
la commission d’une infraction fortuitement ou par erreur, de bonne foi
Question 3 : Pour qu’une personne puisse être sanctionnée pénalement, il faut :
qu’elle soit mise en examen
que son acte criminel ou délictuel ne soit pas justifié
qu’elle soit reconnue coupable
que les faits lui soient imputables
qu’elle bénéficie d’une justification d’immunité
Question 4 : En matière pénale, la notion de culpabilité :
est synonyme de responsabilité
permet de sanctionner la commission d’une infraction
est synonyme d’imputabilité
aggrave la responsabilité civile
est sans effet sur la responsabilité pénale
Question 5 : Le trouble psychique ou neuropsychique
est une cause de non-imputabilité
est un fait justificatif
est une cause d’immunité
est une cause de culpabilité
procure à l’auteur un allègement de la peine
Question 6 : Les causes de non culpabilité entraînent :
l’exclusion ou l’atténuation de la culpabilité de l’auteur de l’infraction
la conformité au droit d’un acte
la non réparation du dommage causé
la constitution d’un moyen de défense
la suppression de l’infraction à l’égard de l’auteur et du coauteur
Question 7 : Théoriquement, l’étendue de la compétence territoriale des OPJ est prévue par le CPP,
peut être, selon son unité d’emploi :
une ou plusieurs zones de défense ou partie de celles-ci
la COB
la cie
le département
La brigade d’affectation
le territoire nationale
CHTOLIVIERSARTHE
Question 8 : Parmi ces personnels, est un APJ :
un adjoint au maire
un agent de police municipale
un agent de surveillance de la ville de Paris
un garde forestier
Un gendarme n’ayant pas la qualité d’OPJ
Question 9 : Les APJA ont parmi leurs missions celles de :
seconder les OPJ dans l’exercice de la police judiciaire
notifier une mesure de garde à vue sous le contrôle d’un OPJ
assurer l’exécution des mandats de justice
appréhender l’auteur d’un crime ou d’un délit flagrant
recevoir par procès verbal les déclarations de personnes susceptibles de fournir des
renseignements sur l’auteur ou le complice d’un crime ou d’un délit flagrant
Question 10 : En enquête préliminaire, un OPJ peut :
Décider d’une mesure de Garde à vue
procéder d’office à une saisie
défendre à une personne de s’éloigner du lieu de l’infraction
décider d’une prolongation de garde à vue
prendre une mesure coercitive à l’encontre d’un témoin
Question 11 : lors d’une enquête préliminaire, un APJ :
peut procéder à une vérification d’identité sur l’ordre et sous la responsabilité de l’OPJ
seconde une OPJ dans les limites de la compétence territoriale de l’OPJ
peut défendre aux personnes présentes sur les lieux de s’éloigner en attendant l’OPJ
peut requérir des personnes qualifiées, avec l’autorisation du procureur de la République
procéde à des perquisitions et des saisies avec l’assentiment express de la personne
Question 12 : un OPJ peut prendre une mesure de garde à vue à l’encontre d’une personne :
soupçonnée d’avoir participé à un crime
soupçonnée d’avoir participé à un délit puni d’une peine d’amende de plus de 3750 euros
ayant un comportement anormal en s’enfuyant lors de l’arrivée des enquêteurs sur les lieux
d’un crime
ayant fait une déclaration qui contredit les constatations faites par les enquêteurs, seulement
s’il existe des raisons plausibles de soupçonner qu’elle a participé à la commission de l’infraction
faisant l’objet d’une vérification d’identité dans les cas prévus par la loi
Question 13 : La durée de l’enquête de flagrance, à la suite de la constatation d’un crime ou d’un
délit flagrant :
ne peut en aucun cas excéder huit jours
peut se poursuivre sans discontinuer pendant huit jours
peut si les investigations ne peuvent être différées, être prolongées de huit jours, sur
l’autorisation du Procureur de la République, pour tout crime ou délit
peut être prolongée de huit jours sur autorisation du Procureur de la République si les
investigations sont conduites en vue de l’ouverture d’une information
peut être prolongée de huit jours sur autorisation du Procureur de la République, pour tout
crime ou délit puni d’une peine d’emprisonnement supérieure ou égale à 5 ans.
CHTOLIVIERSARTHE
Question 14 : Les dispositions de l’article 74 du CPP ne s’appliquent pas lors :
d’une mort violente dont la cause est connue
d’une mort non violente mais dont les circonstances sont suspectes ou douteuses
d’une mort violente dont les circonstances sont suspectes ou inconnues
d’une mort violente dont les circonstances ne sont pas suspectes
d’une découverte d’un squelette ou d’ossements humains
Question 15 : En enquête préliminaire, qui autorise l’OPJ à requérir une personne qualifiée :
le juge délégué
le procureur de la République
le JLD
le président du TGI
Question 16 : Une commission rogatoire peut avoir pour objet :
l’appropriation du caractère non contradictoire des pouvoirs judiciaires
l’audition de la personne mise en examen
l’attribution d’un pouvoir spécifique du juge d’instruction
l’exécution d’actes de constatations spécifiques
la saisie d’un indice matériel à effectuer au domicile de la personne mise en examen
Question 17 : La contrainte, cause de non culpabilité doit
être irrésistible et imprévisible
être préparée et instrumentée
être dolosive et intentionnelle
ne pas être issue d’une conjoncture extérieure à l’auteur de l’infraction
ne pas être le résultat d’une faute antérieure
Question 18 : Le Proxénétisme est l’activité délictueuse de celui qui :
qui pratique des actes de nature sexuelle contre rémunération
favorise la prostitution
tire profit d’actes sexuels rémunérés pratiqués par une personne majeure ou mineure
impose une relation sexuelle à une personne
a des relations de nature sexuelles avec un mineur
Question 19 : Résulte du proxénétisme l’infraction de :
financement d’un établissement de prostitution
provocation de mineur à la corruption
racolage public délictuel
tolérance habituelle du racolage dans un établissement ouvert au public
recours à la prostitution d’un mineur
Question 20 : La rétribution indigne d’une personne vulnérable est une infraction aggravée
lorsqu’elle est commise :
à l’égard de plusieurs personnes parmi lesquelles figurent un ou plusieurs mineurs
par l’emploi de la contrainte, de la violence ou de manœuvres dolosives sur la personne
vulnérable
à l’égard de plusieurs personnes
en bande organisée
CHTOLIVIERSARTHE
QCM de décembre 2005 ---oOo--- CORRIGE
Légion des Pays de la Loire, Groupement de la Sarthe
Question 1 : La responsabilité pénale d’une personne physique se définit par :
Une faute non intentionnelle commise matériellement et directement
Une capacité à réparer le préjudice
une aptitude à répondre de ses actes délictuels
une faculté à subir la peine prévue par la loi
une décision de commettre une infraction effaçant le fruit de sa liberté
Question 2 : Les causes d’exclusion de la culpabilité sont :
La contrainte et l’imprudence
la privation d’intelligence, empêchant la compréhension de la nature des actes
l’abolition du discernement ou le contrôle des actes par un état de trouble psychique ou
neuropsychique au moment des faits
la commission d’une infraction fortuitement ou par erreur, de bonne foi
Question 3 : Pour qu’une personne puisse être sanctionnée pénalement, il faut :
qu’elle soit mise en examen
que son acte criminel ou délictuel ne soit pas justifié
qu’elle soit reconnue coupable
que les faits lui soient imputables
qu’elle bénéficie d’une justification d’immunité
Question 4 : En matière pénale, la notion de culpabilité :
est synonyme de responsabilité
permet de sanctionner la commission d’une infraction
est synonyme d’imputabilité
aggrave la responsabilité civile
est sans effet sur la responsabilité pénale
Question 5 : Le trouble psychique ou neuropsychique
est une cause de non-imputabilité
est un fait justificatif
est une cause d’immunité
est une cause de culpabilité
procure à l’auteur un allègement de la peine
Question 6 : Les causes de non culpabilité entraînent :
l’exclusion ou l’atténuation de la culpabilité de l’auteur de l’infraction
la conformité au droit d’un acte
la non réparation du dommage causé
la constitution d’un moyen de défense
la suppression de l’infraction à l’égard de l’auteur et du coauteur
Question 7 : Théoriquement, l’étendue de la compétence territoriale des OPJ est prévue par le CPP,
peut être, selon son unité d’emploi :
une ou plusieurs zones de défense ou partie de celles-ci
la COB
la cie
le département
La brigade d’affectation
le territoire nationale
CHTOLIVIERSARTHE
Question 8 : Parmi ces personnels, est un APJ :
un adjoint au maire
un agent de police municipale
un agent de surveillance de la ville de Paris
un garde forestier
Un gendarme n’ayant pas la qualité d’OPJ
Question 9 : Les APJA ont parmi leurs missions celles de :
seconder les OPJ dans l’exercice de la police judiciaire
notifier une mesure de garde à vue sous le contrôle d’un OPJ
assurer l’exécution des mandats de justice
appréhender l’auteur d’un crime ou d’un délit flagrant
recevoir par procès verbal les déclarations de personnes susceptibles de fournir des
renseignements sur l’auteur ou le complice d’un crime ou d’un délit flagrant
Question 10 : En enquête préliminaire, un OPJ peut :
Décider d’une mesure de Garde à vue
procéder d’office à une saisie
défendre à une personne de s’éloigner du lieu de l’infraction
décider d’une prolongation de garde à vue
prendre une mesure coercitive à l’encontre d’un témoin
Question 11 : lors d’une enquête préliminaire, un APJ :
peut procéder à une vérification d’identité sur l’ordre et sous la responsabilité de l’OPJ
seconde une OPJ dans les limites de la compétence territoriale de l’OPJ
peut défendre aux personnes présentes sur les lieux de s’éloigner en attendant l’OPJ
peut requérir des personnes qualifiées, avec l’autorisation du procureur de la République
procéde à des perquisitions et des saisies avec l’assentiment express de la personne
Question 12 : un OPJ peut prendre une mesure de garde à vue à l’encontre d’une personne :
soupçonnée d’avoir participé à un crime
soupçonnée d’avoir participé à un délit puni d’une peine d’amende de plus de 3750 euros
ayant un comportement anormal en s’enfuyant lors de l’arrivée des enquêteurs sur les lieux
d’un crime
ayant fait une déclaration qui contredit les constatations faites par les enquêteurs, seulement
s’il existe des raisons plausibles de soupçonner qu’elle a participé à la commission de l’infraction
faisant l’objet d’une vérification d’identité dans les cas prévus par la loi
Question 13 : La durée de l’enquête de flagrance, à la suite de la constatation d’un crime ou d’un
délit flagrant :
ne peut en aucun cas excéder huit jours
peut se poursuivre sans discontinuer pendant huit jours
peut si les investigations ne peuvent être différées, être prolongées de huit jours, sur
l’autorisation du Procureur de la République, pour tout crime ou délit
peut être prolongée de huit jours sur autorisation du Procureur de la République si les
investigations sont conduites en vue de l’ouverture d’une information
peut être prolongée de huit jours sur autorisation du Procureur de la République, pour tout
crime ou délit puni d’une peine d’emprisonnement supérieure ou égale à 5 ans.
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