Ouverture des pages en grand écran pour permettre la validation directe de CONTINUER
en 1ère page, et recadrer pour pouvoir changer de page sans avoir à utiliser l’ascenseur
dans le rapport.
Différencier plus nettement retour, fermer et quitter (page, fiche du patient et logiciel).
Choisir un nom unique pour l’onglet permettant le retour à la liste des bénéficiaires
(egsodgam). La prise en main du logiciel s’en trouverait facilitée et raccourcie.
Homogénéiser le mode de validation des tests (au lieu de croix à cocher, valider, rien).
Instaurer une possibilité de décliquer pour annuler une saisie au lieu de couper la case.
Indiquer où renseigner la date de naissance.
Ajuster automatiquement le cadre de saisie à la longueur de la liste des pathologies et des
traitements.
Rendre la saisie libre possible surtout pour les pathologies et les traitements (ostéoporose).
La B2C est difficile à revalider si une erreur a été saisie, notamment l’heure. Pourquoi ne
pas rentrer la réponse fournie et le résultat correct, pour que le logiciel calcule le
différentiel ?
II Les points forts
1) La globalité
L’EGS balaie l’ensemble des champs médico-socio-psychologiques et environnementaux,
il constitue donc une aide à la pratique et à la décision clinique. Il est une partie intégrante
d’une démarche gérontologique, globale, systématisée, incluant la recherche des mesures
d’aide sociale à mettre en œuvre.
Il s’applique à des contextes aussi différents que l’ambulatoire, les EHPAD, l’hôpital, et
se révèle une aide à l’orientation en court séjour et aux urgences. Il se trouve donc en
position d’être le socle de la pratique du médecin géronto-urgentiste dans le repérage des
fragilités qui influent sur le projet d’orientation qu’il fait pour le patient.
Au niveau du Projet Personnalisé de soins, l’EGS permet de classer par rang de priorité
les actions à entreprendre en fonction d’un contexte global (espérance de vie, pathologies
chroniques).
Même principe pour l’allègement thérapeutique où il peut participer à la détermination du
vital, nécessaire, utile, accessoire pour chaque thérapeutique.
L’étude cinétique revêt un intérêt particulier dans l’appréciation des fragilités et de leur
évolution sous l’effet des actions mises en place, surtout en association avec le mode de
comparaison des résultats.
2 niveaux de questionnaire sont proposés pour adapter au mieux la démarche médicale
aux premières constatations ou aux doléances.
Sont très ergonomiques et permettent de gagner du temps les items pré-remplis et les
définitions intégrées, la synthèse semi-automatique pour le récapitulatif des résultats et la
saisie libre de commentaire en regard des tableaux de synthèse récapitulant les scores.
2) La complémentarité d’informations
Le GIRage et le Géronte, qui nécessitent une analyse multiparamétrique et
multidisciplinaire complémentaire, peuvent être réalisés en même temps que l’EGS.
ADL et IADL ne sont pas superposables à Géronte. Donc on obtient des informations
complémentaires pour des activités de même ordre lors d’une même évaluation.
Le GIR est moins sensible aux variations (cf augmentations de plusieurs points des scores
de fragilité sans modification concomitante du GIR). Il est en effet déterminé par un
algorithme. Géronte paraît plus sensible puisque chaque activité est différenciée dans la
figurine, mais il faut néanmoins qu’un adverbe au moins soit modifié là où les variables
de l’EGS sont numériques.
Le test de discrimination angoisse/dépression, l’évaluation du risque de chute,
ECODILOG offrent une vision très intéressante de même que le test des activités