Réalité enquête l'Institut national des études démographiques :
48% décès en France suite décision médicale qui hâte mort
0,8 % conséquence de médicaments donnés délibérément pour mettre fin à la vie
Nombreuses euthanasies actives sont en effet pratiquées en toute illégalité car
condamné par Code pénal
Euthanasie active : un tiers administre à un malade une substance létale dans le but
de provoquer sa mort
Euthanasie passive : stopper un traitement, arrêter alimentation ou hydratation
artificielle, plonger le patient dans un coma pouvant provoquer la mort au bout de
quelques jours
Esprits médecin = guérir et sauver + que soulager et accompagner donc loi mal
appliquée «
« Et si je veux aller ailleurs ? »
« Tu peux aller en Suède, en Belgique, aux Pays-Bas ou en Suisse, ce sont des pays où
soit l’euthanasie active soit l’assistance médicale au suicide sont autorisés. En
revanche évite le Portugal, la Grèce, la Serbie, la Bosnie, la Croatie ou la République
Tchèque, elle y est totalement interdite. C’est aussi le cas en Pologne.
Le débat sur l'euthanasie a été lancé en Pologne par Janusz Switaj (Januze
Svouitaje) , un jeune homme paralysé depuis 1993 à cause d'un accident de moto. Il
demande à ce que l'appareil qui le maintient en vie soit débranché de manière légale.
Mais comprendre sa situation ne signifie pas pour autant que l'on accepte de le
laisser mourir. Selon l'éthique chrétienne, arrêter l'appareil constituerait un