Désormais, pour l’ALIA, la visibilité de nos
produits devient possible, le référencement aussi, -jamais simple
pour des PME dont la taille était insuffisante pour que les GMS s’y
intéressent. A nous de faire le reste, cette fenêtre ne restera pas
ouverte éternellement, il nous faut pérenniser avant que les
motivations d’achat ne changent ou que d’autres acteurs occupent
ce terrain.
Nous parlons beaucoup de GMS, ce n’est pas notre
unique cible, loin de là. C’était la plus urgente, c’était la plus simple
pour générer du chiffre d’affaires et de la visibilité.,
Maintenant, nous mettons en place un groupe de travail qui est
chargé de faire des propositions sur un plan d’action CHR (cafés
hotel restaurants) et également sur ce que l’on a coutume
d’appeler le « hors GSA et RHF » qui pèse 10 milliards d’euros :
Les stations services
Le e-commerce
L’épicerie fine
Les boucheries-charcuteries
traiteur
Les boulangeries pâtisseries
Les magasins bio
La distribution automatique
Les salles de cinéma
Les parcs d’attractions
Par ailleurs, les ambitions de l’ALIA, outre les aspects marketing,
portent également sur la promotion des métiers de
l’agroalimentaire et sur l’innovation, deux sujets de notre contrat
de progrès sur lesquels Mme Dupuy de la DRAF nous expliquera le
lien avec la charte nationale des IAA.
Pour finir, je persiste à penser que dans ce contexte nous avons
fait le bon choix de fédérer nos entreprises IAA autour de
programmes ambitieux avec l’aide de la région.
Nos ambitions ne doivent pas se limiter à ces premiers exercices.