Dans la cadre de son plan de visibilité, les membres du conseil d'administration vous présentent: Le JOURNAL L’AUTRE VOIX 12 ans de couverture médiatique locale Fondé en 2003 par quatre jeunes résidents de la Côte-de-Beaupré, le Journal L’Autre Voix a depuis assuré une couverture médiatique à une foule de sujets d’actualité locale qui seraient probablement autrement restés dans l’ombre. Mais pour les entreprises de la région, c’est aussi un outil promotionnel de premier choix. Et selon les dires du directeur des ventes, Éric Maltais, c’est un outil d’une grande efficacité ! D’ailleurs, en 2008, lorsque TC Médias s’est porté acquéreur du journal l’objectif était, et demeure à ce jour, celui de mieux servir les entreprises de la Côte-de-Beaupré et de l’île d’Orléans. « Dans le temps, se rappelle M. Maltais, le Beauport Express desservait les deux territoires [NDLR : Beauport puis la Côte-de-Beaupré et l’Île d’Orléans]. On s’est aperçu que les gens ne voulaient pas nécessairement s’annoncer à Beauport ». Une philosophie qui semble fonctionner alors que le Journal L’Autre Voix fait excellente figure parmi les hebdomadaires de la région de Québec également propriété de TC Médias. « C’est un des bons journal de TC Médias. Il offre une performance stable et livre bien la marchandise», affirme M. Maltais. Ce dernier croit également que L’Autre Voix a entre autres deux atouts majeurs sur lesquels compter : une Alliance Affaires qui rend le marché local dynamique et une conseillère publicitaire hors pair en la personne de Gaëtane Kolodenshuck. Résultat, semaine après semaine, le journal est tiré à quelque 13 281 exemplaires et livré par Publi-Sac à tous les résidents de la Côte-de-Beaupré et de l’île d’Orléans. « Les gens aiment leur journal ! », croit M. Maltais. Mais comme tous les journaux papier, L’Autre Voix fait face à certains défis que l’entreprise entend par contre bien relever. « Le papier n’est pas en croissance », observe M. Maltais. C’est pourquoi depuis quelques années chez TC Médias, on s’affaire à opérer un virage web. En plus d’offrir la possibilité d’annoncer sur le site web du journal, l’entreprise crée aussi des sites web pour les entreprises à prix raisonnable en plus de gérer le Publi-Sac. « Utiliser le Publi-Sac, le journal papier et la publicité web, c’est une combinaison qui peut être gagnante et qui donne des résultats », assure M. Maltais. Ce virage n’entraînera cependant pas la disparation du classique journal de papier promet le directeur des ventes. L’entreprise est fière de son implication sociale et de la couverture médiatique offerte par le journaliste attitré à la couverture locale, Jean-Manuel Téotonio. Il y a du changement à l’horizon à ce niveau-là alors que Prisca Benoit, nouvelle journaliste de l’équipe, est appelée à être de plus en plus présent sur la Côte-de-Beaupré et l’île d’Orléans. « On veut toujours développer notre journal », conclut M. Maltais.